vait être, dans vs + un résumé sp tra À de E gps culvées en. France ; il

nier de Cris Paris, 1845 de quelques pages que contient ce des . D annon

prince de Salm (Cacteæ in anno aielies En le —. :

JF al due ont mes ste: bre un tra- . _ vail que je me suis efforcé de rendre plus complet en me _ servant des travaux de M. le prince de Salm , du Manuel

_ de l'amateur de Cactées de Forster’, et enfin en met-

tant à contribution l’Enumeratio dépactiis de Pfaifler. 1 travaux de Miquel, de Zuccarini et de Lemaire,

quels j'ai fait de nombreux emprunts, ne forment L des traités aussi the que les premieres ils ren-

l'un, ses F ARS et j'ai ciouih aux d anus F me semblaient incomplètes, comparant les desa ss unes avec les autres, le ri souvent en n présence dk

lement adoptée en Allemagne eten Be à la fin de c chaque descri |

ur. ces ennuis à ceux qui partagent | ce goût:etjai

: voulu surtout le réveiller en France, Puissent mes fai

bies efforts remplir ce but, propager le goût de la eul-

ture de ces plantes si variées dans leur port et dans la

richesse de leurs fleurs, et amener, de la part des per-

sonnes qui s’en occupent, des observations qui com-

plèt nt celles que nous possédons déjà et qui sont bien

1 isantes encore pour établir une classification ration- Île et fixe.

ice travail doit être de quelque utilité pour les bo- : es pour les ses qui s ns nn

u ir et aussi à M. Andry, qu po : la ass et la plus complète Collection de Cac:

: Fe de Paris: à MM Houl

imann, du Jardin des re de Paris, = bserr ver les mo à la Center Les Muséum |

“Le famille des Cactées YAmérique, 125° degré de

de temps après la Fimportation de quelques Opunii: ù dans les régions ai se bordent Ja Méditerranée, et ar Pin:

+ INTRODUCTION. 6 _reskia, s’aperçui que s’il admettait l2 séparation du Pe- reskia, il faudrait admettre plusieurs antres divisions; en

sous le nom de Caetus. Cetle opinion fat admise par tous les botanistes, et les Cactées furent placées dans son ordre des crue, gi côté des Mesembryantemum ; il signala

ainsi une des tés les moins douteuses. Bernard de Jussieu adopta la opinion. Adanson plaça les Cactus divisés en trois genres dans sa famille des Portulacés, à

Côté des “Re ep et irès-près des Groscilliers. bL de Jussieu rendit sailiant ce rapprochement ingé-

cuxs nt Adanson n’avait pas fait sentir l'intérêt, mais

agéra en en Consliluant une famille des Caeti qui

LIL Len des que deux genres, le Groseillier et 1e Éneiase

sépa: n deux soda dont la première se

il et la seconde par le nombre indéfini

dt:

à tube adhérent à l'ovaire, à limbe plurisérié, pétaloïde ; pétales nombreux , plurisériés, à préfloraison imbriquée insérés sur le sommet du tube calicinal, tantôt libres (Rotacés }, lantôt dressés et soudés inférieurement en un tube qui dépasse Fovaire (Tubulosæ sæ); élamines nom- breuses, myllisgriéess insérées à x le base de la corolle; anthères sOL adhérent au tube du eabes, upiloculaire, à placentaires Pariélaux multiovulés ; ovules nombreux, horizontaux, anatropes ou ho a : sirle indivis. terminal ; sligmates autant que de placentaires, étalés ou réunis faisceau ; fruit? baie ombiliquée à son sommet uni culaire, pu: graines nombreuses | > osseux àhile très-grand, à

4

pulpe, à test pr plèvre mince; plant Mri-persies F'etrédons, bbres ou soudés en.

avortés ; feuilles tantôt nulles !, ho par un 20 sinet silué sous le bonrgeon (Faber), tanlôt parfa pétiolées (Peirescia); bour: de deu

=. INTRODUCTION.

fibres ascendantes sont groupées par faisceaux, disposés cireulairement de ne à sa ip me un n tube disc ontinu

jux tapos ées, adhèrent Fr Rare les unes aux autres, de _ manière à former un tébe dont la surface est au contraire continue; dans aucun cas, ce tube n’est formé de couches stratifiées. Les fibres qui composent ce tube se resserrent graduellement à mesure qu’elles s’approchent du collet de la plante; là, en se soudant plus intimement, elles fer- “ment son ouverture, forment une espèce de pivot, et, par

ur gement in férieur, donnent naissance aux ra- : s _— so ce _. moins ligneuses, quelquefois char-

paper a : des nel ui De ARE se en s'fbrilles en traversant le tissu seat et

dla ne ani que dns la te mére

INTRODUCTION. XI

tent graduellement à mesure que la plante se développe ; leur plan, incliné d’abord vers axe, se redresse de plus en plus, devient vertical, puis, dans les plantes globu-

gnent, de droites et verticales qu’elles étaient d’abord, se sont infléchies de manière à présenter une ligne courbe dont la concavité regarde le so

L’espèce de pivot formé par ; resserrement des fibres qui composent le canal médullaire, soit vers la base de Ja plante, soit aux points de sa surface lors de la formation des bourgeons, sert toujours de siége aux racines normales qui se forment soit sur la plante, soit sur les boutures qu’on en détache. Si au contraire, par suite de circon- stances accidentelles ou autres, ce pivot est détaché de la plante, il est souvent possible de faire partir des racines de la partie conservée ; mais ces racines, toujours faibles et délicates, ne peuvent jamais former une assise conve- nable ; elles apparaissent sur la circonférence de la base du can méduliaire, et semblent être le prolongement mx faisceaux de fibres qui le composent, et ordinaire-

nt ne peuvent plus constituer, comme dans les plantes à: semis, un organe complet servant au a à normal du sujet.

Considérées dans les organes de leur végétation, nous trouvons d’abord les racines qui ne nous offrent rien de particulier; tantôt elles sont rameuses, modérément f ses, tantôt elles sont pivotanies ou napiformes, et alors elles sont charnues et moins fibreuses, toujours blanchäires et vivaces ; leur tissu est.facilement altérable par l'humidité quand. les conditions extérieures sont dé- favorables à leur végétation ; on croit que les spongioles qi terminent les fibres de ces racines re sn Peau qu'avec lenteur..." _ _ La tige, au contraire, présent très-singulières sur lesquelles on peut se un certain Points pen ne la Famille en genres et sous-genres.

Comme nous lavons

XIV INTRODUCTION.

est formée d’un axe ligneux dont le centre est occupé par le canal médullaire qui est rempli par une moelle abon— dante assez permanente, généralement identique avec le tissu cellulaire dont ces tiges sont formées ; c’est ce qu'on observe quand on coupe une tige en travers. Le liquide dont ce tissu est rempli présente certaines analogies avec lajbumine; il devient insoluble après avoir été soumis à une certaine température, mais il présente avec l’albu- mine celte différence qu’il est très-perméable à Fhu- midité

La consistance ou le degré de solidité de Paxe ligneux värie beaucoup d’un genre à l’autre. Dans les uns, il pré- sente un bois nerveux et ferme; dans d’autres, au con- traire, il est mou et flexible,

surface de ces tiges est couverte de tubercules char- nus . saillants , tantôt libres, tantôt soudés par séries

tubereules sont remplacés par des squammes des fo- lioles cylindriques, snbulées on par de véritables feuilles. Nous croyons avoir démontré, au moins pour quelques genres, que ces appendices représentent des feuilles de Caetées (woir plus haut, p, 5).

Cependant, comme notre opinion sur ce sujet est diffé- rente de celles de la plupart de physiologistes, je crois devoir rapporter ici une objection qui pendant longtemps a ébranlé ma conviction, ei qui est peut-être dat pa la plus sérieuse à opposer à cette manière de voir : qui con- siste à regarder les mamelons des Mamillaria, Fe Peleci. phora, des Anhalonium et du Lectembergia : les tuber- cules des côtes, les mamelons du spadice des Mélocactes; les iubercules des edtes des Echinovactes, Echinopsis et _ Cerei; les squammules «os Phyllocactes, éd Dis pe cr Lt De celles du Rhipsalis, ra et des * ne appendices cylind

des f

ouvent plus DS eireseia. Candolle, entrainé par

pa croit mood : és des Mamillaria sont

INTRODUCTION. xv

« de véritables feuilles, et cela parce que ces mamelons « ou supports sont longs et terminés par des faisceaux « d’aiguillons assez semblables à ceux placés au sommet « des Ficoïdes barbus ; et parce que les fleurs ne naissent « point au centre du faisceau d’aiguillons qui terminent « le mamelon, mais bien à laisselle de ces mamelons « se trouve assez souvent une petile portion de duvet « laineux.

« Il ya, je crois, de fortes objections à faire contre cette « innovation : la fleur dans les Cactées ne naît pas tou- « jours du centre du faisceau d’aiguillons; elle le laisse « souvent en grande partie à son extérieur; 2 la petite « portion de duvet que lon voit à 'aisselle es support « mammiforme de plusieurs Mamillaria a été détachée de « celle du mamelon, à mesure que celui-ci Re accru; « ce mamelon n’a pas réellement le caractère distinctif « et essentiel de la feuille. » FR

Il me semble que la première objection n’alière en rien notre opinion, car pour cela il faudrait qu’il ft établi que la fleur doit toujours se développer à laisselle de la feuille et exactement à son centre, ce qui west pas et n’a jamais été reconnu par les botanistes, La seconde s mio sur un fait dont je n’apprécie pas toute l’importancedans cette question. Le petit faisceau de duvet que lon aper- coit aux aisselles des mamelons de quelques Mamillaires, s’est séparé de celui qui les couronne?

Si les mamelons sont des feuilles, il nous semble que toute la face supérieure doit constituer une région > la

fonctia

sécrétion. Or, il arrive précisément que tantôt les de faisc eaux, auquel Turpin su mes DR Fun

ces glandes, tantôt enfin ils sont liés Pan à Pagani par un . petit sillon qui s'étend sur toute la longueur de la face = Poe de nos feuilles, ou sur une partie gr ment. Pin en ce étant axillire 0 ou me elq

2 XVI 2. ' à

mité du petit sillon qui f e cela résulte de e ‘des m

erogoni , ete, et de l'inflorescence de quelques Echino-

a outre, dans certains cas, ces deux faisceaux pare

ent naissance aux jeunes gemmes, comme cela arrive pour le Mamillaria Wildiana , Glochidita, x, Vivipara, les Gland les

s fois, comme cela s’observe dans le tt atidens ns, ces gemmes sortent du milieu de ces

in de voir une objection dans le fait ‘qw'op- , Turpin, il tions à

e sous ce ce rapport aux véritables feuilles. Enôn, la troisième objection serait sérieuse, car ce que

des ess du périanthe d’une fleur en véritables mame-

pre Turpin donna la définition précédente de la . feuille, il a trop voulu spécialiser le mode de conforma- : tion auquel elle se rapporte généralement ; tandis a. eùt mieux valu, je crois, spéciali iser la est le siége.

ll arrive, il est vrai, comme il le dit, me dans nos sci

chaque année, à une certaine é

#3 n’est pas caractéristique, car dans les régions tropic: Fun ou de Pautre continent la Se se maintient rarement au-dessous de + 10°,

4 9

_ climats, restent en tout ip ornés slots feui sont les Re ho nee alaternes et le ms GES il : ri veris

Es

la tige et les re _… sont formés ms diem ral us on de sie

XVII INTRODUCTION.

et l’action plus ou moins directe de la chaleur et de la Jlumière. A l’aide des stomates dont elles sont couvertes, tantôt à un état imperceptible, tantôt au contraire irès- visibles à l’œil nu, comme dans quelques espèces : Astro- phitum, Ornatus, ete., les gaz pénètrent dans les cavités preumatiques de nos feuilles, ils réagissent sur la sève qui y a été apportée et lui communiquent les qualités qu’elle n'avait pas jusque là, qui la rendent propre à servir d’ali- ment au végétal.

L'époque de la défoliation est marquée dans nos plantes par une sorte d'interruption de la végétation. En l'absence des stimulants tels que la chaleur et la lumière, 1 des vaisseaux se resserrent, la nourriture n’est plus ap- portée vers les extrémités ou vers la surface, tout le corps de nos plantes diminue de volume, il semble s’affaisser, quelquefois même il se dessèche presque complétement ; mais en peu de temps, quand ces stimulants viennent reproduire leur action, on voit les plantes reprendre leur volume et leurs dimensions primitives, la végétation re- prend son cours, et le développement qui avait été soumis à un temps d'arrêt, même à un passage rétrograde, re- prend toute son énergie.

Ces circonstances sont parfaitement d'accord avec ce que lon observe dans la végétation des Cactées pendant _ Fhiver; même elles font voir dans celte famille une sorte de défoliation (sui generis } qui est marquée par le desséchement des mamelons inférieurs, comme dans le Longimamma, par V’oblitération des tubercules voisins du collet des plantes dans les autres Mamillaires et beau- coup d'Echinocactes, et enfñn par la chute des mame- lonus du Leuchtembergia Principis, qui nous montre une Ruge cylindrique sur laquelle la présence des anciens

ons est indiquée seulement par leurs bases dessé-

itqu à j'ai observé et mi. s ne plus loin (p. 5-6),

: veï qui précèdent, et de Sas —. dans les végé- nblage de plusieurs verti- és par des feuilles diver-

INTRODUCTION. x

sement transformées, tellement rapprochées les unes autres en anneaux et étages, que e leurs entre-nœuds ne sont pas distincts, » prouvent, je crois, jusqu’à l’évidence que les Cactées, loin d’être des plantes aphilles, portent toutes des feuilles ; et c’est précisément le Brand nombre

leur développement, qui constitue cette grande diversité, eten même temps cette régularité de formes qui les rend si remarquables.

Loin d’être conduit à cette conclusion uniquement par Panalogie, comme la été De Candolle, nous y sommes con- duit par des faits réels et des principes qui aujourd’hui sont passés à l’état dogmatique dans l'enseignement de la botanique

Ces feuilles , toutes les fois qu’elles sont incomplétement développées, c’est-à-dire qu’elles se présentent sous forme de mamelons ou de tubercules plus ou moins distincts les uns des autres, sont couronnées par une espèce de nœud que nous nommons aréole. Elles sont axillaires ou apicil- laires, suivant leur insertion sur la feuille. Dans le cas elles sont apicillaires, elles sont fréquemment remplies d’une espèce de soie ou de laine du milieu de laquelle se développent des aiguillons. Ces aiguillons sont tous ou de mème nature ou de nature différente. Dans quelques espèces, l’évolution de cette aréole est limitée à une sai son ; d'autres fois elle s’étend à deux années ; d’autres fois encore elle est continue et ne s’arrète qu’au bout d’un plus grand nombre d'années, quand la partie de Ia tige sur laquelle elle est fixée est devenue ligneuse.

évolution est indiquée soit par rar ère mt 1 gressif des aiguillons qui semblent sortir de Faréole pa- rallèlement à eux-mêmes, ce qui est très-visible dans les

Echi s-dése “1

d’une couleur claire d’abord, prennent par la suite um

ton plus foncé. Le point la base de Vaiguillon vient

affleurer la surface de l’aréole à une certaine époque, e&« très-visible dans la saison suivante ; il conserve la couleur à laquelle il est parvenu , et toute la partie qui le suit marquée par un changement brusque. Ce fait

XX INTRODUCTION.

2 yeux dans à prie à Monvilli, dans le Mamillaria = 00e" A tres fois, Fe évolution devient frappante par

sppeyiior de ; jeunes aiguillons au milieu des PRE anciens qui ont pris tout leur développement et me? sont colorés des tons qu'ils doivent conserver par la su comme cela se voit nage dans les Echinopsis, Ps Cerei et les Opuntias

L'observation de ces aiguillons à laide du grossisse-

parallèles, les autres de cônes emboités les uns dans les autres, présentant tantôt leur sommet du côté de Pinser- tion, tantôt du côté opposé ; enfin, d’autres fois, comme dans le plus grand nombre d'Opuntias, les bords de ces cônes sont bordés de petites aspérités pubescentes ou acérées

Outre l'aréole qui couronne les sommets de nos feuilles, mamelons ou tubercules, quelquefois leurs aisselles en portent une seconde, que nous nommons aréole axillaire; mais celle-ci est différente de la première. Dans quelques circonstances , elle est bien le siége se Dérclopee” quelques aignillons:; mais ces aiguillons jusqu ici n'ont jamais été de même nature que ceux qui défendent la première aréole ; ils se présentent à l’état de sétules ou de soies, tandis que les autres sont développés en véri- tables aiguillons .

D’autres fois, les aignillons de laréole axillaire man-

quent, et ceux de laréole apicillaire subsistent seuls ; d past fois encore, mais rarement, ils manquent ne ne mps. Considérés sous le rapport de la fleur, les Cactées pré- mi d’autres différences qui ne sont pas moins tran- + ôt Vovaire est lisse, d’autres fois il est parsemé tres fois en ncore 1 _estr

INTRODUCTION: lobes du périanthe sont nues ou spinigères. Des modifi-

forment un long tube; d’autres fois ils sont dires dès leurs base oo tnt des étamines varie faenent : ete Ps jours assise sur le tube ; mais quelquefois elles sont sou— dées à sa base senlement : d’autres fois elles le sont sur toute la longueur.

baie est lsjonrs. uniloculaire ; les graines sado jours recouvertes d’un test osseux; elles renferment des cs rs sont Fe Pur du temps L'emad pr

les,

XXIE INTRODUCTION.

plus tard , les deux cotylédons s’effacent et la gemmule

prend plus de développement, elle paraît mamelonnée,

et enfin apparaissent les premiers rudiments d’aiguillons ;

du côté opposé sort une radicule blanche qui 5 dar

dans la terre et dont le collet est garni d’un

d’aréole, de poils très-fins qui s’implantent ésiesiit ns la terre.

2. Germination du Melocactus Communis.

L’embryon, par son gonflement, finit par déchirer les enveloppes dont les fragments demeurent encore pendant quelques jours sur son sommet; quand il s’en détache, on aperçoit à son sommet deux fentes placées en es et séparant quatre petits coins, dont deux opposés se blent plus élevés et plus forts que les deux autres; on voit dans les deux premiers les cotylédons, et dans les deux autres la première apparition de la gemmule ? Plus tard, la masse parait ovoide, couverte de petites ae nrs es finissent par se couronner de quelques petits aiguil-

ires , et enfin apparaissent rangées par des parallèles à Paxe. Du côté opposé apparait en mème temps une radicule qui se bifurque et finit par pénétrer - dans la terre :

3. Germination de l'Echinocactus Platyceras.

La graine est lisse, remarquable par l’étendue de l'om- bilie. Pendant la germination, vers la partie ombilicale, _ apparaît un petit corps blanc qui se développe peu à peu, en même temps que les enveloppes se déchirent en com-

mençant vers Pombilic; on voit l'embryon couronné par . deux : ces Rene distinctes et coniques. Entre

s qui S

qui s rester r ar s’enfor ace! dans la terre. Les « deux vrsbiérances distincts, à dont à tylédons ; la protubérance

qui pousse le faisceau de poils est la ns app: de la tigelle. ns

. Lorsque ces graines sont so: voit bientôt la partie principale du t lopercule en laissant à découvert une es po de la mir Peu nr Pers Je

XKIV INTRODUCTION,

verles et terminées per deux cotylédons bien prononcés , ovales, obtus, un peu concaves et d’un beau vert. Du

conique ayant à sa base deux petits bourgeons terminés par un aiguillon piliforme : ce sont les premiers rudiments de la gemmule naissante

De la partie inférieure de la tigelle plus avancée, qui est le point médian des deux systèmes de végétation, sort une radicule petite, blanche.

Cette germination plus avancée offre deux cotylédons écartés et devenus horizontaux par le développement de

châtres et disposés en étoile; en même temps, la radicule montre le développement de quelques radicules latérales.

6. Germination de l'Opuntia Vulgaris.

Les graines, plus grosses que dans les autres genres de Ia famille, sont réniformes et comme marginées par l'épaisseur du ur. l'embryon est dépourvu de péri- sperme comme tous ceux de la famille ; Pestrémité infé- rieure de sa tigelle est dirigée vers le hile, et sa partie se arm cotylédonaire areas

avancée de cet e mbryon offre une tigelle

ou ithalle ei À assez longue, cylindrique, plus

renflée au sommet, verte, terminée par deux grands coty-

lédons écartés, horizontaux, ovales, un peu concaves et verts. Du sommet de la tigelle et entre les cotylédons, se

développe une gemmule qui radars déjà parfaitement

les articles aplatis en forme de raquelte de certains Opun-

tias. Sur ceite a on voit we -

ées et disposées

ne . munie de quel- e autre radicelle s'était e primordial

La germination du Rhipsalis Yisciilsls consiste Far une telle _épaissie, as mince et comme étranglée à : sa

une radicule et deux radicelles

8. Germination NE re,

Les graines sont menues, oblongues, obliques, 6 leuses, striées ou chagrinées ; lembryon de même forme est composé d’une vs a terminée —. _ petits coty lédons rudimentaires

XXVI INTRODUCTION.

cependant elle n’est pas bordée par la marge aiguë des articulations adultes; sa coupe transversale est quadran- laire.

Entre les deux cotylédons aigus, on observe dans le principe un petit faisceau de soies ‘fines qui est poussé de bas en haut dans son mouvement ascensionnel; il est poussé et suivi par la première articulation de la plante.

11. Germination du Pfeiffera Cereiformis.

D’après la figure de Pfaiffer, embryon présente deux cotylédons aigus, très-nettement accentués; entre eux deux s'élève la tigelle qui semble enflée vers sa partie supérieure, étranglée vers sa partie inférieure. À lextré- mité supérieure apparait une surface mammeuse dont les sommets des mamelons , couronnés de petits aiguillons, feront plus tard les ondulations des crêtes des côtes.

C’est en se fondant sur ioutes ces considérations, et d'autres dont les détails se trouvent dans l'exposition des

es des divers genres et sous-genres, que les bota- nistes ont partagé la famille des Cactées en genres et sous- genres.

Le premier travail, basé sur ces considérations, est à Linnée “Il constituait les quatre genres Cactus, Cirinosum, Carpophyllum et Phyllathus. Le premier, Cactus, corres- pond à nos Mélocactes et à nos Mamillaires. Le second, Cirinosum, paraît être identique avec notre genre Cereus. Le troisième, Carpophyllus, paraît être notre genre Pei- rescia ; et enfin le quatrième, Phyllarthus; répond au genre des Phillocact

Après lui vient Necker; qui, un n a eu en ire en établissant sa classification , que le

; il semble, du reste, n'avoir eu aucune re. sance ds faits nouveaux qui avaient été observés depuis. Aussi la plupart des auteurs ontils abandonné, depuis longtemps ne les idées serrer par Linnée et Necker

. Les sn ‘es à divis vraiment Fnériqes

INTRODUCTION. " XXVE en 1812 par Haworth. Ces deux classifications différent peu l’une de l’autre. Vers la même époque, De Candolle publia de son Côté, dans les notes du Catalogue du Jardin de Montpellier, une classification qui est Re celle de Haworth.

Les deux premiers semblent avoir été y sattout par les caractères déduits de la tige _ des feuilles, en élevant leurs groupes au rang de genres. Les caractères dont ils tiennent compte dans la fleur à le fruit ne peu- vent constituer des caractères génériques.

Rhipsalis, Opuntia, Epiphyllum et Péri: Fire es Le caractère du genre Cactus, déduit du Meleactns LR Communis, ne convient pas à toutes les autres èc

Son genre Ce ÉoE _ la forme: des tiges. :

hipsalis, il

FR INTRODUCTION.

Ee TRIBU, OPENTIAGÉES. Graines attachées aux parois de la baie. à Tube du calice Bsse; corolle tubulense; absence de vraies feuilles.

1. a Point de cotylédons; tige laitense, mamelonnée,. | eo ni verticale non laïteuse.

he Tube du calice court ; “era non prolongée au cn de see ; comnils his

Cactearum du docteur Pfaiffer, exposé exact des notions qu’on possédait alors sur cette famille. Il ajoute aux De: genres établis par De Candolle dans les ouvrages

dans son Prodrome, les irois g nres Epiphyllum,

mium et Hariota, en remplaçant les deux tribus f ar deux secti

sur u une observation très-importante de la pres de la corolle : Le tubuleuses et et corolles Sa classifi sent

Lu

Ÿ 2 3e LOIPILERE

[1° SECTION.

Dai à tube con. se Cereus. “Tube et 5 ovaire squammeux, + Tube al _— ovaire nu. nee

XXX . INTRODUCTION.

Pour l'époque parut ce travail, qui est resté jusqu’à ces dernières années le seul livre que ceux qui s’occu- paient de Cactées ont pu consulter, il formait un corps assez exact des notions acquises; mais peu de temps après, quelques-unes des planies décrites dont on n’avait pas vu les fleurs, se montrèrent; puis aussi, un immense envoi de Cactées venant enrichir nos Collections, rendit lénumération de Pfaiffer incomplète

Charles Lemaire, dans un premier fascicule (Cactearum

iguot novarum et insuelarum in o Monvilli, 1838 ), donna les descriptions de rer Anse des espèces nou- velles. Il fait précéder lexposé de ses descriptions par une dissertation, dans laquelle il ajoute quelques carac- tères à ceux des genres déjà adoptés ; 1l fait ressortir quel- ques inexactitudes qui s'étaient glissées dans leur expo- sition. Par exemple, celle de De Éandolle qui, se fondant sur le dessin inexact d’une baie, dans laquelle le fruit du Rhipsalis était représenté comme triloculaire, dut ensuite créer le genre Hariota, lorsqu'il examina les fruits du Rhipsalis Salicornioïdes, qu’il trouve uniloculaire comme tous ceux des re de ce Hs

I termine son travail par un examen judicieux du spadix et de la fleur née ile “à Cereus Senilis DC., il compare celte plante au Cereus Columna Trajani Karw., et, partant de l'inflorescence toute particulière qu’offrent

eux espèces, et qu’il ne faut pas confondre avec celle des Mélocactes, il fait sortir ces deux espèces du genre Cereus, et constitue , avec beaucoup de raison, le genre Pilocereus qui est admis ar to

À un ée de distance, 1839, il fait paraitre un second fascicule (Cactearum genera vs), dans lequel il ajoute les descriptions de la plupart des plantes nouvelles qui n'avaient pas été décrites dans son premier travail ; ajoute quelques observations critiques à celles qu il

avait déjà e ose une classification 4 2e tion. Sans on le point de départ

de. ca ont été, D. les que nous avons faites, | rend pour nous lopinion de se probable, mais leur it nombre nous laisse des doutes que mn rc É: circonstances ne nous ont pas encore de lever. D’après lui, toutes les Cactées acaules ont des cotylé- tuberculés ; _toutes les Cactées caulescentes ont d 2

semede ss" | Il constitue deux grandes tribus : Lan

LILI Te

TRIBU a PHYLI

Opuntia (Tournef). Lepismium (Pfr.).

Gomme on voit, ouire le genre nouveau Pilocereus, il propose trois autres genres : Echmonyetanthus, Anhalo- ee Astrophytum. Son premier genre est identique 4 pose Mi ce. ze par Zuccarini et adopté

Le dernier, Astrophytnm, était fondé sur des

le enre Astrophytu M. |

ification des Cactées ont pris une certaine : et le prince de : .

ra . un carséilte cost

Il constitue deux groupes dont le caractère différentiel est fondé sur la corolle tubuleuse ou non, et sur le déve- loppement du tube au-dessus de lovaire.

Dans le premier groupe, Cacteæ Tubulosæ , le mode d’inflorescence est un caractè d'établir deux divisions. La prem

sur un caractère insigni

La seconde d IS10! nd les genres Echinocactus, Echinopsis qu'il caractérise de la même manière qu'eux, tout en rejetant le genre Discocactus de ee comme basé sur _—

du tube, . LE et des étamines libres _# des

tés Phyh . ecreut ti Re mises trois songé: Car k les tuer qu'il _ admet sont aussi. fondés sur une modification de forme dans la tige, et sur un un Caractère bien secondaire du limbe des Epiphylles, caractère qui ne peut avoir de valeur aujourd’hu sque es Epiphyles ont montré des fleurs

PR que à Det tériinié de RE ; sa __ es comme il suit:

hinocactoïde: as he. or. tes. Fe SQUAMMEUSE ; tube allongé, __ * Phyllantoïdeæ. ee mr ANGULEUSE,

e avec l'est constitué par la position e tribu est divisée em amillaria.

peut pisser par tous les points intermé entre les points extrêmes , comme cela arrive en effet. I com- prend, dans cette tribu, les genres Echinocactus et Br cactus. La troisième tribu, celle du Cereastreæ,

%

ière essentiel est constitué par nn long L <

Lot = que ainsi sm la baie, est toïjou d hisblde, on genre Echinops par son

port de genre Echinocacius, en diffère re par sa compile; .

F* x à LE ES

son port, se trouve car. Delon RS vi lisse ! ; elle se divise en deux genres Phyllo- cactus et Epiphyllum, qui diffèrent Fun de l'autre had forme de la corolle et de la baie. - La cinquième tribu, celle des ae les genres Rhipsalis, Lepismiu elle

leux genres Opuntia et Peirescia de jo Miquet. ce différant, sous quelques rapports, de la

Voici la classification de Forster:

À. PÉRIGONE EN FORME DE TUBE. …. | (Gaeeæ ‘Tubulosæ).

a. Melocactus. ds terminale sur le spadice, 2 TYPE. ÉcHINOCACTEZ. Inflorescence a

Ehinopss Tube du en es ige globuleuse, ee

Dans cette classification, les caractères n’ont pas par- tout la même valeur; en outre, ceux qui d de celui des Echinoc.

La formation du sous genre Anlacothde. bien qu'ayant plusieurs raisons d’être, n’a pas été adoptée.

«

. La classification des Echinocactes a aussi une certaine - mérite égalemen

| Ca des Opus se réduit au bleu uirant

INTRODUCTION.

modifications qui ont été adoptées, ont été présentées par lui-même dans son dernier ouvrage ( Cactea in horto Dyckensi cultæ, 1850).

Dans cet ouvrage, la première séparation du genre Echi- : nocactus en deux, le genre Malacocarpus et Echir É us, est fondée sur Pobservation de quelques fruits. "4 : seconde consiste également dans la séparation en deux genres, LS et Opuntiæ de l'ancien genre der. elle est fondée sur une observation des organes de la fécondation et une boss particulière de la corolle. Enfin,

Pfeiffe

» Cereiformis et Leuchtembergia, l’un, fondé sur une inflo- rescence presque déterminée, Pautre, sur une tion du fruit de l’ancien Cereus or. seems chaise sur une peu première nie, el est re

disposés en sp

dis en spirale autour de Ja tige. .

...

ner un cépha- { Tubereules réunis en particulier. . { côtes . .

Tube grêle dont la gorge est obstruée p: les étamines ; {baie lisse ou stipirée ? } - Tube L très-court ; baie lisse, molle,

» Las

Les tribus du prince de Salm une fois transformées en genres, ses genres devaient arte ou devenir des sous - get Pour suivre l'ordre de nos idées, nous eussi ù nous arrêter au premier parli : nous ne D. pas fait, et nous avons cru devoir respecter les divisions qui avaient été établies par nos devanciers, et _ qui, pour la plupart, ont été approuvées ea MM. Miquel,

Pfaiffer et Salm.

rai tie aire lisse, inclus. Nous croyons même que | les genres Anhalonient: Miche que nous avons m s comme sous-genres, ne sont autres que de na ; dont les mamelons

a

devoir en faire un genre à part comme Va fait le prince de Salm ; mais je l'ai placé entre les Melocacteæ et les Echinocact teæ, pensant que la forme des mamelons ou feuilles le rapprochait de l’Anhalonium; tandis que son orescence devait le rapprocher 8 Echinocactus.

La tribu des Echinocacteæ du prince de Salm se com :

pose des trois genres Discocactus, tonte, Echi- nocactus. Pour nous, elle constitue un genre nettement caractérisé par son inflorescence apicillaire, terminale et

son tube Et ne mais la division en genres me semble mal #

établie. Les caractères du tube sur lesquels elle est basée : tube grêle; étamines fermant la gorge du tube; tube rge, court; tube large, parfois suballongé, me sem- blent des caractères d’une trop faible importance pour caractériser des genres. Il me semble que LP en: Me conne en un seul, rt

Tige globuleuse ; évolution des aréoles , limi= tée ; inflorescence axillaire ; eve parhi- tement lisse ; insert.

| 2e GENRE. LEUCHTENRERGIE. Tige cylindrique; = md a . in-

apicillaire ; GENRE, ECHINOCACTEE. :

Tige globu leuse ou disciforme ; sh pere des

_ aréoles, mn ae ence apicillaire ;. ovaire exsert, de me tou E

tible; iforecence presque .

strates axillaire rapport

3; ova pr re mu.

} Feuilles soudées les unes _ les autres . distinetes seulement dans | âge

[ céphaleumr qui —_. les fleurs Feuilles ma

lagineuses. . grrr deloïdes déprimées ; membranenses

ues avec les autres, formant des côtes.

nt dr 0 dont l’ouverture est ob- : Gare ai que bai, DISCOCACTES, .u

CACTACÉES.

Synonymie, Cactus Lin. gen. n. 613. Sp. pl. ed. 2, P. Cacti Juss. gen. 310, excel. $ ui Cactoideæ. Vent. tab. TE, 2 Nopaleæ De. Théorie Bartling orden.

posés en spirales. La baie cg Énrnt, ombiliquée à son sommet, elle est lisse, sqt uammeuse ou AAA ses

Enaent : à fentes latérales, Pollen sir leux, lisse, marqué par quelques zones transv quelques-unes des espèces observées.

Ovaire simple uniloculaire composé de trois plus grand nombre de carpelles, contenant un nombre d'ovules; chaque carpelle est continué sur ses bords par un placenta, ce ee fait qu Fer re

rie

lisse, tegmen mince, albumen peu Éteop semblant n. quelquefois manquer complét Embryon dressé, droit, claviforme ou courbé : cotylé- | dons connés, ramassés en masse, libres et visiblement foli _. la rene

-

It. ORGANES DE LA VÉGÉTATION.

bourgeons, togburs soit tre soit LR,

La longueur des aiguillons varie depuis une ligne j = ra qu'à un pied, ou ils se présentent toujours en même

6 CACTEÆ TUBULOSÆ.

l'ovaire s'est développé jusqu'au moment se forme le périanthe sur le se cette Re est indiquée par une petite houppe all e de duvet q e bouton ; 1 avait alors les dimensions et l hspect de l'ovaire d'une fleur de notre Echinopsis : des circonstances acciden- telles arrêtèrent l’évolution de la fleur qui cessa de se développer. L'année suivante, ce bouton avait pris un accroissement considérable, les aréoles et les squammes qui garnissent l'ovaire étaient plus resserrés ; j'ai détaché

* ce bouton et je l'ai traité comme une bouture, avec le

4

temps elle à fini par réussir, elle forme aujourd hui un beau sujet de l'Echinopsis Zn qe à son tour, fleurit abondamment depuis de ;

Est-il nécessaire de dire maintenant que chacune des spirales formées par les imamelons du Mamillaria Wil- diana est un verticile de la fleur! Faut-il ajouter que chacune des aspérités qui forment les côtes de mon

uecarini correspond à une pétale ou à une bit que l’ensemble des aspérités qui forment une de ses côtes correspond à un verticile de la fleur? Or, si chaque verticile dans la fleur d'une plante à feuilles est une modification particulière dans le développement d’un verticile ordinaire, il faut bien que, dans les deux obser- vations précédentes, les mamelons du Mamillaire, les tubercules des côtes de l'Echinopsis soient aussi une

2 chi d'un ordre . dans le Pen 7

F4

les divisions de la crolle, les étamines, quoique en

nombre indéfini, sont moins nombreuses que dans les Echinopsis, les spirales formées par une série de mame-

lons se verticiles sont jus pie même a

"ro

Fe

CACTEÆ TUBULOSÆES - nn : 1 es 4 1e ne appelées niaméines ou bien faisant corps les unes avec les autres, de manière que celles d’une même série présentent l'aspect d’une côte: dans tous les cas, terminées Sa une aréole.

ress . Etamines plurisériées, lancéo- < “Siyle plus long que les étamines, filiforme. 5 styg- es radiants, à rayons linéaires. Baie o! ne, lisse

ronnée par u S erhalus qui port les fleurs. nt in pee atteint l’âge adulte, le dévi elles ne croissen:

MELOCACTUS, 9

cbes : distencées verticales, droites, larges à la base; sillons ; aréoles rapprochées, ovales, droites, d’abord garnies

de tomentum gris ; aiguillons roides, droits, j . ou bruns, rarement brunissant avec l’âge, de sde rayonnants, le ee. 13 court

et rnlérin plus long que ss autr » 3 centra aux, don 2 plus courts

bas.

Floraison. Depuis Juin jusqu’ en Août. sur De : ‘abord plat, intslé, puis lo long et cylindrique Me sale, ouges roïdes. Fleurs à pétales allongés, dentélés, tbe Rue - mire jaunes. Divisions du stygmate, 5 , ‘rouges.

Vartérés. Presque tous les semis de la plante Melocactus commu-— nis ont donné des individus qui semblaient former des variétés soit à cause du nombre des aiguillons, soit à cause de l'aspect général : un petit nombre de ceux conservés ont repris les caractères de leur origine avec l'âge ; gr n _— pa aa une raison —__ conclure que les RES, quin ont Fe pas pu ent pas constitué des varié

6. pt pa: qes Berol.). Originaire de po et de Saint-Thomas. Il differe des autres par les tes du spadice et le agree des aiguillons.

+ ongus (hort. Berol.). Originaire de Saint-Domingue. Ai lons ee rayonnants, 0 ou 1 central, Semble synonyme du Mel, com- munis conicus pa L

à, or ra TuS mea Berol.). Aréoles garnies de tomentum ‘blanc ; aiguillons rayonnants et 1 central.

&. Grengeli, pas Beroi.). étions petits, rs

T. Conicus {Pfr.). Aiguillons roides, rouges, 8-10 rayon traux. Il nous semble syn. du u Meloc. Communis, var. Pyramide)?

7. Acicularis (Monv.). Côtes petites, nombre ses et serrées ;

jaunâtre ;. côtes droites, verticales , Un voùtées entre les aréoles ; aréoles rondes, peu éloignées les unes des autres aiguillons jaunes, $ rayonnants droits, les deux supérieurs plus petits que les autres, 2 Floraison. et fleurs? : ne saison ; _—_—

cprimée, vert-foncé ; côtes tr: tranchées ,

es ; aréoles distaneées, ovales, d’abord ri cadue avt RE Le ie droits, petit;

F INÆ , Bgettions intérieurs curés forts que Les aiguillons extérieurs

us et du Meloc. Sa ee * ils prennent leurs caractères assez tard . avant l’apparition du spadice

Culture. Plein air En la belle saison, chaleur, ie. que es autres.

ils

Vañtéris, B. Meloc. carneus. . - précédent me a evlenr

des aiguillons qui est moins vive aussi ‘0 _ trouve également près de Curaçao, s sur les. re au bord de la _. ne ne Kanthacanths (Miq.).

ner ee 4, prismatique à

aigus à la pointe, dierents à po à V pointe brune : ceux-ci ns are: Ÿ rain Pépadice et fleurs : ure. Plein air Eee la bell saison; chaleur.

42 CACTEÆ TUBULOSÆ. auges on bruns, pétales rouge-clair, allongés. Divisions du stygmate, * ér blanches ser Plein air pendant Ja belle saison ; il semble moins délicat « que les a

* + %: Melocaetus Crassispinus (Salm.). Mes es Pycnacanthus (Cels). Patrie. Brés Cp ., e sphéri ique vert-clair; côtes presque verticales ren- flées près des aréoles ; sillous profonds ; aréoles éloignées , _allongées, oi

ante et divergents, les 3 supé-

rieurs fins, les latéraux plus forts et allongés, l’inférieur plus encore que les autres, 1-4 se linférieur trés-long, Fes, Spadice et fleu

Culture. Plein air ras % belle saison. N 10. Melocactus Macracantbus {Salm.). sms - Cact. Macracanthüs (Salm., Obs. bot., 1820 0). Cact. oc. Macracanthus (Haw.). Dissert. de la Soc. des progrès hort., ss 1, © #2.

Pâtrie. Cura raçao, Saint-Domingue.

Diagnostic. Tige sphérique Sr hr , vert-clair ; côtes verticales vottées entre les “éréoles: renflée n bas: sillons larges rss. aréoles ose mr d abord gars de tomentum gris; aiguillons , 18-48 ra reg rs plus ee dressés, les

raux plus longs to: uchant les “ebtes, les inférieurs Fée gran. __ rarement 3-6, épais, longs, prismatiques à la base, les su-

%

à x

n “Fhrason, aies court, avec nombreux poils roïdes disposés en n : ur. Pleïn air pendant Ja belle saison. F _s C. DIACANTHLE , 2 aiguillons intérieurs. 4 É

| 11. Melocactus Obtusipetalus (Lem.).

Synonymie. Meloc. À ua gi (Lem. hort. Monv.). Echin. Taber- # ri à tOE), d’iprès Lem Patries Colombie, de Fes environs de Santa-Fé de 1 Bag, à 4000

essus du niveau de la mer. me Tige conique, ms re. vert-g î quées entre les aréoles; sillons profond , droits, e

nr Spadice g de poils

lobuleux » formé rouge-pourpre , Troides et Hole fleur Li rose ; che lopgs, laciniés ; anthères jaunes. Disons du yemate 8. . mers Gus ). Diffère du s rouge-sale, pa

_garnies 7 rayonnants, recourbés, bruns ou blancs.

Fioraison. Spadice et fleur ?

Culture. pen ml Eee la belle saison ; serre Fhiver. :

LP CACTEÆ TUBULOSÆ.

Diagnostic. Tige presque claviforme, vert-vif; côtes régulières sail- Jantes ; sillons larges ; aréoles serrées ; a fuilons, FU 8 rayon- nants : jaunes en naissant, devenant bruns avec

Culture. Plein air pendant la belle à : le de la chaleur, 15. Melocactus Brognartä ({Lem.). Synonymie. Meloc. Pyramidalis { G- Spinisalbis Salm. d’après Lemaire).

Diagnostie. Tige presque conique, vert-gris (cette forme anormale

doit étre attribuée aux effets ise culture, la plante qui a servi à la descrip e semble étiolée } ; 15 côtes ri ni v t sillonnées, gonflées pr s aréol t gonflées entre

en! s,e s-ci ; aréoles rondes, nues, puis garnies de tomentum blane qui s’allonge avec Île temps ; aiguillons , 4 central, 7-8 rayonnants, les 3 supérieurs un peu courts, les 4 latéraux rs longs, et l’inférieur, ‘quand : lus long que ls autres et receurbe vers le mn ares n- . * rouge brillant. Chez les individus adultes soumis à une culture conve- les 4 aiguillons latéraux atteignent 0,043 et l'aiguillon central l

ï d

- Florai ue 7 fleur et le are sont peu différents de ceux du Meloc. Communis , d’après L

Culture. Plein air pentst| la à ble saison ; de la chaleur et surtout en ce de l'air et de ja lumi 16. a. red Amæœnus rs }. Meloc: Communis (Jordensii}. Meloc. Rubens ( Re. ( * Sont. Le docteur Otto la rencontré sur les mon tagnes prè er free au milieu ‘d'agrrs et de Cerei, dans les terrains de

saillantes ; ere - ment espaces , msershés tum blanc ; ai pe (il manque ordinairement chez les j L

plantes), 8 ms sa à 1 supérieur très-court , linférieur très-long, les 6 autres latéraux, presque égaux. Tous droits, roïdes , rouge-vif et .

deveuant __. ps Florais ment e u mois de Juillet. Plus grande que la . ds bars = lee s, lle est rose avec pétales allongés. . Semble de ne gr de soins que la plupart des autres

Mclo s. La section accidentelle “. la tête ou la suppression du

presque unies, à peine arquées entre les aréoles : aréoles garnies de tomentum: grisperte, devenant gris-sale avec l’âge: ‘aiguillont, + 2. long, à pointe dressée en haut, 8 rayonnants , bee © droits,

| rouge pie spadice garni de tomen: um grise? row:

Van: RIÉTÉS. sos. Cæsius B. Griseus. Diflère du précédent aa as La son bien à air pendant la belle saison; chaleur comme le pré

omepenre sn Cure a

ymnie. C:

CACTEÆ TUBULOSÆ. 21 _ Atrosanguinens (hort. Berol.). _ Syno “Pare. ce Saint-Thomas,, Indes occiden tales. ige , vert-foncé; 12-15 côtes peu compri- des autres , ovales , avec re a Le

plante, ou parce qu'il | doi ares Dee et connue un _. nom et i improprement désignée par les horticulteurs

épais, trapus, tons à la base ? de ra . pâle; 6-8 rayonnants, les inférieurs ions 1 see central os recourbé RAP il manque souven ni #7 Tige de 6 cent. de di nr aréoles éloignées de. 18-20

4

: Jong. oo Floraison, Fleurs?

18 CACTEÆ TUBULOSÆS !

ae assez éloignées les unes des autres, immergées ,? garnies de entum blanc, caduc; aïguillons, 6-8 rayonnants , c lindriqnes, Mes date rer rouge- brun, gs tard violets, oris, elés transv lement, le supérieur très-court ; pas d’aiguillon ébur Floraison. Spadice et Prey: Fioraison indiquée dans les ouvrages allemands en Juillet et Août. Cuiture. Plein air pendant la belle saison ; chaleur.

28. Melocactus Depressus { Hook.). Synonymie. Meloc. Gardenerianus ( Booth.) ?

Patrie. Brésil , environs de Fernam

Diagnostic. Tige sp érique , vert-elair ; côtes larges, épaisses; arêtes arrondies, renflées pres des aréoles ; sillons larges, profonds ; aréoles éloignées, petites, sarnies de tomentum blane, cadne: aiguillons ronds, assez droits, divergents , brun-clair ou gris de cendre, ‘de 5-7 rayonnants ; pas d’aiguillon central.

Floraison. Spadice formé de laine blanche courte, mélée de nombreux poils roïdes, r ; fleu

Culture. —_— air pendant la belle s saison ; chaleur.

20" Mchcantes Gisioinienties (Lem.). Synonymie ?

Le seul individu existant lors de la er rm _—. par ae me au Jardin des Plantes de Paris; mort depuis; il a reuses pe qui ont _germé à Fr de jeunes Fndivie

Bu qi a nt caractérisés, D’autres individus ont été im- je années.

Brésil? Drague Tige con rique, et dir; côtes voütées entre les aréoles qui sont immergées; aréoles peu éloignées vales, garnies de tomen- tum un et caduc: 6 aiguillons rayonnants, dois et pr. rarem ent courbes , pres à la base, bruns-noirs à la périeur court , Priest courbé en bas et pes pas Faiguillon central.

Floraison. Spaces pe Rene fainé blanche entremélée de rares poils roides, courts e

Culture. Plein air ds la belle saison ; chaleur.

30. __ Pentacanthus {Lem.). : Synonymnie

F3 a été déerite d’après un sujet nes partie de la de 3 Courant; je crois perdue ,

+ MELOÔCACTUS. 49

Floraison. Spadice petit, formé de laine serrée, courte, . d’abord, jaunâtre plus tard , mêlée de poils roides, nombreux, enfaisceaux de couleur rouge-rose d’abord, ils finissent par brunir, Fleur? Culture. Plein air pendant la belle saison ; il demande de lachaleur.

31. Melocactus Delessertianus { Lem.).

Synonymie. Meloc. Delessertianus (Lem.).

Diagnostic. 1 ss petite, subconique, d’un vert sombre et grisâtre ; 4 ibcrénelées ; aréoles rappra rochées : aiguillons très-petits, Ce Aciculaires ; céphalium court, assez semblable à eelni du Meloc Amœnus dont cette plante se rapproche beaucoup. Fee de 45 cent. : Lo t sur 42 de diamètre à la base; 12-45 côtes Le de 25 ie dans la partie la plus forte, sur 32 de lar- gear à La base pi ins tranvereen t au-d ne “cha aque aréole ; l aréoles enfoncées distantes de 12-15 millim., moyenn F raies dun duvet pe plus tard cadue ; 8-9 ins ravonnants légèrement recourbés vers la plante, 4-2 supérieurs très-petits , les h autres augmentant assez régulièrement | jusqu’à 1 dr ae qui atteint 45 millim. de longueur Ab uillons intérieurs insérés dessus Pan de l’autre, de la même CRE à Pinférieurs Pan dll are parfois, alors l’autre qui est iiqu est un peu plus faible. Tous sont rigides, fins, d’un brun-rougeâtre dans la jeunesse, puis grisâtres ou fauves, souvent bruns à la pointe. . Floraison. Fleurs et fruits ? Culture. Serre tempérée, chaleur.

S 3. ESPÈCES DOUTEUNES.

Ces espèces n'existent plus en France; 3 Leg RE il n'existe pas de description, ou bien ces descriptions ER Are

. \ :

32. Melocactus Æ 5 (Miq. in Litt. re Fe à Pr hort. en non Cels Crassi ? 849 sinus Sale

ahront, 1e, nn ow 30 de haut; 40 côtes he distancées de 0,005; aieuilions

5 constituer d Tao nous n'en avons pas fait une dotjais à

20 CACTEÆ TUBULOSÆ. ;

33. Melocactus Oreas (Miq.). yrorzyrnie ? Patrie. Bahia, au Brésil, sur les montagn Diagnostic. Allongé 0 0,16 de haut ; 16 hs: aréoles serrées, 0"

grandeurs, flexibles, minces ; aigvillons rayonnants plus petits ; spadi plat ces : laine » longue et t blanche, Floraison. F Especes dont il n'existe pas de description. 34. Melocactus Atroviveus {hort. Berol.).

Il est indiqué comme ayant des aiguillons vert-olive foncé ?

35. Melocactus Cephalenoplus { Lem.). * 36. Melocactus Coronatus | Cels). 4 37. Melocactus Delessertianus {Cels). 38. Melocactus Macraïbo {hort.).

39

. Melocactus Hookerianus {Forb.).

Observations générales sur la culture des Melocactes. Jusqu'ici |

conique, ces plantes rèu e que la plupart ‘des plantes esse qui ornent nos serres, L’habitus de ces | plantes, dont quelques- t dans les sables an bord de la mer, ©

indique une station mi ettrès-chaude contrairement à Tops généralemen t répan

El mas À a se eslléetions fee Melocactus soient richement re- présentés cp ble même abandonné aujourd’hui, probable- és dificultés qu'une mauvaise das a ées à le

agp, p- De. pr rt. Mons. Éssts subgenus Main a Miq. Cact. errors Forst. Manuel de lam.— 4. Salm, Cac RS in hort. Dyck.

sse prolongé en un style dont les

'

L’inflorescence est axillai re, elle dure jours, et, pendant tout ce temps, les fleurs : si les tons Pa le colorent

hés du mecs Dares petits, connés, aigus. eus comtine |

A. LON GIMAUME, à mamelons allonges.

pee à De. aies p- 113. id. père ES, 22. id. Catal. hort. 20 “ag ie d. Cact. ne jaune

c. c Tige simple ou multiple, ovée ou pres euses; mamelons oblongs , ovés , disposés . d’une ns brun-cend

et d’une st eg ee

MAMILLARIA. 23

de Rronsailles, près de Pakouka, à 2500” au-dessus du niveau de a

re * ÿ

Dia, agnostic, Tige basse, presque globuleuse ; aisselles nues ; mame- lons bte très— foncé, luisants , ue épais, divergents, cylindriques, émoussés à la pointe, comprimés çà et En der aréoles presque nues, munies de 4 aiguillons a à esque décusés, roi leur de ip _pubescents, presque égaux, sans aiguillon intérieurs

La tige atteint 8 cent. de haut sur 10 de diamètre; 7 fans 2-2. 3-3 cent. sur gr milim Le diamètre à la base mme gon-

Floraison. Les fleurs apparaissent en Juin, d’un beau jaune-pur, elles atteignent 3 cent. Ps diamètre Er l'épanouissemen ment; le tube du périanthe est blanchätre, grêle vers la base, au contraire gonflé vers la 2. les sépales rouge-vif en du: pétales biseriées, s'élar-

vers le sommet, acuminées ; étamines À atrr o à authères

sat urnées en spirales autour du st le, à filets jaunes ; style jaune , à 5-6 divisions relléchies,

Variétés, Mam, Uberiformis 8. Hexacentra Salm. Syn. Man. Longimamma 5. Hexacentra Berg. A. G. Z., 1840, p. 130.

Mg au Lei vert-elair ; aisselles i

blane dans la j mamelons longs, cylindriques iques, ces latéralement , pa à Lg poinles aréoles presque nues, portant un peu de tomentum gris rare; 6 aiguillons extérieurs rayonnanis, droits,

gris, sans aiguillon centra mL Culture, Comme le précédent pour l’espèce et la variété.

B, CRINITÆ, à __— extérieurs criniformes.

Tige obuleuse ou cylindrique, rh à Ja base; mn à

sous-gl mammuformes, imriques ou coniques, érigées, resserrées, par! sur la supérieu

marquées sur re par un Son “longitudinal partant de Varéole ; aiguilions souvent pubesrents , . rer m.ss en. moins .

; Sélacés ou blancs intérieurs plus ples rigides, parfois colorés , Faq pue or ns ; en obotée,

is Mar. ge pop Se Bullet. .. _. ux. Eauneinnata Lem . Giulleminiens Lem. Cact. gen. mov. ae “oh Gloshi D ilot Ë ec Mana Auan—

pe innata Lem. in Litt.— Mam. Deficiens h Mam. hort. Monv., 1843. = + Forst., | > ail et 547. id. Cact. in Da calt. 1849, p.

, claviforme, amincie à la base; “ser

et , plus me es. l’épiderme que tr nav chair qui paraît rose ; mamelons cÿ PRE ils semblent avec le tem En ponctués ; les jeunes aréoles plus tard noires; 7 aiguillons extérieurs blancs, jaunâtres, la coup . foncés à parür du milieu droits , longs, au-dessus haut, l'autre des sur a ma-

peu nombreux, re acuminés, : minées, d'un rose Lo très-cour :

deux su sujets , se présente bien À à te insu pour d’autres plar dont on a fait des variétés Major, Minor, Spinosior, Lævior, ete. temps seul et une bonne culture nous en apprendront to les recherches. es

ceux que nous du Mam. Guilleminiana gs deux 3

4. Mamillaria 1 i _ Pusiila (De.). ji = D En p- 29, Rév. t. 2, fig.1.— Pfr. enum., p- 36 am. Stellaris Ge Cact. Stellaris Wild. mer Pusillæ Salim, acts ea in hort, Dyck. id. _. re 4846.— id. Forst. andb._ p. À Stclatns, Lodd. Bot. cab. 4 Bari Le k us De Le Mousp. dt foie

ju +2, £92?

; aisselles aréoles velues ; pasceni, 220 etriuns Banc anes, piliformes. ont 43 Sp de long ; silos st

obt Fleurs longues Spa es 1e élamines courtes ; anthères jaunes ; aigle bare à

5 vides. : Vanén: D Vathls À ue, Salm. d’après Monv. les de as : n. Grandiflora hort. et non pas Otto. id. Scheidw W,—

pleine terre, pendant tla belle prend un aspect a ah en fait une plante re emar-

sASILLANIS.

et de 8, 10 . fins, ensuit

lanéolées, aiguës, vert sale ; lacinies, Péuloides, Hotte: me sd mort aille, teintes à vert; étamimes blanches, uombreuses . ss thères j ie Style plus Las que. les Gamines.

Synom, nie. Mam. Glochidiata ( Mart. act. a nat. cur. . 1.23. à Pfr. p- 36. Mam. asp 856 - Mém.,

. Mam. Glochidiala Alba Hort. Mam. arcs hm. Pteetiotent Hunb., 4832. Mam. Glochidiata san Cact. nov. cult. in hort. Dyck., 4849. DE or er id, Forst., p.188.

Patrie. Mexique. Karwenski | à trouvé sur la limite qui sépare les CL? . froides

des des régions te ie. Tige gazonnant ; she sétifères, mamelons cylin- d s, allongés, vert: -clair, > émoussés, aréoles insérées ( k, ae à 8-20 siguilons aussi longs que les mamelons, sétiformes, Re MERS jeun es, le supérieur uncinné, de la mème lon- autres, à one plus foncée,

B. Rosea Salm. (Syn. M. Criniformis. #

". de es Dietr RTE me son facies, dire du Énem par ses fleurs ne longueur ; tandis q

—_ semblable à à la variété précédente,

n’en en différant qu 1 par à eur ee Fes d’ua a .très-bean rose:

se é nas crivdriqes, Le de à et . Pobioiée -

_. nine B. Spinosior Monv., ne

MAMILLABIA. 29

Y- sea. Salm. Différencié par ne par . Truincinata Salm. Différencié par ses aiguillons extérieurs plus courts, droits, et les intérieurs, qui sont au nombre de 3 y constamment uncinnés. Culture. Plein air, serre un

11. Mamillaria Wildiana (0:

tige plus ba FR 5 SM FA au LR A +.

Synony mi am. Wildiana Otto. a Pfr. en: diagn., PE me Fe in ds Dyck, 1849. Sr Cat. hort. Mouv. 4846, _ id, Fhcst.. Mam, Wildii Ott. am. Gloehidiata ea hort.

sert Mexique ; bis en ur Tige RARES _prolifére ; aisselles roses , laineuses et in j

1 millim. long-sar à lents lente siguilons exté- rieurs, ÿ mil.

Mais FR Roue ln. ne

les caractères de cette plante en font, sans aucun doute,

“Wildiana ; le en ire que par a ur qi d'anrol ue. Cuiture . Serre tempérée, plein air.

_ Les variétés du Mam, Wildiana, TPE tie le nos de 6. Er : présentent aucune différence essentielle

30 à CACTEÆ TUBULOSÆE. Î

# Floraison. ins abondante qu celle du Wiliana ‘fleurs plus lon- gue que les mamelons, blanc-jaune, à reflet vert à H base, acinies

13. mere Barbata (Engelm.). - Mam. Barbata Engeln. Mem. p. 408. id. Cact. in hort. ie eultæ, p. 82. Patrie. Mexique, près de Cosihuiracha. 1 Diagnostic. Tige 7. globuleuse, déprimée ; a “4 es; aiguillons rayonnants, plurisériés, très-nombreux ; 40 exté— 1 iformes blancs, 10-15 intérieurs un peu plus forts , Fée seul vigoureux uncinné, un. riens Baies, oblongues, vertes, couronnées par les restes de la. me Serre tempérée, plein air. ralentie ge dans aucune Collection de dora #1 dans quelques cas. mn ne False

> + nyrmie. ue. em tout id. Hort. Mon ef. tin. ; hort. Do ie lHR pe #3. id. Forst., p. 489. He

La C. POLYACANTHÆ, à aiguillons nombreux, ue pré ou cylindrique ; aisselles ou nues ages cd nues ,

% t tout à fait ouverts, entremèlés, il les intérieurs souvent plus La ee plus longs, érigés-div vergents, quelquefois terminés en hameçon , d’autres fois seuls et érigés ou bien n pod Re baie blanche, jaune ou rouge. =

| es ses à les uns extérieurs, Sonbrenr. de 18-% et 3 subsétiformes ou séti ormes, LE Dm. blanes, transparents,

ER FREE ' ne si, : mail

> 1. Dnieeatin ; siyuitions. éntéribnrt 48 _ 15. Mamillaria Ancistroïdes (Hess):

Synonymie. Mam. Ancistroïdes Lem. Cact. g ' - in hort. in hort. © Mouv, p. 38. id. Cact. in hort, Det En: 1850, Re pe _ Ancistrina Pfr. id. Scheidw. re Mam. Ancistrata |

id. Schelh., d'apres Ga cat. de 4

16. Minillaria Goodrichii (Scheer. +

Synonymnie. Mam. Goodrichii Scheer. id. Sa Sal. Cact, in héet.. Dick.

cu 1850, p. 94. Mam. Beneckei Ehremb.— id. Forst. Handb., p. 210. éd. Salm. Cact. in hort, rec ur gs 4850, p. 91.

ee | prolifère à la ba base; aisselles ; aréoles ; 12 aiguil— transparents, ne pestéeeres presque bifariés entremélés, au entre hs ts blancs à la base, bruns r plus fort

sa era ants de Vas sensiblement plus longs, 2 au centre, ee à antre parfois presque sacinné, le «

MAMILLARIA, 33 y. Mimima Salm, - Mam. aq _ < Diffère seulement par la tige plus basse, et les | aigillons beaucoup plus courts et beaucoup plus piles ; Culture. Serre tempérée, plein air et pleine terre sur r couche pen dant la belle

18. __. Umbiua | Ehremb.).

Synonymie. Mam. Umbina Ehremb. A. G. Z. 1849, p. 287. me Sam. Cact. in hort. Den. cult. 1850, p. 92.

;

. Mexique. es de sous-cylindrique ; aisselles nues : mamelôns 3 aréoles

| Nota. cete en: n'existe ———_— Colon de. France.

L di

LE

sa le Cats hort. ere an. = Mans Grmnt m minor Forst. 232.

fie: b6 dx » étendus , fauves, les supérieurs presq s ere inférir dans les jeunes plantes avec trés petit

MAMILLARIA. 35

celui du bas très-long, de 15-18 cent., étendu horizos lement et ter- miné mu à

otre . tempérée et plein air.

Cette plante est confondue en France parmi les nombreux pue 4 rai Pulchella qui ont tant varié dans leur jeunesse ; il serait

t de soumettre à une bonne culture les sujels si nombreux

désignés « en France sous la dénomination de Mamillaria Pulchella, les différences que l’on trouve pour la rat la couleur et même le nombre des ego. disparaîtraient probablement et les ferait ren- trer dans un ou deux types plus us nettement tranchés,

+ Preis, à in re

ve

pere ñ | _ Re 7. na her ue. A my mn 2 2 À Je ee +” am. Polyce RE + Frelon | :

se = Tige «simple columaire ; ; im sisells un peu

leu er Clbie te anes, droits , roides, ie SCLTTS me cs du périanthe, aiguës SA id e en lobes ; flat

a Fe ; +:

_ Synonymie. Mam. Hermani Ebremb. #: Cact. in hort. + Dyck, eat.

Rrigmelti: Tige clips; sise nues; mamelons ovés, coni- ques , émoussés, très-verts ; aréo es des jeunes m munies de tomentum blanc, Lun cg 1ptement caduque ; sl ons extérieurs Mg eg < ape pE a >

nues, d’environ 18 aiguillons très-fins,

ux du bas longs de rl ceux du haut, 6-7 millim., entremèlés et rayonnants , ceux de l’int intérieur longs de 20 millim., criniformes, fesibes + nullement raides et bruns, comme l’indiquent quelques

Dis haute de 10 at. sur 5 cent. de diamètre Les promptement

Me est). Rosea Scheidv. borticult. es rs

; aisselles floco: ; mamelons , d un vert-pâle, reconvent dans la : les aréoles sont

cyli ; tétragones

> de Ja ie para laine des aisselles

seulement d ai 3 duvet; les

Sn SR à

MAMILLARIA.

25, Mamillaria Seegerii ({Ehremb.). -. Synonymie. Mam. Seegerii Ehremb.— id. Cact. il 4849, Pom

Pisenie Lx cylindrique ; aisselles nues; mamelons ovés,

propement due gerer ns extéri ieurs n ren ; ouverts, rayon- s a

Tige 13 cent de hat ur 8 cent. de diamètre; aiguillons extérieurs ue, Jon de 25 mi. celui du bas

Tige sous-colum noire ay ES ER de diamètre; ail | extérieurs, 14 millim. ; aiguillons du centre, 45 millim raison ? + Culiure. Serre tempérée, plein air, comme le précédent.

a+ HETERACANTEE, AIGUILLONS INTÉRIEURS ET EXTÉRIEURS ? DIFFÉRENTS »

mn nt . 39

resserrés, de deux formes, 20 reel blancs, droits, très-petits, constamment 2 centre, plus forts, très-subulés , déersés, plus longs, Urant sur le

10-42 siciiots extérieurs, blane sale , assez remar rquables : # au centre, noirs ou fauves, recourbés, celui du haut trés-long (13-18 milli. de long), dressé et diri geant sa pointe vers le sommet de la plan

Floraison. Fleurs Eos tube sr _ ‘pétales rouge vif.

re. Serre tem ; pleine ec bonne exposition pen- dant la belle saison ; dei ces Lacs re Pa du Mamil- laria Phœacantha en fait une plante remarquable et très-floriforme.

29. Mamillaria Phœotrica { Mon.). ryrie. Mam. Phœotricha Monv. Catal. 4846.

Patrie. Mexique ? | Dnynoirie: os globuleuse subombiliquée ; . subconi- 7 subcomprimées en dessous ces faces et Fo x es st

ure, sommet tronqué-arrondi ; É

sde du sommet du mame clos “# me dan he ; 18-90 niguillons extérieurs blancs , négaux , fins, les supérieurs les s pis courts ; sur les jeunes aréoles, s: sont dressés vers le sommet de la plante, ee subfasciculés , enfin ouverts-subrayommants ; intérieurs _. ai mes très-légèrement recourbé en dessus ,

droi ue côté, le supérieur toujours dressé vers

le Lt de la e ces aiguillons sont blancs, subtransparents à à la base

et rouge, brun, fonce , brillant , à partir du milieu jusqu’à la pointe. Floraison ?

Culture, Comme le précédent, dont il diffère alors d’une manière. bien tranchée 30. Mamillaria Fuliginosa (Salm.).

Synonymie. Man. Fuliginosa Salm. Cact. in hort. .. cuit. p.93 (non le Mam. Fuliginosa Monr.).

plus fassarire 2 Lo l'autre à , bruns-fauves à la +. Espèce nouvellement introduite en Angleterre. Floraison? Fleurs rouge - Il diffère du Mar. _—— par son port plus am ses a ex térieurs plus nombreux us longs, ainsi que ses lions Intè—

CACTEÆ TUBULÔSÆ.

31. Mamillaria Pulchella (H. Berol). re Mam. Pulchella hort. Berol. id. L Cact. in _. Dy t. 4850, p. 94.— Mam. Depressa De. Rev. t. ® folio 2.

jeu ii Cokla Antol. 6,p- 54. ages . Canescens, hor Patrie. Mexique et F Amérique sy De Tige sous-columnair sa aisselles nues ; mamelons très-verts , axés, ges . re RER émoussés et très-resserrés ; aréoles à peine garnies de tomentum fauve ; 18-20 aigu qu estérieurs blancs, rayonnés, pacs -étalés, 6-7 { See avec un huiti central } dressés, un peu étalés, égaux , serrés, roïdes, bruns, ete à peine plus longs que les extérieurs.

Tige haute de 13-16 cent. av t. de diametre.

“ses En Mai et Fe. fans gere en zone, lacinies,

ee 1 lancéolées , aiguès, pourpre-clair ; stigmate jaune

de : à 8 division

VaR1ÉTÉS. Mar m. Pulchella. 6. Flore Pollidiore. Salm.

2: Rs intérieurs plus longs, presque doubles des aiguillons

© Fleur c44 pâle. Mam. Puilchella, +. Wigricans Monv, Aiguillons à intérieurs tout à fait bruns-noirs. _ Cette belle espèce est cultivée dans les collections sous des noms ts; elle est reconnaissable par sa tige columnaire et ses aigui 2 Sora res. Culture. Serre rte Le air et pleine terre ee la belle

32. Mamillaria Grandiflora (Otto). . Mam. Grandifiora Otto. Mam. Canescens, hort.

Mexique L'ié Ti ige cylindrique, he aréoles presque nues ou peu tomenteuses , nues ensuite; mamelons grands, allongés , pr lescents; aiguillons extérieurs, 46-20 sétiformes, t

donne à cette plante un aspect de robusticité et de vigueur qui ingue bien nettement du Mam. Vetula 6. mes ae lue encore nu cote.

grandes ture. La culture en .— air et en ma terre pendant la la belle.

LE

Cr Te ARE

LE PE PR AOL NON IN UP ONE EU 2

MAMILLARIA. +

Cact. in hort. Dyck., cult. 4850, p. 95. Mam. Brevimamma hort. Mam. Auriculata hort. Mam. Di it Forst. Hal p- 206.

e. Mexique et Amérique méridionale,

Diane Tige globuleuse ou ovée vert-glauque: aisselles à Sem laineuses ; mamelons ovéconiques ; aréoles presque nues; 16-90 à guillons iris blanes, sétacés, presque raides, rayonnants, 6 iné= rieurs plus roides, presque arqués , les jeunes noirs, blancs à la base, plus Ge couleur de cendre ; le eh eur et l'inférieur pi re rare- ment un central Se a

Flora

raison. Souvent en Février et Avril. Fleurs roses , Sépales avec une ligne médiane re en dehors. Cette espèce, déjà an e, varie énormément dans les semis qu'on

calive en est sil Prui qu’il en est de mème dans sa patrie, ear il

ment introduit du Mexi xique des plantes très différentes qui n sr dr aepe aucun caractère qui puisse les distinguer du Mam. Discolor

Le caractère principal consiste dans la tige Les ou moins globuleuse, Souvent prolifére avec l'âge ; les mamelons visoureux , ovéconiques ; ses aiguillons extérieurs sétacés, blancs, 57 au centre plus forts, presque ms, droits ou courbés, variant par la couleur. .

rs TÉS, Mam. Discolor. 8. Albida she + Albida Pfr. Le d. Haage,— Mam, confnis _— ü. hort.— Mam. Discoler 8. Albida hors, Monv :

Aiguillons intécieurs blancs, Le Aciculata Salm.— Mam. __. H. Berol.—Mam. Aciculata id, Mar. Aciculata Mon

rer ons intérieurs aciculaires, “æ grèles , pointus, efflés. - & Coniflora Salm. Mam. Coniflora hort. id. Hort. Bero Mam. Discolor Breviflora hort. Perol.

Tube de la fleur conique , très-étroit à la base et allant en gissant.

PRE

seul Mam, Sites hort.— id. Otto. Mars

LL Var. penis rubris b.

Brillant, tige vert-luisant , : A ra espèce, me faut encore rapporter les . nement dans les

43 CACTEÆ TUBULOSEÆ.

millaires, nous ne croyons pas devoir oi la variété $. Mon- struosa , malgré l'autorité du prince de Culture. Serre tempérée et pleme _ penidant la belle saison.

34. Mamillaria un” (Salm.). |

ME ar Ne 49 a Salm. in eh A cuit. p. 96.— Mam. Discol er are ge alm. m. Rhodac antha 8. Pallidior ur _ Rhodacantha Forst. PS

Pair Dot. Tige rai pense ca aisselles nues; ma-

ovéconiques, émou obliquement serrés, comme ponctus de blanc; aréoles des jeunes, ets wa ps vieux, nues ; 45-18 aiguil- extérieurs, sétacés , blanes , étendus e rayonnant “% ais

sont sensiblement plus longs, 6 intérieurs is à peine, courbes, | roides, si celui du dessus et celui du bas un peu plus longs |

es a

Cette ou qui au premier abord peut être prise pour une variété du Mam. md se oies essentiellement du issu sp par ses ères , elle en diffère par sa mr à beaucoup us basse et | beaucoup ps petite, ses te 5 plus g au no

Le . tout Fété. Fleurs rougeâtres. Cult leine terre pendant la belle saison ;

tement.

ca Mamillaria Crassispina CPR) . Mam. kg: 2 ee G. Zn, se. p7 se. Mam:

FA id, Hort Crassispine. 4 Sal: Éact. in host. Dyd, Fa SE rot. Ée à p- 208 Mam. Pme a g- “guess se Mam. Rhodantha var, Rubens. Marm _— Berol. Mam. Flaviceps Scheidw. Mam. Floc- cigera ru hort.?

Patrie. Mexique Le La simple, ovée , columnaire , house press

erte d’aiguillons; a aisselles pres indique: ‘aréoles grandes , ovales, d'abord pes de laine > puis promptement subnues ; duex formes. d'aiguilll Dtériours blancs, roides, diaphanes, rs q O1 Hs, Ée eurs

penis

étendus; 6-7 in s l’un doué

Les 6 aiguillons intérieurs plus grêles, plus effilés que dans l'espèce normale, rouge-brun à la pointe, plus clairs à la base, le le supérieur : Culture. Serre tempérée opté terre pindint . 36, sr Rutila { Zucc.). YROTYTTL LE. = Rutila Zucc. id. Pfr. enum. diagn., p.29 ME Eugenia hor! Patrie, ee Diagnostic. Tige globuleuse pret aisselles subnues ; mamelons serrés, coniques, verts ; aréoles to a Le ab RES _aiguillons sétiformes, ceux du haut tn _ térieurs divari- ne rm du bas tr

we ans à be, celui

&4 CACTEÆ TUBULOSÆ. 38. Mamillaria Pulvispina (Harv.).

Synonymie. Mam. Fulvispina Harv. Phil. Mag. 1830, p- 409? Mam. Fulvispina Pfr. enuur. diag., p. 30.— :d. Salm. es in hort. Du ealt. 1850, p. se id, Forst. Handb., p. 209. Mam. ans Dec. Rev.

p- 41. Mem. p.52? m. Te atééalote B- Falvispina gars Beroli Fa. Monr. pe _—— Media Salm, Fulvispina Minor Salm.

. Mexiqu Brési de Tige constamment simple , devenant columpaire avec Pâge, mr atteint parfois 32 cent. de hauteur; aisselles sous-laineuses ; mamelons co coniques très-verts ; aréoles des jeunes tomenteuses ; aiguil— -pebis, anis régu-

lons extérieurs 12 au plus, sétacés, très-petits, blancs, rayoun u lièrement ; 6 nire, _… droits , roides, # _. gra : poses isutllons varient “ee ouleur ave Fàg

les plus anciens biens avoir détein ur. Pendant tout Pété, Mouse grandes , rouges.

VARIÉTÉS sn te ar 8. Rubescens Salm. Caet, in hort. Dick. cult, 1850, p.91 am, Rhodantha Rubens. Pfr. enum, p. 31. Mam “or ce Salm. anciennement.— Mam. Crassis

pina Pfr, . Pyranridales, h. B

6 rs re rouge-fauve , coli du haut trèes-long, $ Byrhocentra Sa Salm. Cact. in hort. Dyck. cuit. p. 93. Pyr-

b. roi e par ss ie intérieurs dont le nombre varie entre 4-6, re. amine le Rene

: 38. ‘Ma Te a (TT à }. nage LLem.}. PR, Mn: Pyrrhochracantha Een. gen. nova, p. 5.

PF. exique ?

Diagnostic. Tige sobre Ares saut laineuse au sommet, + sn 58 es laineuses -floconneuses ; aréoles tomento-

lainenses , prom nt . mamelons coniques , obtus, sem en ssu me r

pants, 4 intérieu décusés, porrigés, plus lon » (surtout celui du pars tous très-ri igides, s défléchis, ronge -fauve-fonce ; les aiguillons extérieurs

un. mains colorés que les at

raison. Mai et Juin. Fleurs pou

tempérée, plein air pleine terre pendant la belle

2 Chrysacanthæ > “n t Gri

MAMILLARIA. 5

Souvent Les 8 rt de cette sous-section sont confondues avec celles de la suis ela tient à ce qu’on ne s’attache pas assez aux

rac . Dans is nte co aiguillons intérieurs et les aïguillons extérieurs sont de cons istance différente, mais dans la première ils sont di Rés enlent colorées, tandis que . cetle- ils sont semblablement clorés , jaune-doré, ou bien, ce qui arrive quelquefois, _ aiguillons extérieurs, bien que de la même ge que les aiguillons intérieurs, sont d'u un jaune-doré plus pâle.

40. Mamillaria Rhodantha (Lenk. et Otto). Synon pr er Sgen Lk. et Ot. Icon. t. 26. id. Pfr. enam.

diagn., + Floribonda Hook. Bot. mag., t.364? Mam. Lenifers a “a É Rhodenths Sr Cact. in hort. Dyck., 4850, p.37. id, Forst. .. p-+ 498.— Mam. Rhodantha Be Major. Lem, h. M. . _ —"Mam. Aurata hort. Mam. Hylrida na

se se Me. Rhodantba Andrea Otto. Mam, Rhodan un | Hffgg- ï 4 Patrie. Mexique. Il s’est trouvé dans un envoi du Texas adressé récemment au poesie a Paris par M.T nn .

s co 16-20 aiguillons extérieurs r. aie 7. sur le jaune ne doré, noirs poire fait à la ni par- fois 1 central court, Marnclon ns, 1 millim. de longueur sur 9 de diamètre à la base; age Es ceux du haut 6, ceux du bas de 9-10, ceux du tre 43 os 2

; diandñ, établis par Lu r, n'off bien tranchés et doivent probablement disparaître ; exp" nous les avons indiq onymie de l’Aureiceps etx écrits

m ‘du KR comme par Lemaire; ces deux plantes, ae que a Mam. urea Senk , indiqué comme nouveau, sont de v ritables variétés a et n'en

VarrTés. Mam. Rhodantha 8. Féglara Salm.— M. Rhodantha e. Neglecta Pfr. id. hort. Berol. Otio. Mam. Rhodantha 8. ru. Otto.— Mam. Rhodantha Wind Pfr. Mam. Er nacea Windle. Mam. Pyramidalis h, B Aéroles rame Ag ds Elie, ceux du centre sont

n rayonnant. - +- ner de - eu sn Sulfuera Lenk.— id. Forst. Peut-être, et c’est notre opinion, faut-il ajouter à la synouymie

antha

varièté : Musa. Rhodantha Minor Monv.; Rhod Fhodantha y- Andreæ Olo; id, Pfr,;

br La variété Rhodantha SM: ‘id. Pfr., doit tre constituer une ns.

peut-è

en rouse, surtout les ns Aucune différence ave ècé no: rmale quant à la disposition des aiguillons Er QE Qt crie con! ouleur du soufre an lieu d'être d’un blanc tirant sur le jaune doré.

+ Salm. Mam. Ruficeps Lem. Cact. gén. nov., p. 97.

hort. Berol. ;d. Pfr. énum. Es, p. 29. Harv. Bot. pe te xx, D 292 Man -Obwaces.

CN TT

Pres ses aiguillons sont plus colorés :

u plus rrpusur que dans }” espèce normale ; aiguil=

jaunes, rt ee sur le roux. . _. Cact. in hort. Monv., Pfr.— Ma ‘hodantha

VARIÉTÉS. . Chrysacantha B. Fuscata. Srmonymie Man. Fu- scata Pfr. L. c. es “al,

5 aiguillons extérieurs sont plus nombreux, leur nombre s'élève à 97-28

sout d un brun plus foncé que dans Jr principale. Les fleurs se. RES AUS en Mai et Juin , elles so rangées en plusieurs zones vers

de diamètre 5 20 pét étales de Lou FE Pan sie courtes que Ve: divi

es aiguillons extérieurs que par leur forme ion ele qu'on peut appliquer La main sur le sommet fee mes ferait Len drap en a ere

Cet se > distingue M Mamillaria Chrysacantha, tant per la et leur

ces; promptement nues, délondiioe pe 1e “1 has CRE

très- rès-Grèles , courts, peu remarquables et 2 intérieurs aciculaires,

> rigides, d’un fau ave jrumätre, du Le le plus long recourbé en

dessu

a orme co) colummaire, Danse: aîteint 10 cent, de hauteur et

re de largeur ; le sm extérieurs sont courts el très-fins , les inté- rienrs attei 9-10 millim. Dans les er pus, le nombre d

aiguil “ge pl mais avec prennent toujours

le « s insérés l’un au-dessus de

5, Juin et uit, pme __ ne con-

+ Serre tempérée et plein air À mani la belle saison.

semis Mam. Golumbiana . CS in mn

brun ; 2 mio is se “rayonnants ,

sétacés, 4-5 intérieurs presque et rte i droits ,. noueux à la base, épais. se distingue du

| rain Cac. a rt, Drake culte, 1850

RPÈER sont staminés, tout à fait droits, grèles et roides, *

Floraison., Pendant toute la belle saison. Fleurs rouge-pourpre , à rer. aigus et nombreux ; ulture, Serre tempérée, pleine terre et plein sr pendant La belle.

46, Mamillaria Tomentosa | Ehremb.). Synonymie. Mamillaria Tomentosa Ehremb. A. G. Z., 1849,p. 262 id. Salm, Cact. in hort. Dvc ge Mam. Celsiana Lem.? ou au moins cultivée sous ce no France; ce nom devrait être ur . donné. 3l rs Rhodantha Celsii Lem. Presque t eh nemne ent de semis cultivés chez M. Cels, je distingué des envi nie mi : Per un amateur, se re une plante

melons np a ion es les plu s pue les plus âgées nues ; aiguillons ex leur mére châtre ; ceux du de sont sensiblemen les s et entremélés, 4 :

MR TOR T e

de EE buse: atténués de la base pis RRQ GE ru ; aiguillons . es légèrement recourbés, celui du haut et celui du js plus longs que les autres, ils sont accompagnés de sétules insérées à la partie infé- de l'aréole, elles D ordinairement avec l’âge.

ra Scheidw., hort. Belg. - id. Galeot.

lans les environs de Xala

a soi ja sur la couleur

» puisque n'étant pas persistantes, elles ne’ peuvent présenter un caractère |

Notre Mamillaire et ses variètés ont été envoyés par Galeotti en gas re 1836; il a été recueilli dans les envir ons nom la faci= epoeie 3h s’est ne prouve ; mème sous

—. mène #27 é

Patrie. Mexique, dr re

NES Tige a mere munis de 2-46 ai

_ Synor mie. Mamillaria je A PRE M t.6, pl. id. Pfr. enum. 0 Man. Cataphiacte Met

. Dagrosé Fe ssmple, ce te rien aisselles lai- jeunesse, plus tard nues ; mamelons coniques obtus ; les , devenant

cie avec le temps, garnies de oies tirant sur le fauve, les trois supé- ceux du bas ou rs du bas plus long, de 15-18 millim. te, Re abondantes plus longues que

19-45 m illim. de diamètre au moment de son eur coccinnée ; 20-25 pétales linéaires mucronées ; ue les pétales, recourbées y vers le centre; ty le i à 3-4 divisions rose-

elles sont soudées

. Fra rs Me, à a été _ xiste pas dans notre musée; rare nn n France.

MANILLARIA . 53 : artétés. Mamillaria Kewensis 6. Aa Salm Mam. me

is ho, bon. se distingue de la ils percé blanes à la

si gp PE la couleur de ses. ai uillons Culture, Serre ne et plein air en en exposition pendot a belle saison.

51. Mamillaria Tetracentra (hort. Berol). Synonymie. Mam. Tetracentra hort. Berol. id. Salm. Cact. in bert. Dyck., cult, HT p- 112. id. Otto.

Patrie, Mexique ses Tige dressée; oviforme ; aisselles presque ; ma- elons éloignés, de re élargis à la base et aitéaués, aigus a APE se or

isiblement nt ! _ Dans cette espèce et la de à de sur la partie inférieure des aréoles ; la constance st LE ie: es

CACTEÆ TUBULOSE.

- _ de Faréole, tous dressés, aciculaires . , rigides, aigus, jaune doré très- pâle, 1 . pres ere ement aciculaire, le ra des autres en pâle et tirant sur le fauve, à la pointe d’une

‘meule brunâte. es

D

use d’un vert glauque; siselles peu er, tétragones à Ja ; aréoles à r

Se du

MAMILLARIA. 55

otre Fleur rre virée, plein air. du: » qui m’est pas rare dans ee d'Allemagne , Vest rtmnes A, 2. les nôtres ; en France, il n’en existe exemplaires à ma connaissance : l’un fait parie de la belle Collection de M. Mallet de Chity, à j'Orlédes, l’autre se trouve dans la riche Collec- tion de M. Audry, amateur, à Chaillot

55. Mamillaria Stuberun (Forst.). Synonymie. Mam a Forst. Handb., p. 547. id. Salm. ps ia hort. De a 4850, p Marm. Imbricata LE Salm. Cac hort. Dyck., cuit. 4850. Mam. Conothele Salm.?— Mam. Toni T- Cono nhelé Moun à

Patrie. Mexique. Diagnostic, Ti KE Ra aisselles, les jeunes laineuses , mptement nues ; sous-cylindriques ; aréoles d’abord très- tomenteuses, ensuite és nues; 12-14 ons extérieurs raÿon- nanis en étoile, er blancs, 2 au centre plus vigoureux : celui du hant dressé vers 1 sommet : l'inférieur mfléchi vers le bas. £ Diffère du Mam. Phœa cantha _par ses aiguillons extérieurs plus blanes, et par sès 2

Phookson N

horticulteur, Mae Pacquisition au moment de EL vente ds Collections >. dent parfait ement avec la description ci-dessus donnée pi Fa le pe. me de se malheureusement j'ai négligé de commis le me oubli. t au

le s ÉREES

toujours , est tout à fait im el

plus tard quand à 1 sera bien constaté variété,

56 CACTUÆ TUBULOSÆ.

décusés, brun-foncé, l’inférieur le plus long, le supérieur recourbé aut. actère donné par Wegner est re nr supérieur

ou. à haut, il ne dit pas qu Fil soit uncinné e plante nous ee entièrement inconnue, elle n’existe pas dans les Collections de Franc Wegner ajoute Lg loin : _ pret ie én se réduisent Rem à 2, courbés l’un en haut, l’au

Fleurs ? eh Eure hong es air pendant la belle saison.

#* LEUCACANTHEÆ, A AIGUILLONS BLANCS MAT. 15-30 aiguillons extérieurs plus ou moins sétacés, étalés en rayon- nant, d'un blanc de lait tout à fait mat, 2-6 in térieurs courts ou à alon— -gés blancs, pare toujours tché à à mr fleurs toujours roses , quelq ement carnées blanchät « 1. Triscriati, aiguillons disposès sur trois séries. _ Aiguillons extérieurs nombreux, 6-7 intérieurs, en outre 4 tout à fait central, 56. Mamillaria Mobilis (Pfr.). ren Mamillaria Nobilis Pfr.— Mam, Bicolor @. Nobilis re Handb., p. 198. Il est désigné dans les catalogues allemands sou ce dernier nom Patrie. Line “# us. Tige cylindrique, prolifère ; mamelons coniques, vert- abondant ; aréoles d’abord abon-

les gar rnies de duvet blanc de laine bla

_—— yes 6 millim, de longueur : les aiguillons de . pre 4-6, ceux de la seconde 9-41; enfin, l’aiguillon atteint se 2 20 millim. Floraison. Fleurs? Culture. Serre tempérée, _— terre sur couche à une bonne expo- sition pendant la belle saiso Cette plante, à cause de ses : deux séries diese pan 3 5 des

a central, n’a pu être placée ec constitue à sr seule une des d ans des Leuracani, dt le

MAMILLARIA, 57

57. Mamillaria Leucocentra ( Bergm.). Synonymie. Mamillaria Leucocentra Bergm. id. Salm. Cact. in hort. Dyck., cuit. p- 89. Patrie. Mexique Diagnostic. Tige simple ovée; aisselles garnies de laine blanche; mamelons ovés, petits, serrés, tres-verls; aréoles des plus jeunes a

face de la plante ; aiguillons intérieurs , _ 6 plus longs et plus forts, rigides, droits, subulés , tachés à la pointe, sur tout le reste de leur longüeur d’un blanc de lait tout à fait . à il inférieur est plus long, que les autres, sa pointe est légérement recou

illon

inférieur, remarquablement plus Me ‘que les autres, PA à 42-45 = î Floraison. Avril, Mai et Juin. La fleur, non décrite, est d’ un + rose carminé se “es Para en pra un peu les tules des aré un effet char

Culture, pe" tempérée, plein air et pleine terre sur couche pe dant la belle saiso 58. Mamillaria Gee (Ebremb}) en Synonymie. Mam Parkensonii Ehremb, jZ Salm. Cact. in rs es - calt. rm pe id. Monr. us se Ford. Handb., p. 496. : Patrie. ER près de San-Onofre, et aussi dans le minéral del Doctor, sur les roches caleaires Diag ir Tige vigoureuse devenant fréquemment D ave l'âge; ‘aisse peu laineuses ; mamelons vigoureux, ovés, vert-glau-

. nt sers aiguillons extérieurs extrèmement me Pme jar Pr ongés , flexibles, blancs subbifariés ere - sr ras , droits, rigides ; marqués de e brun à la pointe, celui du bas couché, plus ya ik est le plus fort, il atteint pes: de 30 millim. de lonçueur, tous fauves au point d'insertion. Fleurs?

dans l’âge avance , les 4-5 aiguilions int pointe, et aussi par celui du bas étendu, » couché, presque adprimé, 59. Mamiliaria Bicolor (Lebm.).

Synonymie. Mamillaria Bicoler Lehm. diagn., p. id. Abbild., te el est fignré. ln = ‘Wendlei PE k

CAGTEZ TUBULOSE. |

Ée Mam. Bicolor Salm. Cact. in hort. D Dyck, ti-S686, pe 89. —;d. Forst. Handb.., p.197. Mam. Geminispina Harv. re Mon. 2). Man. Eburnes Miq. —. sit Tige dois: ou subcylindrique, prolifère ; ‘aisselles laïneuses; mamelons petits, coniques, vert-gris ; aréoles | garnies de lime blanche; 16-30 aiguillons ex

térieurs ‘extrêmement

RE RS OO PE RD ee POUR,

onnan rigides, Lee vigoureux, blancs, à pointe: L2-3 cenüim. de long et quelquefois mème beaucoup > culture : , celui du haut est ordinairement le À ee ue haut de la plante. . nmt la £

mamelons fort x » presque comprimés , vert obliquement ; érédles és d'abord garnies de tomentam.

nant promp rasé Re “é mg nn < P dressés. » blancs, 2 in

pointe in, ei du bout s plus court gr Pinférieur courbe,

ÿ se Prod du Mamillaria Parkensonü dont il difière, ainsi . à génères, Lg ses deux aiguillons i intérieurs.

Un

ie de éoninaon Crucigera Galeotti appliquée à une variété du ee tr Pare tempérée, plein air pendant la belle saison.

Luna Miam Formes Galeot. id. Scheidw. Bull. acad, Brux., vol. 5, 8. :d. Salm. Cact. in hort. Dyck., cult. p.87. id. Mony. Catal. Mn Css hort.

ie at ae 5 ous-claviforme , embiiquée, lac- ige est simple, Res

Fe,

sont serrés et disposés en spirales,

sont nues; 20-22 aiguillons : . reyonnants, is, 6 cire stellés, er et grossis à la base, {ea naisant caraés, noir à la base el à a aa Rem tout noirs

; Ceux-ci s, vert-chir et très-lisses , puis avec le temps comme pointillés extérieurs

ns petits, serrés

coniques ; aréoles se 16-18 aiguillons extérieurs sétacés, rayonnants , 4 intérieurs pr: se js presque r sale à la base, fauves à la pointe Floraison ? Vanrérés, Mam. Elegans 8. K/ugii Salm. Syn. . Kg Fremb. Dire du précèdent seulement par ses aïiguill

Le Mam. Elegans et sa M pa rar. du mr Actor par ses 4 aiguillons intérieurs Supertex ta par ses beaucoup plus resserrés,

enum., p. 25.

Cactæ ia hort, ch. cuit ia5o, p.88. ee - Mam. Super. Bu Die a.

érée et plein air pendant la belle saison.

os _Rareen à France, 0 elle existe cependant dans plusi Collections ; eh, DES nos.) $

peut- PE : i à + |

65. Mamillaria Kunthii (Ehremb.).

#4. San. Cact, inh ages 4 2850, p. ‘36— Fra. For Forst. Hp 18 Cact. Columnaris. Flor. Mexic. (non Columnaris hort. Mart.}, Recta Miq. Mam. Geminispina De.

. Mexique. Karwinskü l’a tr upes de ses variétés, dans les régions froides de ns province a _ Tige columnaire ; aisselles lain ; mamelons ovés- niques, courts, resserrés ; aréoles Mu à promptement nues ; 20-24 aiguillons sétiformes, é étalés-rayonnants, 2 au centre, dressés, plus forts, tachés de brun à la pointe. : : Tige d'abord presque gle a mamelons un peu éloignés ; cle prend avec l’âge ses caractères ; mar resserrés

nd mamelons et aigu a se mêlés ; 2 aiguillons au centre dirigés rire en bas, is EE colorés à la pointe d’une petite tache Thrson Fleurs rouge-foncé, ainsi que dans | Fe. ar

. Man. SEE 8. Elegans Monv. + oi (et non De ).

La

rs le haut; aïguillons raÿonnants, fins. : duvet des res jun chamois, et ce, à cause du qui sont tout à fait fauves à rend de la

. Pfr. enum. diagn., p. 26. .

. fi. Decan doi Salm.

rt. Dyck. cul, G ne p- 36, Mam. Dyckiana Forst., p. 194. id. Get. :

MAMILLARIE.

cédente, dont elle diffère par ses mamelons plus ; petits , ainsi que ses de aiguillons plus effilés et sa tige ordinairement simple ou prolifère plegma. :

Acant ho ee x SRE Re Culture. Plein air pendant la belle saison ; serre tempérée pendant : Fier un peu de chaleur en bonne exposition pendant l'été.

*** LEIACANTEÆ, AIGUILLONS SOYEUX. .

Aïguillons tres-fins, soyeux, tout à fait adprimés sur le bout F + mamelon et tellement nombreux et et serrés qu’ils semblent se réunir et

for disqu

70. M: ill: - S h t: = u (L + ; : Fe & ns Le Que gen dés mets a Bart . Rs SE caus ndi Pure

re

Gakot ‘renfe rmait une variété es so inte brune ; elle :

0

par inté—

66 CACTEÆ TUBULOSÆ. .

qués sur la surface de la plante, ils sont blanc de = Elle diffère du Lasers ds les aiguillons du centre qui manque Flor

fire. pe tempérée, plein air; demande un peu de chaleur,

72. Mamillaria Schiedeana pis nie ns: Mam. Ehremb., Mam. Sericata Lem. Cac ov., p.44. Mam. Schiedeana ue: in hort. Dyck., cultæ 4849,

gp Fr 2d. Forst., p.235. id. Hort. (non Schiedeana hort, d’après gn.).

Patrie. Mexique, minéral del Monte, introduit en 1838, végèle sur er,

la pierre calcaire, à 17 ou 18,000" au-dessus Diagnostic. Tige reg ou prolifère, ee. vert-foncé ; aisselles très-lameuses ; mamelon cylindriques très-resserrés, atténués ; aréoles ro immergées ; écoillone rayonnants ou séricés, ils se super— t les uus sur les autres, innombrables, plus grèles, A 7 soyeux et plus fins pas ns aucune espèce connue, formant t par le

juxtaposition et leur radiation un cercle continu, d’autres sal ois se sépa— rant et se réunissant en étend trémement ténus ; sans nr leur couleur jaunätre, dorée, soyeuse, se décrit diff

Farsi. Fleurs etre blanchätres

Cullure. Serre tempérée, plein air. at cette plante fleurisse bondamment et même très-

et donne souvent des fruits, les uns vides, les autres contenant pr D D or ne due que j'ai faits à

n: ï reprises, 6 neronrine à Le DS plus us heureux que moi. Cette circonstance est d’ailleurs d une médiocre + importance, puisque le Mamiil ri: Schi des des rejets qui reprennent aisément par boutures.

. HETERONORPHE, dont les caraclères sont de deux sortes.

Tige cœspiteuse ou simple, drageonnant, de forme globuleuse, obovée cylindrique et grèle; mamelons ordinairement courts, ovés ou

obovès, quelque e Tv leux ou tout à fait anguleux surtout en dessous, LR uefois aussi mar- en dessus par un sillon plus moins prononce ; aiguillons exté- rieurs subsetiformes, étalés PS étalés en ra désan : D colorés, portant aussi des aiguil lans intérieurs dont le nombre varie ga. . Les

de ceux des groupes

lons de la troisième ès

chés les différencient complétement de «

quelque en dans sn forme

tenmeni u groupe suivant, alors ce n'est que par les les Mons

À. STELLIGERE, yes Les aiguillons s sont disposès comme |

rayons d'une etoile.

_ Tige lg re si piles souvent mamelons ; aisselles et “aréols s chbres. garnies

63 : CACTEÆ TUBULOSÆ.

moins élevée, l'absence constante d’aiguillon intérieur, également. aussi par sa fleur dont les lacinies érosées sont obtuses et non aiguës, Culture, Serre tempérée, plein air pendant la belle saison,

74. Mamillaria Elongata (De.). Synonymie n T __—— Dc.Revue p.109, id. Mém id. Pfr., enum. diagn., —id. Salm. Cact. shout. Dyck., cuit P1850, 00.— id. Ali.

Patrie. Mexique Diagnostic. Tige multiple à partir de la base, cylindrique, allongée, presque rameuse ; aisselles la sprl nues; mamelons hémisphériques courts et inis-larges à la base, ussés au sommet ; les aréoles _ tomenteuses pendant le jeune ige: seulement , éme d ser sétiformes dont le nombre varie ordinairement de 16-1 rayonnants , rer beaucoup plus longs que le mamelon et Rs d'aiguillon “La is qui -est érigée est haute de 16-18 cent, sur un diamètre de 45 millim. environ; les aiguillons ont environ 8-9 millim., et quan accidentellement til existe un pres intérieur, il est subulé à la base. + Floraison. Pendant la fin de l’été. La fleur n’a pas été décrite, MVinrirés. Mamillaria PA 8. Suberocea Salm. Syn. Mam. Su De. éd. Pfr. L. c. Cette plante se rapproche beaucoup de la précédente par son port les dimensions qu’elle atteint, elle en differe essentielle ss pe la = d’un jaune safrane ,

"tt

id, Pfr, L. C liens Rosea T ‘Rutila Ebremb. Mam. | Supertexia Ë. Rufa rene Berol. |. Cette variété se ses mamelons ovés très-resserrés , ses aiguës; a plante & est entièrement recouverte par ses aiguillons ; les bles sont presque gréles, garnies de 20-25 aiguillons rigides, jaunes, rayonnants, entreméèlés avec les autres à eause de la proximité des aréoles. pres ess Ÿ, Rufeseens Sel. Rufocrocea Salm. anciennement. eng Rosea £. Rutla Ehremb. Mam, Supertexta - 8 es . Bero ne 6 Fr du née que par la longueur et la couleur des

70 Plein air, serre tempérée pendant l'hiver, | = Hécilr ne LPO qu'un seul | iguition

à

PE. ee . : Diagnostic. Tige presque tenjours multiple à partir : la rs -

cylindrique ; aisselles nues, aig melons ovés ; les pl _jeunes aréoles sublainenses, nues plus tard , garnies de illons séti-

forme:, men uses jaunes , un peu plus longs que les se. en on intérieur qui ps 28 accidentellemen

nie de Maille. de Eire Pnillons lof de 1.9 millim.

entremélés. ke

ne En Mai et Juin. Fleurs petites, blanchâtres, dépassant Le. e réseau des aiguillons; 5 sépales et 10 gs

_oblongues effilées à la base, d’abord es je dorer opte pendant Phiver suivant ; graines enflées de couleur D ee get Plein air pendant la belle saison, en caen dant l’hive

+. “qui sont vigoureux atteignent 44 milim. de longueur, is sont d'un 4 jaun le blanc. :

© Culture. Plein air pendant la belle saison et serre tempérée pendant : l'hiver,

77. Mamillaria Subechinata (Salm.). | Synonymie. Mamillaria Subechinata Salm. Cact, in hort, Dyck, cult., 4

se, blancs au milieu et tachés de couleur CLS nas rerement, 2 intérieurs roux à os 0

diagn.,p. 5.— id. Salm. Cact. in hort, Dyck. cl 150 40.- Mimrale Dee p. HO. : mi

Patrie. Mexique.

Diagnaitie. Tige cylindrique allongée, ma: maté parte de de Ja base ; pet eue mie 3 mamelons 0 larges à

courts t

long de 13-15 millim., F Pen es me le réseau Fa s, longues de 19 million. cHhndriue,

étamin

lt.

Floraison, Fleurs? Il parait que cette plante, Si nan dés . fleuri en Europe Culture, Serre COTE pendant l'hiver; elle demande peut

-être un peu plus de chaleur que ses congénères ; Par conséquent une bonne exposition en plein air sous châssis pendant Ja a belle saison.

rance, ne nous est conn

pros cr mg iné à la conserver dans ce sera plus Le à nd Meet 83. ——.

Syno Dyck., cult., ie

sans Mexiq

pointe. à a ge atténuée du‘haut et du bas, Lois: Ue sur 40 n. environ de diamètre. Les er

tombe promptement

nom de Srobitiformis Scheer, , agées décrite sous le même nom par Engelmann devant ètre supprimée. Autant qu’il nous est permis ( da ee par ce que nous connaissons . de la description d’Engelmann, la ante à laquelle il a imposé le nom Strobitiformis, après avoir été rss dans LEA Collections de Londres, vient d’être introduite, en compagnie de plusieurs autres, au Muséum de Paris, par les soins Le M. Trecul , Dre naturaliste du Muséum. arrivée, elle

ses mamelons appliqués les uns n forme de cône de

ce que nous savons de celle désignée par Engelmann. > de Salim faisant autorité et le nom sp à notre pate . été es re et appliqué à une autre avons eru . nouveau nom plus en rapport avec la forme

is! que de ses de mené (Voir plus loin Mamnillaria Dactily =

Tige

Reed adulte; ere nombreux, fins, 3 piles, line *. s,. pan avec Fee 12 es intérieurs vigoureux

Fo 5

amillarie (De. }

Synonymie. Mami Hire Crebrispina Revue, }

ï dia __ ; P- 35. if. Salm : Catal.— id. F orst. Handb.

Sc heidyre- id. Hort Mami

PRE és 0

4 resserrés, couvrent entièrement la se qu'ils lisent à à peine aper= | | Gti} plante est très-voisine du Mamillaria Conoïdea ; elle atteint F 5 cen haut su + de diamètre . - Floraion Fleurs mconnues.

Culture. Cette plante, ainsi que pere de ce groupe, mr kid uñe élevée que la plupart des Énget Mami

; pe endant l'hiver, elle doit être placée dans L prb

Médes de la serre, le plus las du verre ; pendant l'été, elle

RSS AS TRE EN STE

soleil. Cat ave ce oi que Fi sa végétation Pr est très-lente : malgré qu’elle

pas encore fleuri, elle me pa rait cependant, par son aspect, Land dr une de nos mntiésres: Le - plus à intéressantes, Galeotti, qui Pa in a pe fleur au

- or enicoip de Collections ; curé F plar a cel ; suivantes, surtout avec la Mamillaria À red qui : ent à un autre groupe.

85. Mamillaria

du P. Er Hort.— 1m. Catal.— ie Font Handb. rs Caet D se es à

DU ME onde gt niet OMR, dés NS RS NT ET D AA ER EN RAR" Mer Li Le Ë bc +

Patrie. Es ostic PA maine à airs be, cœspitense , “ramassée

LUE __ CACTEÆ TUBULOSÆ. . 86. Mami sie Gréuibe is (Pfr.). a. Sony Ée nl Gracilis Pfr. 1. nn 4 Pr. A. G. VAE 4838,

9275. PR Cact- Cu, in bone Dyck., 1850, P- Mamillaria ht EL Gracilior Ehremb

gnostic. Feet, grêle, extrèmement prolifère surtout

gras Ti aisselles nues, ma mamelons obovés, _… amoindris

et arrondis vers la pointe ; aréoles presque nues; 16 aiguillons exté-

rieurs sétiformes, rayonnants , adprimés et légèrement recour-

bés, 2 autres intérieurs Plus rigides, bises ou russe nee pant dans Y'âge adulte.

Dr. e, celte À rs est extrèmement prolifère, chaque

| Tige ne on praires ns me ee moins superficie - Mamillria Conoïde à Dé. Mém t.2,— id. Revue, p. 112.— : d. Pfr. et Otto. bit. de Cac Dir. 8 ; miMaria

MAMILLARIA,

Cette plante est rrifeni elle atteint 11-13 cent. de haut sur 9-10 de jiami

re mesuré à la Floraison. En Mai in et an Fleur solitaire se se développant yppant dans les aisselles voisin s du so ,; paraissant même

longue de 2 millim. environ et À dépasant t les mamelons au-dessus

sont cire. à l’intérieur sont rouges ; ; les pétales sont disposés sur séries, elles sont ea ÿ mucronées ; é étamines nombreuses sont de moitié plus courtes que les pétales, elles portent des anthères d’un beau jaune doré; le style ji on, ris se lermine par 5 stigmates Le es obtus, cannelés ehors. Culture. Serre tempérée dans les es parties chaudes durant la mau- vaise saison, sur couche et sous châssis à une bonne De UE

ne Mämillaria Radians De. Rev. p- 4H. AE .p-5. r. enum.diagu., “ae LE km. Cact. in hort. Dyck, cu

_CACTEÆ TUBULOSEÆ. É ÿ

presque en tremélés , jane-pall-ce, blancs plus tard seulement,

mir 20e adulte, son port la distingue suflisamment des Impexicoma et Cornifera

89. Mamillaria Loricata ( Mart.). Synonymie. Mamillaria Loricata Mart. et non hort, :d, Pfr diagn., p. 43. “nor Cact. in hort. Dyck., cult. 1850, p- 105.— Me Heteracantha

S.:

Patrie. Mu : Diagnostic. Tige simple, sous-globuleuse , d’un vert-glauque; aisselles

e ; mamelons courts, ovés, tétragones à la base ; aréoles grandes, nu garnies de 12 aigu ae eg rayonna pant ; gides, jaunes, et de 2 intérieurs ge vigoureux à sente noire, ge du haut droit, celui du bas recourbé n dehors ige de 8-6 cent. de diamètre ; mamelons lon: gs de 11 millim., larges

. T4 base; . DE extérieurs atteigi 1 milim. ; les 2 intérieurs plus longs et

+s portent ofdinaire

+

cylindriques , mar

nes laineux dans la rh ir es de tomentum blanc et

jeunes ,, tout à fait it, sonate, inégaux 'éève & ; , #5

Eee Cette plante a été par : Fe elle diffère de. notre Mamillaria Radians par ss siguilions Sr RE es Deus”

fauve-brun , l'un dressé,

.

MAMILLARTA.

Cette pisté à n 'existe dans aucune Collection “& France, elle ne nous est connue que par la ne donnée par Engelmann, et De ge 3 prince de Salm dans vrage,

91, Mamillaria Similis (Engelm.).

Synonymie. Mamillaria Similis Engelhm. PL A : id. Salm. Cact. in hort. Dyck., mar 4550, p.196.

Patrie ? Mr Le er A cr id pres ue À cr mamelons un peu et lége ard n t glabres; mame-

ins ovés, Kégirement a rar un cha à en Eng ce sillon légère- lomenteux srisie tomenteuse

FE

Culture. l'sore temp à pléin air ut spé b Cette plante n’existe pas non ee dans les Collections de Fr

comme la précédente; elle nous es t connue seulement par la «

qu mann en a donnée.

VaRiÉTÉs, Mamillaria Similis 8. Robustior : ag

_— re

droits et grêles. _ Alor: ere en a. de 40'bent. à de diamètre ; ie le pays, elles atteignent 50- Fleur hi: à er ‘es Cereus Flagelliformis, rouge-gaie, les Floraison ? Fleurs, aprés plane ; se développant au sommet de la plante; 30-35 ées de dents allo

, Sans

sur les bords, d’un violet foncé ; 5-6 stigmates roses à pointe herbacée dépassant de beaucoup les étamines qui sont rouges ; baies ovées, cou par les restes desséchés des fleurs, à ventre ve erdâtre pr er Sn de Decandolle, re-

e par Pf es différences assez pros pour _ nous faire Ps a ares s ps dons à deux plantes différentes, . N'ayant pas encore vu la plante décrite par le premier ne connassant É coin. Serre tempérée pendant l'hiver, beaucoup de chaleur et une brillante exposition en plein air, à rt lardeur du soleil et dans l'endroit le plus aéré possible pendant l’ét

. D nt dc

Synonymie. ns Parvimamma Haw, Suppl. p id, Pfr. enum. diagn., p-.9 d. Salm. Cact. in hort. rs Spr. Mamillaria Micro-

MAMILLARIA]

y a quelques années, on a pensé qu 1e cette encore fleuri daps les jardins d'Europe, Le” être une monstrueuse de notre Mamillaria ane Cl opinion n’est pas vraisemblable. . Ro ro ere te

ment ire ee proliérique. D'ailleurs , ce cr y 2 | retrouve dans d’ pri plantes de _… section qui, elles aussi, n’ont pas ore fleuri chez nous. En outre, notre Mamillaria diffère du Mamil-

enc ;

laria Simplex par sa tige qui Reset rameuse avec l’âge, et par ses aiguillons intérieurs et extérieurs rs qui sont moins nomb:

i (Ehremb.).

| sn oies Forst. Handb..

Synonymie. Mamillaria 2

Patrie. Mexique. ns ares fini dites ues ( rare comprimés

coniq 2 _ tronqués obliquement au sommet,

Méliès É points Drunë ; le supérieur an peu D ar . Fleurs

= Diagnostic. Da comte = 1 . fait globuleuse , plus tard avec Vâge plus 3 aisselles glal | mamelons ovés-coniques ; aréoles aréoles munies de tomentum court ,

. ) » j Æ- CACTEÆ E TUB UI ULOSÆ.

e haute de 12 cent. sur 7- de diamètre; mamelons longsde .sur 8-9 de diamèlre “mesuré à la base ; ag guillons presque , atteignant t 8 millim, de Tong, LS ei Pendant tout l'été. ser. es sur les aisselles : s du sommet, disposées sur plusieurs zones. Fleurs petites d'un 2 blanc ee | ER à 5-6 divisions ; baies oblongues, coccinnées, = mûrissant t pendant l'été suivant, contenant t des graines

_ Culture. La rt des plantes de cette section d inden nt un peu

Lx de soins que les autres Mami ee La développement, la vigueur de leur végétation, dépendent de ces s. Pendant l'été, il faut les placer en plein soleil, à une bonne fase sous châssis en leur don- ; __—— ilation et le plus de chaleur ne Pendant s les parties chaudes

De rt ces précautions on les per rente 27 s la

moindre humidité ou la moindre mouillu re corresnotident à un abais- ‘s dut : nent très-fr ot leur ture.

es croise hort. id. Miq.?— Mamillaria Cara- Salm. Cact. in hort, RE cult. 1850, Le

es distancés , couleur du sortent 8410 es. rides, rayonnants , Ou— jen iéguus, ceux du sommet un un a courts , les autres, et

Do on . Woburnensis Scheer. id. Salm. Cact. a bee. cale bas “p- 107. Mam. Grisea ere”

pure pre du un A hi

98. Mamillaria Melaleuca (Karw.). & Synonymie. pere Melaleuca Karw. id. Salm, Cact. Dyck., cult, 4850, Mexique, province de Oax ostic. Tige sine, vigoureu use ; aisselles mamelonrs mn. vigoureux, ovés, obtus, vert-foncé luisant ; se ns 14 dessus du som met des ere he grapes ne es det sms: a lane et usbemlt nues ; aiguillon stésicers rayonnan régulièrement, un peu recourbés en A trrasre en baut, bruns, ps peu plus longs, ceux du bas blanes, 1 au “h rs quelque- re brun, tous grêles , rigides, existe ordinairement rca gone ne ae sont, la plu

du temps, dolor? supérieur à

vescens (Dc.).. “Æ .… Synonymie. Mamill us De. Catal. hort. ; sg

+ id: Pl emum, ing p- Mam. Staminea Haw.

Fesgree era Hawe— id. Pre. Le Mam, k

CACTEÆ 2e mms

er rage re la ame est ‘tellement recouverte es la laine bo blanche s aisselles, qu’elle semble couverte de neice. 4 ison. En pr à Fleurs jaunes.

Culture. Cette plante, malgré qu'elle ait figuré plusieurs fois dans Îles Collections de France, y a toujours été perdue. Cette perte est-elle _ due à une mauvaise culture, ou bien à ce qu’elle est encore plus déli-

ongénères ?

(Engelm.). ia a Applanata Engelm. id. Salm. Cact, in hort. #

Ms ic. Tige mp, pe lactescente; mamelons presque aisselles es jeunes gs rx garnies cs laine

_ blan 47-20 a nilions pui "su droi disposés ons, Pres, ceux du haut sétacés, ‘raccourcis, he) ‘inférieurs plus longs, bruns, pâles ou couleur e cendre; a à centre,

148 rie nréole SE RE da = rs étamines qui sou plus courtes ; baie “rouge, chongue, clariforme. +

Culture. Probablement comme collés qui précèdent. Gete | plante seulement par la descripti l

cs en Re elle n'existe pas

ES ee

Ceite plante se mer areut de la pré des se par le nombre ou la disposition des aiguilk Ho différence ntielle qui séraitérioe cette variété ra SUN D peler Men. Ovimamma f$. Brevispina, consiste dans les aiguillons qui restent constamment plus courts. Culture. Serre tempérée et plein air en «act exposition l'été ; elle est très-rare en France, ainsi que sa variété, il existe En + superbes sujets. Bien qu’il F2 re des ph en de 40 cent, de han TE , très-vigoureux , ils nt pas encore fleuri, es Oothelæ. ae 7 Ca FRS CRE

nenin e. Mamillaria Rhodeocentra de Cut gen. nov. À! id. Forst. Handb., p. 218. 54, Salm. Cact. in hort, p.108. | Patrie? Diagnostic, T ge globuleuse, AR à devenant columnaire: l'âge, verte Een a presque. sur le glauque ; aisselles nn melons Ste

port. à haut grêle, trés-courts en outre, 4 intérieurs décusés , roses , beaucou plus vi,

Notre er reste globuleuse et devient abon vers la base; ses mamelons sont courts, coques, arrond comprimés sur les côtés, arrondis en d essus et présentant

sont environ 6 m1

Cette plante ne diffère de eoup plus grêles.

ris que par ses aiguillons tous

*

ulrure, Serre tempérée pendant ee et plein air en bonne expo- sition peudant Ja belle saison, 104. Mamillaria Glabrata bi (Salm). à fees Mamillaria Glabrata Salm. Cact. in hort, Dyck., cult, 1850,

*

Pairit

Diagnostic. Tige pres presque nues mamelons forts, écartés, d’un ant “écgr larg es à la he atté-

_ mués, presque tétragones, arrondis cbliquement à la pointe, présenta ant une face supérieure le nt gibbeuse ; aréoles ovales, souvent pro— long: érieurement par un petit sillon, légèrement tomenteuses en naissant et très-promptement nues ; 12-14 pra ue extérieurs rigides,

» presque recourbés, ceux du bas sensiblement plus longs et plus

t iuséré dans le peti i

vigoureux que res, l “inférieur iuséré le sillon qui ter-

mine la partie inférieure de l’aréole; blanes ou fauve-pâles, tachés de

brun, de 4-3 intérieurs droits, grêles et roïdes, sou étés issance, de couleur fauve b

Floraison. Fleurs?

Cette dan est La cultivée depuis longtemps en eterre , elle n'a enc Sr aucune Collection FR DE ci cu de nn x douription que ous empruniou à Lis 2e

à {nt ce pl ar past la belle suison. re

ee érigé, porrigé en dehors, hés-pseihe:

iy s ps k

Les plantes originales, quand elles arrivent du pays, présentent un des “qe intérieurs Je cnalongée contourné en forme de vrille. Le Floraison. Fleur

Cette espèce est et le elle nous semble se rapprocher de notre Mamillaria Reg Gels, elle atteint 12 cent. dr hauteur 0 d mètre t cachée couverte à

par ses aiguillons. Les de rh extérieurs sont éstremtié, co 7 "a

ont a tout leur développement, ils tentièreme nt gris. ture. Serre Lars liver, “Ses air et terre te pr Ro P 5 err

Synonymie. Mamillaria Procera Ehremb, A. G. Z., 1849, M

id. Salm. Cact. in _— Due uit. 1850, : !10.

ms: Ÿ Mpiltes-ciéiehs

en outre #3 j et tous grêles, Ssaas ou ouverts en à rspomat, nes en naisse e blancs, marqués d’une tache fauv. Kb blinté £ seul Étri

Floraison, Fleur? Le ése ve 10-14 cent. sur 5-6 de A a

CACTEÆ EUROS

CRASSIPINE, à aiguillons trapus, rigides, & longueurs variables. Les mamelons son t polyédriques, mammiformes ou ue nu, érigés ou bien hémisphériqnes plus ou moins allongés , quel quefois enfin Qi pe cree, en rue. doigt; souvent ils

À M 2) F

* TETRAGONÆ, MAMELONS A BASE TÉTRAGONE.

re—

bte ht ; cum - > du milieu es de à or sortent sortent 20-34 aiguillons extérieurs rt

illons ra sur

Es 46 cent. attcigoant 35 cent. et , 67 cent. de é ma sega par raies de diamètre à la be; L millim., et ceux du centre at

Culture, Serre tempérée pendant l'hiver et plein air pendant la belle saison nu

Peut-êt ous placer notre Mamillaria Eriacantha près du Mamillaria ou in rmi les Polythele comme l'ont re quelques nr au lieu aire une sous-division du groupe nous oc a forme dérëlriqe des mamelons, dre pubeseent, particulier des siétiihe a déterminé à ranger notre plante dans ce groupe, dont l'un de lies s, qu'il ne faut pas sr est l'ap=. parence des aiguillons qui, avec le temps, semblent se recouvrir d’un épiderme pulvérulent,

2. Stellati, à aiguillons Derieurs an a disposes comme Les ons d’

, À TE

a Lab + : Patrie, Le stroduit récemment par M. Trecul, re et voyageur rie du Muséum æ Paris: : Diagn ostic. à son hiliqué » ai: cs; re los légèrement tétragones, à arêtes du é tont à à fai t

3. Strogulacanthi, à aïguillons courts et ramasses. Aiguillons moins nombreux , 2-4 ramassés et courts, comme arrêtés dans leur développement.

109. Mamilleria ss (Otto).

rome Otto.

id. Pfr. enum. diagu., Main, Lee Leu. Cact.

Syno: pe : (EL. s ne Ya: gen. nov. 1838, p. 2.

Patrie. Le Mexique et à la Ver era-Crux, dans les régions

reel er mple, atténuée à Says dépri ) diseiforme ; es Jaineuses mamel érigé és-té

TIges , Ov 5 aréoles prenne Fa ; 3-4 sétules as 5 courtes , bla = 4 _guillons épais. courts, diverge , p. 114, et t Mém. LA 8 br sous Je nom de Ma. Sem cv

rrégu “bière, mue à rs laineuses ; oly tige nues ;

portent isér “eroix , et quelqueños 5-6 sétul eures câduqués . pe : iété ct pas La Ttrcanthe Decandolle. Pfr. enu e + Enr :

Varrérés. Mamillaria ns Medusæ 6. Tetracantha Salm. Cette Soie est très-com ne dans nos Collections ; elle ne « diffère da Mamillaria ria Caput M Medusæ que par ses

en croix, Mam. Caput Medusæ y. Centrispina Salm.— Syn. capes Medusæ Dress _ id. ?

Outre les # aiguillons comme dans la variété pe l'aréole en porte 1 es dressé, central, également co Mam. Caput Medusæ à. Géiior Salm Cette plante est entièrement sem jlable à la variété précédente dont elle ne diffère que par ses dimensions ; je doute qu’il y ait lieu de la comme variété.

, dans celui A 1845, le prince de Sal nous a ons reportée, peut-

de Mamiliaria caractéristique ; mais que nous avons a _ priorité du premier. Les deux plantes, décrites en des temps et lieux différents, ont mis a ont des je ae À

Cette plante semble, par son facies, se rapprocher beaucoup de la précédente, cependant elle en diffère essentiellement par É he de ses mamelons et la couleur de ses aiguillons.

111. Mamillaria Sempervivi (De.).

Syno Mamillaria | Semper vivi Dc. Rev. 414. id. Mem., t.8, PIS en. Stanroty pa hort. Belg., d'après Ft.

Diagnostic. Tige. simple, : atténuée à la base, maque nrtst ;

aisselles laineuses; mamelons érigés, ovés-tétragones ; es pr esque

, portant 4-6 sélules blanches rigides e et courtes, et et agi courts et F8 ts.

roduite d'isiès Deca Decandolle ient plus

neut aux jeunes SEL dans l’âge adulte, ls ét sp

variétés ans l’espè Es

ur à sont épais

. gen. nova

Dot De shériqe à un | vert-foncé ses; aréoles adi der id

ot: Dyck, eult. 1850, p. 114. id. Font.

jombiiquée; aisselles -

Sas

.

MAMILLARIA. , 93

ioraison. rs 5 et Juillet. La Sr, dont je n’ai pas de des-

_— un Dire Sirre maires pendant l'hiver, plein air belle

saison. +. Mamillaria nt (Le em.). | 7 laria Crocidata Lem ,Cact L

. Mar ort. Monv., 4838, . id, Forst. Handb.. Cact., p. 220. id. Sal. Ces à in hort, Dyck. . aus p-144.

=

ie exique, Minéral del Mont Dingroi. Tige globuleuse aie: aisselles abondamment | arrêtés

garnies de ro ÉLIRE larges à la

Dosé--cth

presque ; elles portent Ra iines: nn sb

noirs en naissant, qui deviennent gris avec l'âge et semblent recouverts uche de poussière, marqués d'une due cd celui du bas

reste ae ph le plus long.

Les mamelons semblent immergés shcachés dans le laine abondante aisselles, cette laine est pan d’ “blanche,

très-petites

9 millim., li nu sue as long, n dirigé en haut, l’autre en bas.

Manillaria Synonymie. Mamillaria Tetrac Sens _— L:

mis: aréole nue, portant # icetoeh ès-régulièrement ins sont d'une > couleur roussâtre Ir jeunesse, puis par devenir btanchätres ils sont copstamment marqués Fe taché | à brune à la pointe

_ La tige atteint 10-13 cent. de. ue : sur 8-10 de diamètre; les

-mamelons ont 9-10 0-millim. de longueur sur 4-5 de diamètre à la base : =. les siguillons atteignent environ 6 “millim. de longueur, +

er. Ferre tempérée pendant l'hiver, plein ai air É cam la belle

Villifera (Otto). * À Mamillaria Villifera Otto.— 14. Pfr. enum. diagn., p. 43 sé, Des En ie be ck., cult., ps 445. id. Forst. Handb., Cact., ne nn. Mexique. Diagnostic. Dige de forme Rs devenant avec le temps 4 aisselles laineuses e t sétigères ; mamelons vert- es laineuses

#

lifére late _ foncé, re rétragones à la base ; a d'elles À pa s, rigidi pr i du bas is sont

beau pourpre 3 |solorent en noir ensuit ie, ls ns nl par pr

Fleurs d'un rose-pâle; 14 pétales aiguës és mar- ra par une ligne longitudinale pourpre; le étamines , se termine par # divisions sigma

M à ANT ni

ra à, Vi da sin Girrosa 8 ous les aïiguillons sa aucoup rs longs, Lines et on. rieur gré sont davantège encore ue les s Lo ils sont contournés en forme de vrille, ils sont carnés, d'abord pu irpuresceints & Jos - sont Macs

se-cuivré , à etes aiguës , lancéolées , érigées :

Re Serre tempérée pendant l'hiver et plein air. pendent re:

116. Mamillaria Pallescens {Scheidw.).

Synonymie. Mamillaria Pallestens Scheidw. A. G. Z. 1844, p. JU id. Salm. Cact. in hort. Dyck., cult., p. 445.

Patrie. Mexique, près de Tehuacan, à plus de 1,800 mètres au on nn mer, Introduit en Europe depuis Te ps

spé} presque caché

neuses , laine em pacer us . sections BB 2 manière à

fois les aréoles, celles-ci tome omenteuses dans le jeune âge, ensuite noët mamelons de forme pohéirique, vert-gai d'abord, puis devenant _—

pie: 4 aiguillons haut le plus long

7 . forme tétragone FAR rhombique ; 1 ion varient dans leur | forme et leur disposition, F iv Subpoigedies mamelons à faces aplanies presentant quelques à

arêtes.

, Te pan globules ou obovée, pme dichotome et même mul— sta mamelons

. SE ras en dessous une arête vive qui

ET does Ce du de re que les autres central uu peu plus di que le: PSE d'une exuleur différente j

à atérieur, qui ai doublé “paré ve est long

s sont rires here

déjà Hystrix sg moins élevée, ses mamelons plus pores d’un plus se een comprimés par l'arète saillante qui, ms en dessous du mamelon , se fait sentir au delà de son sommet jusque 5! ee ns sa page supérieure, et aussi par ses ai Vanréris. Mamillaria nt B. Praelii _. 2 É i Mublenp. À. G.Z.,

118. Mamillaria Hystrix (Mart.).

Syn she Mamuillaria Hystrix Mart. Act. __ mal. cur, xvr, p.A. éd. t. xx1, p.332, id. Pfr. enum. diagn.., p. %.— id. Salm. act. in hort. Da, "ait 1850, p. 119. Mam. Hystrix Forst. Handb. Cact., p. 225 (Suppr. la syn.).

Pairie. Leg Saint-Louis-Pot tosi. ge déprimée

Diagnost mée , pret ben ssdité lai- neuses et al es nt sétigères ; , subtétragones ; + é ries de tomentum blanc a nel _: portant 5 et quelquefois 6 2. extérieurs u bas le plus long, et ea outre 1 autre aiguillon intérieur, tous ra de rigides, d’un très-beau DodbE por se RO en naissant, plus tard devenant : blanchâtres, marqués d’une tache noire, brune à la poi

4e périgone de la fleur est ventru, à usé érigées, recourbées à leur __ pointe, elles sont aiguës, A et na a en sms sur d’une ligne longitudinale plus

Culture Serre tempérée pendant l'hiver, plein it end Ja belle -

re) Mamillaria Karwinskäna (Mart). ? Synonymie. Mamillari: Karwinskiana Mart, Act. nov. nat. eur. : 1. 22, ;d. Pfr. enum. diagn., p.19. id. Salm. Cact. in hort. D . P- 149. res de enr » ps 223 (anciennement Mam. Salm. Mam. Sei ns quelqu iennes 4 md c.— Mam. Geminata

quefois aux ee des mamelons; ce fait. > indiqué par FRE F nous semble accident : ss : Floraison. Fra ‘tout le printemps. Les fl eurs atteignen < millim., de lo ongueur, elles sont rnuges ; leur tube est ns de de

d'un blane d'ivoire qui sortent des aisselles ; 10-16 sépales ncéolées, acuminées, ge ee genie à la base et rouge isabelle Et la partie supérieure; 42 agree plus étroits, marqués d’ure ligne pourpre ee dehors et blanche en dedans; ét étamines multi

sériées moi courtes, d'un blanc jaunâtre ; re petites , ovées, jaune-soufre ; Fi chbres, un peu plus long que les are blanc, glabre 5-6 ans sligmatiques,

e per s, légèrement pps jaune soufre

iana . Plante nn a à Th à ce io, le duvet floconneux aréoles ton jaune verdâtre qui la distingue de } Pespèces

Piaifler dique dans son ou\rage une couleur ir jaune fleur, Le n'avoir j

rencontrer _— ve plante type

Culture lnpérée pendaut l'hiver, plein air et pleine terre De Lie is

lagn., a - id. Salm, m, Karwinskiana Y. Virens + rondes Handb. dr., Cact., rs GZ.,

aria Virens. Ti: ge aan art alim ou à deux ttes; aisselles nues la je laines et es

k

MAMILLARSA. 99

> sad diamètre, sur der cote les re ont t 22-27 millim. de on largeur à ; l'aiguillon supérieur a de 4 millim. à L sil. et demi de lo es celui = bas est le double plus long, millim

es Il existe aujourd’hui, en les Collections, des plantes qui ont plus 32 cen

de hauteur. sout deux fois dichotomes et se 4 têtes, ES sont d'un sert unie eu Legs r phrase : blan qué$ de noir à la pointe, ceux du bas so sn |

Lars vs 4 que les autres ; en outre, il en pu un sixième subcentral sommet de r aréule, se érigé, EE or: et

dant quelquefois. Ep d et le commencement de ue sont pers

FAT

d'a : + Serre tré

ureux, sa couleur verte Hapre et par ses aig mn plus ba b'au che,

A 6.Z.. Le Su Die Cote D MN 7 ME Mam. Karwins rès Forst. Han

Ba à. Centrispina Salm, + s db. me : Patrie. Mexique. = es simple, te: à aisselles laineuses , peu séti-

# Cette te plante, quoique très-anciennement connue ner __. dans les C Gollections, soit avec la Mamillaria Fiches Pfr., Mart .

mr par ses ai: pe sont blancs au lieu d'être ea rnés, ainsi par ses 2 aiguilions + er su rs; de notre Karwinskiana

que périeu Mart. par sa fleur et le nombre de ses aiguillons, moins nombreux sur le dernier i aj

- 122. Mamillaria Flavovirens (Salm). ' Synonyme. Mamillaria Flavovirens Salm. Cact, in hort. Dyck. , cult., pe —.

Digne, 1 Tige subglobuleuse; aisselles nues; mamelons vigou- vert ou vert-jaunâtres , ? subespacés, me He de

les. ns jeunes érigés , les Lars vieux sis à déprimés, ma rqués sur par une aréoles insérées au-dessous du .. lons ue

Une plante très-vigoureuse , monstrueuse al mani , fut introduite, il ues années, en L

MAMILLARIA. F. 404

123. Mamillaria Maletiana | C els). e L

LT Mamillaria Maletiana Cels. Portef. des hort., t. 2, p. 222,

Pat Digne Tige sphérique simple, ea me neue. aisselles d’abord nues, puis munies et avec le re iennent abondantes, Lee et sont irré ment cont

vert-clair et anssi lougs que yes aréoles reins presque r. 3, d’abord mu es de tomenlum blane, jaunâtre, peu abondant, ensuite complétement nues re elles pos sg Ar uillons dont 8 rayonnants,

jaunes-pâles, dev » ils sont droits, rigides,

empérée pendant frais" À. a cultivée ne Pêté abritée sous de ces S

102 | CACTEZÆ TUBULOSE. 124. a ri) (Saïm

Syno: millaria Polytricha Salm. À. G. Z., 4842, p. 289 id. og in à tt pus cult., . M4. id. Forst. Handb., Cact., p. 230.

Æ Patrie. traduit en 1841, par Van-der-Mœh Diagnostic ige subglobuleuse devenant ce l'âge; ais- _” selles garnies Pie laine épaisse et de sétnies frisées qui couvrent presque | toute la surface de la plante; ma bpolyédriques, subié- tragones à la base, arrondis au sommet qui est tronqué obliquement,

couleur glauque; aréoles immergées, glabres, portant de 4-6 per -pâles, à pointe ruse, pourpre-brillant, pers celui du haut

bas plus longs que les autres, recourb

haute de 11 cent.; mamelons 13-15 millim, de long sur 9 de

ns latéraux, 10 millim. de long ; les deux autres beaucoup pr.

nys, + se atte gs environ 15-16 millim. de longueur.

B. Tetracautha —_— Forst.

latéraux LS np de long. Fran en Europe

tempérés pendant un pe air pendant la belle

Floraison. Pendant tout l'été, Fleurs comme dans

rouges, elles sont très-abondantes, disposées en pole vers le som met de la plante, et produisent un {fort bel effet,

Yancérés. Mamillaria Pyrhocephala 8. Donkelærii Salm. # ss te rpm: ar de la précédente, seulement par la couleur fraiche de ainsi Le par la laine des aisselles, qui est d’un blane :

pur ; és a PRE pra au Mexique, au milieu des orchidées. à

Culture, Serre pres pendant l'hiver, LR air et pere terre

pendant l'été. L’habitus de Ja red Donk,

uue culture un peu différente est in

ohne nous trouvons ne e Mam, Hermaatiana,

jeunesse, plus tard subn: Ù ues, port à celui du ae ee du bas é ue 5 2

. pe cent, | a au nombre de #, ont # mime .

rs plus courts, et À tout à fait au carnés à pe _. rune:

Fleurs disposée zones autour du

sépales verdàtres ; Née à dressés Pa rouge

7 rouge-vil en dedans, marqués longitudinalement

[ ligne médiane plus ncée ; étamines réunies, ramassées, blanches;

anthères jaunes ; sde ce rès de 3 cent, de longueur au moment de la

us

prit Fe Belle

un do es tre-ilarailiasis F ie

plus petits, ses ——. plus courts, plus foncés, cTifriur ane plus long.

olsedra (Mart.).

Mamillaria Mart. Act. nov. mat. cur. xv1, P. 4, p. +

. P£e. enum. _. 7 id Font ‘Handb., Cact. do

nombreux, un peu plus longs et plus larges, roses, dentelés vers = ns rte

sommet ; étamines es, blanches, atom de anthères co jt, logiques, j jaunes ; style bi

“teinté parano. o

sur elles-mêmes, cylindriques, arrondies, papilleuses et marq extérieurement d’une ligne plus foncée sur toute leur longueur.

ue. firent “cms pr a. Lœvior Salm, Syn. Mau. ee 1 me.

Com me Mindique néga

129. Mamillaria en (Saba).

Synonymie. Mamillaria Polygona nl Caet. in hort. Den p.120. Mamillaria Polyedra none

Patrie. Me exique Diagn

un pur a dont 2 i

pt

à forme de courts, blanchätres, +s

ct pong or ac à ponte pi ie

= _ 406 us CACTEÆ TUBULOSEÆ. | 130. Mamillaria Maschalacantha (Monv.).

_ Synonymie. Mamillaria Maschalacantha _— Mur p.77. id. Cels. « Mamillaria Mutabilis Y. Loœvior Salm. ü hort. Salm. Dyck., . Mascha

%

ne, les jeunes, ea St rhombiques es par leur page inhsiete re, qui prés

. SE tranchant, . arrondi; aréules ovales, immergées, très-promptement nues, p s #5 illons Fer resque égaux, presque élalés, de couleur jaune 2e . et 4 aiguillon i intérieur, isolé, très-allongé à la pointe, ainsi que e les autres tres aigui

Il cite des jets dont la üge à 40 cent. de hauteur sur autant de _ diamètre, vers la partie moyenne; les ont alors de # 1142 millim. de lung 7 ntene sur 5-6 de diamètre ; les jeunes un

Le Érie du bas des arêtes

eur hau- s, # millim, et

ement

1 ngne à de Rep par les sétules des aisselles qui et jaunâtres; ses Mann | fauves et deprnie la silos Mmiérieer | let moins al 6.

2 107 raient pi pra un groupe à part à cause du cachet jee qu

un à ces trois plantes, Leur tige en forme de rares t ombiliquée, très-vigoureuse et ss mamelons dont la page inférieure présente u tendraient à les faire confondre toutes les vo Cepraimst

plus attentif montre des différ. dan: aisselles, et aussi dans la nier e 4 la pris Dr Jons qui sont disposés de la même inanière, parfois frisés, la pointe sur les sujets très-forts. 1 sentent aussi qu nces plantes, déjà cultivées depuis Jongt trouvées au Mexique, dans piusi ieurs s localités ; ; leur habi dans les r npérées. Culture, Serre tempérée pendant l'hiver plein pendant l'été

Autumnalis { rues frotl Ma ur ere Din. A. G. Z., 1848, ee. s 2. _— in hort. Dyck., cult. 4859, p. H9.— Man. H Hermantiana

Patrie ? ee rs sr 4 a d'un _vert-gai ; aisselles ain

La tige globuleuse déprimée, mesure 10 de et Fe en diamètre ; _ les mamelons sont tétragones, arrondis, leur page inférieuw for

ment __ pe J'arête saillante, formée par l'angle des 3 faces LR

»

millim. are de sinon es 9-13 "millii im. ; aiguille Lu | millinr. de longueur ; sur les sujets originaux, les aiguillons qui se eloppés dans le sh sont soie ip plus longs, d’une couleu cendre, tous ou quelques-uns sont contournés ensemble et Mere

+ - ruiree Pendant l'été, Les fleurs se développent aux sn des . wamelons supérieurs ; elles sont presque toujours disposées eu z

culaire; elles ont 27 millim. de longueur et leur tube est ss de 1 coton et dr «fear a beau blanc d'ivoire, tachées à la pointe ; | “elles “na es ape ant à 6-8 Lire ee NE

Ééiase à à lun, bien mhorihmo, au en der =. : tres-prononcée, formée par les 2

-géres; mamelons gros . de arr arrondis en dessous, tror T au sommet, angçuleux en dessous; aiguillons en nombre variable, Hi plus ordinairement 5; les : supérieurs courts; les 2 latéraux

ie ‘sut du bas uès-long , défléchi parfois, contourné en vrille.

ee 1. Inuncinnalæ, à aiguillons droits. : ee. 133. Mamillaria _— (Mart.). ee .

Synonymie. Mamillaria Cirri ifera Mart. Act. nov. nat. cur, XVI, P4, Fo

PE rod . Pfr. enum de iagn., p. 43. id. Abbild.., t. 7. id, Cac. in

hort. sai. PE me 1850, p . 424. id. Forst. Handb., en pass

Rs dun vert ;

ut aisselles is se ‘e laine et de sitales lées ; mam

presque » avec poils rigides , -aréoles feutrées d’abor . ë L us tard ins, , immergées eur 5 aiguillons Ps lanes d'ivoire, marqués de brun à dd les 2 supérieurs longs de 9-11 millim. dirigés en haut, téranx longs Fa 8 cent. dirigés différemment, l’inférieur long sa

en fait une

cent, re Real del Monte. Mublenpdorf en f une espèce voisine de notre Man. PEUR: inoue par la ; 0 La

ourbés. : pra é du prince de Salm Dyck., nous croyons que cette vrait être 2.2 rime comme identique avec l'espèce de nos

. En effet ns vu de fort ses sas ovenant de de "Collect ection M.

Odier, aujourd'hui acquise FN He À Chaillot, sur r lesquels } les ai ee qui ivaient poussé dans le pays gatal att

tères relatés dans la + oeription 4 de er iin, mais ceux Fa

encore , _ une bell des pere a u \ de qne ques sit ules blanch 2 :

Culture. Serre tempérée pendant l'hiver, pleine terre et seu pendant la ES sisi Notre plante, qui n'est LE xtrêm flori— fère _—. elle est cultivée en pots Fast devient Rec: par une bonne culture en pleine terre pendant la

: 135. Mamillaria Angularis {hort. Berol.). Synonymie. Mamillaria Angalaris hort. Berol. id. Pfr. enum. diagn., p.12. pese 5 Handb., Cact. Le robe id. Salm. ir in hort. Dyck., gr Mémoire p.

ni M2 (lame Ensihe De. à

(LE) CACTEÆ TUBULOSÆ-

à 136. Mamillaria Phymatothele (Bergm +. s . Mamillaria Phymatothele Bergm. A. G. Z., 1840, p. 429. ja Ram. Ca Cact, in hore Dyck eut es Le 338. id. ae re Cact. p. 232. Man. Ludwigü Eh Mam. Conopsea Scheid (da nnsbé Salm ). - Man. pe

Patrie, Mexique. Introduit en Diagnostic. Tige simple, ile dans la jeunesse, plus tard on: lifère ; sommet org ss vert glauque; les garnies de laine b'anen euse, abondante qui presque l’ombilic du sommet ps tard pr deviennent nues ; is grands, tétragones, arroudis sur la face supérieure , ce con x sous , présentant ne ae se le déve en longueur semble comme a rait maintenir le . de lestréilé anicillaire de la face

comme le ferait un frein; les aréoles sont immergées, semblable à celle des aisselles, plus 10 aiguillons rigi i

MAMILLARIA. 4 ment recourbé ; tous sont subrigides, bancs, marqués de brun jaupâtre à la pointe, k

La tige est haute de 8 cent., elle a à peu près le même diamètre, très-prolifère; l’aiguillon supérieur aiteint 20 millim. un lon.

est très-p: gueur, l’aiguiHon du bas jusqu’à 4 cent. 2 rs incounues.

Serre Frac pendant l'hiver, plein air et lee" à terre ÈS la belle sa

Cette plante et° "as suivante se Ms à cette sous-division fSahe pete habitus que par le nombre et la disposition de leurs

ment au 1 sommets es” metres sont “res Frame à , flexueux en forn 4-6 autres de la

ES , tét conv | car carénés en dessous, rer rm Vs slot . de 1 um ramassé pr pren. Late

1. Rhomboïdeæ , mlamelons à base rhombique.

rues gros, épais, mammiformes, —. _. |

140. __—— Neumaniana ( mr

Synonymie. Mamillaria Ne î id. Salm. Cac. in hort, Dr, À 234. ce 7 host 4 non Salm d'après Font,

Digne. Tige Ru: Mr dr subd isciforme , ; aisselles garnies |

; , par la np se partager en

à groupes; dans leur Jeune ont ro, plus tard ils prennent ! couleur de cendre.

Les aisselles sont abondamment garnies de laine blanche.

neuse, dans l'âge avancé elles se dénudent ; les aré aréoles, qui sont

garnies de ne pareille ape ard, pren

couleur de PRES an de plus en plus foncée et finissent

, quel Fré— ; enfin £: inférieur un peu plus long; PERS ceux-ci ilen. 4 latéraux et ss

noirs à la pointe, celui du bas le plus logg, tous deux courbés en ares ue _…. outre 2-3 sétiformes o ts, b

Des est haute de 27 cent. sur 16 de diamètre, elle atteint aussi de ne. andes d dimensions Ed - des sujets qui atteignaient jusqu’à 35

on à lab, auilon sh us attein 8 miltime,. inférieur

1 ER pate fe DE supérieure rte

et dis— tôt dans l'ige adulte sen zone circulaire, elles

lan mil. d de longueur, la base

leur dévcoppenent à sur # pan, et, Lei ce motif, nus,

laineux et is d’une laine blanche abondante, focbinente a à peiütes, rond es, éalement garnies de laine blanche qui F'icuRe pri | ment ; ibn éri :

n jaune “fe rts, de 9 millim. de longueur, de ou à geénpe urbés, des le ns la pue, le dernier beaucoup plus fort atteint

: long, il est : > vers le bas.

FRE Mamillaria Pentacantha A. G. 2, 840, p.06. Cact. in hort. ne cult. pen. eme er

Synonymie Mamillaria p. 443. à

ulement * pit 1e à nest EE aus, subauguleux à atimè “ie sur hs im tré

de i et Juin. Fleurs de 27-30 millim. de diamé mg en zones Maire He. du sommet de la plante, à à pétéle:

rouges, non Serre tmpérte tale l'hiver, plein air et pleine terre

+ de s melons, notre Mamill aria . : é dans la sis Villon précédente, mais le nombre range sans : oute dans celle-ci.

a RC one De ee 08 0 Pons nt | Cact.

Fu” reg Elle a été trouvée sur un sol obuleuse,

ARIÉTÉS. Mamillaria ricirrha B. Macrothele Lem. sd. Sd. ra in hort, Dyck. , cult., p.193, j4 Forst. Cact.,

PÈRE ea beatcoup plus vigoureuse que la précédente, d'un vert bleuâtre : moins nôfibreu ux, plus aplanis sur les côtés, de forme F3 plyédriqué , Plus aigus au sommet; ses ra t insérés de la même manière que dans les A mais moitié moins longs.

__… Centricirrha +. Hopferiana Salm. Cact. in Let Dyck, cult., P- 123. Syn. 1 Mamil pr ec ester 1e

Vari riété A de Rares la précédente par rene © -

_ moios forts ses aiguillons FE grèles. :

: subglo basées épri : aisselles laineuses garnies de laine ich ss en es pe-

tites, rondes , les plus jeunes tomenteuses = . Suite; mam AE subtét: ine

“ie lu à de 40 cent. ; mamelons longs de 91 millim, ; aiguill ceux du haut rs Er 7 millim., ceux du bas le double plus pas Floraison. Fleur

res prod plus is les Collections depuis longtem} s er se trouvait rat 7 nombreuses mA pe introduit

Re ne euse simple, vert-fonce ; aisselles laineuses ; mamelons , arrondis, fermes

supérieur ge latede 10 cent. et plus; mai Le La a a DE pa sur 48-20 nillim. de largeur à la base ; les aiguillons supérieurs ont 6-10 millim.,

er brune, plus tard ils noircissent ; la laine des d’autres fois, sur Nage elle est Lis

Le nombre et la forme de aguillns varient | )eaucou à les jeunes Sins su leurs arols, et parmi eaus à à pee Of ME

. + Mons En Juillet et Août. Fleurs de 30 milim. de e lung, dispo. en couronne autour du sommet de la plante, à sépales brunes ; itudinalement

pren notre pis mais tout à dit bone Mamillaria tescens Salm. Sy. Mails

par ses aiguillons très-vigoureux n _ Serre are pere "five des, ai

ni aisselles munies de laine blanche assez : vert très-forts, enflés vers

t de leur évolution, aux t que laisseraient de pareilles pre léable ; aréoles nues, portant aigui toujours lus long de tous, est v bas,

blance avec les défenses du porc-épic, ils sont bruns à la base et sent ensui nn pee nee: les 2'aiguillons supérieurs sont moins

ont 45 millim er “à 4 cent. de ha guentrun _— de long , les 2 autres varient 5 cent

Pie En Mai, Juin et Juillet, Les

Hs ro ns est terminé par (6-10 divisions

“Les fleurs, ue. l'é éclate le be ft que prod __sent les zones suivant lesquelies elles sont disposées , es dr : une des plus remarquables de ce sous-genre. .

Culture. Serre er pendant l'hiver, en plein air et en bonne pendant la belle _.

192 CACTEË TUBULOSÆ.

re pores pr de sujets, établir ara sons, qui sont tou-

4. de quelque inexactitude quahd elles sont faites sur des Roi : pes sur des exemplaires éparpillés dans arr cultures.

149. Mamillaria Pachythele (Salm).

. Mamillaria PEhitie Salm. Cact. in hort, Dyck., cult.,

Synonymie. p- 122. Mamillaria Kramerii À. ne 4845, p.345. Mamillaria Macrantha hort. Hamb. id. Dc., d'après Forst. Handb. der. Cact.,

p- 237. stic Tige aubgchlese, vert-foncé , prolifère sur les côtés ; ; eunesse, "plus lard se garnissant

ont 13-18 m central Lo nr LS cent. rs . Floraison?

rarement. Les fleurs observées ou décrites sont d'un j: une do do blanchätre en dehors, et d’un beau rouge rivliéf Situé a

1. Elongati, à mamelons allonges. Tige Eure ou claviforme ; mamelons allongés, HS de

base au Û 150. Mamillaria Clava Vs : Synonymie. Mamillaria Clava Pfr, A. G. Z., 4842, p.282. id. Sal

re in hort. Dyck, AS "426. id. Forst. Handb. dr. Cact., p. 26 58.

pr le compitement and st mets meneious alla

#

Lai atteint, dans l'âge adulte, #0 cat. et ï si à cent. environ ; les , en vieilli diuent, dl glande des aisselles se confond ordinairement avec le sill a

Pia -93 ue. Les fleurs ont 6 cent. de de as les k * à 3

sujet vénients RE on ne De ir pas le soin de leur ne ion mème temps que l’on concentre sur eux toute l’inteu— ires ; dans ce cas, se dit tel es ravages produits par im en les basant so ouvent, on ons de soleil et la lumière

. r fréqt emment; quand, au contraire, che aidé ealtiées en Le terre sous chässis, il fut, autant que

jour leur vienne d'en ét : . cela, on donne peu aux his des cer te ou plutôt ; a de ne e pas changer ‘inclinaison ï au

goes js Mamillaria rects Len. eonog: des Cut. br A Cut Mour . fase. 4, p.3.— ;d. Salm. Cact. in hort. Dyck., cult, 127.— id. Scheïdw., ur De id. Forst. Handb. S. -Mamillaria Ceratocentra ocentra Bergm. poeme.

d'un beau longue de 5-6 cent. et large de r. au mo tent de l'anthèse : le tu j j ma.

pr , les suivantes sont linéaires, pâle, rouge les int céolées , acuminées ,

étamines t

hs Po ae Fe ne à filets. jaune-pâle à la base, sommet ; à thères sont safranées ; le

5-6 divisions stigma- molle, subp

LE Lemaire, le périanhe serait pile, parsemé æ uelq} squammes cpncolore. subulées ; subdécidues sapes xtérie externes squa mes, et la baie p tellem: ques rares ab” sans duvet De avons fleurs des Mamillaires de cett énns D :

:

éral Cependant , a meer de celte idée préconcue qui Fees nous porter à assimiler les lacinies extérieures du périanthe aux _ lacinies de quelques fleurs d'Echinocactes, ee : He squ à

126 CACTEË TUBULOSÆ.

l'anatomie des nr organes des Cactées. en y joignant nos ie vations microscopiques ur le pollen et le développement des ovules, sur la germination, sur es 3 éphléries qui recouvrent souvent les aiçuil-

rons l’occasion d'établir cette nomenclature. Puissions-nous d'ici là, par ces PARIS , ss er l'attention “7 cact + ou sur cette malièr amen mble d'obser ns + “ages Eee tard aa une sen : rationnelle Arte : de tères variables auxquels nous sommes obligés aujourd’ hui de ra rap- porter !

152. Manuillaria Macrothele { Mart.).

Synonyme. Mamillaria Macrothele Mart. id, Pfr. énum. diagn., p.24. :d. Salm. Cact. in _ ert. Dyck., cult., p.426,— :d. Forst. Handb: dr.Cact., p.255 id. Hor De. Mamiliaria Octacantha De. Rev. des Cact. et ns Mami avis one : Pfr. Mamillaria Aulacauthele Lem., qu’il donne comme 57 e des Mamillaria Lehmanni fi. Sulci mamma Miq. Linnœa, 4837

Patrie. Mexique, près d'Octapan, sur les prairies, à plus

mma Galeotti, qui les a trouvées dans des prairies ; depuis elles ont été introduites plusieurs fois par d’autres collectionneurs

Diagnostic. Tige ey lindrique simple ; aisselles larges, or 1-2 glandes à bords rouges qui apparaissent au milieu du tomentum blanc dont elles sont garnie A mme allongés , a a rer sub- tétragones à la base, coni arrondis au sommet, souvent recourbés dans leur longueur ; Er s blogues es, nues, insérées pars du Rs _. nur en dessus près de l’aiéole par une

utre glande; 8 aiguillons rieurs ri igidés, ouverts ayant l'aspect et la consistance de la corne gr noirs à la pointe, 1-2 intérieurs un peu plus forts et bruns,

Tige haute de 50 cent. sur 13 environ de diamètre ; mamelons larges de 14 millim. à la base, longs de 30; pa que ss de 13-16 millin. de ing, aigailions intérieurs de 2 milli

Floraison. En Mai, Juinet Juillet. Les gs signent 30 mr de diamet moment _ rm les lacinies sont nombre: cs on sont jaunes en dedans et marquées en dehors d’une pren

violacée ; es set when roses ; style terminé par 5-7 divisions étendues, linéair s a

Vanrérés. Mania Maoihele 8. Lhsaiiiiih —Sya.Mamil- nni Pfr., mg p.33. id, Bot. Magaz., L v. des Cact.

; ensuite À 24 ee nues, Lo À alors rose; éloignés, ext

brun. Ce qui distingue cette variété à ro SET m M. tige plus grèle et plus élancée, la nl. roma de 2 gl aisselles et l’aiguillon intérieur qui ut sénitest gemi Le

er 2m Macrothele +. Biglandulosa Salm,— Syn. Mam - Biglan- F' Feu

ne présente aucun caractère distinctif; sous tous des

153. Mami ebchtndl (Er).

Synonymie. Mamillaria Schlechtendalii rm ve 49 id _ Dyck. cult., p. 127. _— Catal. Cact.; p.242.

| Diasnostis. Tige vigoureuse, ‘enhinrallite 1e; dira, d'un vert sublaineuses dans la première jeunesse, puis très—

nues , Cr une pes à bords ge re mame— et gts a base, marqués

nsc dat tt

‘un aspect semblant moins armée p squipe ae sont pl courts que dans l’espèce ricslentt is Épsee 2e

contre la tige. Cuture. Get pi plante et sa variété exigent les mêmes soins que les

154. Darilaris Plaschnichii

= pes

Face ce a y sg num. Gagne. 4e Mars Por. Handb.,

æ Cact., p. 245.

_ Patrie. Mexique, près ee im me des prairies, à plus de

De mètres at au-dessus de la

ee . Tige indique, gl olntrise aisselles glan duleuses + parsies AE SEE de laine e épaisse: mamelons grands, éloignés les. , nds sols pe + à _ de subtét tragone; aréoles mu=

“nies de tomen » insérées Pers

x la merdhé fente. indiqués cm à mie tend a

MAMILLAR + La tige est columnire, nn diamé iré D

ètre ; les mamelons sont & dessus par un sillon, mass léséur pen dant L é sa mater arr en dehors

) de 9-11 se e Dr +

D a M 9 millim. les aisselles sont d’abord la » prom nues ; les aréoles sont ies et munies de Misdhe de ‘Mpntt de presque de suite ; ; elles portent 12 aiguillons her mn très- ès-régulièrement un même _ uns noirs, les à très-souvent même

d longs de

= environ, droit, ès digides, pue. comn

comme marbrés et pei ,

présentent un beau ion PS 2 à en un ton jaune paille presq 6 1: tontes les

autres sont pre, elles sont d'un beau jaune paille glacé en dedans : une | fer ans ES nes sont nombreuses , disposées en

Cetie plante toute nouvelle est x rite de trop jeune pour au soit aid de ph bee ses caractères comme constants et en

; en sie 2 Brekr

us par un sillon glan LE

AAC

aréoles pres sel art Jane une ere. courte 1 ee :

anc; en outre, 5 intécmers de ann bancs armé loquel À seu eu 4 pr de la l lon out Ton de 10-11 HR Es . re se prés repisine, elle est est atténuée

Eee pan est souvent confondue dans les Co __— arayasss cela tient sans tas

demandent peut-être encore plus de chaleur que celles qui

Bneepmis Mers Outre 46. us p- 274. D La: - dr. Cact., p.246. id. Salm. Cact. in hort. Dyck, eut, p489.

AR Li ne - Culture. Comme les précédentes. Les plantes de cette sous-division +

CACTEÆ TELLE

. id. Forst. Handb. dr. Cet pe 247. Se. Salm. Cact. à in hort. _Dyc cuit, pe 34. Patrie. Mexique, dans les mêmes localités que le Mamillaria Ma- crothele,

ne stars Tige simple. Hobaiense ou Spas aisselles glan- . dule de tomentum peu abondant; mamelons courts, Br d’un vert foncé en forme de inamelles ; ‘aréolés tomenteuses , rl horizons, rigides couleur de ue. , 1 central porrigé, dressé, un

10-15 cent. sur 7 de diamètre ; mamelons RS de .

“inférieurs longs de 9-10, aiguillon central hot 941

Poraisé. Fleurs? Vartérés. Mamillaria Brevimamma B. Exsudans Salm. Syn. Mamillaria Exsudans Zucc. id, Pir. enum. mr pe 15.

| mamma, quoiqu'elle en dire par se ain du dans la variété , _ nous ne pr 6-7 aiguillans exté: grèles, presque droits , jaun

ue égaux , À central érigé, d présente, terminé en

Patrie? . à pes Tige in -poheie euse ou ot, me, d'u Mt ; aisselles garnies re glaude rose entourée tomentum

rigé 1e hameçon ; ; re re noueux la , et ini à la poin - se

vimamma f. Exsudans, dont elle » dniaé plus vigoureuse, par la Evulsur plus pâle, moins 1 lons, dont les extérieurs sont plus vigoureu x, constamment de 9, et l’aiguillon obral plus rigide, joug de 10-13 eue. 3 Lace à la pointe, : . Les fleurs et la À er sont inconnues, Ni vs Comme les es précédentes. ue 161. Mamillaria Cephalophora (Salm). Re a Salm. Otto’s G. Z., 4836, 49, -

Synonymie. Mamillaria Cephalopho ose id. Cact. i in hort., Dyck., di : + Le Se id. Forst. Handb. dr. Melocactus Mamillariæ Formis Salm , anciennement.

qu le autres le plus bas ; tous rigid ve, en outre 4-5 adrentifs insérés sur

&

434 CACTUÆ TUBULOSÆ.

ralement, le septième Sal Hans vers le bas de l'aréole, il nc 13-15 millim £® longueur, ils épais, subulés , recourbés és-rigides, très-ouverts et entr es en outre, vers le sommet de Taréole, on trouve 3-5 ae plus grèles, jaun GA s Kate tue Fans se

ce irs a mort

t Le cephalium n pt tout à fait au mpnet: F est 4 laineux , disciforme à partir de la base et composé de laine abondante qui sort des aisselles des mamelons, il est florifère, entièrement recouvert de ine épaisse, persistante, de QUE 22 sétules et d’aiguillons.

Florai . Fleurs inconnues. Forster, dans son Manuel des Cac- tées, dit que les graines recueillies sur Te sujet que le prince de Salm a es , ont douns des sujets qui ont fleuri pour la première fuis pen—

nt

met qui a été confondu avec un cephalium ; elles ont beaucoup de rap— ports avec celles de certains Echinocactes.

Forster ajoute, en outre, que les jeunes semis ressemblaient d’abord assez au Mamillaria Cornifera ; Pr mamelon portait une aréole garmie de 20 sétules blanches et 4 ps bruns, rigides, dont 1 in- férieur, plus tard autre É indie nnés, finissaient par velopper ; les aisselles étaient peu tic et soyeuses. Ces plantes avaient environ 3 cent, de hauteur.

La plante dont nous nous occupons a d’abord été regardée prince de Salm et Pfaiffer, comme une nouvel espèce de rh À cette époque, aucune des plantes de sa sous-division as ue çu ne

r re au

s tard, le docteur Pfaiffer, sur Fohepraion : un sujet qui avait été envoyé en es par ha reconnut l'erreur dans laquelle : était ui d’ ailleurs a aussi été reconnue en France e— maire . voir notes Re qui terrainent sont second Fe 4 . gen. nov, spec. que nov. 1839 ;.

nte en question nous est tout à fait inconnue; seul sujet fai

qui, à notre connaissance, a existé dans les Collections de France, it la belle Collection de Mo : il yest = depuis longtemps nous n'avons te plante, contrai-

cette Sulcolanata. Ce dissentiment tient à l'observation du docteur Pfaiffer, à celle de rs sb disent que les ; jeunes semis avaient assez l'aspect

du Mamillaria Cor à l'absence de sillon sur la page supérieure . rar et à aiguillons par les des-

cantha qui présentaient, dans u ppement de faux spadiee assez here at à celui qui est | pile de notre Mamillaria Cephalofora.

ed besoin d’êtr comparées a vec une observa » pour ere ri quelque chose de o! due a ‘seulement pour but d'appeler l'attention de ceux qui

primitif. Bien que les causes de ces cifformités d ierement con nues, À sage sont accidentelles en fondant les à

ces } blable à celle que LE | pépiniériste : as tes À un pégr in vent, avec le he en espalier. M. nt, nes hs a , de la germination et de l'anatomie que

- lues DR ali ut larges, coniques, port mr Demi pi

LA

3 environ, 6 pus pe, dot de 2 péri _3 du bas déjetés vers à peine

ds dy rare Ségo pendant à jme tachés de pourpre

à la pointe ; ils entourent e © enveloppent Ia plante d’uve telle fm. qu'il serait difficile de la saisir regie AOÛ. _ il n'en existe aucune :

alp. loc. cit. p. 98. —] Ai LS a LE ET: Subélenntz anne

adventifs, très- insérés sur la partie supérieure de l'aréole; les gr" aigui Fire environ 20 millum Rires aison. En Jum, Juillet et Août. Fleurs M de de Pombilie

“hort. Dyck., eult. ; p- 136. id. Mogv. ! Catal, snliqué @ié- Srréer comme ayant la fleur rose, semblable à celle de Mamillaria Elephantidens).

lobuleuse, So ombiliquée ; jeunes n SN Échs , larges, oves, aplatis, leur ur page : AM lobé ja à ste prob nd , d'un beau vert luisant ; ovales, immergées, garnies de laine b blanche, dont ils se _promptement, portant 7 à eprenrt romans très-étalés , s. és, en outre 3-4 adventifs, grèles, insérés vers le

, recourb de l'aréole, et enfin 1 dernier siguillon inférieur également 3 tous fauve âle.

ein de 5 ceut. de large, presque rare en us Ib le sillon.

CACTEÆ TUBULOSÆ.

en plein air au pied d’un mur sous une bâche, pendant rade était rentrée daus un En abritée seulement der- _ rière les vitres d’une croi croisée.

166. Mamillaria Wiokleri (Fort)

se Synonymie. Mamillaria Winkl care A. G. Z., 4847, p- L 4. Cr a ee Dre dqerre gs

. “hes nn globuleuse, d’un he en es aisselles mu nies de laine blanche a

Fe

és, fasciculés , insérés nu) es : de Paréole , et 4 antre inséré “1 fait au bas ; ÿ tous te blanc de paille, marqués de brun à la pointe.

Tioaison ? Fear de 2-40 miles, de diamètre; les RE 0 | Joides rouges, laein pen à Forster.

Tige haute de 16 cent, sur 9-11 de iii. ne 9-41 millim. sur 20 de diamètre à la base: sigilons _—__ de 10-143 mr nr intérieurs de 43-16 millim, . Floraison. En J nn etes comme chez tous les niits pa a joe , dans les aisselles voisines do sum ; , de près de 5 cent. de diamètre au de ses, 6 ecourbé rges

verdâtres, uées sur le milieu d’une large So SRE à

celles qui sont Diners oui t d’un jaune soufre; ramassées 3

filets jaunes: anthères safran; style de la rh des étamines, umnaire,

Mgr D terminé ou. 5 + som Fo nE res de la : nt la belle qe Sur es jeunes pin de cette RE le sillon ie res re : en deux lobes _——

je. Mavviliaria Cornifera De., Rey. p.H4.— id. Pfe, Da monoceras.

452 CACTEÆ TUBULOSÆ.

remarquable à la ap dont 2 supérieurs recourbés , ressemblan cornes de ee dernier À a, horizontal ou Séèch + recourbé

même un peu plu lt rt que les deux autres Cette ur est facilement htinble par ses mamelons épais, marqués en dessus un sillon, par ses nombreux aiguillons exté-

s per rieurs rayonnant, droits ; rigides , longs de 13 millim., d'un blan

Floraison? La fleur est, dit-on, d’un pourpre sale, Varrérés. Mamillaria Cornifera B. dre xicoma Salm, Syn, Mamillaria sr aroge Lem. Cact. in hort. Monv., cuit. + 5 * Mamelons és en dessus sur Hnié À eur longueur par un sillot, rrondis au char comme presses les uns contre les autres ; aiguil- re trèn-sombreus . entremèles , de prets Bees ant la plane de tous côtés, environ 18-20 couleur de paill e cendre, tout à fait ar els à la base, rigides, sans aiguillon ratéiele L'aiguillon der manque pas constamment dans cette variété, parfois il existe, alors ü est subulé à Er eur il affecte la forme d’une corne comme dan l'espèce précède Floraison et fleu Mamillaria fr 7- Mutica Salm, Syn. Mamillaria Radians

Ici, l'aiguillon sg manque constamment, et c'est le carae- tère propre de cette variété. Quoiqu’elle soit très-souvent gr dans les Collections avec la Mamillaria Radians De., peut-être à cause de sa synonymie, elle en diffère beaucoup tant par son port ue scies ses aiguillons.

témpérée rap ras plein air et pleine terre en pes exposition pendant la b Quoique rs et ses pe variétés soient déjà ee

depuis tongt mps dans les Collections , elle y a très-raremen ri, aussi ne a s rien de ses fleurs dont il n'existe aucune pa tion. Elle est d’une croissa ssez 1

sez lente, qu'on parvient à activer en Jui donnant un peu plus de chaleur qu'aux autres, Il est probable que, cultivée sur couche en ne terre à une bonne exposition ner : la belle saison, elle ne tarderait pas à nous montrer ses fleurs

169. Mamillaria Calcarata (Engelm.).

nymie. Mamillaria ep Engelm. PI. Hindi p«38, sub nomine us ü2, Sabm. im hort, Dyck., eult., p. 434, Mamil. à Sulcata Engelm.

e récemment en France naturaliste du multi de Paris; nous l'avons tion d'Engelmann. Dans Son envoi qui était exemplaires iha—

Cachetianus sers

vait deux Mamillaires tout à fait nouveaux : l'un que m ons Mamillaria Texensis, l’autre Mamillaria Dactilithele.. DR . Diagnostic. Tige Das: mamelons ons ov és, L SRE

: A droits, roma du de cendre, insérés au tomentum court, Promptement cadue ; Pire il existe 1 silo ce ntral plus fort, subreca ? Floraison ? F1 rtant du sommet de la À re au 1 milieu du

tomentum Ge" pass per Se ; sépales lancéolées, aewmi- nées, d’un fauve verdâtre à besds entiers; pétales she Lei US

» tiliés, érosés vers ee ot un peu roide , hr Res res dat ton rébgeétre vers la base, étamines à à filets jaunes ;

-

144 CACTEÆ TUBULOSÆ.

170. Mamillaria Scolymoïdes rene Synonymie. Mamillaria Scolymoïdes Scheidw. A. G. Z., 4841, p. 44. ëd. Salm. ee in ra et cult., p. 431. id. Forst. Handb. à. Cact.

. 250, (M ria Loric M à Mam. Hoteles hort. Berol. ? d'aprés For: M Patrie, Mexique mb eng die re: vs vert Jées aisselles laineuses ; mam dressés , imbriqués, marqués légèrement sur la page Pa a fr un sillon font; réa lameuses pendant la jeunesse , plus tard nues; aiguillons nombreux, ceux du bas rayon-

nants, déni. ceux du haut à anens bariollés. rigides à pointe noire, 1 central noir, gris vers la base.

+ Henriplion, qui est due au docteur Scheidweiller, est incom— plète Dyck. décrit notre plante de la manière sui- vante —. son ouvrage,

Il remarque qu'elle semble beaucoup varier. Il eee 12-18 ai— guillons extérieurs, très-étalés, ravonnants, 3-4 intérieurs rigides ; dont l'inférieur porrigé, recou urbé, et les. 2-3 anti supérieurs , ouverts, adprimés contre la plante et se coufondant souvent avec les er extérieurs,

Il existe 20 aiguillons et mème parfois davantage, dont 6-8 érigés, d'un TRE gris, ramassés vers le sommet de l’aréole, 10-11 rayonnauts, longs de Fes illim., tout à fait couleur de corne, plus forts que les précéden , tout à fait adprimés contre la plante, et eufin 3 intérieurs

i ie lus

nn. noueux, _— la base, les 2 supérieurs recourbés d'une remarquable, et celui du nr allongé, porrigé, parfois

k. Floraison. En Mai, Juin, Fseyne vi sg Pen très-remarqua— a grandes, atteignant envir amètre au moment de nihèse ; lacinies wombreuses, ee de lancéolées, aigues

les unes sépaloï ides, sg que ca au "+ entières, jaunes, mar quées eu dehors d'une | médiane rouge , les autres Péaloïdés sont à bords dentelés vers le us: jaune mere e en dedans et en dehors

?

columnaire, épais, jaunâtre, de la mème eouleur que ses 9 divisions ee , qui sont cyhiudriques, raccourcies et Er e ramassées pin

LR Er dans nos Collestions plusieurs. variétés dont deux Vu 1 tiges sont a. ces globuleuses ou à de elles ont jusqu’à 40 cent. de dia + mètre, » elles se ar ee surt out par la forme et la couleur de leurs

| intérieurs,

re à Scolymeides B. Longiseta Sa intérieurs = eu # cent. de nn ñs saut et fauves.

dr. ape à Same % Marge Fe ee plus allongés, Se Bi dar br noi ge er ?, Raphidacantha Salm Cette variété diffère de l'espèce et des deux pr réciliate pr. À 2 parte par ses 4 aiguillons intérieur NE CU ex L dus, LE Le ong ; flexibles , droi red

n _mélés, d'un due disphate trai “sparent , et aussi par % Sion ineux qui partage la face supérieure du mai inelon. Culture. Serre is Ghiver, en _rerdhe terre s ë notre M are

Se à 3. ects, à aïguillons intérieurs droits. 7-12 aiguillons extérieurs étalés > Ta yonnants, vigoureux, 13 inté= rieurs plus he » accompag, :més Re 3-6 autr es adventifs, | = grêles, droits ou frisés

| caelinhort Dyck re 133. _— ER

Synonymie. Mamillaria

Patrie, Texas. Totroduit t nous avons eu plu- sieurs fois l’occasion

qui précède, Diagnostic. Tige becs la base re 9 cent., hémisphérique, RE ae ombilic entièrement caché p

aisselles nues; mamelo

base (plus et surtout plus longs que ceux de te Mamillaria hero), m4 }, “Fe ee dessus d'un sillon t

s de tomentum gris jaune cou assez rare pendant la er Du tard se der complétement _ portant 8 sipiions droits, assez forts, assez particu |

; tous sont d’abor ramarents, ar rer Ar inat tout à ir Girls le soinmet Tige de 9 cent. de diamètre à la

Mu Synonymie miilaria i Méklenp£. + ë- Zs ar, 97. _ id. Salim. Cact in in rer free pu À p- 133. : re j

Dire. Tige + vigoureuse, robuste, à grands mamelons , prolifère à la b: aisselles larges,

tomenteuses ; mamelons d’un vert glauque, rands, environ deux fois plus longs que larges, subprisn supérieure pr! rie creusée par un si illon , pr

tiques, la face su

bilobée ; ce sillon est pubescent, il est <a oh ou de plusieurs &landes ; aiguillons vigoureux, insérés au au sommet d famelon , laune citron tirant souvent : sur le blanc, plus tard se Sokértant de jaune

gutte ou nr de brun ou de noir à la pointe, 8 extérieurs peu réfléchis

> droit, très-vigou atteint 8-10

+ à

iguillon _——. + : de 1 o É 8 aipuilns extérieurs , roits, en pr a quefoi -3 aiguillons Ro «2 te, insérés vers - é

,

pie Te __

de laine abondante; mamelons très-grands et très-larges, émoussés,

sphériques et presque partagés en deux lobes es sillon laineux ; immergées

e _ l’âge adulte, on aperçoit en outre 3-6 aiguillons adrentifs longs de 4 cent., grèles, droits ou tortiliés, insérés tout à fait au sommet de l'aréoie et ‘semblant sortir de l'extrémité _ sillon. de: Prune perdue aujourd’hu :

sous-genre, Pelecyphora (Ehremb.). Pelec ni es . Bot. Zeilu ohl e al}, TR Le. Her nt -2 Ales sde du 27 _. Sum. Gaer. a hot. ere sg p.5.— pee ner cire. Fe —.. fu nes réniformes. Cette = nee deux foi Fr erraen première fois à Monville, la seconde fois près d'Orléans, dans la belle Collection de M. PREREE, de sas S malheureusement la

Pune ni dans lPautre ner nents que nous ayons Fe Monville, ii ma dit que la

| Tige pren haats peti ite, devenant rameuse avec “Page ou plutôt multiple , entièrement recouverte À ses tubercule ,; Mammiformes ; ai

scutéle, cartilagineuse, ellipti marqu le sens

auteur par un sillon profond qui semble la partager

ete terminée dans son contour par des barbes car-

tilagineuses, blanches, sr rD Em aiguës ( peer à oporte).

Ce sous-genre est représenté par e espèce u unique ; peut-être, à l'exemple de M. de Monville, qui a dàù obser- ver la fleur, eussions-nous en faire une Mamillaire; mais, comme lui, nous n’aurions su la placer, elle ne

résente aucune analogie dans ses caractères extérieurs

À plaçons, nous avons été guidés par son sarrnce ges pour la place que lui assignons genre, la forme des me ns tes la rapreshe des Mamillaires ; i __— , la st re de

ne Aselliformis cet) . Synonyrmnie. Pelecyphora Aselliformis Ehremb. (Mohl et Schlech journal 4843, 43, p. 737). id. Mitiler ., Mas. 2e vol

figurée, id. Salm. Cact, à in hort, Dre. cel dr. Cact., p.257. Mamillaria Asellifer se Catal . Patrie. Mie

ji Re Fleurs? On k ls dit roues

ra OU |) +

i les garnit, L f tenvoy es

en ; st arririeqnt morts; M. Ehremberg , de Berlin,

en les observant, eut l'heureuse idée de fouiller les aisselles des aréoles

au milieu ie trouva de nombreu euses graines qui germèren: ent

qui Nr dans les Col-

ri 2e Depuis, cette plante a été envoyée eurs fois; M. Odier

l'a reçue d'un ‘collecteur ee le 25e À Maigré cela, notre plante est restée exirèmement r et le nombre des sujets qu ’il serait

; il pere les etes d'Europe est encore lrès-

sous-genre, Anhalonium (Lem.).

. Synonym y7ILe. vus Lem. Cact. gen. nov., p. 4. 54. Hort. univ., t4, p- 23 . id, Forst. Handb. = Cact., p nd id, Salm. Cact. in id. Monv. Catal. 1846. Ariocarpus Scheidw. Bull.

“hort. Dyck., cuit. acad. Brux.

S 3

lonnées sur le tube, dont elles ne a le est cannelé

et.

La pr est acaule ; sa racine est napiforme; ses es semblent toutes insérées sur le collet de la racine, hat à leurs re plus épaisses vers le som- , formant un delioïde ere

ne les éloigne des Mamillaires ; au contraire, tout L semble les en rapprocher. Est-ce dans la baie qui est ps AS Ù dans l’analyse de la fleur, que Lemaire a trouvé dés rai- sons suffisantes pour créer un genre de plus? Nous avons étudié avec soin les caractères différentiels qu’il donne pour les Mélocactes, les Mamillaires et les Anhalonies, nous ne trouvons rien, suivant les règles de la née qui autorise à une pareille division.

Ici, comme dans tous les sous-genres qui constituent R genre Mélocactes, le calice est ra 22081 nhéne Le infère , tern 16 À son sommet par des lobes =

ANHALONTU.

n'en: envi pas dirméue Gus les flots des . | la baie et le tube y sont lisses __— ee à.

Ni loc narar

242 109

ifs suffisar Re _ | pourquoi on ma pas créé des en 1 nouveaux pour les Echinocactes et M: stigma ? Dans li; nce nous sommes encore sur es. -

de Cactées qui sont cultivés, il serait utile de ne pas mul * mets genres à l'infini, comme on le fait encore, en sur des différences de fi et d’as :

CACTEÆ TUBULOSÆ.

groupes et divisions, il est admissible qu’on se fonde sur dai

des différences pee res de forme et de disposition dans les organes. ce ACIIAI QUES Cu citant nos deux E {+ ni 4 A: £es le squelles

Lemaire s’est fondé | pour créer le genre ivshiiainat sont tellement secondaires, que des différences analogues qui

demain il se rencontirait, dans un envoi, quelques sujets #’Anhaloniom pourvus d'aréoles parts des er a nt insérées ë

alonium Pulvili

Songe en angle res bout es. à pes ose légèrement dehors dans le eur longueur, à à bords entiers ; page 4 -

Jaineuses et sommet muni d'une arée

milles : ressemblant beauconp pour la forme à celles du a Perfoliata, moins ct l'épiderme est formé d’une Li. use mince ; elles sont larges de 3 cent. es base sur 5 de

peut-être plus de soins que les Mél dans une bâche sous chässis dans sem re. É4 direc ARTE. ra à . _e ra famille rap Cactées nt - gp sont peut-être les plus délicates et aussi silos qu exigent cle ps 4

Patrie a introduit par Clean 186, 1 a à 1voÿ plusieurs fois depuis

Diagnostic. Sans 7. eu radicales, insérées sur le ilet la. lante, riquées :

prismatiques , allongées, uue

de la manière suivante :

454 CACTEÆ TUBULOSÆ.

Floraison. Fleurs desséchées et ramollies dans l’eau chaude, d’un ee semblables à celles des Mamillaires, jaun es ou blanches ? pour- ehors ; g=* du périon nthe nul; divisions larges, lancéolées ,

a nombreuses, à mivées; sans squarimes; étamines très-nom— breuses, courtes ; ‘filets blancs ? Renée pc style blanc; stigmates ? ovaire plan, comprim iculé la fleur par un

er. ovée, ne PAR rose s-lisse, largement om- biliquée vers le sommet ; por pires ves ice ‘de la fleur ou du style, dela forme = Fa la étre de ceile de Magnets Cory- is ; pulpe rare, blanche; graines très-nombre ires, multi foraminées, mhiables à à celles de quelques rhhastes de l'Echi- _mocactus Ot omis, savoir : présentant la forme d’une ones un peu contractée vers le Eee pulpe violacée et abondamme pere Jactescente , elle por e plusie urs radicules ténues vers l’estrémité ; cotylédons is épais, examinés au moment de la Pie

Au premier aspect , . plante bizarre ressemble à un véritable Aloës, surtout à l’Aloës Retusa, Les caractères précédemment établis léloignent de ce genre et Su rapportent , sans aucun doute, au genre Cactus, savoir : les fleurs et les fruits axillaires, sessiles et solitaires, entièrement semblables à ceux des Cactées. Tous ces en. or bien

cent près des Mamillaires à cause de iflrescence * axillaire ; re ce que j'ai fait À ge ce Les que je re om suffisamment distinet des autr es (Lemaire, Cactearum ee nova speciesque novæ , À Culture. Comme Île précédent.

4, (Salm). Syr nonymie. An lonium Sulcatum Salm. Cact. in hort, Ps: cult., . 78. jura ess _ her ,; Catal. Monv., 1846.— Anhalonium tebubeyt Lem., Hort.

À Patrie. Mexique. introduit en 1845 par Karwinskii,

Diagnostic. Sans à __. fasses imbriquées et disposées en

: si Lara rès-re lan s la base, puis s’épaississant

re deltoide,

ge tagée dans ut les bords sont nets et d'une apparence in d'une cou- 2: (ds cærulescente, pulvérulente; aisselles très-laineuses. Feuilles petites, imbri » ressérrées , recouverts pe: croûte 2 purée, | page supérieure en partie émoussée et

sens de eur par un sillon laineux, profond, gs du ki pd fendu de la biche, ayant au plus 5 millim viron 2-3 cent. de diamètre sur aulant de hauteur. On dit la fleur de dimensions énormes

*ANHALONIUM.

Collection de M. Mallet de Chily, à Orléans, l'a Collection de M. de Gourgue, près ne Tous Fous deux mc Frauce par M. Cels, horticulteur près Paris, cl

Afin de ne rien changer à la ET en cu sans nymie déjà si embrouillées des Cactées, nou

déjà adoptée par nos devanciers pour désigner le groupe des plantes qui le composent. Pour eux, ce groupe s'élève og de tribu.

Je

M nous lavons indiqué < dans notre préambule, et raisons que n s exp: cord

LEE

456 : CACTEÆ TUBULOSÆ. lincte sur toute la surface de la plante;

elles sont séparées les unes des autres à partir de leur ee Alors

escence aréo- laire (comme nous le pensons) et ses feuilles distinctes ;

_ laissant les re esl axillaire, ainsi t Vin i =

que les Peirescia don

quand elle n’est cause 5 gs fleurs rotacées. sous l'influence d’une habitude acquise, sem-

_ blera-il peur rationnel we regarder les Pelecyphora et les

me de imples Mamillaires ; nous-même nous a7ons tellement hésité que, dans notre classi ification des

absence d’analyse

et dans ce qu ui précède, nous en avons s fait des sous-genres. co x ae

core

u Pelecyphora, s botaniste _genre à cause de la forme et de la consistance cartil

à Lébadif ou 8 Php viennent er des caractères différentiels pre la Her, de ensemble des à différences ses de cu deux .

ANHALONIUM. 457

est-ce dans les dimensions, est-ce dans l'insertion des étamines, est-ce dans l’évasement du pistil? mais les mêmes différences se présentent encore entre les fleurs du Mamillaria Galeotti et celles du Mamillaria Elephan- tideus et autres. Alors Be si ces raisons ont été admises comme suffisantes, dans le cas il s’est agi de créer les genres Anhalonium et Pelecyphora, ne le se- e genre Mamillaria en ac ères différentiels seraient pour

us."

rigueur que la plupart de celles due es aujourd’hui, seront venues nous —— sur riens: impor tance.

En nous fondant sur ces raisons, nous proposons + réunir touts Les plantes es désignées sous les noms de ; Mamillaria > Pelecyphora, Anhaionium,

ii Tubul

La dnpneties À ges unes des : la partie inférieure de la tige mammiformes s

458 _ CACTEÆ TUBULOSEÆ.

_

d’être également Sous-genre à la autre, celui d'être constants et nvañlables dans tout le genre nme ils sont appréciables même sur

eraient, ce nous semble, un

Je ne puis passer sous silence quelques observations dues à M. de Monville, que je trouve relatées dans le tome 2 de la 1°° série de l’Aorticulteur universel, page 367 : «Une observation on importante, M. sur l'insertion florale des Me- à locactes, et de nn: à embrouiller encore plus les caractères de la à. , ést M. . e Manille. Elle prouve sue dol e et des pme qui , depuis lui,

a supposition que . cactus , sortaient de us mêmes

me + 2). critiques + Let: it sh adressée à au : prince + Salm ma.

.

« J'ai fait mème observation : Obtsipalans, rm très- voisine du Meloc. Amœnus; Il est bien vrai

ANHALONTUM: * 159

. -

sur le cadavre dut Mélocsctus

D'après une nouvelle observation, il semblerait, au contraire, que les elocacti seraient très-voisins des Echinocacti, rh ils ne seraient plus séparés que par la

un cephalium au lieu de pour cela faudrait-il su tenir {les mamelons

persistance des touffes laineuses qui constituent l'accroissement de la tige; et its dont je viens de vous entre

F3 à. . 3 PL. 4e

Ft dont ln sie

.

gétale nous présente exemple. Dès lors, lésion du __ d’un

î rt ces : à 4 K presque

SZ genre,

LEUCHTENBERGIA

à (Fischer ). Synonymie. Leuchtenbergia Fisch. me es Botan. magaz., t. 4393. à. Sal. Cact. in hort, Dyck., calt., . L'introduction récente en mn une. pue blable à cel introduire |

LEUCHTENBERGIA. +

de sa description qu’elle doit, sans aucun doute se ranger dans la famille des Cactées, mais le rang qu elle doit y oc- cuper dans la classification est difficile à déterminer. Sa tige | tuberculée , ses tubercules allongés d’une facon toute

le principe, rh tout à fait l'en éloigner ; ces derniers caractères nous la font regarder comme plus yoisine de la Re des Cereastreæ

du _—— Leuchtenbergia, donné par Hooker (Botan. mag; À 4933), ne tire aucun de ses carac- et diffère du genre Gares, fleu ur présente un tube plus grèle Sr

test bee les cicatrices des premiers écorce de couleur cendrée ) 7 . tuber sa partie supérieure. ou tubercules | aisselles, très-allongées (de 10-45 cent. de vs) érigées ouvertes

162

%

CACTEZ TUBULOSE.

caduque, et ns sétules plutôt de 67 barbes dumarées: flex xueuses , linéaires, étendues iquées en ar en outre une intérieure, isolée, plus vigoureuse, articulée, 1 0-cent., toutes de cou- ée ressemblant au chaume, plus ou moins élargies à à la base,

a à bords relevés rs gouttière, scarieuses (Nob.). Flora ison ? Fleurs se développant aux aisselles des tubereules 1, , tubuleuses ; Le cylindrique, allongé, de 11 cent. de lon- 5 lacinies inférieures res (celles qui en entourent Fo ire) squammi- la t'et nr t_ grdve e

rié ir 9 division isions 3 tigmatiques, liné

Nous n'avons jamais ‘eu Voceasion . «qui n'a pas encore à nt ie _premier sujet qui a ét

cription, à ps double res rejetée, à Eu que celle-ci

juniorum, au lieu de : : Flores | ex rs .

pendant l'hiver, plein air sous bäche pen-

exposition. Le sujet dont il a été question plus

é dire au À ar de séparation des feuilles veau

» ils apparaissaien rme de petits + jaunêtre, peu sed ils ont montré eux-mêmes drageons, séparé

CACTEÆ TUBULOSEÆ.

_# genre,

a | ÉCHINOCACTACÉS.

Synonymie. Echinocactus Link et pe" der ee fr v. 3 nes “AE en gn. Miq.

Tu G Cact. gen. nov. fascicule À et 2 id. ns mr Pa cult., p. is Fo

Discocactus ct, nov. nat. cur. XIX, p. Cact. Fe het i Dyck, cult., p. 24,

Fruit tantôt nu, lisse ou , tantôt revêtu di laine, de soies et Pics mou ou dur, à pulpe peu Dr: graines de forme niduiente , à cotiédons

coûnés,

par la division des p remières côtes; trs us 2 Mbngées vers le haut par un

entre eux sur la même

1: sous-genre, Discocacens (Pr)

Synonymie. Discocactus Pfr. Re UT id. Forst. Handb. dr. “ass # ue id. Lindi. id, ae Cact, in hort. Dyck., cult., p. 22. . Lem, en univ. id. Monv., Catal,

Mig., Cact. gr me

Tige charnue, simple, déprimée ou placentiforme, dont

les feuilles ne sont accusées que par la présence des aréoles, à côtes peu nombreuses, see la me Arr ce cran, et win se terminant au somm

: aie ti id. 2. Fors. Handb. dr. Cact., PS. d. Sal)

, de tomentum jaurâtre, ue tés-prompte » ment nues, portant 7-8 aiguillens Het, dits sque dr mer em d’un beau rouge sang brillan u en “naissant , ensuite Rose sant, devenant noirs, et enfin gr supérieurs en 4 latéraux plus ar Re: pad celui du bas très-rigide , comme marqué en dehors d’une carène sur toute sa lon—

ne _ La tige est s rsliborée, elle est haute de 5 cent, et atteint 1316

lement par la présence des aréoles,

. aréoles portent 5-6 aiguillons noirâtres vant plus tard ice de gris Ends , les 2 _ haut aussi le troisième, sont grèles, recourb se le haut, les 3 inférieurs sont vigoureux, t “rigides ; sub , D recourbés, celui du bas ne Pa a que autres, dés : ou

Tige déprimée, de 5 cent. de haut teur sur 10-15 cent, de diamètre :

les fleurs se bone sur les aréoles, au milieu de la laine abon=

garnies pendant leur première évolution senle-

et dont l'accumulation forme un

LE re & [H£ ‘n

_ Synonymie Lien ae pr 6 ne 3. Per Pfr. __ _. ges Endi. gen t. gen. nov red |

CACTEÆ TUBULOSÆ.

rate

ln me cotylédons poires. connés ; aigus ou glo- buleux.

Tige dstaue. déprimée ; globuleuse, oblongue ou €y- Bndrique ; côles plus ou moins s nombreuses ; feuilles ou ules portant des aréoles plus ou moins distinctes, rarement indépendantes, rase en gr verticale s

soir; baie plus ou moins squammeuse; squammes for-

mées par les iikénies inférieures et desséchées du ee “Un caractère important dont , selon nous, on a ten

) peu de compte jusqu’ici, consiste dans P érokillies

| que par À ou

Ps or ir le ce de .

A. - PSECOCEPHALO DEL. |

ue mn

ue mous, les cas, t ; a bese. ils sont trie sur les jeunes aréoles ! accumulation, forment le faux cepbalium de gs p qui ont êté observées appartiennent en général aux plantes de la première * Vivre: li ces plie. à sage

et molle. Celles qui ont été observées dans la seconde us-division peu ne” mêmes caractères, mais re moins.

distinctement

aréoles s pendant la LH et ut, pendant le ne peine de er joe mat ent

Fleurs à tube court, sans écailles, mais Se blanes et de quelques soies brunes ; baie lisse et ane

2 Corynoles ut Handh de.

E 18, CFE ge

an

prisée, ullese attaué àla Di hs, a | ombiliqué; siilons étroits PORN 4 les j

# % Fu

partant 46 côtes, à s : rennes

sont d'un jaune soufre,

D rl cephalium ; restent à moitié cachées; ces fleurs attei- moment de | ‘anthèse, Fe s'ouvrent et se Fi

sont nombreuses, rouges, filiformes ; les anthères j jaunes; le style, plus

es que les étamines, est jaune soufre, Lo est terminé par 10 divi—

ne sions stigmaliques épaisses , coccinées ; la baie qui apparait au milieu de . ne 70 cephalium , est tout à fait —. oblongue, d'un rouge

Echinoc, Corynodes B. Erinaceus Nob. Syn, Echinoc, ui Sn - Malacocar pus Cory nodes 8. Erinaceus t. Dyck, a 441.

. Elatior, % ( e Monrille dans son

, à do us cart à se aigus, recourbés, ayant de 10-18 pare de I aréoles nombreuses, i cree gées, éloignées de 10-16 millim, vers 1 ilic, m munies de omenteuse | un jaunâtre, se udant pramplement ; sn ER sont d'abord en naissant d’un peines brillant à

en jois on. Pendant tont Pété, Se dévgpant

ï anétés. Echinocaetus Teghracats 8. Couranti

Mon he plante doute, de tonte celles qui ont été les,

à permet le: es w= reconnaitre notre Echinocactu te plus spécialement

* Synon onymie. Echi inocactus Sellowianas Lin Otto. F. a V. +, À id, _ enum. me: 55. id. FT t. a + Fr st. Re pe D us Malacocarpus s Géliowianes in de : in

= Echinocactus $Sessiliflores hort. angl.— id. Otto » 3569.

Botan. : er: Patrie. _— Montres. 10-18 suivant Vie d'un vert presque » past sommet laineux à peine ombiliqué ; sill

à fait rs : na vigoure ivergents _somm réole, plus rie pavies ; . de eee sur “154 4 rar aiguillons pitfia 1 ce

à Abd de lot réciie que pr ses 6 3 sr sement

obtnse pprochée:, les ne us jeunes laine blanc et de - re ge Rae ne fins, droits re ne pai celui du 226 rte 1 Re

Tige de 10 si sur 44 e re siens + 13 miilim., hs À du bas long de 4 cen Floraison ? Fleur?

_ Cette plante est PR de rare et n'existe bits un

dans nos un sujet trop ss drag à être décrit, il est mort gars je ne puis done donner ici que la descript “donnée

eur que ses angine a d'a pie de cu den

- Synonymi actus Acuatus Link et Oito.— id, Pfr. enum p.54. . Fonte “Handb. dr: Cact., p. 344, Malococarpns Salm. Cact. ne cult., Catal, 4850.

RE er seen À “A. ne. subrayonnants , jaunes, 4 intérieurs rigides, _plus longs, pen jaunes, mais d’un ton de gomme-gutte Le rs moncé, celui du ut trèseours,

174 | CACTEÆ TUBULOSÆ. |

6. Echinocactus Polyacanthus ( Link et Otto).

és nymie. Echinocactus Polyacanthus et Otto. ie Cr. à + & fée Li Malscogerhe D me Sahm. Catal. —'Echinoee + Le

Polyacanthns Pfr. enum., p. 52. Echinoc. Langsdorfii Le nov. :

nat, cur. XVI, t.13.— id. Forst. Handb. dr. Cact., P- 3H.

Patrie, Brésil, province de Rio-G .

Diagnostic, Tige ovale ou mbeiniriqu, verte, portant de 18-30 angles; côtes crénelées ; sillons profonds, aigus;

tard dans Ite

; 68 aiguillons extérieurs divergents, 3-4 in. k drGi ri , Couleur de c

La ge. décrite a 30 cent. de haut sur 16-17 de diamètre les

éoles sont d: les unes des autres de 9-11 millim.; les aiguil-

D au ont 8-10 millim. de uns ceux de l'intérieur 13-15.

_ Sur les sujets originaux RS per u pays, ils sont beaucoup plus

lg, ils alte __ 30-35 millim. à de longueur, ils sont de eculeur

di ice comme ns ; elle atteint 3-4 cent. de _ long sur 3 Re +. le a 13 millim. du de : nm es sépales sont RES Fe nmbe,

division: fe

beolumnaire ; “FF, . ou nt t parfois |rngueux avec qe côtes subve complétement effacées vers la base de la plante, eee ae sont ordinairement ers le sommet de la

ECHINOCAGTUS. 475 Diagnostie. Tige ellipsoïde , d’un vert blème cendré; sommet lai- à neux ; 10 côtes, côtes peu convexes ; aréoles contigués se se touchant j | | eonvexes, munies de tomentum noir; 5-7 siçuilions extérieurs r ÿ | ._ Bants, peu d'abord couleur

et les 8 Fi apeer pendant l'hiver. pi air en —…_— w sition pendant la belle saison, = :

8. Echinocactus Malletianus | (Gels).

Synonymie. Echinocactu actus Malletianns Cels : ne < Sn ra PATENT -

Patrie, Le Chi. DRE par M. Cels.

Diagnostic. Tige déprimée, globuleuse, vert gai, recouverte d'une croüte cra crayeuse ; sommet laineux ; 15-17 côtes, côtes aiguës en dessus, sinueuses, convexes entre les aréoles, tubereulées dans 1 leur voisinage, dans la partie inféri kR mn rugueuses ; aréoles : les do: tente ie fo cé; :

et] prie nie. :

nonymie. Echinocactus Pfr.— In Abbild,, 2, tab. 44, am. Caet. in hort. Dyck., os se Patrie. _—. Introduit par M. Bridges.

—: mp ge conique, vert sale, atténuée au seapars ge est garni de laine très-a rès-abondante ; 10 côtes lunes. obtuses ; rap— prochées, presque contiguës, grandes, ovales, munies à à laine re Vin neuse abondante , ‘blanche fauve; les aiguillons tous rigides , os

_ bruns gris , 7 extérieu rs rayonnants (celui : du haut manque), À plus long, plus ren L

Cette plante difiere de l’Echi chinc ‘dont elle est voi-

sine ei ses date plus hotes D par ses aigviliens plus visou-

© Prin? Fleurs? Les lacinies pétaloïdes irré en dehors; style à 10 divisions, d’ailleurs assez l'Echinocactus Echinoïdes, surtout

nombre de forts, he ca couleur grise brunâtre, É IST de price ui, celui du centre érigé et long. _ Les fleurs sont de forme irrégulière et de couleur jaune-pâle ; le. _..

: gées en p les du pali, # 3. extér jeur. . de la corolle jaunes; les filaments et les ms …… Panne épassent un peu le style terminé par 10 stigmates © Culture. Serre t pan ap rat. plein ai

"4 l'été. F4

ns Sal. Echi-

Le

cult., p. 442. - Echinocac! tus nee B- nocactus Pepinianus Y. Afinis Mon

ri

Patrie, La partie RES de la Bolivie, Introduit par

Diagnostic. Tige oborée ou ellipsoide, vert cinérascent ; sommet . laïneux ; 15 côtes, côtes convexes, sinueuses , enflées vers les aréoles : . aréoles s

tral, s de près D res épais, ronds, d'abord fauves en las, tie 1 de ge à la pointe, ensuite cendrés, à a er More, on? Fleurs 1

0 : Culture. Serre mérée pendant l'hiver, pin ar en ane e 6 sition pendant l'été.

5 ÆEchinocactus Echinoïdes (Gels).

Synonymie. Echinoc. Echinoïdes Salm, sd Enct. à in à as cult., p. 144. Echinoc ve. Pepinisous d- Echinoïdes Monr. Echinoc. LE PEN Te ET

‘Patrie. La Bolivie et le Chili, . Diagnostic. Tige hémisphérique, ra -blème; sommet lai _neux; A côtes, côtes convexes, larges; réoles très-serrées, ovales en travers, 1 un D Loneninm foncé; 7 hum eur rs

A

: artérés. Echinocactus Echinoïdes 8. Pepinianus Lem. Echi- nocactus Pepinianus Mon. id. Cels.

CACTEÆ TUBULOSÆE,

Peu différent de l” Culture, Serre tem a ces Hs l'hiver, SEA air en bonne pi re 2 : er arrae de Re Pepini Cels, % LE

: Digne. Tige “lime. g'obuleuse , vert livide, laineuse an - sommet ; ) vexes, subsinuées : aré serrées, subnues ; 7-8 aiguilions | dénithents tous d’abord noirs, ensuite cinérascents , très- bés comme une corne, , entre

a Cinerascens Sa ln Coc. in hort, Dyck., DIR Le Eine Ces scens Sale

ostic. Tige subglobalense, vert Hvide caiesst? : ES cire

entre elles ; sillon aigu ; aréoles distantes de 6 or à rondes, munies 7

de tomentum cendré ou noir; aiguillons ex en rayounant, longs de 6 6 millim. , ceux du centre 8 cent, de. lou, érigés

Floraison. Fiears rar eye lacinies extérieures aiguës

rouges à leur es intérieures dressées , lées, érosées ; as ro fistuleux à # se érigées, jaunes. Culture. Serre pure pendant er, plein air en bonne expo=

sition pendant la belle saison. 1. ‘le précédent, il Jonas un peu plus de chaleur que ses congénères. 14. Echinocactus Horizonthalonius { Lem.). x Synonymie. Echinoc. Horisonthalonius Lem. Icon. li Eu 088 se id. San. Cet. in Set. Ps : cuit, ee p.i inoc. Shode ëd. Hort,

plus jeunes pr. ce 3 en en fossettes sg fères ; 7 aiguillons, dont 5 Per ve lies: 2 supérie trèsvigoureux , subulés ; les jeunes d'un jaune blanchâtre On SE : les adultes striés annulai: rement, presque droits, le ren er Côtes, 5 cent. de large, se rétrécissant peu à plaute ; aréoles pourvues de _ è

hât : assez abondante vers lombilie pour * duier à cephalium naissant et d'où sortent les fleurs ; aiguillons de 2 à 2 et demi cent, de long , le médian et le médian inférieur on peu plus longs. 2 aison ? Fleurs. Lacinies ram “linéaires, acuminées, à la ae noirâtre vers sers la pointé; Des à ee à ke cées

op

CACTEÆ TUBULOSÆ.

Vartéré. Echinoc. Horizontalonius 6. Curvispina Salim. ch difière par ses 8-10 0 aïguillons recourbés, CR du bas subaplani,

| Lemaire a donné, dans son _ hie des Cac une fort belle

«AS a élé dessinée d’après un sujet adulte qui Fait partie de la Collection de M. de Monvilie ; les jeunes sujets , même en état Le fleurir, ne présentent pas tout à fait les mêmes caractères dans la

nn le car digunq ce n’est que plus tard à a 2 m9 subglobuleuse. A ce Se sg

am de ro que a dx trouvent dans éuie Et po de pie ri mp

et _ l'hiver, plein air en bonne expo- Pc la ER

Les plantes de cette section, soit à cause de leur nouveauté qui ne leur a pas encore permis de s'aclinater: comme le sont les Echino-

sition “>

SEE ét ee àc red a Pre peu Se de ET

reste my us tard , s’il nous ils prendraient une

si

TR

ss disinetfs ou ge 4; ve adnlie : pod les premières anvées,

détermina quand î nat de distinguer les. ar de cette section de celles qui appartiennent aux antres, lors même qu'il s'agit d'un semis semis d'aue ou deux. Les côtes pe” can comprimées, les rer k convexes entre les aréoles, l'insertion de celles-ci sur les Ke aiguës produites par ces sinuosités , leurs aiguillons FA on déjà vigoureux, présentent des caractères nets et tranchés qui per- Re ra pe ss tsagée cune hési=

* XPRACANTEE, | a | AIGUILLONS ALLONGÉS EN FORME DE GLAIVE. à.

genres, silantee, Le 5 _. ve rest 2.

émonussées : sillons large 5 aréoles très -rapprochées : ss

aignilions le ren souvent vigoureux, Laos dre druits de _ oral ou lisses

décrits. J'y

phus, elles sont écailleuses, jaunes, cunéiformes , à celles que j'ai vues paraïssaient molles et flétries, aude)

Echinoc. Flavovirens Scheidw. A. G. Z., 48H, p- 50. ne a Er Cost. in hori. Dyck., rs ee Forst: Handb. à Handb. dr.

p- 329. Echinoe. ag racanthus

D nn p- 135,

CACTEÆ TUBULOSE.

| Culture. Cette plante est délicate et d'une végétation lente œ

_ notre climat, c'estpeut-être à à cette tn que nous devons

ne l'avoir jamais vu fleurir et qu’ 'elle est restée trés-rare, quoique roduite

très-anciennem C'est par à pour cette plante et quelques-unes qui, comme elle, sètent très-lentement, qu’il serait utile de construire des x béchit en « riques , chouffées en dessous, dans lesquelles il serait possible de ltiver les en pleine terre pendant plusieurs années de suite Le re pal est à regretter que nos Musées à dm e re Maps core rich essayé pour cultiver ainsi Les Cact 6.

S - . Echinoc. Pfeifferi Zucc.— _ ja. Pfr. enum. diagn., p. 58— id: Ab 73, t. 4: Echinoe. Mamillari ioïdes Hook. -— Echimoc. Theia- canthus hort. Mony, Echinoc Seth Len. = Echinoc. Glau- cescens De.?

ie. Mexique, sur les rochers près de A re ostic. Tige oblongue, globuleuse; 41-13 angles

bord gris plus _. , d’aigui environ 43 _—. 5 à den . Dore en travers, les jeunes j: a tonte la longueur, adultes roussâtres

#

verticales, ornées de petits pinceaux de laine, rangées par z vorsales ; “aréoles éloignées , saillantes ; 7 aiguillons droits, 1 central.

des envois quiet

| Culture Serre tempérée pendant l'hiver, olein air en bonne expo sition pendant l'été. Cette ere à aimsi que l'Echinoc. Flavovi

_ demandent un ee plus de chaleur que leurs d’ailleurs toutes d’une végétation lente

NE = CACTEÆ TUBULOSÆ.

rtie inféri ; aréoles distancé de 2 et demi à 5 cent. les unes des autres, oblongues, all lela des f: g : tomen- tum roux très-cour! , promptement cadue; 9 aïiguillons (rarement 10, et alors le more est 5 rm plus ao très-vigoureux , sub— anguleux, r ,; très- pres epuis la base presque jusqu'a la ns enveite jau trans es couleur d’ambre, 8 rayonnants, dont 4 supérieur Led ement apla cent, et deini, 6 latéraux presque égaux , très-recourbés, le huitième tout à fait en bas, un un peu plus court , 1 central, horizontal pee Br rats à la base, _—_— 8 cent.; tous striés transversaleme un peu

qui peut “aid à daiteiee cette plante de celles qui lui sont

es et qui st ressemblen t beauc ns ce sont mets euverts

_ en se recour colorés à la cales à de couleur chair mranet (et surtout “aiguilon ur +

Floraison ? Fleur.

S:

“Dans cote variété: ie siouilins sd d'un rouge gaie, —… nr CE

er

LÉTÉS. agen ares Gilvus Salm.— rm < G. > P-

Tomentum ss pis assez ere roux , Qu = co, roux

an striés , subules , brun-cinérascent , à pointes tout à fait brunes, de 5 _— 1 central érigé , horizontal ou défléchi, d’environ 8 cen

Peut-ê

himocastue Æystrichacanthas {Lem.). - Synonymie + Echinoc. Hystrichacanthus . Cact. nova, _ y Salm. Cet hort. Dyck., cult., p. Re en mi :

», Dissert. d de La Se. hort de Ben, vol. PNR figuré? Patrie ? Diagnostic. Tige globuleuse, s subconique, à du sommet, pen es me SE très-vigoureux oblongu

à

dorés | transparente, striés. Floraison? Fleurs?

Il existe, …— les Collections d'Europe, des exemplaires qui ont . - 80 cent. de : diamètre et qui n’ont pas encore fleuri. Cr

Côtes vi ses, aiguës, D cent. , légère - aréol. da. ie : sen }

CACTEÆ TUBULOSÆ. :

ee Echinoc. Sorste nent Echinoc. Subuliferus hort.— Echinoc. Pa: 7 eratus Karw.— Echinoc. en cheidw. ? a

Patrie. Mexique ,; Oaxaca, T

Diagnosti ic. Tige claviforme; “ape v# vert foncé ; côtes prenne

és striés transversaleme celui du bas le plus grand, 14 extérieurs popermeents, ceux du haut _ grèles, les 3 inférieurs un peu plus vigoureux vigoureux ; tous presq Fleur ? _ fruit. ae en 188. était long de 3 eent., Jarge de 48 millim., Il était garni nues, ouvertes, et Ériait les restes du périanthe, dont les lacinies exté- rieures étaient sus. re es ; les intérieures, d’un jaune sale, étaient - Jancéolées, avaie on 3 cent. de longueur. Aucune fleur na été done en

plante vient de fleurir à pme près du Mir; chez M. Des- et ; la sers a environ 60 c t. de haut sur 50 environ de dia=

Malheureusement sa “ie n’a D été pe - Desmoutis Et de nt au moment de la florais

Vanrétés. Echinoc. Pilosus 6. nt Salm. Hehinoe, Stenesié | Hook, ser re hort. angl Cett difière du type précédent par la disposition moins sin rs siuillans js poils qui disparaissent presque complé- tement. Connu en France par un jeune De du magnifique sujet du Jardin de Kiew , et introduit par M. L'auteur Hooker, dans la deseri age ‘cette ae dit que le sujet aq 4 aiguillons par aréole , caractère dont la constance con— ituerait une espèce bien distincte de Pbinncsus Pilosus. Quoi

qu'il en soit, cette plante peut donner une idée de l'énorme dév pement q ‘erla ns leur pays natal. L'individu question avait 150 de Ni dut 1e

jusqu'à la terre î à :

sommet terre était de 2°70, avait #4 côtes, pesait plus de 500 kil. au ment il a été intr Culture, Serre tem empérés pendant hiver, plein air en sition pendant l'été. 23. Echinocactus Sri © La

parie 2

DE 1 UE 2 EU PA à bilig 4 EPS EC

Pr AE très-fortes ; environ 40 me subcomp

aréoles oblongues , immergées , parfois

très-serrés, __— ras pt intiqués in égaux, , les autres mi les s

. . CACTEÆ TUBULOSÆ,

bique, ensiforme,

canakieulé-rhom ureux , long de 8 cent, ; les 5 inférieurs grêles, eylindri de me bee de 22 millim., eds jauses dorés, transparents dan _ se, fauves roux à la base, plus tard subeinéragcents: quelques Les jeunes semis r

manque eut parfois mbleut assez à l’'Echinocactus Hystricacanthus Monv. Culture, Serre tempérée pendant l'hiver, plein air en bonne expo he pendant L l'été. lé. )

#

24. nn RER OSETRE (Lem.).

tianus Lem. Hort. univ., t, 5, p. 227. _— Phnes ee gras de la Soc. hort. de Berlin, vol. 3, . CRT? _ Patrie. Mexique, sie.

cree

, . Tige su bphéique; gr plat eus de laine jaune care tomenteuse vert g'auque ; 30 comprimé émoussces cunvexes,

erticales , event sus vers la re ad arges

tes line ! unique dans les Collections d'E fait partie de la belle Collection du Jardin des Plantes . . Il à été _— Mexique au i

ECHINOCACTUS.

« perçut que Périclès était étranger à à l'atique, n’en reconnatrait « pr pas la patioualité, »

A propos de notre agree qui est un des plus beaux mieis de la Collection du Museum, qu'il nous soit permis de faire une observa- tion sur la maniere à Las “es les conservateurs à ner on Cactées, La serr e dans laquelle ils sont conservés, near d

ès-pro

et le zèle des personnes employées, la Ba est ions ce m'e s était à l’époque les premiers ee ont été introduits, Cela tient à ce que toutes les fois qu'il faut is pour quelques plantes , il faut avoir recours à tous ae fonctionnaires F , de l'administration. Ceux-ci, __ s fonetion— ent indifiérents et ignorants

messieurs, une

a constit 400 franes au plus, qui sera ste cultiver vos Cactées bien d'autres constamment en e terre. Avec ces rave ous 5 perdrez peu ou point de syst en outre,au lier que vos faire

490 CACTEÆ TUBULOSÆ. -

Jei encore, les jeunes sujets ue de la plupart des caractères spécifiques qui distinguent les sujets adultes, mais leur facies »s particu- lier les distingue nettement de ceux des autres sections, ainsi que de ceux de la re précéde ente.

Fleurs , observé et le e Platycerus : tube _ entourées de laine à l'insertion ; ovaire er: tube garni de laine que Ique s écailles aciculaires ; la baie est lisse, elle porte les ni

esséc

échés du périanthe.

25. Echinocactus Aulacogonus { Lem.). Synonymie. Echinoc. Aulacogonus Lem. Cat. gen., p. 44. id. Salm, Cact. in hort. Dyck., cult., p. 148. Patrie. Mexique 2 gnostic, Tige LT globuleuse, déprimée, ombiliquée, vert glauque ; côtes nombreuses, très-vigoureuses; aréoles très- jongues, ovées, placées au milieu du sillon continu qui creuse les crêtes des côtes; 6 aiguillons extérieurs régulièrement Méer deux à à deux, de la manière suivante : les autres, entre ceux ei se trouvent rardne 4 aiguillons inté- rieurs qui sont décusés et dént les 2 latéraux sont horizontaux, a aplanis, u haut et celui du bas arrondis, le premier mier le plus long, très- développé tous pere extrémement vigoureux, _ #? Fleu Le séries, émoussées, subverticales, subconvexes et bge it ganflées près des aréoles, qui sont profondément enfoneées as un sillon continu, arrondies , elles sont pourpre noirâtres et aussi presque continues sur yes la La longueur de sa crète; aréole Gr : 30 millim. et plus, mun: tum court, jaunâtre, cadue, plus et plus épais vers le rire de res plante qui, par suite, est Lineux * 2, les k

+ longs ; 6

ux moyens, 0 ont 90-22 millim. de long, ceux du bas ont 6 millim., les # aiguillons intérieurs presque vertical, très-vigo UTEUX, d'environ # ce es 2 suivants aplanis, très-larges renversés, horizon- taux, plus ere à que les autres à la base. atteignent 8 cent. et plus, sont su r -

. blement striés en porn dans la jeunesse subjaunâtres, puis ite à pointe Qurpre , pour devenir enfin blanes-einérascents à fauve.

la jeunesse, ces caractères n'existent pas ; la côte est formée s très-prononcées; les aréoles sont rondes, et les Siguillons seulement existent ; ils son remarquables pa par leur couleur

ECHINOGACTUS. . RL vis-à-vis l’un de l'autre, enfin le septième grêle, conehé ur crête

de la is ulture rm pb pendant l'hiver, plein air en Naf expo— sition peusiant l'été

26. Echinocactus Tuberculatus {Link et Otto). Synonymnie. Echinoc. Tuberculatus Link et Otto. G. B. St ..… a es ds p. 60.— Whdl, d. G. B. V.3, 5.425, t. 26. Echinoc, nacanthus Scheidw. 1 .. Mexique. Indiqué aussi comme originaire E Ja name mais ici à plus de 2,600 mètres au-dessus du niveau de la mer Bon ere Fes mg À verte; 8 côtes cree n 1 siguilien .

CACTEÆ TUBULOSÆ.

Tige pre aiteignant plus de 50 cent de Mnmitres à vertex laineu

les très-vigoureuses , comprimées, fortement émoussées, présque droites, tres-légèrement enflées vers les aréoles ; sillons très-aigus,

ons qui t tres-vigoureux, siriés ersalewent ent subulés à la base, surtout ceux de intérieur, ceux-ci sont fauves, “ro ane pa la je jet nsuit arpre brillant ts, et plus tard ciné s. : ili

+. 15 - d'environ . hs. presque rond, en

| bstlans, de £a à et demi ceut, de

à un, ve nes a lameux 18 côtes; côtes larges, épaisses esque

: velutineuse, jauve blanchätre de quelques aignillons rougeâtres à la base, bruns au sommet ; see munies tomentum , sai: 5 mn ment caduques , éloignées d’environ 3 cent, et cependant les faisceaux Le d'aiguilions paraissent très-resserrés ernses subulés, gris et comme entremélés vers le sommet és re _—.. 11-12 fortement annelés, striés, jaunâtres vers leurs ; dont 6-8 rayonnants , . x (c elui du haut et celui du réa pis élus: recourbés, 4 inté- irs décusés, plus grands, plus vigoureux, le dernier de 5 cent, en- virob, a sue | aplasis, déjetés, larges à + la base, très-longs, imitant

mn set Fleurs se développant Ne mis ile ln | lainé qui couvre

le sommet de 1 possible d'en juger d'après une baie 3 tube muni d laine ab = tde quelques sétules ; Lem.— id, Monv.— se re si Ou. Déadts : de la Soc. pere Berlin, vol. 3, p. 423.

Côtes épaisses, crénelées entre le cules; 9 is très-vigoureux , blanchätres, fauves à à la pointe subulés , versa es

rieur, petit, + Culture. Serre emérée pen Jant l'hiver, ns air en bonne expo— sition mas l'été. Somme. Echinoc, Ingens Zucc. er Pfr. enum, diagn., p5— Cereus. Micracanthus De.? ri Ingens Karw. Echinoc. = Zucc. :

CACTEÆ TUBULOSÆ.

cobisie dns les dre a sont apr se ag pu êre= era À en dehors à la pointe. caractère s encore sécu tranché pour EEE soit “sie de tes pere plante de l’Ingens et d'en faire une espèce dist Culture, Serre tem empérée pendant l'hiver. plein air en bonne expo- sition pendant l'été,

C. UNCINNATL, à à aiguillons recourbes en crochets. eee globuleuse ou Lire ve le re souvent éres s énorme ; mers ge ou vers

pes pa Voici la description que Lemaire a donnée d’après un sujet adulte si.

Tige slobense; sers à peine enfoncé, d’un vert luisant brillant,

entre les faisceaux d’ai iguillons , port: côtes en=

flées PP des rêdes : Spin très-vigoureux, nombreux, 18 environ

différentes, très-longs, les: uns érigts aigus, les autres

trè t hérissés

horizo côlés sur la Côtes subspirales peu sais. enflées vers les aréoles, relevées, arrondies d'une manière ri emarquable entre les aré celles-ci sont munies de tomentum assez abondant, d’un brun blanchâtre, allongé et persistant assez ae mt mébnerréer et evbs, elles por- tent des aguillons de trois sr gares en tout 2 régulièrement disposés de la : manière suivante : + extérieurs dont les 2 du haut

formes ontaux, droits ou sébrecour a plante,

arsragg es uote TRUE disposés en rayons, dont 4 sont bifariés, : plus longs et un peu plus vigoureux, et le dernier est

core TUBULOSES

ee. Cette plante est A en Europe, il en existe un seul exemplaire en France, il fait pee la belle Collection de M

indiquer es se trouvent les plus beaux ue On à fréquemment confondu l'Echinocactus ifornicus * avec no re celle-ci, 27 pa moins ss ne se rencontre peut ie se du quelques Collections de France, elle est à peu près

inconnue dans _. reste de =

Texensis ({Hopf.). - Texensis Hopf. A. G. Z., 4847, p. 297. Echinoc. Courantianns Lu. id. Cat, Cels,

d ée, vert glauque; 14 ab d'abord très-aigus , ensuite com ueuses, T repré ol, (bientôt dilatées , ere Tout à fait ter distancées de

: 62 25 186, rames Du Coct in hoete

tycephalus Muhlenpf. 4. Dyck, cult., p. 152. ds F guës; aig 3 ques , effilés , manquant con-

de l’aiguilon supérieur. à variélé vient de fleurir pe la première fois en Europe, chez Gourgues, à Biars, près Ma mers (Sarthe); are: : ses des sont RP il est à regretter qu’elle

sout les _… que

" : ge p-341, L26.— id. Pfr. enum. diagn, _ _. Handb. dr. + 0 Cact., p. 354. Echinoc. Msn lacanthus nes Me . Patrie, Le or Karwinskii la trouvée à ei à se .

dessus du niveau de la ner. _. Cumbre, dans une localité nommée +4 ti Pl ss

El Renosco; de son côté, Galeotti l'a trouvée à Saint-Louis-Potosi, Diagnostic Re ige e adulte Pne, convexe, portant 15-16 côtes légè-

rement obtu écha rs les er ee. arrondies entre elles; 12 seniliols 4 4 sieges for ui du haut et celui du es autres, sénds Ke autres sont dE.

2

y grande, verte, à sommet ombiliqué, un peu voûlées de

les sujets originaux atteignent 50 sé. Fr amètre dans la jeunesse ent aiguiilons extérieurs décrits dans le diagnos à Etsaliesi mue TE Floraison ? Fleurs ? es plante a fleuri plusi

à ess pes Rouen, à Bellevue près , Chez

I n autre ss que | celle faite Martius, dunes une ss desséchée et ramoilie dans l'eau Er .50ù Elle est cylindrique, campanulée, ers de 27 miliim.; extérieurement son tube est re » rouges , brunes à ne.

elles sont

198 CACTEÆ TUBULOSEÆ.

33. Echinocactus Cornigerus (Hc.). Synonymie. Echinoc. Cornigerus Dec. Rev. & 7. 14. Mém. p. 47, t. 40

id, Pr. enum. diagn., p. Cart, lime Haw. (Till. Milos.

magaz., 63, p. M}. Meloc, Latispinus hort, Echinoc. Cornigerus

B- Flavispinus Haag-

Patrie. Mexique , Guatimala.

Diagnostic. Tige déprime, seb vert glaucescent ; 94 pepe: : sillons aigus ; ; côtes aiguës crénelées ; aréoles très distancées, ovales, allongées en ÿ'S tres ; 6-10 aiguil ons s, placés tout à fait à l'extrémité de Paréo

subulés, anne

ransversalement ; tous pourpres en naissant, rouges plus tard, Floraison? Fleurs ? Lacini:s extérieures fauves, runes, LR : lacinies intérieures ee courtes que le limbe, unisériées , pou * er rare aiguës , dit- -on, deux variétés qui different par la Fe des ils - la couleur de la fleur, elles ont été peu remar qu'ici, M. Audry me me les a fait remarquer dans sa Colecties, 2 maleu- reusement je n’ai pas noté les différene ces qui les caractéri Culture. Serre tempérée pendant l'hiver, plein air et Er terre en bonne exposition petit la belle saiso

_ 34. Echinocactus Recurvus (Link et Otto Synonymie. Echinoc. ere Li et Otto. Whdl. LeéRN SE Pr.u, 5. s. 120, à 20.— id. Pfr, mm. diagn., p. 57. Cact. she Hay. syn. p. 473.— Cact. Nobilis Wild. rs à p. 243,— Ait. hort. Kew., te 3—Cact. Multemgularis V se Echinoc. Glaucus Karw P Le Mexique et le Pér Diagnostic. Tige ue ert glauque; sillons aigus; 13-14 côtes sure per diakés distancées , oblongues, to . aiguillous ex rieurs subégaux , rigides (celui du bas le plus court), gs hrs 4 central beaucoup plus fort, Mn nuitée, striés transversa lement ; tous pourpres en naissant

A

noirâtres. Cette espèce, qui ne diffère du Cornigerus que par le nombre des aiguillons extérieurs, varie beaucoup dans les a et dans la forme de Vaiguillon intérieur qui est put jeunesse la forme des côtes, qui sont proéminentes ere Fun de Pautre VaRtÈTÉS

ES. Echinoe. Recurvus B, Solenacanthus ss. sm. : Solenseanthus Scheidw, nee plus lrçe que dans les autres, hicinaticulé ès

5. Mure . (ce. .

Synonymie. Echinoc. C: Eéhihoc Dottes Dh

pe La Californie.

; fax P que es premier, insérés régulièrement , urbés à sem de chaque côté entre les ane, j à la base; tous sont ai

aiguillon autour “duquel la ae nie une liqueur végétat Toni) Fleurs ? re encore adulte, _elle a 15 cent. de haut et sn, dc me semble Pe encore avoir E caractères, Les ind

CACHE TONULOBE-

La plan des _— qui en Europe proviennent de r

dus. . 10 cent. di: mer. 8 de es ont des Parmi es

latéraux, les 2 du milieu de chaque côte Sea à ces en nais— sant, deviennent _— + tard, ce qui produit un contraste de cou—

Culture. ne pendant l’hiver, plein air et pleine terre = itio ant l’été. Celui-ci et le te t demandent

"+ en, AIGUILLON TERMINÉ EN HAMEÇON.

sinuées, à sinus concave; aréoles insérées sur les sommités des

ae “rolais par les sinus, > aiguillons de forme difié- rente, les uns subsétacés, les au ides, pourpres o , Pinté- nt annelés ou lisses, souvent lon

Bert Dj cat, F4 451. F m

__ ligne rouge; stigmate à 40 divisions Maistens Vistes

Synonymir, | Echinoc. Lorgihamatns per à Pie A, 2, 16. id, Salm. Cact: in hort. sas cult.,

ie. Déjà ancien. Il a ét 6 récemment me du Teva. u= Diagnostic. Ti les iguës; aréol à rées sur des tu losités as ment la

sez grandes , arrondies, qui for crête des côtes ; 9 aiguillons extérieurs dci. rayonnants, 4 intérieurs 4 supérieurs érigés, roides, le quatrième central très- long, see. + Pere en é. . 4 sont bicolores, em partie gris, en par Le Pepe centre est long de 13-14 cent., éfiéche. recu ; purpu- rascent , ensuite gris hacer dessus et large de ue « convexe en

terminé en crochet flexible, subannelé.

marquées en dedans au sommet et sur le .. * A n dehors pr ‘une

one 0 FR En mt ans que jets, ct np stisint 14JS cout. QE r sobquaarns petits il

rare, as ovées, aiguës, ie a mueroné, larges, =

L Hnemaiiles Nob. Sn.

4 %

208... CACTEÆ TUBULOSÆ.

e est couverte ue she nue rl et ds pru sie, 9 eur (ou # comptant 2 aiguillons ssoires in sérés au sommet) bicolores, en ut gris perle et en ue FR cents ; tous re lisses, he non anuelés, ouverts, légèrement recour

, à pointe : tre, 1 central de près de 3 cent. , gris ps uneinné : il existe 3 aigmilions inféri de 24 millim. de Jong, tachés de pourpre 'et terminés en crochet, 2 latéraux gris et 3 supérieurs pur- sean se a mu es il fut joindre les 2 mr. ea

plus courts, gris, sortant presque du sillon nq ui termine Par Phorisée. Fleurs m er uns extérieures lancéo lée ées > Vertes sur les bor les intérieures, pourpre brun brillant, : He: aiguës ; es nombreuses ; filets violets; mg. sr ,; rose ad à 9 divisions érigées arquées d’une ligne plus foncée, la figure

donnée par Pfaiffer, des à lacinies Mtricies paraissent bru Culture. is empérée pendant l'hiver, plein air sous châssis t V'ét

40. Echinocactus Treculianus (Nob.). nymie à

Patrie. Texas. Introduit au Jardin des Plantes de Paris par

tes tournant en mi" sbrestiealé Le près des aréoles | : i _parlie supérieure

aigus à la partie érieure ,

'es oblongues, prolongées dans la

par une large fossule florifère, insérées au sommet des k se er é t

à Le du

,* étement; - 2 a “tés. 4 plats, subdécusés, les 2 latéraux subdressés, dirigés vers celui du haut qui est convexe en dessus et plat en des. essous, linférieur pe Le long que les 3 autres, tout à fait plat, uncinné; tous 4 j la base, Rae à la ares aiguilions exlérieurs, pe ronds, “effilés

e, de chaque côté de l’aréole, 1-2 sétu es frisées, stami= - sg go + aiguillons pr lent promptement rer t de chaume ; deséché gris sale, ils sont . _ La plante décrite a plus de 1. de haut sur 35 environ de dia mètre; l'épiderme, d'un vert Pre sie See délicat; sa structure cute es pla es de cette section, est

e que celle autres sitio Fleurs ?

que nous avans s dédiée à M. Trecul, dont les voyages Collections du Museum , est gene type dont les Cachetianus seront des variétés ; eependant ,

comme ceux -ei ont déjà fleuri, à probable que a déroppant . leurs caractères ne se modifieront plus. Cu Serre term

pérée pendant l'hiver, pleia air sous ché pone

lture, dant l'été. 41. Echinocactus re (Engelm.). . .

Synonymie. Echinoc. Seljspinus Eugelm. In Boston journ, nat. es A +. Salm. Cact. in hort, Dyck., cult., p. 454,

os Tige subglobuleuse ; 13 côtes aignés, subobliques ; 15-18 mere fsciculés, très-ténus, flexueux , bruns jaunâtres . érigés, les autres rayon

des aréoles s sur une me

, tont à fait ; plus fort rh autres à ls colorés tous clés, grèles, friables au-dessus de aréole, du mr rs la fossule sur y COUT,

CACTEÆ TUBULOSE.

gnostic. Tige globuleuse, déprimée; 21 “go ma inter ; aréoles ra re se jeunes garnies de tomentum blanc ; a“ as rayounants, très-ténas, blanes, metres entremêlés ,

5 au centre (rarement 6) plus vigoureux, plus longs, carnés , tournés vers le haut, À seu} très-robuste, brun, courbé en dehors, Tige de 8 cent. sur os RÉra se inté LA , Ovaire ei tube .. lacinies extérieures membranacées , dorées; les intérieures intérieures oblongues, obtuses (rougeätre très-court, conique, à 10-15 divis

: pret Serre tempérée dns Vhiver, plein air sous D pen- dant l'été.

#3. cie Scheerii (Salm.).

ne Echinoc. Scheerii Salm. Cact, in hort. Dyck., calt., p. 455,

j + Plante toute nouvelle ; tige ville tubercules dis- Le ce jour à peine réunies ee cr

es (on 8 péan an pe s ns) A cour let recourbé en crochet , moduleux tout fait à la base, à pointe

aisses, gonflées, presque apla- Ja tige, ue de points poilus

fères ; l’épiderme _ cinéré, recouvert de toutes parts de petites glandules blanches remplies es de lai ges re Te Tige D Menre. déprimée, de 8-1 de more divisée rt cendré, pre-

par ses sillons superficie ie pe ce d'u nant quelquefois un ton rou FA on re sr ardents du suleil, déplanies, couvertes de pains pieux un ncs disposés en séries

convexes et Iransversales ; aréoles serrées , orbiculaires, convexes, gar- nies de tomentum gris, tout à fait. ne d'iguillon. Floraison, Fieurs jaun nes imparfaitement observées

Culture? ute n'existe dans aucune Collection d e France , elle ne m'est connue que par la description de Zuccarini, insérée dans Des. ce Mat vo 4, p. 13, 1845.

U . Echinoc. M | Sa Cact, in hort. Dyck., cult., " _ Catal. id. Botan. magaz., CR roues Myri -Lem. Cact. gen. ne Handb. dr. Cac P- 335 et 336. spas e Galeot.

Patrie. Mexique.

Drognestie- Tige robuste, épaisse, déprimée ; obtus; 5-6 côtes ; Son larges, épaisses faces renflées, cendré, couvertes de tous côtés de Rene ar de petits Learn de duvet duvet blane ne très-court, à trans— versalement ; | convexe, munies de tomeu- tum gris jauvâtre, pri Fe (Piaitfer).

ei ane

g P en dessus , très-ombili- Se mou eue ia à lui douner la forme d'une astérie, couverte de toutes "si de petits points ee frire des petits pe je nceaux de poils blanes ; côtes très-épaisses, arro

; lrès-resserrées, les plas per garnies de ins sus | peine vis visibles qui avortent presque toujours. tement me op

#

Floraison. eg ae | Fleurs sortant autour du som— met de la plante et du milieu des ; quand elle est tout da qe) d'un jaune pâle, à peu

| dépa: : filaments jaunêtres ; sathères

Fi num dr style à à À long qu si iliorme, pote

rayons du J'TE e 4-5-6, allongés, dressé: urbés, axes,

Sun. #3 ue pendant l'hiver, plein a air en bonne expo _silion pendant l'été,

Cette plante est tout à fait insolite parmi ses congéebees ; elle a éjà

_ fleuri plusieurs fois sers Deere eee re

RO PR QE ait le ete, des ns localité apple Moro Elle a pres r les

en, à froelles, par a uaturelle, Elle à ns os rm na

Cette division, forméc seulement d'une sr et de ant ene t devoir se ranger dans le des St cap.

de ses aiguillons qu’à cause des caractères tetes D de sa 46. Echinocactus Coptonogonus (Lem.).

Synonymie. Echinoc. Coptonogonus 8 mu 20 =

id, Hort. univ. id. Cact. nov. in hort. Monv.,

Cactées. P. . Salm. Caet in hort, EF TE “Fa ; p.28, 4842. id. "rs in ht Da ET P- 156,

st. Handb, dr. Cact., p. 345. inoc. Interruptus he Berol.

s courts, : Gti er À d'un violet brillant ; lacinies Dept ie

; baie | Tige gi, glaucescente, à 10-14 côtes, à

dessus des are sillon ; aréoles o te tum blanc ; dirigés à droite et ph = pe sapirie ue abtriquêtre,

bas défléchis ; tous Si, de came (Piles). uge est |subsphéroïde, © iquée , d'un vert cendré glauque ; pos 10-44, ss de mnpiints, robustes, {rès-aigus , er .

ti

de ns sinus Joe» au sommet des jeunes crêtes et du M les _ arque surtout une sorte d’appendice

mnroné qu babe plu ter ans mac ï sqt

3 aréoles subovales, distantes de 2

ourvues d’une Jaine abondante,

CACTEÆ TUBULOSÆ.

D Lo milieu du vertex de la plante,

le soleil brille ds

deF horizon, elles se referment an moment de son déclin , elles durent buit jours, elles es sont lougues d’environ Le cent. et larges de 15 millim, dans leur plus grand ovaire revêtu de squammes d'un brun ir à sommet dilaté, discoïde,

ae tube presque nul ; lacinies extérieures courtes, L arges, mucro—

ansparents, ar les intérieures au ais de 20-26 20-%, lâchement bisériées, parcourues en dedans et en dehors d’une ligne médiane

: beau pourpre foncé ; étamines nombreuses à insertion

ART à filaments dressés, œurts. violacés, d’un brun verdâtre à ps snibère j jaune d'or.

étés, Echinoc, Coptonogonus 6. Major Lem, syn.— id, Salm,

cer in ner, Dyck, eult., p.156. id. Forst, Handb. dr. Caet.,

res Re brun es toules ses parties ; fleurs plus grandes et plus É et pins, ns

en existe u: un quatrième , et nr tgilinent à pars

Serre tempérée pendant émis sous châssis pen- * belle saison

B. PHYLLACANTHÆ, à aiguillons ne nn 3 aïguillons supérieurs va valides, le médian plus grand, aplani, rigide, flexible, membraneux, glumacé, les 2 autres plus eftilés , 2-5 inférieurs . _—, défléchis, manquant très-rarement

Bi la Peas et la emo de la Stenogoni

* GLUMOEACANTHEÆ.

Dont les aiguillons supérieurs, ou le médian Ra ont plus peines une consistance flexueuse, gluma ressemblant beaucoup au chaume desséché et “brûlé au soleil.

47. Echinocactus Hookeri { Muhlenpf). Fa Su, ymie. Erhinoc. Hookeri Muhlenpf. A.G. Z., 4845, p. 345. id, Cact. in hort. Dyck., cult., p.156.— id. Forst. Handb. dr. Cact. ., p- 521. PE Cat. Re ete vs A. G.Z.,1845, p. 345. id. Di etr. Gaz. gen. de jardin., 44, 4845. Patrie, Mexique, Real del Pitgnasie, Tige

1 del Monte, : obovée , vert intense ; côtes nombreuses (30 en- s, ondulées ; aréoles distancé

id s d ées, munies de tomentum

3 aiguillons éri tns-valides - trsisiles.. celui du milieu

Spa, se autres latéraux es en naissant sq ph plus res inférieurs grèles, blancs, man- di

tard cinérés, à pointe brune, quant quelguchis, surtout sur [a Ex 7 adultes. a. La description due à Mublenpfordt difière de celie fa le ence des aïiguillons i

prince de Sam , seulement par. l'a

Rd h dit dl SRE =

_ Tige ovée; sommet déprimé ; côtes nombreuses , serrées, compri— mées ; aréoles immergées, peu re les unes des autres; aiguillons droits, légèrement recourbés vers la pointe, dans la j jeunesse blancs et à pointe e brune, plus tard couleur de corne, les supérieurs presque

macés, membraneux, de plus de 5 cent. de long, les latéraux . ae millim. de longueur ; il À . Floraison? Fleurs? de À

erdâtres.

Mo - CACTEÆ TUBULOSE " vertex, dada grosseur d’un pois et garnie des lacinies sépa- loïdes desséchées de la fleur.

de "0 Serre tempéré pendant l'hiver, en pleine terre en bonne

#8. Echinocactus ééions (Lem. } Synonymie. Echinoc. Grandicernis Lem. gen., 4839, p. 30. id. Salm. Cact. in hort, Dyck Lu pe 157. Ne à L Forst. és ie Cact., : + _— on . hort. Monr 4846. :4. Hort.

2 ostic. ! Tige. globuleuse, vert glaucescent ; côtes nombreuses ,

I aréoles espacées, tomenteuses d'ebord, bientôt nues ; 7-9 aiguillo ns, ét du haut dressé, subvertical, trés-robuste , épais,

ire. les 2 latéraux moins nds un peu plus courts , s subronds et dis=

es autres rayonnants, beaucoup p plus lai

. : - ; tous rigides, sr les jeun es gris jaune clair, ensuite @

Forster décrit notre see manière suivante : _ Globuleux, déprimé, vert gris; couvert de lo i 3 côtes es, de 30-34, saillantes ; aréoles très-distancé _pen-

en re dant a jeunesse de À tumentum court : 3 de be d'abord

gs de 38 millim., les 2 latéraux de 30 millim.,

e le range parmi les Phyllacanthæ

| Echos raodicornis ds D cs Salm. - . Les aigilons supérieurs ont rouge châtaigne au lieu dE e . Fe es “Echinoc. Grandicornis +- Nigrisninis Nob, À a à spÉriMrs presque bn 3 variétés ur _ leurs amet ils se distinguent de hs et ex :

comme br

ECHINOCACTUS,

be Es 1 id. Hort.— Echinoc. Phyllantoïdes Lem,. Cat. gen. nov.) 1839, + Patrie. Mexique, près de Pachuca, à plus de 2,000 au-dessus da niveau de la mer Rips Tige claviforme, cylindrique, vert g breuses (

rimé ; fortement comprimées resserrées les autres , ondulées-crispées , continues ou k borbiculées, prolongées en haut par une petite fossule munies de tomentum bla

ee RETE pren tous l'exception de celui du

par de dressé) adprimés horizontalement et ouverts, subulés, a nn ne plus lon dirigé en

> Vanrérés. “rchioe. mu re Macracantbus Monv, _

L'iguillon du haut beaucoup-plus long, brun noir, ati jus _. 8 cen: Echinoe. ie arrarr e 3. us re Monv. id. Len. a. ner -

magne, sous noms Echinoe. Tricuspidatus Scheidw., Echinoe,

‘tout À fi compte ut ne permet pas de reconnaître si du « consti— tuent des variétés différentes Echinoc. Phyllacanthus +. Mieracanthus Monv. id. Lem. ee. éloignées que dans la plante type; aiguillons moins logs espérer aout pari ceux du bas 2 manquent souvent, . Echinoe. «repars 5. __— Echinoe.

22 ce CACTEÆ TUBULOSE.

ses aiguillons : _ moitié plus courts, en bas il en existe seule- ment 2; les fleurs sont très-abondantes et d'un jaune e terne, Enfin la Lies Lu a ses aiguillons latéranx plus longs x du bas sont au nombre de 2-3, os celui di me parmi ces-dere niers est contourné de Culture, Serre tempéré pen Fous re et plein air pendant l'été, plante et p varier suivant la les de- , toutes les variétés in— emands sur les autres, se con- pe que nous venons de décrire, Pourtant inoc, Melemsianus Wegn., ou k , Présentent peut-être une légère différence ce qui Dorian de ha | us ou de la trifureation de Pa aigui ion mé— dian supérieur : cette modification me semble accidentelle, elle de la __— avec laquelle la plante végète pendant qu’elle est sonmise à toute la chaleur accumulée sous les châssis d’un un coffre pendant la D

me ie tre Se ere” à de. Fe latéraux mois mg ; ronds, ‘jaune Blanc. M un pe de laut et de diamètre ; ses aréoles mnt

ig 27 millim, ; s es aiguillons sont folia- 5e, ils ont, le médian 2-2 millim m. de long, les 2 latéraux 1548 _ millim., et _ les _— 6-7 millim, de long,

. Ploraiso > Fleurs . Peer d'iuilen central, l'aiguillon Le nn foliseë pit À amet ce e plante très-près de l'Echinoc. Phyllacanthus ;

couleur jrune Liane des aiguillons, bruns à la pointe ns ‘en ire suffisamme rés

c. ENSIFERI, à aiguillons en forme de glaive.

3 à aiguillons supérieurs, et 1 central qui manque quelquefois , Vi=

goureux, aplanis, de ou anguleux , de 2-6 mb énc2 se * PLATIACANTHÆ, À AIGUILLONS LARGES ET PLATS.

8 aiguillons are et 1 central (celui-ci manquant quelquefois ), vigoureux, subulés, comprimés ou en quelquefois avec 1 aï- guillon adventif tout à fait au so: e l'aréole, portant en outre de 2-4 aiguilions inférieurs ne he rl 51. Echinocactus pti (Mart.).

Synonymie. Echinoc. Dichroacanthus Mart. un Pfr. enum. diagn., PT Fa Hand. de Le LE 307.— id. Hort

ic sr 7 hs. DS FRE ombiliqué ; sillons aïgus ; æ Ô Im prim Fame crispées ; ées irrégulièrement ,

irrégulièrement cr aréoles espacées, di ovales, munies de tomentum biane ; 3 __—- supérieurs a aplanis, pourpre brillant, 4-6 inférieur s blancs :

rigides, droits. Tige ové “environ, he à aiguës, 0 ondulées er mr - sinus nets; aréoles ti , ovales, irréguhèrement insér , droi

, 4-5-6 rs court Les côtes sont intérrompues , elles disparaissent quelquefois sur la sur face de la la plante. ; Floraison? Fleurs? La fleur n'a pas encore été décrite . M. de Mon- ville, qui Pa retient …— pre te dans une section ù elles

—. CAQTEZ TUBULOSÆE. à: En eo

a je : * Synonymie. Echinoc. Obvallatus De Move. id. Pfr. enum FR : p- 63. id. Salm. Cact. in hort. Dyck., ad Le ae Forst., p. 308.

id. Hernand, flor. Mex. Tepenez Comil

© Patrie, Mexique,

se Diagnostic. Tige déprimée ou globuleuse , verf foncé ; côtes nom—

breuses , côtes ge état crispées, gonflées près des aréoles ; ie. Hi iguill

dont 4 rigides, ansifo rmes, décusés, blancs à pointe RS ra 2 laté-

raux moins ra et ir en bas beaucoup plus grêles, eÿ

3

La sont ramassés ramassés, nombreux vers le sommet de la pante; : sont le supérieur droit, dressé froide, la ie blanc, nn: coloré ; l’inférieur o opposé, rar s ag rigide, anguleux, brun à pointe légèrement recourbée , insér

des 2 autres qui sont indriques, plus foncés. Notre Echinocactus Obvallatu une des plus belles espèces de la

seclion des Stenogoni. Le sujet | décrit a une Se gs Je Far pt sur autant de

N : ‘ss

de Reed

| carné ave | ne de couleur rouge dans la longueur; anthères jaune soufre ou orangé ; le siyle est terminé par 9 divisions stigmati- nelinées les unes vers les autres. a

ques jaunes, rayonnées, inc Culture. Serre tempérée

toutes les Stenogoni. Nous ne cree pas ici ls variétés Obvallatus Monv. ni se er. Pr

4 ECHINOCAC NO4 à US.

v Diagnostic. Tige piriforme ; côtes à peine pts _. aigus ÿ _. nr interrompues rès-espacées , oblongues, les per Fa 4 de pee be : plus ed par ; 6-8 pts t central” lement développé , tétragone , 3 supérieurs dressés, aplanis les 2 inférieure bien plus petits, anguleux » 1-2 (manquant souvent } irrégulièrement juxtap osés derrière celui du haut , Plans ou subulés ;

férieurs rar rm à guleux, de 9-12 millim. de re 13 en outre, és irrégulièrement sur les côtés, atteignant de 13- È : 2 se oreqnt sont séni : enfin l'aiguillon « central ra "e viron.

par la grisà aiguillon ns ra; és pe les Sion Ph PA or atteignant de 4-5 cent, de long , les 2 in ? . 3

Cette plante est une des plus belles es espèces de ce groi ment on rencontre deux exemplaires présentant ide mêmes

rene Fleurs? La fleur n'est pas décrite, elle est rn se rouge

ie Gladiatus 4. Tuermedis Lem, Eine, . Obyallatus - Pluricastatus Monr. ci d a les aiguillons LS

sont lous moitié moins forts.

, les 3 supérieurs grands, aplatis, blanchâtres à pointes

3-4 inférieurs subégaux , divergents, beaucoup plus _— ;en

agi je central grand, courbé en dehors, gris cinér

5e plante est claviforme ; son sommet est un peu qu : elle es

ads, gris blanes à pointe noire, linéaires » presque ur le plus large est dressé, ils 1 ateignent de 18-22 . Le

x Presque égaux, divergenis,, ils ont environ 9 millim., . l'aiguillon intérieur est en dressé, annelé, gris cendré, recourbé légèrement en dedans , il atteint de 27-54 millim, Sstuun mesure 13 cent, de Frs sur 40-41 de diamètre.

Elle est reconnaissable à ses is. __ comme foliacés. Floraison ? eus? Le dit la fleu Dons _ un

pages qui st Fe ras à deux convexes ou angu- n transversale a bien plus Féndes. que

Sas opérés pendant Pârr pi ie pendant Fe )-

Diagnostic. Tige d'abord sJobuleuse péslnt la jeuneise, sien tard subcolumnaire ; sommet ombiliqué, d'un vert gaie slaucescent, portant 34 côtes très-comprimées (aussi épaisses vers la crête que vers le sinus

- Mprepnt presque Ja care de lames), légèremen t ondulées vers les aréoles et discontinues vers la er gaièrement sr ee lon irèc rés-aigus , recourbés ; rées ( à 8 ce unes 6 autres), ovales arrondis

D PR tee ar les dimensions ne Lemaire, doit cent. de hauteur sur 10 de assez rare dans %es G Colle : ns d t n'existe pes ie se. tions ;

d'Allemagne, Floraison ? Fleurs? D’après la place que M. de Monville Jui dans son Catalogue de 1846, la fleur doit être rouge.

Vartérés. Echinoc. Ensiferus 6. Pallidus hort. Beral.

Cette variété ne parait différer de notre espèce que par par la couleur des aiguillons; à l'inverse de notre tre espèce qui est rare ses elle s'y trouve ges plusieurs Collectious, tandis qu’elle est rare chez

nous, je ne l'ai jamais observée. Culture. Serre tempérée pendant l'hiver et pleine terre pendant la

cr en pts, ls autres provenant re ele olstin gr a

acquise de M : Odier, ont cultivés en pleine terre

#

hors. Klune. Undlatas Diet, A. GC. ZL, 184, | id. Forst, Handb. dr, Cact., p :

CACTEÆ TUBULOSE.

par les auteurs allemands que ue nous l'avons oon- ace à ici ; rite plus tard ee as

Lil Me. EE Dour hort. Dyck., cuit., TL. ge Handb. dr. Cact., p. 308. Echinoc. 2,t

sommet s nhbias: côtes très—

s-z sors dinde, les jeunes M sie mu- un, dont

4 supérieur sai éaire, ea. courbé, 2 latéraux pr es _ plus courts, & inférieurs roides, fins, effilés, enfin 1 central linéaire plat, peu recourbé, long. P : La tige est slobuleuse, d’un vert foncé, à sommet ombiliqué , à côte ET us Obvallatus ; ar munies

Dh Pine, pie tre pdt Ft *

s Lamellosus (Dietr.). ; yrnonymie. Echinoc, Lamellosus Diet. A. G 2 UT, PAR

à pompes Dyek.. cult. 4850, p. 459.

Patrie?

Culture. Serre tempétés”" “pendant l'hiver , ine terre pendant

cn ei tte plante n’est connue en Franee “rh par la description

per Dicuid dans l'Allemagen Gartzen, et reproduite Long

de Salm; il n’en so aucun exemplaire en pus elle mème

assez rare en Allemagn

*# OLIGACANTHI, À AIGUILLONS ALLONGÉS. ét 4 central valides , celui du milieu aplani, latéraux rimés rl gr a

É Aiguille bin: ou Mans à Lite”

FAT

ynorymie. Echinoc. Flexispinus Salm. Cact. cuit. im hort. Dy p- 439. Echi: inoc. Undatus Dietr. À. G. Z., 1844, p.187? id F

Patrie. Mexique. 1

Introduit par Ehremb.

rongesroe ls, nn libres ax Has anthères

_ cp. Serre PE Po hi, pleine terre pendant Notre Res a. re ec les Echinoc sm vs ifer, ce ven ni ses sitdions me larges.

ne croyons pas ae YEchinoc, Undatus Dietr., dont les uillons supérieurs sont un peu plus ares les inférieurs er rigides, pré- À sente dec sufBsamment anchées pour constituer une espère distincte.

60. Hébinomatue Anfrctanes ( pers

, près Dibonbs. sr l'a trouvée sur des _ ials à à à de bol à plus de DONS siens de # nr, en compagnie de nos Phyllacanthus et de divers Mamillaires.

. Tige oblongue, es 3 pa côtes nom- breuses ; sillons 1 très-aigus ;

@ A,

Aiguillons droits, le central rigide et lout à fait droit, subhorizonti,

fractuosus Y. Pentacanthus Salm, id, ntacauthus Lem. P.

2). à t de l’aï _ central et de 2 des aigt in, que él ne pate ellement qué 5

La variété B. Ensiferus

Culture. Serre tempérée slot res pleine terre en Lomé exposition pendant Pété. les beaux échantillons qui existent dans la Collection de

Lo ee de Chaillot, il existe deux exemplaires qui semblent se rapporter à notre espèce, mais . en diffèrent par leurs aïguillons démesurément plus longs, 8-9 61. Echinocactus Tribolacantbus (Mony. )E | Synonymie. Echinoc. Tribolacanthus Monr., Catal. 4846. Patrie. Mexique? Provenant du envoi de Descham: lindrique ; nombreuses

Diagnostic - Ti ; : primées ; sillons tranchés, aigus; aréole éloignées (5 millim. environ }, aréoles immergées, dis ongées eu haut par une petite ; Sai guillons, dont 4 décusés et 4 autres en croix, de

aiguillon du second groupe, ètre dans le même plan que ceux du i | avec la bisectrice de langle de ceux-ci, Les aiguill nsérés en des pre—

vigoureux, le dernier surtout presque central est bé, subulé ; D dpt tion des 2 du bas du premier groupe. . Floraison. Fleurs ro rouges. Es à _ Cette plante très-rare existait dans a Galion de Mona x je 2.

Pavais imparfaitement décrite. Je l'ai cherchée

on pme sors elle est n rie So Re purée ve : cause de la de ses aiguillons.

Suisés : t droit; la lige e SAV voit: 4 de nombreux niquifios- pr . Floraison. En Mai et Buse a Rai pou à pres os à

Patrie

. Mexique, de : Fr apes se mine, ne

| périe 2 . environ rhombique à e 90-35 cent. + ne e laineux ; + rm par ir apr $ sont au dnhié de . environ, enflées

vers la partie ie de l: aréoll; 12 suis avortifs grêle, és petits. Notre plante a 5 cent. de haut sur 8 de diamètre Floraison ? leurs? On la dit d’un beau rouge vole: Varrérés, Echinoc, Brachycentras 6. Olygacantha Salm.— Echinoe, FT ut Ho nr sont tout à fait _. le ons intermédiaire et k manquent 4 Ne TA PS éraux supérieurs et inférieurs es recourbés l’un Èg - Culture. Serre pus PRE | int l'hiver, pleine terre pendant la belle saison. ;

s£. Echinocactus Wegeneri ({Salm).

Synonymie. Echinoc. Wegenerü Salm. Cact. in hort. Dyck., cult., 0 srnormmmetels id. Forst. Handb. dr. Cact., p. sed

aiguillons subulés, : E - plus court, les 2 autres très-longs avec 1 central maquant souvent , a brun , cinéré, 4 inférieurs recourbés , blancs , les 2 tout à fait « EE un peu plus longs. D'après Weguer, Îes aigullons inférieurs to

en La tige est globuleuse , ne amer ea # côtes ai -

CACTEE FUBULOSÆe | Diagnostic. _ Tige globuleuse, vert-gaie ; 35-40 côtes très-compri=. mées , crispées-ondnlées ; aréoles ! ane les jeunes blanches, à

du cé. 18 Dos e très-grêles, blancs , rigides, DRE

se see de e les autres. Serre tempérée pendant

, en pleir Assis l'été. Cette plante n’existe pas ag ro France ; ue beaux sa de la Collection de M. Audry, Le cru recon— ur Echinocac nee l'un des exe De

E: n'Rst mr nt e an

Srnonymie. Echi he, Ce Dyck. « ne 464 (ne pas confondre avec PR insoétee pese hort: nan.

qui Culture. Serre tcmpérée nn" Vhiver, plein air et hi l'été. #

** POLYACANTHEÆ, À PLUSIEURS AIGUILLONS ie De 14 rene intérieurs or ou, orné aplanis; extér breux, allongés, séti presque rayonnants , 67. Echinocactus Arrigens (Link). Es: Synonymie. Echinoc. Arrigens Link. id. Salm Encres

cult., p- 464. Echinoc. Crispatus De. Rev. t. 8, p. 37. Echinoc. Cris- 4 ne Le . Abbild., Liv. 6> il est très

bien Fe

Patrie, Mexique, près de Pachuca. Diagnostic. Tige be mn ou obovée, sommet breux sul. verte glauque très-foncée; 35 côtes environ

- La description donnée ée par Forsier est incomplète et . Floraison ? Fleurs infundibuliformes , de 27 millim. de lo de longueur 3.

ee : imbri 3 feuilles périgoniales

ee sont ar Ts peu pointues, d'un 3 les pétales,

se - avec

GS Déc: Sr inré. Serre Mur de ce ce netit He et slins

. 68. Echinocactus nie Lee npf.). : à. Synonymie. Echinoc. H etefaranthus uhlenpf. A. G : tas; p- 345. à on id. Salm. Cact, in hort. Dyck., M =: 462.

Puis primées , subondulées (36-40), aréoles ut Le. garnies de eine anche claque, A pis slabresz illons rayonnants , , blanes u centre érigés,

6, fauves, le est Le plu oué (46 cent. Abe fie È entraux varient de 1-3, ils sont aciculaires ; _ - Wegner dit : arrondis en dessous et plats en

nom ondulées , comprimées ; aiguillons jaune

3 haies sétacés , £ intérieurs plus sd les per iformes, le quatrième central ,

pere n. Abondante ; fleurs réunies s

sommet de la plante,

à so longues de 48-20 pr ; ‘acinies mn re im- briquées a base, blanches vers la pointe

lacinies pétaloïides | sa 7 ig ie, blanches, Culture.

Serre tempérée _. aa pags terre pendant 1 ; te peut-être aucun

.) ne nee. deri pe A. G. Z., 4846, p.470. Fr et . ss

- gen. nov, p. rs

/ 71 + s Lem. Echinre smanilists Fort. Handb.dr. Gact., p. 399. Salm. Cact. 7 Fe

Tige sublobu leuse atongée formée de 13 côtes L aréoles

es sur la face s chaque wire, ovales, plus larges longues. mes 7 sisailionns rigides, intgaux cules

: déjeté en dehors et de 3 cent. de nest environ; à sde ls aures aigulions, le médian plus court est conchei recourbé sur le

_ Certe plante, quoique très-vuisine de l'Echinocactus Manbutons, ._æ est entièremen at différe pie, elle en difière d' d’abord par ses côtes

. Echinoc. Mammulosu à Le ehi inoc. are Forst.

: P- 298. Echinoc. Hypocratereifonmis Otto A. G.Z., 48 re

469. = Echinoc. Mamrulosu Salm. Cact. in hort. Dyck, cult., de . Spmo sior ur

sont ; les aréoles sont imséréts vo for <

elles sont petites , garnies de tomentum blanc, qui devient gris par la

suite, elles portent de 10-13 nor rater qe assez

flexibles, d’abord jaune blanc, plus tard jaune ro

la pointe, longs de 6-12 millim. ; aiguillon cel À _E ps es

mème 3 rigides et plus s longs, légérement aplanis, us Ré:

s a st autres; la tige a de hauteur 8 de diam Floraison. En Mai, in vs Slot. Les rs sont les: hypo- ; cent. de Re 15 He i

pleine identique avec l'espèce noc. mt pren Mons.

ant l'hiver, quand la température est basse, quoïqu'elle soit

s es premiers sujets, il s’est produit une dégéné- rescence bien _ semis cultivés en serre, les formes et lsebractbres@s ces semis, tant pour cette espèce que ess Ja Aponen à sont devenus

moins nets, surtout cultivés.

ynonymie, Echinoc. us Monv. mit, univ., ua, . p.22 . Lem. Teonog. oui, ‘3e > as id. Sal. Cact. ort. Dyck., —. id. mm, Cact. in hort. Dyck, cnlt. 4850, Éorst. Handb. dr, Los. br 29.— =id. Pfr, Abbild. 2, t. 14.

. Patrie. rs Moutevideo, dans les véiont Has tonne

we. porsnt 19 14 Sa ue, “flexibles, contpurnés à et Je 1 s vigoureux , plus long,

; à 16-20 côtes ies, mamelonnées entre es: répandiformes, d’abord aigus, ensuite “ral quan role :

| revêtues d’un duvet court, griditre : Éinit sbtitoiranes blanches, diva

uées, Û

La tige nas subdiscoïde, déprimée, largement et pro ofondément . _ ombiliquée me de cratère, est d’un vert foncé et brillant, à côtes

mamlinaes, pts rs de 4 cent. de re LA. de mi 2

la base et au som

et là, subondulés, couchés sur la plante, sd F4 1 millim., 8 intérièurs plus grands, dont pige s eur: réfléchis en arrière, le gr toujours r mile do H Misoiie : et plus long, plus robin à , Pie à moins défléchi ou PRE lung de 15 millim.; tous , flexueux, au sommet , les adultes blanchâtres et d'un roux pâle à

Floraison. Pendant la belle saison. Les nombreuses , s'épa saint eye le milieu

très-grandes, belles, presque inodores, cu ju Ja fin de mad souvrant et se fermant le soir et durant

0 grhe meme èrs 1, soyeux, mélé de 3-5 soies assez

rigides, piquantes et

is É5 Re: acées et

Ne de CE amet périanthe mareescent et et mürissant au lot er nombreuses , denree

23 CACTEE TUBULOSÆs

La tge est subeylindrique, d'un vert tendre; ses côtes sont vert cales, arrondies ; ses sinus, d’abord aigus, s'ouvrent peu à à peu vers la ee mure elles sont assez

ment garnies de tomentum fauve qui passe peu à ne gris,

urope; leur tube est enveloppé à

et noire e assez voisine de l'Echinocactus Linkii, elle L particulier , ses aiguillons rigides, beau-

usé 8 À en même temps, is : Dilie inisous Dans # Sr, & série, AG. und introduites

rs de 6-9 . pénis ne item. ee et en diamètre.

Culture. Serre tempérée pendant l'hiver, pleine terre pendant l'été leté 76. Echinocactus Tortuosus ( Link et Otto).

Synonymi mie. Echinoc. Tort s Link et —. . t. 45. id. Pre enum., p. 49.— ;d, Forst. Hand dr. Cact., p Échino c. Muricatus Hortatani te non road Berol

ns des autres: ses aigu uillons eme Je, supérieurs à seulement et és intérieurs re de ne 4 18 rail. de. à

Floraison, En Juin, gris Les sont d’un jaune citrin, cles durent: pendant plusieurs jours et s'épanouissent seulement au soleil au mo mr de l’anthèse; leur limbe présente un diamètre de 5 5 cent. ; ; le tube

s à est recouvert d t garni de

M 16 es; les pétales sont bisériées , obtuses à leur sommet et dentelées ; RE nya Drm; le style à Er plus long

Re je co mn 6-10 divisions stigmatiques de couleur

aréoles plus grandes garnies au centre de tomentum brux 12 aiguillons extérieurs jaunes d’abord et tirant peu à ; us et en outre rigides; l’aiguilion intérieur aussi i la différencie court.

inocact ee Lou. Act. nov. : rires 4. Salm. Cact. M Da, ae P- - CA Lost. = aie à ne. p- 300. id. Patrie. i stic. Tige ovale, verte, à 43 angles , à “rt enfoncé ,

Diagno déprimé; côtes arrondies ; aréoles espaeées, immergé ; aiguillons

.

bruns, égaux , dont 3-4 intérieurs eus, étalés, et -

10 rayonnant, Fe fins, très-étalés. t subglobuleuse nr à . on a profonds, :s latéralemen aréoles

CACTEÆ ps are _ Notre car sa se Jsiègie e de ybèlimomni ce lonis par ses côles mn du étroites, ses 9-10 Sailons : rayopuants qui sont

courts, ses aiguillons intérieurs qui sont noirs et plus

ne DRE l'hiver, plein air et pleine terre _— la belle saison ii # æ

Saison,

78. : Æchinocactus Ottonis rt

. Synonymie. Echinoc. Ottonis Lehm. Act. mat. cur. xvi, P.4,

© av id, Tank. et Dur us 7 gr ar 4d. Botan. da. = À tom. 3417. id. Pfr. enum. diagn., p. pe dobetiaur Cact.,

Echinoc + Ottonis $ ss

: + se apr - pis verte, aiténnés à la bare; 10 angles; côtes obtuses, florifères ee dns x partie en supérieure ; fleurs edge 22 2

: Jons extérieurs fins, ouverts A +

à À tomentum , = ere Les. fins, presque droits, 4

Tenuispinus Liuk et a Ottonis d. ne re t. pra

+ tige, dans lâge adulte, est subeolumnaire; ses Porn © ‘sont beaucoup plus uns va atteignent 4 cent, de longueur, ils sont plus recourbés; sa fleur est plus petite, plus pâle; les lacinies pétaloïdes sont obtuses et or rs mueronées ; les divisions stigmatiques sont

de 10.

| Airilon. ds courts, sr grèles , d’un jaune serin; sa tige st ert plus pâle qe. ds ee type. ue PES

Fa us 2-8. Hand. dr Gt Let Patrie. Brésil Austral, Pre dos À à ovée , dans l’âge avancé os à et là); 15 anges verts, prolitees je 2e

également ouverts; tous

put, fauves.

La tige est ovée, plus tard elle devient cylindrique, "de mée quefois son sommet est ombiliqué ; 10-24 côtes larges, We ER sillons ges et pla garnies de tomentum blanc ;

: 10-14

CACTEÆ TUBULOSÆ: mauvaise culture ou à une certaine délicate qu ft qu’elle exige plus de soins que ses congénères. + ** PULVILIS PROMINULIS , ARÉOLES UN PEU SAILLANTES. :Paborcale ps PERS aréoles insérées sur la partie supérieure des ch Pamilus ns.

Syrmonymie. Echinoc. Psmilus Lem. Cact. gen. nov., p.24. id. Forst. | Hand de Cacts p.30. 1E Le Patrie ?

197 Tige g globuleuse, cœspitense, prolifère, très-petite, de cent, et demi de 2 et de hauteur, multicotelée ; aréoles pe- » Sarn

d'un blanc | [parsemé or co aides et de ne dun sis ancre; er pétales :

extrémités , des sont setu ( î s le sommet de la baie: graines. | sbglobulses, brn, Bus lrd soie a Ex ur Les Ve

81. Echinocactus Gracillimus (Lem.). ie. Echinoc. Gracillimus Lem. Cact. de

OR Die p . 304.— Echinoc. Gracilis md gr _. 38 sn. Patrie? Diagnostic. columnaire, vert cinéré ; côtes tout à fait tubereu-

leuses ; les tuberceules très-serrés, violet rer Re. la partie supé—

rieure ; aréoles trie paiites os argus Ge ns biformes, sétacés,

très-grêles, environ 12 rayonna , petit "+ au centre Ro

roux brillant, un "se D pus un peu plus longs que les

autres; lous ne. Dee me ds cent. sur 27 millim. de pres: neue éloignées

Culture. 'odét précédente. Sa floraison donne lieu aux mêmes 82. Echinocactus Castanoïdes | (Gels). Synorryrmie. Echinoc. Castanoïdes Cels. Salim. Ca FRS 164.

. Chili. pe 24 Tige globuleuse, vert gaie; 15 , côtes erène- lées , arrondies ; aréo aréoles serrées, petites, fn appear vers nues; 16-20 aiguillons extérieurs grêles , très-ouverts, entre- | mèlés, 6 intérieurs plus vigoureux , érigés; tous rigides , DRE . D nr ms n

; Tige « 25-28 côtes côtes arron- Diagnostie. 1 cylindrique, vert va é

dis ; aréoles serrées, petites, ovales. ; 29-30 ai

“extérieurs trés-ouv veris, , 6-8 intérieurs à peine plus 4 vigoureux ; tous très-grêles, développés , ‘peu rigides , Pre i pointe brune. :

dom ge sur 46 de diamètre, randes, rouge pourpre brillant, Le seul sujet qui ait fleuri en France fait partie de la belle Collection de rate à ne mes diffère de VEchinocactus Scopa par ses côtes plus : nombreuses, ses aréoles litiges munies de : UE pa presque espacées , distantes de 9 millim., ses aiguillons ss couleur, subégaux, les extérieurs 23 plus longs que les les | autres, moins pieux ét non sétiformes _ Culture. tempérée

pendant Péiver lein air et leine terre ; _ pendant la belle saison. Re F L c. | Notre Echinoeactus Hayni a été trouvé dans le Pérou, par le baron de Mine, près d’Oberailo, à 3, au-dessus du 1 de la :

magaz., & 2 . enum., p.64. Echinoc. Cereus Scopa De. Le Cat, -opa LE mme. 3, à 81. Tuer syst. 2, capitainerie de le Spiritu Saneto). ee. Dingmate. + érigée, claviforme, plus tard prolifère dans la À es ra mére les. , tuberc gar= nies de toment esserré guiil

stigmatiques eoccinnées ; Los étamines, p HT . t :

Vanrrérés. Echinoe. Scopa af. Candidus Pfr. et alii. Cette variété se distingue par ses aidaitloss d’un blane de

milieu desquels apparaissent seulement de 1-2 __. iétiurs

inoc. Scopa B. Cristata Monv.

ne. Culture. Serre tempérée pendant l'hiver et pleine terre a re toutes Qi à ci

de es tuberculée, sont séparées des sinus aigus, ou à bi pu ares sinueuses , convexes ; ds obtus f ee portant les aréol

incisions qui séparent les aréoles sur les crètes des t plus

La variété Vilous 8. Creator Mont. difère pe de a nôtre; les as Il existe aussi une légère différence dans Pintenstté d de cou— Ë

dire dans la Collection de M. Andry, à Chaillot,

ésignée sous le de us Polyraphis; cett te semble quelques différences avec PEchinocactus Villosus, ; commun dans les Collections de France; son po; ntique 4

avec celui de , Mais son facies l’en di ingue cependant, la

_ couleur de ses aiguillons . “a plus claire et assez distincte pour 3 autoriser à en faire une vari é ne est Dci came convexe, d’un brun violacé plus pâle que celui du Villosus ; à 15 côtes obtuses, crénelées ; aréoles de ses soies tout à fait blanches, du milieu rmes couleur

see -fnes, d'un

| Synonymie. Echi incogonus Lem. Cact. gen. UE : Echinoc. secs ET Intermedias Monv. Lai Gayanus hort. den Echinoc. rtulani,

|. Patrie. Chili, Valparaiso, Mexique, Buénos-Ayres, Brésil, Monte- . video.

tic. ic. Tige subcolumnaire, très-vigoureuse, smhiliqtéo verte; . tuberculées ; tubercules légèrement en comble 0 i 1 FA L

t qui devient blanchâtre ; 30-36 aiguillous environ,

radiants , , droits, ——— res, très-aigus, ceux du dehors gréles (les supérieurs les plus intéri veaucoup plus en hau tdi . vigoureux, (surtout le dernier rès-ri igides , brunâtres, transparents

ceux de l’intérieur plus ro ue les autres.

3% En Juille

_…. rose en haut ; és lnéiales +, pointues , mas ou rééchies: lancéolés, , égal

VARIÉTÉ. Echinoc. Thrincogonus 5. Lem. Cact, gen., p. 33 D'un vert plus pâle; tubercules plus denis. siguillons moins

L’Echinocactus Thrincogonus Lem. Gayauns hort. Paris, se dis- tingue de l'Echinocactus Acutissimus par sa tige cyl Hongée, ses aignillons beaucoup plus nombreux et sa fleur d’un joil me de

- RES. Ge

inte. 87. Echinocactus Acutissimus Pa et Otto). Synonymie. Echinoc. Acutissimns Link et Otto. Gartzen- 5.353. ones ana. sg P'Eh Abbild., p. 20.— Cer Dichroa— canthus Mart. Echinoc, Gayanensis hort. UN ui Acutissimus hort. Berol. L Ono'e G. Le, 1835, 2 45,5. Echinoc. Exseulptus var. rm

Ex sites ÿ Gayanns Monv.? Ma d tan. Magaz.,

id st on Lo ul mi me a : Po n + nt Laraqiiels ressem—

nas gere pt bvee avec - précaent es avec Fohinneent es Essen ou. she il en

RE

ses ges côtes ie ses aiguillons, je a ga M ao 5 de far plus nombreux parfois que dans le diagnostic, ils. sont. droits , blaue base, à pointe brunätre, rinocactus ÆExsculptus (Otto). e. Echinoc. Exsculptus Otto. id. Pfr. enum. des p.65. Lehm,— id; Pfr. LL. c. Echinoc, Subgibhosns

Haag. Cer. M _ KEchinoc. Acutissimus hort. Handb. par confasion.) _ Patrie. Chili, Montevideo et le Mexique.

| Diagnostic. Tige sente, trash nn verte;

et

Les diverses Péeéolatus Salm , diffèrent |. compte; la variété rar Salm “diffère peut-être se constituer une qu'il faudrait ajouter à e:

VE 7. is LS guer les espèces | es groupe les unes des à autres, la diffcut presque insurmontable, Cela tient à ce que ces plantes partent de deux types que je erois différents , ne par la forme des tuber-

eules et la couleur des fleurs : l’un l’Echinocactus Acutissimus ; l'autre, l'Echinocactus Centeterius, Ces deux types, répaudus sur presque . toute la PAmérique méridionale, s’y angés, ont produit des variétés , et en outre ont pu s q fications dans leurs suivant l'habitus. Ces différentes plantes ayant é introduites tantôt séparémen it, tantôt simul t reçu d’abord

aient êt mme D Eu

l ms de si - . le second cas, dédale qui semble inextricable quand, cpl le plantes à la suite les unes des autres, on cherche à re pl ones saison. one s Sy: ÉAg-2e0g Echinoe. Centeterins Lebm. En ie nées k: a id. Pfr. enum. diagn., p- 65.-——:4. Abbild., t. 2. id. Bot. mages, ir É Pachycentras _äd, Pfr. Abbild., & cnum. ar p- 66.

Lu

a “tubercules disposés sur 15 sét ticales, aréoles _ 33 ba TA 10-12 aiguilons extérieurs grêles, : nn subbifariés , ouverts, 4 centraux décusés, plus vigou-

ture. Serre tempérée ant lhive lein air , châssis pen—

i + LE + +

Cultur dant l'été. . Cette plante, déjà très-ancienne, aa introduite ae fois . les Billortiseis d'Etéège, cependant elle y est extrêmement rare : elle n'existe ni au Muséum, ni dans les riches Caine de France, Elle est d’une croissance extrèmement lente et demande La de chaleur et un peu plus de soins que ses congénères, 91. PR Enr iapus | } inoc. Neumanianus Cels, Echinoc, Lame es aWtee 3, He a 18 (none eur). Echinoc. Ceratistes Echi Echinoe. RON EE EM. Baie. ee v. hat. DE cale p.16 p.407.

ia, EE ptet: 18 angles, tuberculeuse vers le sommet; côtes bverti aréoles J , munies de Lg EP aiguillons entremèlés, grêles, rigides, de 3 cent., recourbés en haut, couleur cendre päle, 12 environ extérieurs, # au centre un plus Due: P peu

Les ibercules portent les aréoles, ils sont sers et se terminent base l | y

leur ils sont grèles, flexibles, gris paille.

Ti glbaleuse vert nie, à 18 ct es, dont les arêtes sont

re ste out nr : és, cambrées ; sillons émoussés Rance se: côtes plus on moins

F4 Tube écailleur, de sètules, de laine et de soies.

Syr107 . Echinoc. Ceralistes es Otto. Te Ceratistes Pfr. enum.. Ets. sous le nom d 2 Ceratistes Verus hort. Paris non Ceratistes re ne Dr Copiapensis Monv.).— Echinoc. Melanacanthus Monv

Chili (Bellavista ). o. Fe ares vert pâle; 10-16 côtes. are sillons marqués d’une ligne sinueuse plus foncée

à aiguilions extérieurs recour— igé , courbé :

“à Deus “côte ‘Serre tempérée, plein air nt l'été, Cat plante à 7 nes re longtemps et side urs En: nonobstant ce, sent , êlle e paraît plus délicate que ses congénères.

93. Echinocactus Jussieui hs

Synonymie. Echinoc. Jussieni M inoc. Niger hort. 34. Lem. chi nus Lem. = Cum bngti Otte re ra( 2 id. or

gibbeux ; ses aig: l'épiderme , elle se r s diffère tant ne taille D

la Ar . Tige élcbuleuse ou

gant 5 cent, de dia: laci ieures $4 F

, lancéolées-étroites, ’acumiuées , vert livide, pourpre noirâtre a

re; les intérieures plus larges, aiguës, érosées sur les bords,

Diner eue ‘dedans, roses en dehors, avec une

DAS it ramassées ; filets blancs ; anthères jaune safran style co lumnaire , fstuleux, coccinné, un peu |

quels étamines, à 14 divisions cylindriques, dressées , carnées. $ Echinoe, Odieri Spinis Nigris Nob. Echinoc. Ara-

aps, les quelques sujets qui ont été introduits f écédent différaient peu par les dimensions se guilos, moins nombreux, étaient noirs, tortiilés et

ou sa variété n'en jnnelaites qu'une seule pin France par M. Cels; elles y ont été perdues; Ce Re _—

El qu, s'allongeant peu à à peu, s centrale

L d se trans. en Lacie anne ir ot brillant, avec vtt

Tige de 10 cent. de domi tre, déprimée et et fortemeut owbiliquée à à 5 nr n saillants, nes mirent un peu plus vigoureux, oies à _. long de 9 millim., épais , adprimé , tortillé , atteignant presque le tubereule suivant ; tous dorés à la base et pourpres à la pointe, d' ee de Salm.

Lemaire SR de la manière suivante dans son Cact, gen, nov.,

Tige oblongue, très-ombiliquée, d’un vert foncé ; 11 côtes tubereu- lées, à sillons arrondis; tubereules subhexaèdres ; aréoles ovales, portant 7 aiguillons inéçaux petits, grêles , rigides, adprimés et re- M d'un jaime doré, # bifariés, Dore

tubercules si sont rangés sur 1 côtes tout à fit hexaèdre à 1 ad sEnutes ve m8 un petit trait superficiel et et transversal ; sil ons arron— ds, ensuite plans , dont le fond reste marqué par une ligne d'un vert plus foncé ; aréoles 'ovales, garnies de tomentum rare, un peu floconneux daus la j jeunesse, blane persistant et passant par la suite au griscendré;

ptotisoere

pourpre brillant à lee La plante décrite à rot de us sur 5-6 de _Floraison. En Juin, Juillet et Août. Les fleurs sont blanches, elles

n'ont pas été décrites , à tube écailleux comme celui de l'Echinucactus 5

a ivision. ee.

; —. CACTEÆ TUBULOSÆS

pe Echinoc. _Hexsedrophors Len: ut Gact. - id. | Cat. gen. nov., p. 27. id. S alim. Cacteæ in hort. Dyck., cult.,p. 468

Patrie. Mexique, province de Tampico. Le Done Tige psronel sommet plan , Sr intense, an aies subm ammiformes, Hexaëäres, alternant , de mac

de suivre les séries verticales aussi ue les séries

spirale he. petites, .. allongées en dessus en fossule, garnies tomentum blanchâtre ; 6-7 aiguillons rayonnants, inégaux, >

annelés , rt 1 central érigé, . pe long que les autres;

ss

FA Un 41 à pe on ; pourvue de tubereules d’un ve Ces oncé . u pro life à la base; ombilie 4 garni detomentum blanc luis és hondsnt, duquel nai t les fleurs : il A baut de 14 cent. large sont hexaëèc guliers à la

peu vers le sommet obtus, disposés en a Mamillaria en! série double, M: suivant cette dernière qu

ane M. de Mon

Lou 91 de haut; filets Plat yes blan châtres ; Le d'un jaune trèrvit et rt

. Vanrérés. Echinoc. Hexaedrophorus 6. Fossulatus Sal. Echinoe! Fossulatus Scheidw. id. Pir. Abbild und d. Cact. Echinoc. Sr S Scheidw. hort. Belg. ?

La tige est déprimée, plus haute que large; sommet As très- laineux ; à 10 côtes arm 064 ‘accusées, formées tubercules grands, de couleur sel ras

. Héxaedrophorus +. Roseus L

Pr on rose ds ages s

dre par la longue” et ia LA sous les 1 qu'un cible semis

Fe ab. fon vert viôlacé ; cles lacini Monville.

12

. Serre tempérée pendant Pre plén : air Pen l'êt un peu per de chaleur que les autres

952 CACTEÆ TUBULOSÆ.

tant 46-20 côtes, à sommet subdéprimé, areas côtes presque verti- cales, ses tubereulées ; tubereules gibbeux en forme de rostre ; aréoles petites, insérées au-dessus du a raies de tomen- tum rare subdée idu et portant 9-13 suis rayonnants , divariqués, droits » inégaux , dont 1-2 sont intérieu La tige est globuleuse, _— ; d'u cendré glaucescent , à sommet plan, inerme, presque nu, à peine nhiquée 16-20 côtes ver- icales, crénelées, g ibbeusses, dont les plus j jeunes comprimées v… en forme de rostres polyèdres dessus, hauts de 15 45 iillim. environ ; chaque tubereule est séparée es voisins par un sillon transversal : profond ; sious d’abord aigus et s'élargissan par la suite; les aréoles ovales , petites, sont situées sur la partie pe

duvet blauchätre peu abondant, ee t grisâtre dans les aréoles supé

* 8 subdécidu rt les plus âgée ; 9-13 aiguillons, dont

gi s, blanchâtres, dre, 6 latéraux subégaux , pes

rh ongs de 25-30 millim. £ ras un ee plus petit, et ; central un peu plus grand , très-vigou , long de 3 cent., sr 8 en avant , et quelquefois des d'un st er et placé au-dessus de lui; tous se très-aigus, droits ou à peine fléchis en dessus, d'un brun à la sr pd au sommet. Entre les deux petits aiquiBs de rh je uelquefois ,

| sur les plantes tout à fait adultes , LR autres bles pr an > plus petits encore.

pets Juin et Juillet. Les fleurs sont inodores , 5 de diamètre, elles sortent abondamment US LUE

squammes amples, spatulées , d’un vert

mr portan

plus pâle, blanchâtres aux bords, submembranacées, persistantes, dépourvues de duvet et passant bientôt à l’état de lacinies pére thiennes; de celles-ci, les extérieures sont bisériées, inégales ; celles de la première série ta de roussâtre, celles de 5 deuxième ches et roussätres au 7 les intérieures trisériées ,

mueronées, cbtuses, d'un blanc de neige, sublignées” de rose en dehors ; nr séries nee mg pv 3 re > larges, subréflée _ étam mbreuses , » insé-

san LE environ 3 er e, parsemée de squammes bout de trois mois et se fend cer fort Ce de pal lu

Vanté UE, Gibbosus 8. Nobilis Monv. Cact.-gen.. nova et sp. in Le ns 4 H. Syn. Gymnocsl;einum R um Pfr,

Abbild, #. Caet., hinoc. Nobilis hort, Kew. t foncé Lie aiguillons plus vigou mg Le lois (les plus der de 36-40 illiem.), les plus jeunes coloré plus

foncé, parfois d'un brun brillant ; le tomentum des ph blanc, celui qui entoure l'insertion des plus longs US plus persistant ; :

laires; les LE) angles atteignant 10-cent. de hauteur et autant en diamètr Pfaiffer a figuré la ii elle re sous le nom de Gym os ciuum

rec ex jura sont munies d'une 2e ren x ES . Île des arévles de notre » tlle semble aussi différer nr la gran- ar laquelle ils parviennent ; ; des lacinies ext

elles deviennent promptement sépaloides La d'un Le : brunâtre; les lacinies pétaloïdes sont par ei blan : les éta t blanches

sont nombreuses , elles fera une termioë a peur divisions PES aon en dedans les autres d’une ière rquable. noc. 7. Gibbosus se Salm. Cact. ha. rate‘ à

17. Mn *

Cette variété présepie exactement les mêmes ractères généraux

que les deux précédentes ; elle en di fière par ses ai siens plus grêles,… . i à

- "Bien que le port de ces trois, plantes paraisse simple ,e es. produi- sent néanmoins spontanément , vers la moitié de leur oran etätra- = vers nr rer de Frs , des parlons parfaitement consti-

s ainsi que chez

Trans Eruis par +. nm sm

Pilier cite un exemplaire du Set ns le New. qui a La eh teur et qui n'a pas encure encore fléhri, ce oi

mous cultivons fleurissent Fe LS de ge 99. nes Ebenacanthus arte

Synonymie. Echinoc. Ebenacanthus Monv.— Echinoc. Fuscus es o. CEA pe 10. id. Salm SPEED Er Fra p. 470.

la type. les mois de Juin, Juillet et Août. Entièrement la fleur, à celle des es espèces précédentes; som est blane, lavé, rs ton de _ les squammes du tube

*

L

8-4 de diamètre, qui annonçait déjhoés Bebe De mange avons observés avant leur épanouissement commet L eq » À

colorées e

semblable à à eclui de notre Echinoc. ie elles étai était

plus beau cg Sinilis 5 je connaisse; sa tige est haute de e diamètre lifère. En

9 cent. sur a elle est très-pro

Lem. hort. ES Lem. Lente ts ex D-. 44 4 Salm. Caet. 2 DE Valp. : “a MT vol, 2, p. 323, __… p 289. a Monvilli

he ps à aguiton cata drsiqué n Gobe ste de Ra manière

PR CE

jaune que tres; stigmates 10-41 fixes, les rayous élalés sont subplans, papilleux, La baie-n’a pas été

pan est très-voisine de l'Echinocactus Ourselianus, moins l'Echinocac ocactus Gibbosus, Ces deux es

. rm 24 Echinoc. Hyhogoan $ sun. Cactæ à in hort. Dyek., cult., cp Re

n di sont rèarges, bles, blanches ou Carnées, trés-pâles

cr en d dées au eye courts sont pourpres; les anthères sont ptites

et jaunes ; É nn t épais, fistuleux , comme raccourci À mr

plus court que les étamines , il est terminé par 44 divisions

i obtuses, étalées à la base et recourbées en mt ES

colorées en jaune.

ci

LATE

Vaérés. Echinoc, Hybogonus 8. Saglionis Nob, Echinoe. . Saglion os ille des hort., 1847, p. 180. Patrie. Chili.

om ï : He Fe pi eme très-larges; sillons aigus, pete : ; aréoles saillantes, ovales, espacées, munies tomentum blanc. grisâtre, d'abord abondant . sg 9 aiguillons longs, recourbés, i

a

12-45 pare caruës. 3

Culture » Serre tempérée pendant Phiver. sd , et pleine terre

ee la belle saison Cette plante

wintroduites en France or de dr nl re er en France.

et sa variété, bien L et y ayant déjà fleuri

jours , mètre ; nu, vert, peu éc x, de 5 cent. de long ; anches, linéaires, verditres: “él ‘amer, courts, égale-

; baies ovales, avec peu d’écailles; graines grosses, lui ment ombiliquées , elles sont d’un brun noir.

b. fleur rose ; dans , elle ne présente aucune diffé- précédente. Elle n ne diffère que par la couleur . ièrement rose, à es amateurs qui lon:

ulée dans la partie rangés sur 40 côtes ; aréoles re équis due Ends A tige hier es

breuses , celles du dehors | , talles du dedans roides, entières, , d'un rose pâle, couee par u ne ligne médiane d’un ouge np inte use; étamines jaunes, grou- pées autour du style qui est Sr s court et terminé e par 3 divisions joue nâtres ; le tube est nu.

Culture. spi tempérée pendant l'hiver, plein air et pleine terre pendant l

C. THELOIDET, tubercules distincts & sommet saillant.

Tige ellipsoïde , subglobuleuse ou déprimée, tubereulée ; Le de tant robe ce Er a spirales ou bien plus côtes ; les tu

105. Mkaéus Bicolor TGslent.) Synonymie. Echinoc. Bicolor Galeot.— id. Abbild. 2635. . Cact. in hort. Dyck:, cult., p. 478, Patrie. EE Introduite par Galeotti. en de Diagnostic, Ti ge pyramide, vert foncé, à 8 angles; sillons

larges, côtes anguieuses, divisées en tubercules par des prismes ismes transe versaux très-étroits ; aréoles ra Greta un

A, prolongées en sillon, munies de laine Anoerre 9 aïiguillons extérieurs très-o pourpres en naissant , blänchâtres

uleur ntre, sur les Mr les 15 développées, # aiguillons dont le supérieur un és aplati, de ub-tance presque és en assez semblable à celui de l'Echinocactns

- Phyllacanthus ; ee 2 aiguillons suivants sant rigides, érigés aux deux . côtés du premier, rième, qui < est le plus vigoureux Sbrene _ de F tlé

aréole , il est l'hiver,

12 . magaz., 1. 4486 1850). id. Lemaire , Bale, KE sb BF Se 16,

rain est pe à she mais atténuée de la base au sommet; elle est haute de 10-45 cent. profondément ut en 8-9 côtes, crête obtuse, mais comme | ce +. sales; tubercules hém misphéri riques, | “ouprim es,

£lat grèles D + pe des. éramies; sigmates de 9-10 rayons, d’un jaune aan. mue 4 vrant hères he tempérée pendant l’hiver, plein air et pins à terre

% pendant l'été l'été é

Bicolor, dont cependant elle diffère hell t par sa couleur, le n ombre de ses ee sa fleur; Re, diffère ue t des espèces suivantes : :

très-grand, r. ré: 4-6 tout à fait à l'estr

ténus. d se at de 7 cent, sur 5 de diamètre there més , disposés en à peine ine distinct;

couleur châtaigne serve mie recourbés , Las na gnant près de 3 cent., les autres 18 millim., enfin les à term 9 millim one plante, qui a figuré dans la Collection du Jardin de Berlin, F4 rie depuis et n’existe peut-être plus dans nos Collections, …. connue sa description. Culture ?

pétales sont nombreux , ro, a lamcéolés aigus , jaunes päles ; jaune doré ; le stigmate se e par 7-8 soufre,

pate à Echinoc. Leucacanthus 8. Crassior s Pfr. en . diagn,, à se

; tubercules x rangés en Écgie, verte, à 8 sl; los A ons: côtes obtuses, ; aréoles assez

g'iat poriant 9-10 Hi volt ie es très-ouverts, sub- égaux, rouges en ag passant plus tard au blane, à pointe brune ; sans Vpn à

Lemaire a Fe même plante : sous le nom d’Echinocactus Sub- 2 if

Home eee sta Lanta LForst, Handb. dr. Cact., p.285. Salm. ce Rue Di à cult, , p. 472.

_ Patrie. Mexique. . Diagnostic, Tige claviforme, cylindrique, très-prolifère, vert glauque illons larges , subverticaux ; 78 côtes ru obtuses , divi ercul AE rent aréoles rochées » promptement nues; 4 RE GERS mr . br à l'inférieur (central) plus

Cette plante est assez voisine de la précédente , elle en diffère par la

forme de ses aiguillons , leur nombre et leur couleur ; 1 inté- Den est plus ns pan! lus aplani. D'ailleurs, son port est moins hi aie moins saillants. +

rs gere Porrectus B. F lore Rubicundo Salm.— id Forst. à

Culture. Serre re temprée pendant live, D. redun Fé; végétation lente,

Shdk.

110. Fragen 3

hic Mexique. le Mi l M. . Diagnostic. Tige presque uc globuleuse , d'en vept mie, am breux rejeions à la base ; sommet | peu comprimé, velu 3 10

semer sses pes P aigus 3 : par la ie: gr ai jaune rca plus tard gris hi, un pi " ; divergents , les latéraux pese as 4 intérieurs inféri gs, le dernier courbé en bas.

TR

iamètre ,

; de 11-43 _— “nes dau | millum. d :

tige est columnaire, de 9-10 millim, dedsiètre ses sillons sont adulés ; les aréoles sont à 22-95 millim. les unes des autres ; guillens , les inférieurs longs de 10 millim., les supérieurs de 12 TS rer 20-22 millim. de long. res, Fleurs? ta “+

CRE Li M9 4 t l'été 5e ‘tatio on extrêmement lente, se" a besoin pl stimulée par observation s'applique à presque toutes les plantes de

Synonymie. Echinoc, Cummingii Salm. Cact, in hort. Dyck., cult., p- 174. rs

iagnostic. Tige subglobuleuse, déprimée, vert-gai, tuberculée ; : is imnell vigoureux, disposés en spirales, érigés, on larges en dessous et et subaplanis, convexes en dés. menti

.

dessus, bientôt vues ; ae pars , érigés

; les ir 1 . ouvertes en se à recourbant, toutes de mème her

t ramacucoe.

, ramassées, érigées ire. Serre tempérée 5 lhiver, plein air sous dis l'été #

a elle y est irès-rare. cance, qu'un ph es de

culée ; tubercules mam ed es assez larges à la _— e, con niques, à sommet, d’abord très- ineus mg s vent ée-prolfères; 9-10 aiguillons rigides , wa n rayonnant subentre mèlés, 1 aiguillon central isolé, plu Me tendu ; tous droits, cidre 7 surtout celui du centre), à point

e brune. à 4 La tige est columnaire ou globuleuse, qe à 3 lonas son

sommet est ombiliqué, très- NACRE à a aréoles sont oval ales rni

ds loin s EE: EL L ns S: PS ds

distinctes formées de tubereules nie mammiformes Te

es primés , à base rhombique ; es aréoles portent 14-15 aiguillons très-

ment recour rbés, presque égaux , longs de 30-35 30-35 millim song 1 pas eng, Ps pates, gr ane devant ave dre Lg à En ant de 10 cet ur antnt de, ame il existé des ins

Floraison. Fleurs d’un b. ge pourpre, à VanIÉTÉ. Echinoe. Horripilus 8. Longispinus M: à: Enr Lg seulement Jr la longue et

sk

is (

| Tmbiniformis Pfr. EE a, t. 3. Mam.

ve Mam. Turbinata Bot. magaz., t t, 3984, Echinoc. k

ra des arrosements west pas extrèmement pure. Cette plante est | se pers

ostic. Tige épaisse, columnaire, d'un vert gris, portant 5 sommet convexe, garni de Le fauve; silons larges, aigus; di

recourbés , 4 central | igo 30 millim. en es - de 10-13 dut "&e mb sur 8 de rs y a plusieurs variétés qui diffèrent par leurs aiguillons plus

Plantes inconnues et non decrites.

124. Echinocactus Retusus (Scheidwr } 125. Echinocactus Platycarpus (hort. Berol). 126. Echinocactus Oreptilus (Haag.). 128. Echinocactus Gigas (Pfr.). + Notre genre Echinocactus se trouve différencié inflo

genres précédents par son inflorescente aréolaire et gs. forme particulière de ses frailles: Ici elles sont disposées

seront propres à reproduire de jeunes su haque côte, les feuilles sont tellement er ET en un seul corps , que souvent leur présence n’est indiquée que par les aréoles ; quelquefois elles sont rendues plus ( Soit par un pli transversal qui sépare ces atidles, ioi Des de au ou une échancrure qui les rend libres les u autres vers leur sommet, soit enfin parce qu welles sont libres comme dans les rs sr mais, dans ce cas les feuilles, dont l’ensemble forme une côte.

, les aiguillons des se présentent en Rs constant : qué l’on le alement dével _ prise vers le sommet

. Tons sera toujours le SE tandis que, dans la

autre fait, tr avec cette observation, qui nous semble un | des caractères distinctifs des deux genres, c’est _ que l’inflorescence de presque tous les Echinocactes, outre que es apicillaire, se produit vers le sommet de l’aréole son prolongement aigu <ya elle se prolonge en ur les. jeune

nement plus scientifiques que celui que je propose; mais si on songe que peu de fleurs d’Echinocactes ont été

et, d'un autre côté, il existe, dans les E. fleurs à tube nu , d’autres à tube revêtu pan 1 qui se reproduit ‘aussi: parmi les Cereastreæ: N Les seuls caractères qui pourraient avoir quelque valeur résulteraient de l'insertion des étamines sur le tube, et encore sont-ils inobservés pour la plupart. Pour toutes ces raisons, sans abandonner les caractères indiqués + nos devanciers > Nous plaçons au premier de l'in,

ng la coxnérséés des feuilles en côtes sur lesquelles elles sont marquées per la proents. des areoles, dont l'évolution riode du developpement de la

FSFrEUUE

tré sos qui pourrait ere au dernier

le collet des Echinocactus Ottonis, Linkii, To

ces gemmes sur beaucoup de sujets, je n’en ai . 5 sur les aréoles qui navaient pas | donné de fleurs,

IS SU

b ds: des autres après l'enlèvement de la baie. Or, si ns

qui, dans certains cas, m'acquièrent leur “conpétésé | et ce fait ss ps ee. firmerait pas le caractère que nous avons présenté, puisque _ les aiguillons ne des aréoles-tont entièrement morts. Il me

ait seulement que, sous influence de certaines cir- constances, les nœuds dont nous venons de parler ont pu laisser accumuler, près de Paréole, une quantité de séve qui, à une certaine époque, peut constituer l'embryon us rh entique au + smiet principal. - par Tobservation n de VEchinocactus Monvilli jm hino Ourselianus, Horripilus, etc. Lorsque les lantes deviennent prolifères , les gemmes embryonaires _ appar nt au-dessus des aréoles, ils sont insérés vers Es sommet, ils FeMent de très-petits radicules visibles même sur des gemmes qui ont au plus 2 millim. de dia- mètre, tandis que quand l’aréole est tombée accidentelle- ment, ces gemmes se produisent dans l'intérieur des Docs. S'y res pr et finissent par rompre ss x Eee quand ils ont acqnis danse. pes

anne Le. En] +

. chinocactes ne prouve } pas que laréole qui a été nlevée continue à she elle À rie seulement que, le poin les fibres se i

nsertion ,

nt v relopp tes premiers ruines d'un AE la nee notre genre en sous-genres, nous

nous avons cherché à éviter les écueils qui consistaient

soit à adopter, comme base d’une ae des ça- _ ractères théoriques qui n’ont pas encore subi la sanction _ d'un assez grand nombre d'expériences, soit à mult = Dre en pen les idées ù proposée

Echinocactus, ferait sortir quelques cierges de leur enr “+ pour les placer au milieu des Echinocactes, s'il devenait caractère générique ; enfin, le troisième, préjugeant sur * quelques faits, rangerait certainement lEchinocactus Pycnoxiphus et pts autres plantes bien distinctes parmi les Acua

Nous avons re conservé le genre Discocactus, dont nous avons fait un sous-genre, bien plutôt pour nous conformer à un usage admis qu’à cause de la suffi- sance de ses ca: caractères.

Eu effet, T'Echinocactus Loiconmionins se présente

Lrès-s sous forme de disque, et cependant il est

tout à ait lobuleux da dans l'âge adulte (voir la 6g. donnée

par ; et sait-on si les Discocactus s ne ge re pas aussi des plantes gl leuses avec l’âge? les caractères botaniques tirés de re

fleur me semblent du même ordre que ceux me la .

lougueur du tube pour différencier les Echn Cereastreæ

comme Pont fait quelques

. Nous n’osons rien 1 srù ei l'état actuel ds obser-

yations, nous cherchons seulement à restreindre la cas

sifica actuelle dans un cire en parfaite Frans qui sont certaines et appréciables

s rem sont toujours apparents : se

Dans le premier prétes nl sont nettement ac- cusées , souvent même elles n'y sont notées que Pan la - à is

. Ces caractères pourraient Le dans la 1 Dis DCA

, para itra peut-être

. mis dans le premier âge. Mais, telles qu ’elles classifications n’ont rien d’étrange pour celui qui n'a pu faire une étude sérieuse des fleurs , et, c’est le cas da “pdt grand nombre, elles résultent de modifi- cations de et de développement qui sont «as

côtes au-dessus des

genre,

| papaaners

7 :

“heurs apicilirs, à tube ie ou moins allongé, quelquefois nues ou garnies de squammes qui rs une forme mamellaire dans quelques espèces, souvent

entourées vers la Este nes laine abondante , offrant quelque et parfois garnies es en ue de tele Cas acérées; les lacinies sépaloïdes s’allongent leurs

le germ meer La tige est éiobueuse on a allongé, érigée ou rampante, k ou rameuse, _cannelée u anguleuse ; ses fn

me sont accusées que par r la présence des ; aréoles, ou : bien à peine accusées par de légères gibhosilés sur co

sommet desquelles ces aréoles sont assises, très-rarement x iuberculeuses. Quelquefois, et dans le premier sous-genre Es

_ seulement, D plante est adulte, les feuilles et t leurs a s prennent un aspect particulier ; la

laine et les soies de ces aréoles acquièrent un développe- ment Sr . “pores: Rev de ces

similitude avec ceux que présente le sous-genre Melo-

Outre les caractères précédents qui exigent que les plantes observées paies adultes ou tout au moins accom- : pagnées d’une fleur, il est nero me

D +.

D 5%

: genre ereast: Éévo

_ mitée, pacs qui, per suite du développement suecessif des aréoles suivantes, sont parvenues vers la partie infé- : sus de la tige, annoncent la continuité de leur

; annoncé . présence à au milieu de celui qui a persisté ue co

M F tonnoir, et leur ensemble Tornierat, un n cire

de forme assez semblable à celle qu ’on obtiendrait en emboîitant une série d’entonnoirs les uns dans les : autres ; la dernière série, celle qui forme la pointe de l’aiguillon, s'ouvre et laisse passage à une nouvelle série de fibres

précédente, de telle sôrte que ces aiguillons se dévelop- pent en en longueur par la superposition successive des extrémités de ces séries pendant toute la durée de leur

| L Sopéré pr Taloigenent de 3 fibres, allongement qui se produit vers la base de ces aiguillons. Le

sous-genre,

SE Cophalophons Lem. host. Mouv. CR ser ee

‘Tube du périgone développé au delà de stat une | lacinies sépaloï obtuses ; aisselles

ne y ee

Sr me partis tr ani Ë côtes nom d'ARAMÉOhe rigi iles on erintioriel: en outre, à aréoles : ro res sont LE uses de épaisse; fleurs moyen latérales ou disposées en pe u bien se dével | vers l'extrémité de la tige ou bien encore se dévi . Luca à cn exréié supérieure on à celle des 2

Synonymie. Pilocereus_ Celà AUS Edian à h. Paris. Pilocerens Williamsii hort. angl. Pilocereus Senilis + Flavispinus us Salm, Pilocereus Cel- ne nee in sanartss __— eult., P- 485.

+ Bolivie.

c. essée se à la base, vert glauque pile; côtes assez larges, bbiuses, crénelées en dessus, convexes, dépla- De ne rire; » aréoles serrées, larges, ovales, munies

dorés à la Lane: 8-10 _— piges avortent quelque- ES ils varient de Tonguer , ceux du bas les plus longs, celui du centre sel quelques pe 6-8 ju +

_ RIÉTÉ, ST Celsianus 6. Lanuginosior Salm. =. Mara dont les aréoles sont Entre RE plus longs « et pr nombreux qui recouvrent la plante. Culture. Serre tempérée pendant l'hiver, plein ir en b Lane ant dr ; _ Cette superb és été introduite par M. Bdes ui ua

beaucoup plus longs e et beaucoup - Presque tous es sujets observés sont prolifères à la base et ne paraissent Pas : Sr à plus o 4 mètre on 1 mètre 30 cent. Les Leurs et les baies sont inconnues, et, pour ce motif, ils pour- raient sai . ne ns: sur le genre daus _— ils doivent être rang

2.

ils nombreux frisés, gris ; aiguillons jaune

Synon YTRÈE « pas norme «— Pilocereus Miltais Gel, :

Culture, Serre tempérée pendant liver, plis air en inc epe- pen pendant la la belle saison,

Es eur sur ia De environ de ns: ils portent 13 côtes. Les fleurs et les baies sont inconnues, mais le 7 dira qui les port com: | Far il est terminal, placé soit au sommet de la tige, soit

au sommet des rameaux qui se déve eloppent neo A le de Tiflorescence le mede d'évolution des e modifie :

disposées en et forment : un “phaliun cylindrique rs de diamètre ;

séries très-resserrées 30 cent. sur 15-16 de sont garnis de laine nie Ar ils se garnisent de pre ai t et passant pl

Synonymie. Pilocereus is Lem. Cact. Senilis | De. id. gi enum. diagn., p. 76. Cer. es Lehm. Act.

Patrie. Guatimala, mème au ane :

ne Tige nes dose le pays à 8-10 mètres hauteur, couronnée par un cephalium ; ce cephalious a environ 45-50 cent. de hache pe 98-30 de diamètre is sur le côté tourné vers le midi}, il est formé de laine abondante longue, em et de nom- de eg soyeux, très-longs, . Les fleurs nombreuses : + 97-35 he de loger,

_ Variété à poils Fi Von com let ot de ane; les les

À aiguillons Per 04 aussi plus nombreux : | Peut-être cette de forme est-elle due à ici, comme pour le Li Casa, à ue rires d'habitus

pie ae Le pléine te terre et Le

Co < tus hort, AE aussi sur d'anciens Frs 1. du Pilocereus Senilis. Patrie. Mexique. iagnostic.. 5H vert ee côtes moins. ent, s

ner. ceux haie pi ln 2 au centre, tous et , défléchis-recourbés (surtout Lt)

ri re de ail moins resserrées larges , garnies de er pers Pilocereus PO

sition ps 3 la belle saison, . Le Pilocereus Lateribarbatus a été Lire ne. nn: de n

dans les Collections d'Europe; les sujets originaux y ment n'y y aujourd'hui que quelques sujets de boutures res ces 1 qu je croi

stitue une espi incte. Les nr originaux int uits autrefois ms le baron s Rarwinsit, pr provenaient du re il les avait recueillis » dans un pays de rochers , entre Tchuacan je |

| em mer pren dés et provenant de bouture pr rer qui

epuis Diagnostic. Tige érigée, simple meuse , d’un vert bleu = glaucescent

loppées et vers le sommet de la tige, ps rares sur les aréoles infé— rayonnants, de cs ur et de grosseur jte s fins, diver its , insérés Au ombre de 5-6 de

Culture. Jusqu'ici ici en serre tempérée nn” nn pleiu air en |. 5 exposition sous châssis ess belle

ne alm, Cact. in pa og a soie, id, Pfr. enum. des id, Forst.

11 anloc

15-20 mil, d longueur

Docs atteint sr du 15 mètres de Le et diffère complétement |. Ma Columna. Les sujets ge ont été introduits, il y a peu d’an- soius de M. berg , us 40-50 cent. de

nées, par les , hauteur. Dans sa correspondance av ndolle , Couldon dit que dans le pays les sujets originaux atteignent 10-12 mètres de hauteur ; ils sont simples, ‘sans sans ramifcations, IL ne donne aucune indication sur le

ooneneers tmpirés pen Foie * air en bonne el

Pr Tige Robe: rique: 15 côtes v a rit

[A Asp espèces porte, sur le milieu ou au faisceaux

erticales, sub— trés-obinsess aréoles rapprochées , rondes ; sigrilons rd gris. |

sommet, des de laine j ss et ss ARR Less pois 9-12 millim. de lairement ; cet se déve- latéral.

Floraison? Baies? Les fleurs baies sont tout à fait inconn en fr. gs sont paies en zones vers Je sommet . x me sont |

t naissent sur les plus jeunes aréoles ; les aréoles florifèrs nies de ne Pare soyeuse, grise qui pend en flocons, après l’anthèse ; et pr à se développer ; ces aréoles e année?

elles à fleurir chaqu plus tard, leur d

visi le e distincte sur la lige, sur laquelle elles sont ilement espacées con un côté rangs Lg ces zones porte les VES—

pre de de fleur esséchées ou avortées,

gs tempérée pendant tive, plein air en bonne expo- ss “ad la belle saison

_ Synon) Curtisii Salm. Cact. t. im hort, Dyck., all te: 188. -: id. Vorst. rond Etat Hort. pi Berol.— Cactus Ro use hr nec. C. ec he Lin. Sie sg

Péro ouvelle- mel Te érigée , d'un + fonds ; côtes comprimées ; aréoles cunvexes, munies de laine blanche,

des autres ; s dipuiises les nr longs atteignent en millim. Floraison. En Juin. Fleurs eurs presque ssbiubles à à crée de Echi- . nr rtde 30 millim. environ de long, nu; sépa tites, ourtes, d'un vert rougeâtre; pétaies “re or roses. cent. de diamètre au moment de l'ant 5; sutheres blanches; style be

ns, dans les Collections de France, que de jeunes jets _ n'ont pas sg montré qui

sont dues à éL_am prinee des tale Dyck. Le premier fit un

Cereus de re pans le second en fait un Pilocereus. Le mode d’in- l'absence

ee ne LE à re semblables à ceux des véritables Pilocereus

à se ore pourrait être une observation rest car jusqu'ici le

mode cence est un caractère botanique et peut-être le seul us } ocerei

les Cereï et les Pil

sl la LS des Cactées présente de nombreuses ; , C’est assurément quand il s’agit de constituer Les caractères différentiels d’un genre représenté par quel- ques sujets qui n’ont jamais is été observés à Pétat adulte en Europe, qui n’y ont jamais fleuri, qui y sont connus par quelques individus assez rares et dont les dimensions, comparées à celles des sujels originaux du ass doivent nous faire regarder nos arte comme des sujets trop _ jeunes et trop incomplétement développés, pour qu’il a nr de les soumettre à _ d’une manière utile.

plus beaux its de nos Collections ont au plus 2 mètres ou 2 mètres 50 cent. de hauteur. Les plus beaux sujets du Pilocereus ages ont au plus 1 mètre de hauteur dans nos Collections s que, d’après Karwinskii, il forme dans la patrie des ie colossales de 10-12 mètres de lon- : | rm ; Fun et l'autre portent vers leur sommet, du côté

ie ont fait shine de leurs observations. 5 des doutes qui existent sur ce sujet, nous espérons que les LE. Pros viendront les éclairer par des indications plus préci

Nous ne Pr que rapporter ici la description, que

a donnée dans l'Horticulteur universel, vol. à Lai

années 1839-1840, des fleurs, des baies et du spadice de notre Pilocereus Senilis, parce qu’en même temps qu’elle est la plus détaillée, elle est la seule qui existe pour les Pilocerei à spadice terminal :

Cephalium vrai surmontant la tige de la plante adulte, toujours tourné vers le nord (le côté du midi est presque nu) , formé d’une laine très-dense, très-abondante, un er Sa de 2 pouces d'épaisseur et parsemé d’aiguil

roides, de couleur

reu , à

longueur ; périanthe ue brins à us

= trois séries de divis ns pétaloïdes, dont la troisième us extérieure à peine es : ces divisions membra- .

neuses à leurs bords, linéaires, lancéolées, courtes et ne à

charnues ; tube sillonné et recouvert quammes s—.

| CACTEE TUBULOSÆ. |

et tronquées dbliquenifnt vers rome largement ou- vert, criblées d’une foule de p< etites cavités et see

épais, tuberculés.

; sa forme, elle est elle porte à son sommet un us sans à celui que porte les Mélocactes; les baies et les fleurs sortent de ce cepha- lium , elles sont semblables à celles des Cerei; leur pé- est tubuleux ; les étamines sont inégales libres,

en gradins, partie sur l'ovaire, partie sur le tube ; la le est sua mouse - les cotylédons sont tuber- euleux etla La arages semblable à celle des Mamil- _ laires et des Echinocac es

Ce genre est voisin cs spmes ane par son vrai cephalinm , du Cereus Late et sa baie : il ierient nt à la section A "Phy=

macotilédonées par sa germination; la forme de ses

graines est assez particulière, elles ressemblent pes à celles Cerei qu’à celles des autres | um qu ui est tout à ee

mais

et aitu | Sa au sommet vers le centre de tube

(Lemaire, Hort. univ., 1839-1840, p. 24 et + Cane OC. Sp. q. nov 1839, P- Las .

R ph mn de 1 pied et demi de haut sur 1 es l'damétre, cou ( laine brune t Lrès-é e divisée en A M

ï Le vertex laineux de ce sous- ment comparé avec le ti florifère des vrais : Mélo-

cactes, puisque les fleurs ne se développent pas des aisselles des mamelons, mais sur leur sommet, comme il résulte de la description détaillée donnée par Lemaire, page 32, de son premier fascicu

Plus jé, celui-ci , not: un autre avis, forma le genre Pilocereus, qu’il regarde comme voisin du genre Mélocactus, lorsqu'il confond ce sommet avec le cepha- lium des Mélocactes. D’un autre côté, le même auteur, page 6, dans : son deuxième fascicule, dit que les pe et les baie

Ca Dirk

lédons tuberculés M. après À

se sont ap) appuyés at | créer leg genre Pilocereus entièremen t fondés sur les caractères de Eten

ie; ils tiennent compte aussi du développement parti :

para une certaine partie de la tige sur laquelle ces fleurs soient

LI

se développent; mais, bien que ces caractères d’une *

importance réelle pour le botaniste, tant qu'on admettra

pass l’état actuel de nos connaissanets, TM seuls carac- ières constamment observables consistent dans la rique, dressée, : sembla ble à celle de quel-

petites, nombreuses, resserrées, dans la structure des _aréoles qui sont consiamment saillantes, abondamment munies de laine longue, soyeuse, le plus souvent pendant ME au lieu d’être courte et comme feutrée, et F le revêtement de ces aréoles qui est formé de ; [re flexibles, souvent soyeux, et d’aiguilions , parfois très-allongés. PRIS tout As qu’ils sont, nous per-

Mais le les erreurs auxquelles Le 5 SE it FA ;

et les horticulteurs n'auront pas un grave i dent :

_ earils les dét Pa sine ee -

_ véritables Pilocerei, et précisément la plupart de ceux mir être confondus les mêmes soins de

+ SERRE déterminer

. mèmes soins de culture que aa _—e facheuses il

‘est résullé | de nos le I nous semble à propos de faire remarquer ici encore

_que le spadice qui se développe vers le sommet des Mélo-

cactes, l'espèce de spadice dont nos Pilocerei sont accom- pagnés, ne sont pas des organes particuliers et spéciale-

+

à Fe à RC ECHINOPSIS,

feuilles de Ia tige souvent si et si les Graminées, les feuilles ne subissentelles pas aussi des modifications bien plus importantes dans les parties dei doivent donner plus tard la fleur et l’épi ? Bret d’autres familles présentent également des transformations analo- gues. Ici seulement, les feuilles déjà développées d’une ma- _ nière anormale taux a ces modifications qui se présentent vers l’époque de Pin , sont persistantes, constituent sur la tige, comme on a semblé le pen nser, un organe spécial à nce, mais une évolution tion irrégulière compara- vi des autres parties persistantes,

æ, L 1298

San le goes de fr ed ot

identiqu spadice présente mars ue inflorescence 2

de . ce dérélopnemett partieuNiér æ hs se « Présente quelquefois sur une place ce indéterminée de la tige comme da s Curtisii.

D'ailleurs , quoi de plus concluant que l’observation M. de Monville que nous avons déjà citée, qui « est relative : = Sp d’un spadice de Melocactus ; avait été coupé

Lure ss quelque temps ?

udée ur gs ée lairement sur V orifice du tube; si filiforme, à peine plus long que les étamines stigmate multiradié; rayons linéaires ; baie squam mes à aisselles ra sgi cotylédons minces , connés , *

à dus : FRE FAR es me dressées, _ successivement pendant lej jour et se refermant Ja nuit ; l’ovaire le plus

b.— Echinopsis Cinnabarinus t. + 4326. Morren hotes sec. royal d’agricul. de

wcules disposés en spi tétragones à la base, profondément e dos; carèn verücales ai de +. auts,

k : - Diagnostic. Tige verte noirâtre, globuleuse, déprimée, awldiiée: irale,

vigoureux; 1-3 Mntérieu re SET Pos rs isolées, disséminées ;

; petit es, breuses , De mieu ee VARIÉTÉS. ss ie B. Spinosior Salm, Echinoc. 7. Cheronianus Cels, :. Tige un De plus vigoureuse ; aiguillons plus rigides , ceux du centre ne manquant jamais, JG, Se np tempérée, en plein air et en bonne exposition pen-

extrêmement trare en Ér sa variété n’ÿ ést

que Le peer

> Béheeris (Salm).

13e. Echinopsis Scheerii Salm. Cact. in kort. Dy k., cult., "+ ; Pentlandii £. or ve 7 . : :

&. Tige elli psoïde, charnue, _. de toutes a d de vert gai, a À ape côtes; côtes comprimées, ob 1 re rompues près des aréoles plus

pourpre | Floraison? Fleur? Tige haute de 43 cent. sur 6-7 pu de + dimère, re en haut et en bas, plus char nue que celle de ngénères et ssi plus ; les côtes sont formées de lis de forme tuberculeuse; allongées en crêtes, presque confluen < istinctes à

à cause das sinus 0 ; elles ES rh

8. metinopsis Pentlandit (Salm). a

+ ntlandii Salm. Cact, in hort, Dyck., +. +: 0. id Er pie Ps Sa 370. Echinocactus Pentlandi, Bot. magaz.,t. 4124, id. Monv. Catal. e

Patrie. Le ARE agnostic.. ue bel ie. d'un vert _ brun foncé; sommet mb Lo f euilles tuberculées , comprimées forme de crêtes assez séries spirales Mie qui forment 13 côtes ; aré approchées , d' gar- jaune qui passe avec l’âge à un gris mm à longées sur celles qui ,et

ncen

liquement sur la partie parue re des

tubercules, de manière à les séparer en laissant le tubercule iférique

à gauche et le tubercule sr à droite; 9 aiguillons, quelquefois

840 ou 43 par l'addition des aiguill ons qui se développent pe la st in 6

Care ils sont inégaux, rigides sims jaunätre pendant

F placées ob et bout à b he à 13-18 milim. les unes

à fleurir ont 15-16 cent. de hauteur sur 9-12 de Fans ils sont alténués à la base

régions du Pérou; elle a rarement fleuri en Europe, je crois, “e qu’elle y est presque partout cultivée en sage Il s'esists bare part de description des graines et de la germination

4. Echinopsis Misleyi (Nob.). + pr dre Echinopsis Misleyi Nob. Echinocactus Misleyi Cels, | Portef, des hort., 4847, p. 26.

| Patrie. Le

ongues,

lies convexes de la côte, entum gris allons assez longs, très-recourbés, bruns, dont 8 ra symé- triquement, et insérés des deux côtés de l'aréole et tout à fait recourbés | ee sur la plante, _— haut _ les plus longs , 4 inférieur p enfin intér à la base, très-recourbés vers le

cette mr n'ait pas ‘encitié fil, elle rappelle s suffisam— ee le facies des Pentlandii pour que je n'éprouve meme nées

pisse rès de ceux: ci. : ue mu pérée pos l'hiver, plein air en bonne expo-

saison,

Cette plante est rare eu France, elle n'est connue que pèr . le beau sde ane ts par M. Cels. Ce sujet a é quelques - ns qui figurent dans nos Coll ds but D

un diamètre de 13-18 cent. sur une hauteur de 15, dre Dent tes elle porte 15-18 côtes vigoureuses, compri- mées, verticales , non continues, mais découpées en crénelures aiguës, arrondies, assez égales _— elles ; à leur sommet et dans l'enfonce- ment de chacune d'elles, à duvet grisâtre d’où

_sorte ii I sigles prés, ascendants, nlsiiees brunâtres, longs de 2-3 cent. et quelquehois plus, au milieu desquels il en existe 1 plus long et plus fort que les autres. . Florason? Fleurs semblables à se de ses congénères : er F t

Dietr., à G. Z. (1844 cult., p. 480

rer Amœpa - Cact. in hort. Dyck., osea hort. . Palchel la 6. Amœn, s Pulchella var. flore Lames LR,

met arrondi; 11-12 côtes

uillons courts, droits,

En de Lu courte, celui du bas le mn et décidue.

ruse ce res de diamètre sur 5 à ar; sommet arrond pe côles interrompues , formées de saillants Fra,

pourpre g gaie, de 3

à | aissel! guillons verdâlres; étamines rouge mat ; anthères jaunes ; pistil é de la rot des mens terminé é par 5 divisions stigmatiques 2] jaune verdâtre, Elle a fleuri pour la première fois en Juin 1844, à

rlin Cette plante _. assez de | et LT. ee sa fleur pourpre gaie et non blanche, i par s ous plus nombreux, blanes. Les échantillons connus ont ao pe cent, de haut sur 4 cent. et e diamètr Culture. Serre tempérée hniiat Thiver, en plein ai air ps en bonne exposition “pendant l'été. Elle d ue bonne pires fleurir. Les graines sont assez grosses. Bien'que j'aie semé plus d'une centaine de graines de cette pics et de la Re je n'ai pas pu les faire lever. 7. Echinopsis Pulchella (Zuce.). Synonymie. Echinopois Puolchella Zuc

Act. nov. nat, eur. XVE, t. 25, fig. 2 Cer. Pulch held p. 74. id, Forst. Handb. dr. Cact t., p. 364. :

Patrie. ap près Pachuca, Diagnostic. Tige obovée, cy Idrique , lg; soute peu-enfoncé ; 12 côtes obiuses, i

; aréoles m

ee: à unies de laine courte, rare, décidue; 4-5 icnillons

Da > droits, jaunâtres, ouverts obliquement , celui du bas le plus

Ilon intérieur. Les exemplaires qui existent dans nos Collections ont environ 6 cent. de hauteur sur 4 de diamètre, à cette taille ils fleurissent déjà ; plus

nu Fes. pe ils ent une tige multiple re =

présenten t toutes d’une _— np ns:

la base “jusqu'au milieu, à partir duquel ils

s-nOT , Pfaiffer en eompte 260, pres ep que les pétales ; filets filiformes , érigés , gl blancs; an

: sions None obtuses ares e. Serre tempérée pendant Tee en à plein air et boune expo- belle saison

COSTATE, à côtes entières.

à Aiguillons droits, courts ou trés-courts.

rs Sn Decaisniana Lem.— id. Salm. Ce mod Jamessianus shot id. Forst. Handb. Ps re us Decaisnianus Lem.

rt pe portée à a si _haute de 15-20 cent. sur 15 de diamètre , il existe méme des forte di 3 de 1345 millix

is Schelhasi, dont i dif diffère par ses cs , moins Fisibles et moins piquants. Dans les jeunes qui se développent au milieu des aréoles très-nombreuses, d’abord couverts d’aiguillons

, dans la Collection de

Pour ce cette pute ne présentait _. caractère a, Si de sai ue pe dan vert fonc dont les sllons .

_… . : #4 ..

ucc.). puis ne Echinopsis argr, Zucc,

inopsis Boutillerii Pa Échinoc. Eyriesii , 51 (rss). _— _ “Schelhasi Pfee enum. diagn., p "> pe 73. map re Fe.z , 4835, 40,5 Echinopsis Schelhasii Font. Handb. dr, Cact., p- 360. #

Patrie ? Diagnostic. Tige globuleuse, à à peine atténuée à la base; peu enfoncé ; 15-18 côtes verticales très-aiguës, are tuber- la partie supérieure, arrondies

culeuses ; sillons profonds (aigus dans

dont p tes les aréoles rgent de gemmes A sont éloignées de! 18-20 ou 2 ie: les mr 3 ont de 2 nil. | de longueur ; les aiguillons intérieurs sont ceux qui se d’abord , Es tard les a ons extérieurs apparaissent et se

CACTEÆ TUBULOSÆ. ni

décies éloignées de 4-6 millim.; aiguille as : millim; an intérieurs de 2-4 de longueur ; ent les pe les autres apparaissent ensuite

se cs Floraison, Pendant l'été. F1 à celles de l'Echi: hop Bret exhalant une odeur assez ra e jasmin, présentant - un limbe de 8-10 cent. de diamètre, avec un tube de 16 cent, de lon- ur, vert, pourvu de squammes peu nombreuses dont les aisselles sout moins ee. que celles des espèces voisines; ce tube est renflé à du milieu et présente re près de la corolle un diamètre Les D sont liné sn d’un vert foncé; les pétales sont

mucronés, verdâtres dehors: les étamines gr graduélement sur gr longueur du tube trou udée : celles qui sont

séri ve 50 es ont groupées a réunies, et semblent en fermer

mème Ha me que les étamines, est ter- urs divisious stigmatiqu

ap Turbineta B. Pecta. er prime de Re Pt pi air st peine ere Lenant: saison.

ou éprimée ,

larges; 12-18 côtes nn Li

_ ondulées; aréoles dislancées, muuies de tomentum e d'abord, ensuite. gris; re très-courls, bruns, res ass ne A extérieurs,

sommet enfoncé ; ss

+ Saut les uues des a cuil nes 2 millims n. end tnt té, Fleurs b sn res

qu’elle est un des caractères des Echinopsis et non a pas une circonstance exceptionnelle.

Quand on veut obtenir un développement rapide des chiens de cette section, il est utile de faire tomber les jeunes à mesure qu'ils se dév es oppent. «

rs

f: #7 ! B. MACRACANTHI, à aiguillons longs, droits er _ ou recourbes.

_ * RECTI, A AIGUILLONS DROITS,

12. Eebisopdis Onygona (Zucc).

comprimées , enflées vers les ns “crêtes s aiguës; aréoles ist: pla nles adultes

inégaux, ouveris, bruns.

LA PA

es | Lg | _— ne est t

CACTEÆ TUBULOSÆ, tempérée pendant l'hiver, plein air et pleinè terre

Len 4 258 belle. saison. S #4 L'Echinopsis Ox semble demander un peu plus de soins que Lg chaleur. Coûk que j j'ai cuhivés ne

à les ares et à les affranchir armment en serre , déli-

. Tige su bellipso soïde, prolifère dans la partie inférieure , RE sillons “larges; 12-14 tes rondes , convexes entre les

= Synonymie. Kcbinopsis Maltiplex Z Echinoe. Multiplex. Botan. gr t. 3789. tËct - Muitiplex. Pfr. enum., id. Forst, Handb, p- 366.

Denis. Brésil. | *

. Pfr,. enum, diagn., t. 4,

un limbe de 10-13 cu. de diamètre, s'ouvrant pendant deu jours de suite et es une légère odeur de js, Re lc vert, garni de poils blancs; tube de 20-24 cent. de hs 13 millim. de diamètre, infundibu liforme, rouge terne et parsemé de

teinte rose qui, en se dégradant, passe au blanc; étamines blanches ; on) jaunes; pistil de la même longueur he ere terminé erdt te Baies eHipsoides de la grosseur d’une noix , games “d'écailles crées et velues.

5 - Lpiars, Serre tempérée pendant Thiver, Dane tar «pi

seen Fe A Senke, horticulteur à Ext, RS ee

1" ans, en en les arrosant avec

d moy: fleurir des sujets ayant au plus 8 cent. de hant et 5 de dis les exposant de bonne heure à l'air libre, fin Février, et | vrant de châssis pendant t les mauvais temps, en les tenant renfermés sans chaleur depuis la fin de Novembre jusqu “leur sortie. Cette observation s'applique à

: Rue he Lohinoquis Malipies Be Cossa hort. Berg- ce Snnrmé Echinopsis Multiplex 8. 8. Gristata ls, 2 Gr Male émis Pt, Le

Sel dot tes e est aplatie en crête de coq et présente une struosité semblable à à celles er nous avons 7 nee sur Ce sieurs M et De à

| CACTEÆ TUBULOSEÆ.

er deux jours et exhalant une légère odeur de jasmin ; wvaire vert pâle; ARS étroites, linéaires , utie en de

vert ve pétales rangés sur séries, d” blanc ae neige :

ss ; extérieurs s marqués d'une teinte Brun verdâtre qui se dégrade

soufre ;

four val un peu plus long e les étamines , terminé Lg 10-12 divisions es jaunes. plante est d’une floraison assez précoce; les sujets de 4-5 cent. de he sont de force à Rent Vanréris. re Zuccariana $. Nigrispina Lem. Echinopsis

Cette ha à ie à la précédente par ses aiguillons exté— rieurs noirâtres sur toute la longueur, et les intérieurs tout à fait

Zuccariana +. Rolandii Forst,— id, Zuccarineana Jesse

rs

Hybride à à fleurs roses, provenant du croisement de l’Echinopsis

| Echinopsis Zu 3. Picta Salm. A Variété dont la tige est marquée de taches d’un blanc jaunâtre,

mmence à s’annoncer, je les tiens pendant un ou deux m sous un A dans rs a es une “chaleur de 10- pendant le jour seulement, et je bassi mes plantes. Plus tard, c'est-à-dire vers le milieu pes je ie mes

dehors sans aucun abri : j'ai consta ge réussi, par ce moyen,

44 dont 10 rayonnants D Rene supérieurs les moins +. bulés, presque égaux , dont 1 pau Mt, le due des autres en one gueur ; tous à pointe noire. Floraison ? Fleurs? Culiure. Serre rs pendant l hiver, plein air et terre: belle saison. L étation de cette plante fortement “ip, aps Les pee d'un peu de chaleur : seulement, quand ces ns. sg son! pas accompagnés convenable, les RE une tendance à s’allonger

de “gris rare ; à à es brunes, extérieurs

Fes sérés dans | Tige vigoureuse per) jusqu'à 80 mètre, subatténuée en baut et en M à s

Pendant l'été, Les seuls sujets qui ont fleuri en France at l’un à la belle Collection de M. de Ton l'autre à

James Odier, à Bellevue, Les Paris. Ce dernier surtout quable par ses Ps rmes, colummaire, de 70 cent,

parativement à celles de ngénères. Je n'en ai pas fait de des- cription, je me rappelle ras t que la fus eur étais blanche. _ Culture. Serre tempérée pr à l'hiver, plein air et pleine terre en Joe prior] arr belle saison. in. une croissance très-rapide l’espace de nnées, À laide de Ls soins convenables , une jeune bouture de la gros— à seur d’une cerise est pre hauteur de 18 cent, M. de Monville indique dans son Catalogue, et immédiatement après caen, nee sn Echinopsis Pulyacantha Monv.; elle nous

entre de la plante, très-aigu., très-r > _. Plant vigoureuse use de 12 cent. & Eee sur 10 de diamètre; de 4 cen pme .

; 3 (pins con os

ourbé en arc vers le +

mes à Chaillot, possède sou re une plante as qui provient de la pts de M. de M aviile; en la comparant aveé son Echinopsis Campylacantha, il n’a pu désouvi aucmie différence : il regarde ces deux A tps comme identiq Culture, Serre tempérée pendant Phiver, ds air pusiine é.. 19. Echinopsis Formosa (Jacobi).

Synonymie. Le mn Formosa Jacobi. Echinoc. Formosn # ne + Formosus Pfr. enum. diagn., . SN Mie. GS

Il existe des sujets de notre plante e, ont Lu 2 10 fines *. +

teur et es n’ont es __ _—

encore v eur en 1 assirie _— Form Le aps Salm,

A aiguillons plus ecntrees 4 st rigides.

inopsis Formosa +. Rubrispinus Monv.

Fi sang D,

aiguillons rigides, à peine courbés, jaune clair grisâtre, 12 mié- rieurs subcomprimés , 1-2 intérieurs le “plus souvent subulés, tous de

3 cent, et ae _—

Fleurs ? le pèse, ainsi que l'Echinopsis Formosa, n’ont

1 slames de ne nuire gere qu montre qu'à Tiny erse des cactes, les aréoles n’ont pas en pl t leur évolu- tion quand elles arrivent sers le de bus dE a tige,

- Culture. plein air een De AR nv grrr la belle saison

CURVATI, À AIGUILLONS RECOURRÉS.

ar. mas _ Tige de 25 cent. de hauteur et de diamètre; 25 côtes; 8-10 ai- _ gnillons extérieurs (celui du bas n plus sai Se 3 cent. pa ss na Vaiguillon central, qui manque quelquefois, atteint

4

É due les Fr sa d'Euro ape, et ont donné les à ‘celles des ant date us

Synon nonymie. E EUR mir us PR. Gib. Bot. Reg., t. 13 (1840). Cer. Leucanthus Pr Echinopsis PA, Zucc. Cer. Incurvispines £ . Echinoc. Ambiguus, Elegans hort rt Miuses is Campilacantha Sale Cact. in hort, Dyck., cult., p. 482.

pi

compri a éoles Dr © allongées blanches, mblipent > fit subulés, igides , br a base, jaunes

u milieu, noirs tout à fait à bi pui pointe, “Jarre rayonnants , ee tral plus fort ; tou tous courbés + ers le haut, très-longs.…

ige adulte a 16-17 côtes ; Pen te à na. u ee es mn qu très-vigoureux,

Nan le - ris longs, subexibles et encore plus rec vers Jesant de is Pl siha Leucantha Nob. + quelques-unes des Le notées plus haut se rapportent mtihe à à cette variété}. . reine sean Eee de ceux du type que par la couleur

Na ayant Fee que de jeunes sujets sur Pr ve la description ite a été faite, nous ne ici la description que Le— maire a donnée e notre re plante dans la 22° livrais sedhepieer fleuriste de Gand. Il la fait Her mo d'une

La à + verdâtres en dehors, les

é ; à Aoates de en 12 rayous linéaires , allongés , els

a paf au dans la Collection de Monville, un pesé s désigné sous 1

sis Dumesnilianus , dont je n’ai pas de des escrip-

+ tion: pee qui _— se Ras “3 ge la Collee tion d'Auteuil qui vient

| d'être acquise par M. Cels. peut-être sy de l’Echinopsis Auratus, Pme en est-il

te one PE inconnues en France. _. ‘dois Lagermanni ( Dietr.). & _ Echinopsis Multiplex. Hybride pu de la Été du Multiplex par l'Echinopsis Zuccar

Echinopsis Oxygona, variété B. Turbinata (Mitil.), spbrde pre venant de la fécondation artificielle du premier Se ne second.

Echinopsis Schelhasäü, bride La de La fécondation ar | gieledel'Echinopsis 8

tous ité de l’évo- ment leurs aiguillons conti-

He _. a # sence des fleurs, viennent Maé à déterminer une distinc- tion entre les deux sous-genres.

Si les caractères différentiels du sous-genre Echinopsis

n’éprouve plus les mêmes difficultés quand on se propose

de le partager en divisions et les divisions en sous-divi-

- au premier abord on distingue très nettement F. iles Echinopsis ceux les organ

ent des côtes discontinues, de

à

plantes de la première division, on reconnaîtra ais

ceux dont les feuilles ont une forme A com-

es en crètes, de manière à leur t rèle

presque à Vaisselle qui sépare deux tubercules dans même série : tandis que dans PF: autre svas- die sion, aréole est tout à fait apicillaire, ses aiguillons pré- sentent presque constamment une di sposition. bif ariée. Dans la seconde division, les caractères qui permettent de r les Lens ne dépendent plus de la forme sont confluents , mais de so form és aigu

CACTEÆ TUBULOSÆ. .: me

-? sous-genre, Cereus (Haw.).

Synonymie. Cereus Haw. sinops. Dec; Cat, hort, 4 MT Proûr. —_ Pfr, eau. diagn. Cact.— Micq. Cact. gen. Lem. gen. nov di, à gen., 2.

= Le tube du périgone très-longuement dévéloppé aéielh de l'ovaire, pulviligère ; lacinies nombreuses ; parmi les

riquées, très-sou- vent sétigères ou aculéifères aux aisselles; les pétaloïides sont plus Jongues, plus moins ouvertes, recourbées, tune corolle Lorean les étamines sont

de Du nécessité Phone se trouve touies . fois quil i veut établie une méthode de classification , de créer is q un certain nombre d'individus. Ces lois

qui établissent une manière d’être des organes de ces indi- is, pour devenir caractéristiques, distinguer un

AT Ttus 2.

bp. Échrnepsrs, Fe: qe léreut RS LA Sp.

É Chico fiAS

4 44 3. Lageless 4510 t

LAC

| #02 = //5- se A) > ta pd 722

z.

Satre : d'autres fois, il existe des lacunes. ds

mn

3 L's “a ; et etbieh distinctes, alors la série est incomplète, les carae- re

Gierges, tels que Peru eruvianus, Perrottelia Repa ps à Cage de la plupart de nos | certainement pourquoi

elles ont donné eu" à deux sous-genres? La seule dis- des fleurs de quel-

} ques espèces RER dans l’un, les étamines ines ont au moins une de leurs séries soudée au tube jusqu’à sa gorge, tandis que dans autre elles sont libres ou soudées sur

: une partie de sa longueur ne ou bien elles ne sont libres que vers sa partie supérie re. Cette distinction, .

| pourrait bien avoir sa valeur selle élait « à

Les caractères extérieurs rélatifs à la continuité dans le

sn

310 CACTEÆ TURULOSÆ.

non-seulement il y a continuité, mais encore il y a presque stratification.

Nous devons conclure de cela que la division du genre des Cereastreæ en <a mc est encore incomplète ; ; que sans doute il ne faut pas néglige de forme, tige allongée ou Étbüleusé , mais qu’ils sont insuffisants ; que les caractères de la fleur, pris d’une ma- nière absolue, le sont également ; que les sous-divisions établies par nos dévanciers satisfont, tant bien que faire

ut, aux classifications qu’ils ont établies; mais que, dans l’état des observations et des deser iptions connues, la division en sous-genre conserve quelque chose d’arbi- traire qui ne peut disparaître qu’en formant une autre sous-division comme la propose Lemaire, et en refondant les earactères du genre dans lequel on a rangé, je a à tort , les Pilocerei et dernièrement le genre Lechte bergia.

1er GROUPE. ECHINOCEREL { Engelm.}. ECHINOCIERGES.

Tige basse, le plus souvent ramèuse à partir de la base ; tube de la fleur presque court ; baie ee ou rene” couronnée par les restes persistan

Dans ce és Étoupe, nous rangeons pete plantes qui ont été longtemps classées parmi les Echinopsis, mais qui ne peuvent appartenir à ce sous-genre à cause de leurs fleurs qui, au S eee les rangent parmi les Cerei de cette division. D'un autre côté, es plantes de cette

s: division offrent dans Murs: pre et même dans leur Er

e

» Pour qu'ils aient cru qu’elles autori-- _Saient la eréation d’un nouveau sous- -genre. Presque

_ Toutes originaires de la partie septentrionale du Mexique, elles ont un cachet particulier qui les distingue des au-

es dans la floraison des Cerei, auront w sous-genres dont nous avons parlé À se ce groupe, à cause de la

briseté dutube de son périgone, consutuera sous-ge Quoi quil en À jai transcrit, d’après (Memoir of a tour in Northe 4 1), caractères à l'aide desquels il propose de © constituer LE Er genre Echinocereus. du périgone prolongé au-dessus de l'évairé

+ LOPHOGONTI, & ae

à cr dem. ‘Re prolifère ou rameuse, découpées ; feuilles ou les toujours "

id. Salm. Cact. n hort, Dyck., . Pfr. enum. de » p.101.

€, vert cendré ; 5 côtes vw séle: | s ; 5-7 aiguillons

7 Tige Hressée> éme he, les jeunes ses ; 5- ee es plus us jeunes jaune blanc , a adultes es gris; ! 1 aiguillon

; (Pfr. ». | s pu Pfr. A 6. Z. 4840, p . 282. nuior Cerens Feng Pfr. TA. G. z, m1 A0

Synonymie. Sr 8: Tenuior

282. AR dr. Cact., ue. Introduit par Ehre mi Li Digne Tir EE rubte ip flétrie, verte; 6 côtes de, zber- = culées ; aréoles subdistancées, munies de tomentum blanc ; 8-10. Fer ui extérieurs. adprimés, rayonnants , 4 intérieurs plus longs ; tous presque droits, paille c claire, ténus , ee » tige est très se, souvent à à côtes; subspi igui sont rougeâtres à à la base, ils

| | 1 ‘foie doi arte Pa les unes des autres; _— millim. de z, ressemblant beaucoup at

. il diffère À cor

ts s

tempérée . d exposition pendant la belle saison A der,

"1

culeuses ; sillons aigus; sréntlé je | convexes, vélutinenses; 44 14 siguilions blanes , ripides., sétiformes, 10 extérieurs rayonnants, 4 intérieurs érigés, ge | nr plas longs, souvent fauves, Souvent il n'existe que 8 aiguillons Raiérienrs À central, toujours . blancs dans l'espèce. “Te Ne ©

cent. Spa sen. de diamètre ; aréoles éloi- térieurs longs de. 14 m se fn A à

s Ag ion 8 aiguillons extérieurs

Fleur? pl "ait Dr rouge arm vif, de 8 cent. de tant un nn

“amis, Cou memes 3. Mic 1e: Lt à eus Deppei hort. pars. Cereus su hort.

réduisent à 7 et Ligues ce une culture es z elle rep

cs. + À us

. Culture, Serre tempérée pendant Re plein air et pleine terre en bonne exposition pendant la Les caractè la fleur méritent une st toute D la puis de ceux qui désirent ee Te les bases d’une classification des de paies de (OS) 0 + Æ Cereus Acifer Otto. id, Sakn. Cact, inter. Dyc« at, _.. p-

vert eur: 10 côtes ; cites co

Lo n. ras: 2 millim, gi tomentum gra perle à extérieurs longs de 10-20 milli purpurascents et

& pendant es, nn, air, Fu pe Ja belle saiso

A ce Bone (Engein. k

; : rpennen em ir nas ms Cast in hort, D x eult., p. 480. le? 2.

Diagnostic. . Tige ovée, comm à aértin de la base; Le côtes (le Er apr interrompues ; aréoles sai , orbi- munies de tomentum court; aiguillons blanes ou Ni, 8 rayonnants, 1 au centre vigoureux,

infundit 5 cent. de long); sement dr de millim, de st us extérieures ;

ror 17 inférieures, squammiformes, s ubulées ; à ue munies de

or et de 3-5 supérieures

> obtuses, submucronées, rouge éclatant ;

40 la 10 ici imtériures s cbovées, spatuliformes obtuses, enti con-

> Coccinnées, igées ; ever nombreuses ; fa à courts, Pos: roses vers le sommet ; st le beaucoup plus long que les éta- mines , pro t divisé; 7 divisions atteignant a téri ,

ée; 9-11 côtes ; côtes tuberculeuses, terrompues; mio nr jee jeunes bancs, tomenteuses ; 9-10 he rayonuants, sers droits, porrigés obliquement, ceux RE 43 intér urs blaschétres carnés,”

Charles Backley à reçu, sous le nom de Cereus (Cocétaems, à une Hybride ee. £ 261 qu'il 2e ngelm. Cette te

re haute de 5-6 cent, et sr SN cent. à ram de la base, Floraison? Fleurs latérales, longues de 4 cent, et wrésoiast"e un limbe de mème diamètre; lacinies pétaloïdes coccinnées ; filets rouges ; anthères j . cat tube stipité, muni de 18-35 a aréoles tômentenses : :

FES Ha [ei = 8 1 & 2e e ® An œ É 1] $ 1H

10-42 Puce cbovés ; nine sr courtes; 6-8 stigmaies verdâtres, Culture. Serre tempérée bell on, l'hiver, plein air, # mere ges en bone gg pendant la

#

$ +

en ps Sitinets jusqu'à _uù com éo!es prise rondes, tér! 1

« im. de diamètre; aréoles dis- tantes de 5 miilim. ; soslons en. : ceux du bas de 41 millim. de AS ceux du haut de 4-5 millim.; ;’aiguillon intérieur, le Pare dirigé presque horizontalement, de 12 millin

= blanchâtres, à un à central pls fr diigé en aut, por- __ rigé, allongé, br Tige nine plie de 8-10 cent, sur 20-26 millim. de dia- mètre à la base et 15-17 au sommet, charnue, molle; aréoles ts 8 contiguës, munies d’aiguillons subrigides, ceux du du dnhens. |

RS te Uitbie un l'hiver, plein air en bonne expo— > ns NE M eciron

| B. PROLIFERI, à tige prolifére.

Tige charnue, dressée, pr à M base ou dans la crie sig é seulement ; sommet nombreuses, tr

larges; sillons à peine re sie

*PECTINAITI, À AIGUILLONS RANGÉS COMME DES DENTS DE PEIGNE.

linéaires. rochées . blanches . 2 guillons D. subrecourbés, a: > pectinés, blancs a balle ceux du haut et du ne lus courts, les fran plus longs,

centre aucun ad Fleurs ro jotge pourpre; tube stipité, couvert de 80-100 aréoles garnies de Le tomentum couleur de cendre et munies de ne sommet ; plan cn ; 30-40 étale

Variéré. Cereus Reï Reichembachian À Castaneus Nob. Syn. L :

Cereus Cœspitosus $. Castaneus E Variété dans Lau les j sr suis sont de couleur châtaine,. Culture. Serre tempérée pendant l'hiver, sq air en bonne expo-

sition pendant ré. Pour végéter, da emande peu plus de al

que ses congénères, et c’est une attention qu’il faut avo avoir quand on la

met en pleine ter Cette Sn est déjà trés-anciennement connue dans les Collections

de F ; elle y est devenue rare 2

parce que coude avec le Pectiniferus et conservant de Eripg se em étant d’une

Synonymie, Cerets A pa Engels, Me 108, id. Sal. Cact,

- Près Cosihuiriachi. on. Tige ovée ; 13-15 côtes ; aréoles sa: rapprochées, les plus jeunes munies de tomentum blanc ; 16-18 : lons rayonnants, aimés, us, à pointe rouge orangé vi ess ceux du ‘bas t des côtés plus lon é

| Tige haute de re re our mot autant de diamètres nr, Fleurs?

Fonte Cr Adustus f, Radians. Syn. Cereus Radians

p-1 :

Variété qui ne diffère de la plante précédente que par l’aiguillon

. intérieur plus vigoureux. Culture.

Serre tempérée pendant l'hiver, plein air en bonne expo à belle soisob, 11 demande les mêmes soins que le

7 di. D émet aile do 15 RE ee ns. Price à lite Lakroles: Bpithes à le tube est couvert de 25-30 |aréoles munies de tomentum blanc et de 5-10 sétules 6 À

_ches; les sépales intérieures sont oblongues,

—. la fleur est asie E à cent. et présente nn limbe de dia- mètre moindre, en deburs d'un brun enéillire:et d'u jaune ns l'intérieur. _ Culture. Serre lempérée, pendant hiver, en plein air et. bonne osition pendant la Mèmes

soins que pour le pré

(Lem.}. nie, Cer Pectinatns Engelm. Mem,, p. 410, Echinopsis s Lem. Iconog. des Cact, id. Salm. PR 29 st t, Dyck., cult., —Echinopsis Pectinatus Scheidw. Echinopsis Pectinisrus inopsis Pectinata Pfr. “Abbild., 2, t.10, id. Forst. Handb.

Chihua hua. ostic. x. “8 simple d’abord, dans l’âge avancé rameuse sur les ovée, cylindrique; 23 côtes ; aréoles saillantes, linéaires, rap

les jeunes munies de ere np et de 16-20 aiguillons _subrecourbé > blanes, à pointe rose, Lung raie du bas lus ur, eu de tés plus longs, 2-5 au centre très-courls, sur une seule ra - _ Tige haute de 18-20 cent. sur 8-10 % dismbire oruison? Fleurs roses très-gai ; tube floral ip portant 60- munies de tomentum blanc ! très-cou:

SP Rébépines Engelm. Mem., p. 104 id, ons Cact. in hort. D cuit, pe 193. .

a

** MULTICOSTATI, A FAR NOMBREUSES, n

Tige de près de 1 pied de hauteur, cylindrique; 10-20 che el sillo ons aigus; arévles serrées, arrondies, petites ; eue ne breux, serrés, érigés , ouverts, sétacés ou sie res. + 17. Cereus Dasyacanthus (Engelm.). 3 Synonymie, Cereus Dasyacanthus Las: da Mem., p. 400. :47. Salm. ri in hort, D. cult., p.193. Cereus Dalles nus Monv. Catal.

Patrie. éme ne se ovée, Sa RATE “re

côtes perles, sn Lerrompues ; er ochées, , lan=

Épiie nue usse, près de 48 rayonnants, porrigés, ceux du hant

courts, us ceux des côtés et du bas plus longs, 4-6 intéri

_ dont quelques-uns #

Tige vigoureuse, parfois parfois hant PR. sur 7-8 cent. de

Cette : espèce diffère des Pectiniferi par _— de ses ai qui la range Es étie : Floraison

18. Cereus Fomnnae ( SALE cs Synonymie is Salm. Cact. in hort. Dyck, cult., p. 493.— id. À. G.Z., es» ns Cereus Lima hort,

Patrie, Lima (Pérou). Diagnostic. Tige dressée er vert Lg prolifère à la base; : nt

‘42 côtes obtuses, bp es aréol ées, ovales, sub À fauves ; aiguillons aciculaires, sétacés, , droits, 8-18 ‘intérieurs diver- gents, jaune roussâtre ou plutôt j : plus longs, 20-25

sara gi Ga D ceux non bas ps m6 Ole ou pes, _ Floraison? 2 Fleurs? 7 re dans son Manuel de l'amateur de Cactées, page 375, donne

, tous “amère; aréoles "éloignées .

mn, ,

8 de 8 millim.; aiguillons intérieurs millim extérieurs 6-8 millim, se ae parte fort belle; Ms pousse, à | on dggaane de nombreux . drageons Cars elh

Fe Serre tes pétsé prod dant hiver ce pd ait pe tre en bonne exposit put la belle saison.

20. Cereus Flavescens (Otto).

TR Cerens Flavesce id, Pfr. enum. 79. La “+ | Cereus | mis hort. Mony. y Res Maletianus Cels? da. La

Patrie? Dans le ças notre synonymie serait exacte, le Cereus ne Flavescens serait du Mexique et non du Pérou.

| Diagnostie. Tige subérigée, grêle, rameuse k s base: 10-16 côtes gr ; aréoles serrées, petites, brunes ou jaunes; aiguillons nom # filiformes, presque rigides, jaunes. Pige des min. ir sétules me 2 8 millim. - Le : notre pl tveé ni Limensis Lodl, ul la déni ainsi : - Es ee ige assez droite, mince; 10-16 côtes as ga aréoles p e . brunes jaunes ; aiguillons nombreux, j 4 27 millim. de diamètre;

aiguillons de 9 milin, de long, Pari Patrie: Lo

rise de Lima, L'orpiit de notre Flav

égalem à le différencier re Serre tem ET l'hiver, see et he tre

en bonne exposition pendant la belle sais -

‘2 Ces Strigosus (h. Angl.).

on mu. AI il. Pfr, enum., p. Ts Cons

Synonymie. Cereus & yrophyiles Gillies. Patrie, Chi, à Tige d'éme; 1548 ra (ave l'âge devenant rameuse re unies de sr a .

PEER 1114 , eus Spachian . Hort. sui, p- 23, vol. he. id. AE nf in hort. Dyck., are 393.

Diagnostic. Tige : dre essée, épaisse, vert +. avec l'âge prolifère à la base; re côtes obtuses, aréoles par sétalre serrées, ds grises, + tomenteuses ; aiguillons jaune ere acicu roits, 40 extérieurs _ étendus en rayonnant, ceux du bas Pride, de Fe 1 seul au tre ua peu plus fort. ba

ute 60-70 cent., sur environ 8 cent. de diamètre; nd l'âge adulte, èce diffère du Cereus Strigosus par sa tige plus élevé

] , les aïguillons extérieurs C8 rares et l'aiguillon

Wc

Pare ce mif il nr __——. la no . rabat dont LR pen en ue nee

; cadt n: brique, parlois riens

ayonnants dont 4 supérieur très-faib autres ainsi . + ral à érigé de 10-13 jar de DE

ne

Synonymie. Cereus = Site ÿ- Flavidus hort. Mon:

Dino Tige cylindrique vert Css 13 côtes ; obtuses les unies de tomentu m sublaineux,

autres ; aiguillons di ln jeunesse, carnés "plus tard, les extérieurs “nds de 5 Sig nillin. (æÈ ds

plus courts, ceux ceux des côtes ouverts y soie dents ue

cri,

dans les autres régions de l'Europe culture auquel elles sont soumises ; si vers

_ étaient un peu chauffées de manière à activer leur : pendant _ tout le temps qui précède leur mise en pleine id eme mr 2 _le soin de les dépoter mottes, je crois

“Si

Ti sim rameuse, verte, lime; du RS are do rés Re sprne

prince de Salm qui place les _ deux

, tous hr: sont

i Berol , et Siigosus, les seuls

aires qui existent dans nos Collections, sont encore rès-jeunes L re décrits dre pl

Er Läamprochlorus Lem Ceres Nites Sal act. galt., p. 495 et A. G. Z., 4845, p- 354. - hinoc. Wan— d’après Lemaire ? _— Cereus Chik s

s et Eds lobes, clement _ ï par con es Eat êté décrite de Lemaire, 5e fascicule

*

persistant, d’un re PRET rigides, + piquants, presque fau eur jeunesse d’un jau ne transparent, marqués pute dont 12-15 extérieurs rayonnants, longs de 6-9 intérieurs décusés, S se , plus longs, dont l’inférieur défléchi een environ 27-30 m La plante ainsi in Abe pie times bu encore jeune , elle atteignait 30 cent, de hauteur sur # cent. de diamètre, elle se rapproche assez du “hu ue ire create ne De

aucune description ; ndant elle a été observée plusieurs la Collection de Monville; Robillard, qui était chargé des er qu’elle est entièrement t semblable à celle des autres Gierges.

Tige haute i

dire trie: Synonymie. Gras ladite Len, Cac hote or, 108,38.

_aiguillons droits, alongés, dont 12-15 extérieurs divariqués , vigoureux , inégaux , et 3-4 jutérieurs très-vigoureux; to us Reise, aigus, légèrement “subulés et d'un rouge brun à la bent,

de 8 cent. et plus, les aiguillons ke ngs de à er er pois l'inférieur nie à

t ; ra A 5-10 cen de long, aplani, subtétragone, pee: en dedans. La te est ioriement _—. u par ses longs aiguillons, F4 Floraison ? Fleurs

Culture. Serre lagérée pa era l'hiver, pleine terre en bonne ER Er 7 t la belle

Synonymie. Cereus Longispinus be: Cact. in hort. Dyck., cult., Re re 4845, p. 354.

{ . Tige suballongée { ou rameuse?}, épaisse, RE 12 tes soft en tubes près des aréol à ‘aréoles très-resser- tomentum

. titine era ane de Gest dont 1 est recou— a plupart des ind au Sn pe

utineuse, épi. à eba Étape

ui du bas fu se, jusqu’ née, haute de 14 cent, sur 10 = B] es-obtus de à l’autre; rs

tte plante n'existe pas encore dans évite À rance : C3 ne qe dci iicstnades-

nocactus gen Cels, és m. Elle nous semble toute toute différente,

surtout à cause de ses 2 à aiguillon ens intérieurs dont l’un atteint 6 cent. pes

Notre bnschs N Pepiniaaus n’a pas encore fleuri, et et, dans cas rt dre Cereus, il serait une variét é du Cereus

Pepinianus ne 31. Cereus trie (Salm). Synonymie. Cereus Pycnacanthus Salm. Cact. in hort. Dyck., cult.,

p- 196. id. À. G. Le, 4845, p. 355. id. Monr. + Hort, univ, , vol. 44, p. 220.

s ; très-larg tr I rayonnants Penn Se le pt nt 4 intérieurs cusés, un peu ouverts, celui du. haut et celui du bas | eaucoup plus

rigides, subulés, les intérieurs ronge dns celui du hautete . du bas trérrigharées de 4-5 cent. de long, lun orge Fautre en

_ Floraison? Fleurs? Culture, Serre U

CACTEÆ ‘TUBULOSÆs

Sms ont + am les plus au nombre de 2 ordinaire- rigés lun vers le haut, nc le bas, quelquefois il

Les nombreux ment pd se plante lui composent une armure

si complète et si impénétrabl ue pas un seul point n’est accessible au La ere originaux portaient plusieurs boutons de fleurs dessé—

es, vers la partie moyenne de la tige.

IE table que cette description ne contienne aucune LE cs de la hauteur de la tige, car elle per- mettrait de déterminer Pâge et la taille à laquelle cette

comm

& toutes ee de cette

Salm, clure que ces D de force à Dee quand elles une hauteur de 20 cent. em

à. atteignent u re

, cd ef les rochers de Hi a . Tig e forte, sibérigée, su brameuse, un peu fléchie, Per rm de fortes,” arrondies, crénelées, portant des parar mu RS tomenteuses, A de es us de nombreux aiguillons et leur grosseur.

lantes de 9-43 millim. sur

Synonynie Subualiferus Salm. Cact. in hort. Dyck., cult. p. 498. id, AGE, priral p- 354, Cereus Spinibarbis _. Flavidus Monv.?

és au Pr dut tomentum

rencontre fréquemment dans Îles open son est sui véltineur, elle varie par le nombre des côtes et NE haute de 50 cent. urs de

tion à cause de son épiderme vélutineux ; ses aréoles rées, elles sont au plus éloignées de 4-5 millim, Le rar 04 chris | aps pendant l'hiver, plein air & tne terre pendant la belle saison, *#* À TIGE ATTÉNUÉE (ATTENUATI).

PE ere mince, atténuée en haut; 8-12 sillons ; côtes arron- _ I dies , subcambrées ; aiguillons droits Tr couleurs ou tachés de de

bdivisia ra

gt Gris Mül. Creus Repandus rot: Bruit Ge

“ho Les Antilles et les te Caraibes. : ne dressée

en à Tige de _ fre sur 3-4 cent. de | sens “aréses éloignés de milliw. ; aiguillons longs de 8-10 cent. a ? Fleurs érigées, obliques, s’ouvrant seulement Ra : de 9 cent. ; bte du limbe, 44 cen vert . de rene vert foncé et de cr

comme le prince de Salm , que ces deux plantes st et ne présentent aucune différence tranchée. Au reste, je rapporte ei la description donnée par Be sous le uom de Cereus Undatus, dans son Enumer ratio diagnostica, | page 94 : ea

Tige A ce, grèle, 10 dés d’un vert foncé ; côtes obtüses , ondu- lées; ar es presque resserrées , blanches , portant 6-8 aiguillons er ieurs ga" 2 3-4 intérieurs plus longs, tirant sur le brun ; tous

droits, érige de 13-18 millim. de diamètre ; aréoles éloignées de 13 millim. autres ; aiguillons longs 8 milim.

338 CACTEÆ TUBULOSÆ,

extérieures lancéolées , rm les 2. pe acuminées, plus larges, blanches, formant un limbe de ent. en forme de coupe ; émises blanches ; pere die set nf ae es subgi iobuleuse atténuée au som ongue ce

diamètre, ST à lon tubéreuse et unie É es seishioles lanigères , dorée vers le sommet,

Culture die : mpérée ndant l'hiver, plein air en bonne expo- sition pendant la belle saison, Mème observation que pour les précé- dents.

Cette plante fleurit plus facilement que ses nn souvent les sujets de 15-20 cent. de hauteur donnent des fleu

40. Cereus Platygonus {hort. Berol.).

Synonymie. Cereus Platygonus hort. Berol. id, Salm. Cact. in hort. Dyck., cult., p.499. id. Otto,

Patrie? Diagnostic. Tige é érigée, rs orr vert glauque; $ côtes arron— : dies en dessus ; sillons à peine sés, aplanis en bas: aréoles distan—

* cées, petites, grises, some aiguillons grèles, ipetits, rigides, 7 | grise ouverts, rayonnants ui du haut manquant), celui du bas et celui du centre plus longs: tous d’abord jaunes, ensuite blancs.

Vice ; crée ronde, d'environ 40 cent. de haut sur 20-35 millim. : pe à la base et très-atténuée vers le sommet , elle est marquée de 8 sillons qui sont tout à fait oblitérés vers la base de la plante ; _aréoles distantes de 35 milli., petites, un peu saillantes, munies

tomestum peu abondant; aigwullons pe rigides, eeux de l'inté- # rièur mr = #5 sillin. 5. 4

Culture, mb spires pendant hiver, pif din bonne expo- ae dépens la belle saison, Même observation que pour les précé- den

# *** COERULESCENTES, 4 ÉPIDERME D'UN VERT COERULESCENT.

Tige élevée, élancée, d'un vert cœrulescent, par fois pare vers son sommet ; aréolés munies de tomentum noirâtre et d'ai aiguill _bicolores ou noirâtres ; ; le tube floral est plus ou moins glabre #1 Cereus Seidelii ( Lehm..). "027 Cereus Sedelii Lebm. id. Salim. Cact. in hort. Dvck,, ‘pe 200.

au sommet et à la base, vert cœruleseent ; petites, un pe saillantes, munies de tomentnié noir

distinguer les uns des autres, grêles , subsétaces, M ne. miilim, ne

Floraison >? Fleurs grandes , remarquables, nocturnes 10-13 cent., violet sale; lacinies extérieures, celles du: ‘béres formes , obtuses , espacées , glabres aux aisselles , celles du haut oblon- gues , ovées , vertes brunâtres ; les lacinies intérieures trisériées, lan céolées, acuminées (loigues de 10 ne de à bords ape blanehes évebliqne dédie bre ne; étamines reuses ;

pe sole verre pis Lng que es amies, à à divisions

ER Se empérée pendant Lit

| sition pendant Ja belle saison. les

: les aiguillons présentent aussi à | peu près les

Le rt gere azurée de sa qi gr abondante , et par ses ge D É

eurs se t avec les , acieulaires uns de 9 milim, es autres de 1548 A. dter nombre trie ‘dune pate à Lmbha pe Faire:

“5e COLUMNARES, à olumnaire.

Tige dressée, ferme, vigoureuse, souven + Het, à és de re cd à moins que la partie supérieure n'ait reçu _— lésions

& ee * LANUGINOS!I, A ARÉOLES MUNIES DE LAINE LONGUE.

s aréoles sont garnies de tomentum porn, et, PE. de ils plus ou moins persistante.

ns 9-12 913 jus eut, eus du haat/les plus

pis ne de 6 g s, rigides, cinérascents, à pc ï te noire. |

Les plantes du pay ot 0 cent, de d iamètre ; leur sommet est nique; les les côtes sont marquées d’un pli enseesiat entre les iles s de 11 11 millim. ; les sillons sont toujours SET et même sur les suj { : 7 millim. de 19-27.

sition pendant la belle saison. Mème observation que pour les précé- dents. ". sut he

48. Cereus Royenü { Haw.).

Synonymie. Cereus Royenii Haw. syn. p. 482.— 24. Pfr, enum. diagn., p: 80.— id. Forst. Handb.dr.Cact., p. Cereus Royenii De. pl. gr.— Cact. Royenü Lin, nuginosus Mill

Cereus Gloriosus hort.— Nec Cereus Royenii De, pl. gr

Patrie. Antilles, Iles Caraïbes. Diagnostic. ns er 8-9 côtes , plus tard vert pâle; côtes obtuses , ondulées ; ées , , munies de

droûs, brun Gi, à eine lus log que Le rs 40 extérieurs , 3-4 intérieurs u Le. aie Gent. de diamètre; srinhes dtnte de 5-5 millim.;

__ Synonymie. PRES «5: se a id, Sam, Cet. in Mort, és Dyck, cult., p. 24. id. FR He de Cact., p- 387. Patrie, Lag

F2

gr nas Ti ES A, Pr 6 côtes vert foncé A ame » crénelées ; nm or aréoles tomentum , longue et floconneuse ; ee rrnbntseg “Es plus vigoureux. Floraison ? Fleurs ? D ue ae

a été introduite depuis ; elle estt Ce dant Fhi

serre tempérée en, fl air en bonne exposition sur la belle saison. Même observation que pour les précédents, .

et plante n'ex te dan Collecti e; elle est rare, à si elle existe ne dupe a ar pee

+ + >

» arrondies, cr rés et aigus ; avides ; garnies de tomentum blanc et de PAP longue blanche ;

52. Cereus Polyptichus (Lem.).

Synonymie. pe nn. Lem. gen. nov:, PS8 Handb. dr. Cact., Patrie?

Diagnostic, Tige érigée vigoureuse, vert intense, à 9 angles vigou-

_ En vers chaque aréole; sillons obtus, he aréoles

arrondies, mumes de tomentum roux et ’de laine cinérascente

er Ê aiguillons inégaux, rayontants, quelques davan-

lage, 4 iaérieur à peine plus pes, jaunâtres dans leur jeunesse, puis plus tard cinérase .

Fe he ans on come K5 côtes très-vigoureuses , hautes environ de 27 millim., | He SET. Éteh comprimées ;

4 FR: Ut 4 de: Le: on

Culture. Serre 1 pat belle saison. Mme abc que Pur Le

54. Cereus Flavispinus {Salm). Synonymie. Cereus Flavi Salm. Obs. bot., 1822, HU. + mr ee Ge Hi s Goi.1= de ru

Jaine caduque dont les aréoles sont garnies. à e, 20 6-9 côtes; côtes obtuses; aréoles 09 de + amant 8- greg name te

- rieurs

a APE Tige dressée, rameuse ; 9 côtes ; sitots pedtonts: côtes

; aréoles convexes, munies de tomentum jaune et et de laine. pere en droits, fauves, 8-10 extérieurs, 4 intérieurs «

(3 cent. environ) avec le t ps +

Tige d’un vert gris brun, portant 9-11 côtes é émouées, sillons aigus; aréoles longues, munies de tomentum et de laine blanche fins, rigides, 2 js jaune roux , dont 12 m4 ceux du haut haut très-courts ceux du bas longs, enfin 3 aiguillons inté=

longs.

La plante décrite est jeune encore : ses aréoles sont à 9 millim. les

RE ee en ns Le, ils ont de 3-5 millim. pan ere

nt 400 à 10 de haut sur 8 cent. . “ani aise sont élevées dans nos Collections sont pu pl: lo wi nt at de millim. ; “es iguillns ont 8-16 millim. de Floraison? Fleurs? . Culture. Ses chpite moi l'hiver, plein air ns «po. sition pendant la belle saison. Mème observation 4 per dents.

Rte de Fe den om ’élèven! D ils ne disent rien = ’âge ils fleurissent. : a

57. Cereus Flavicomus (Salm).

nié lanuex Fotrcctis Dies : Cactiin hort, Dyck, uk (= id: Forst. Handb. dr, Catt, 387. s

CACTEÆ TUBULOSÆ.

. Culture. Serre Serre tempérée pendant l'hiver, plein ar en bonne expo- ngues

sition pendant la belle me La Poe de mai des Cerei de ce de les ere en pots, alors l'exposition la plus os est le Hg ie d'un mur exposé en plein | 5 l'été,

nie ; A reus Nigricans Lem.— id. Salm. Cact. in hort. Dyck., ur seb Handb. dr, Cact., p. 386.

. rt “Tige columnaire vigoureuse, vert foncé ; 10 côtes com- _— , légèrement convexes, sillons, aigus, assez ass. munies de tomentum fauve et de laine so soyeuse très-abondante, surtout au sommet de la tige ; aiguillons, 10-12 subradiants, . gere

. La tige à 2 mêtres de hauteur sur 6-7 cent de diamètre, elle est vert foncé brun et non pas as med don vert noir, cela

comme mais d'un vert roux ; ru

Serre Le. ph ne en ln eve portant De ne ème aber que pour ra

Niger. Les sujets rep ar mr par leur ] Vs rare robuste, la couleur de l’'épiderme eg est violacée, et d’un ver + '

sont assez elles sont munies de tomentum brun penda su pme lons sont plus courts, plus rigides et plus vigoureux; en outre, les côtes sont plus fortes, comme coupées en t non

Floraison? Fleurs ? Culture, Sr tempérée pennt lirer rs air en bonne expo- D D rune Se Crus Re es äiagn., p. 83. nr been Verne 385.— ;d. Haw. SRE Re Niger $. Gracilior ‘a

Patrie. ge em Diagnostic.

MnTiers me ri qe pures

Synonymie. Ce Hystrix Sal pari + 1 pe 7.— id. P£r, | 2. Fort. ou. de Cäet., t foncé, à Re côtes très-

Culture. Serre he à pendant l’hiver, plein air en bonne ex, sition pendant la belle saison. ;

64. Cereus Peruvianus Sr

Synonymie, Cereus nl Tabern. id. Pfr. enum. Sages, OR #4. Abbild.. t.5. id. De. ‘is .s ts 58. Cactns ee Lin. . Cactus ess Ms ag % 5% 32. Cactus k. Heptagonws. H exagonus, Pentagonus Cereus Een gonus et Hexagonus et ali. " Patrie. PER \cale, £ ao - : a is dat tard rameuse ; ee + suite aplanis ; erticales à à pin conress a: tes; a volés à se gris court ; aiguillons bruns, peu plus longs. Floraison. Fleurs bistches: apparaissent au mois de

Juillet et d'Octobre; elles nt bancs, à as, longue ges de 45 cent, tent alors u

Vintérieur tout à fait blanches ; les étamines sont blan les ai + rase care ce pee le “agie at un peu ph Le lag que 1e . étamines, il est blane, à 10-12 stigmates blanes, ouverts. ss

dou ser du rl ds Pants a pa u:

ent des modif rences de climats, des pays auxquels ils appartiennent. indique ani une variété du Peruvianus, originaire du Brésil,

Synonymie. Cereus Macrogonus hort. Berol,

Der SA 208 id, Forst, Handb. dr, ARE "a

Tr. subcomprimées, à peine convexes ; aréoles : , ovales, tomenteuses, grêles ; 10-11 vigullous c cn roy rigides, très-ouverts, 3 intérieurs, celui du Las: plu KR ing, mm brunâtres à la sn : 2 à la base. F ige haute de 50 © 4 de diamètre; aréoles éloignées de: 13 Len aiguillons éiees ons de 4-8, les intérieurs, ceux du haut, de 2-6, et l'in euré 6-8 millim Floraison ? Fleurs ar Serre ! se pedant hiver, pain pu air ex temoii meer la belle -smison. Même observation que pour les précé- 4

Synenymie. Cereus Conformis host. Berdl. id, Sal. nr À #e Dyck, RS er dr. Cact., p. 394.

Patrie. Mexique. . en 1840 E Ehremberg.

côtés de l'aréole, 1-3 intérieurs en partie. ed rss eine mime côtes très-larges à faces entre les et comme crénelées dans leur voisé. nage ; ‘aréoles réoles disiantes de 20 millim., larges, à , munies de Dre dans ti

à an emtrévisiun, rruré, rgé ve Hot ton ne à pis

+ grand que le Ebureëus, dont ik différe par is TO ep no façon A ; ilateint

Monnier Le

Culture, Serre tempérée pendant l'hiver, FE

Ja belle saison. Même observation que pour les précé- re Salm-Dyck. importa le < gps | Cailecti

depuis ées; le sujet avait 180 de hauteur ; il fut attaqué de à la base , Ce qui née nécessita une section. Plus tard, quand il

preuait l’épiderme, le tissu cellulaire et mème le canal médullaire , : pre ds de proche en proche à mesure A coupait les parties qui lui semblaient attaquées , il reconm 1 plus DELA qe ns 2

maladif,

, cinérascentes, sp Rnre hi de le À pps «à mt,

intérieurs longs de : es millim. > cultivés sous verre, les Lg res is reprennent assez ; :

La monstruosité a ralogue à celle du Cereus s se par Fute de l'autre par . _ “Grhndreuns la üge est presque éshndriquers 1 les côtes dispara étement d’un côté, et elles ne sont indiquées sur Faure que par les faisceaux + 4 d’aiguillons qui se réunissent en lignes presque spirales. fs ture. Serre tempérée pendant l'hiver, pré air en boues exp F À 000 la belle saison, et alors l'exposition qui semble ne. las

pe à est devant un mur exposé en plein 70. Cereus Clavatus (Otto) es ie. Cereus De Otto.— id. _—… dr. Cact., p. 39. . Sir, Cou, à a hort. -, cult., sous Gereus Clavatus a 4 Lo ; -

simple, dressée, FA nas dun rer es om côtes grandes, larges, é

1 mil, de ns, gui intérieur den ne dl

assez du Cereus Eburneus, elle # eee: par son Forte le mode de GE 5" pe nombre ei l'ivertio ion ar a ns. Le ereus Eburneus a for à :

illons s: négaux, l'un d’eu nine gd le doube de x longs de 11 millim., les 2 inférieurs di _ Cereus ue. dont re a n'est en distingue par eee d'aiguillon intérieur, s. es rie ir de milite, aiguës , ses enr pro- Fe pts ‘espacées. . Floraison? Fleurs? Culture, Serre tempérée pendant l'hiver, en plein te et lune on pendant la belle saison, ou abritée devant un mur exposé en

_— te qui existent en France ont été in- L M. Cels, horticulteur, Chaussée du Maine, 77, : e le seul en France chez lequel les es amateurs puissent rencon- : SE pe étéments de collections de Cactées.

Er in hort. Dyek., cult.,

%e

+ Cereus à Capa Mt Beni ant Hand. de Cac .

ce pendant l'hiver, plein air en bonne e sition peudant la belle saison, ou bien abritée devant un mur en plein n mi _… 74. Cereus Euphorbioides (Haw.). Fr

Synonymie. Cereus Euphorbioides Haw.— j4, Forst. Handb. dr, Cact.

p.293. id. Pr. _— diagn., p.92. Cereus Conicus hort. Berol.

C ‘Sa

Patrie. Amérique npétile-ec le Mexique.

Diagnostic. Tige dressée, à 10 côtes ; côtes fortes ; aiguillons moyeus, pâles, presque ternis ; aréoles sans sus lsine 1 i tomentum visible.

Tige dressée, grosse, alténuée au sommet, Sie clair, portant 8-10 côtes nuque comprinées , peu peu arrondies sur les faces,

sinus larges, pro

| Aid Pipe sales roche pie iles, munies de : de laine courte, blanche ; ns aciculaires i sn june 1 au centre, DS sbiniqurs. trb-pis-

Midi. aréoles éloignées de 8 mil 3 aiguil- Mure #7 Lime pre _ Floraiso ? Fleurs?

. Culture. me en entier, name due" 128

Horribarbis ( hort. Berol). OL YMÉ . Cereus Horribarbis hort, Berol. id, Salm.-Cact. in hort. cal. p. 205.

«

Synonymie. s Cœsuis Sabu. Cact, in hort. D k., cuit. _. if ‘orst. Hand! Lois 28 Ces Ga hr MA us Patrie?

Diagnostic, Tige dressée, simple, glauque tes tres-comprimées en haut; ou presque plaus dans le

Floraison? Fleurs? pi Culture. Serre tempérée pendant l'hiver plein air en bone son sition peudant la belle saison

78. Cereus Lvidus (Pfr.).

ra Lividus Pfr. enum. diagn,, 1048, s. 380. id à Forst, Han db. dr. Cact., p- Glaucus Salm. Cer virens À ges Berol, …— Caron P saute hrts 4

dus se pre Cereus Exerens L. €, —-Cereus Tilophorus PE. rates exus Su, t. Berge.

t Curacao. dressée, vigoureuse, vert plombé ; 5 côtes; sillons s comprimées, à peine ondulées , à crêtes

CACTEE TUBULOSÆ.

Este plante ot tout à fait distincte de ses congénères ; + A 4 mètre de sur 4 cent. de diamètre ; ses aréoles sont sont éloignées de

sde er et par 2-34 aiguillons de près de

Nm. , QU Cette diversité dans le le nombre des 4 doit-elle être attribuée à l’âge de la is ou doit-elle con- L | variété? ppt croyons qu'elle ne doi tpas constituer une aréoles du ri âge; t tandis que, au contraire, elle se pr pré- aréoles du milieu de la tige, disparait sur une cer- ; " ître dans un autre endroit : chez les Cerei, la végélation des

longue, persistante, grise; D à nr men petits, les 2 du haut avortant . 1 central érigé, vigoureux.

Tige haute de 50 cent. sur 4 cent. de diamètre, tiangalaire ou quadran

gulaire, à re planes, cannelée t * la laine des aréoles est pendante ; aréoles éloignées de 79. millim. 3 aiguillons extérieurs longs de 5-6 millim. ; aiguillons intérieurs longs de 17-22 millim : 00 Fleurs ? à de + Serre tenipérée LES ous l'hiver, plein air en bonne expo- De me belle sa

81. Cereus Tetragonus ( Haw.). F4

ES rameaux se développan la verticalement ; le nombre des côtes varie de 3-6 ; RE Le 2 com ap sie trausversalement ; àp uses ; grèles

magic elle n a pas encore

montre ue année ses belles fleurs Fan GE 2 Colle clions d'Au- gleterre.… Vanrérés. Cereus Tetragonus B. Minor Salm. jd. Pie. 1. SE Cactus Pentagonus Wild. Cereus Tetr tragonus $. Minor Monv. ige moins élevée, plus mince mince, quelquefois à

_ si À pr La so ar ambre date à des

Culture. terre made Pr, pén air e bone ero-

sition Jant la belle saison.

83. Cereus Forbesii (hort. Berol).

Synonymie. C! Forbesii hort. id. Salm. Cact. in hort, L. Un ML Pres Hand dr, Cact., p. 398.

Tige dressée, simple, vert cærulescent ; à 4 côtes ; côtes

mées dans la partie supérieure ; sillons y plans dans la partie inférieure ; les , larges, muuies de 3 aiguillons noi noirâtres,

um blanc, vigoureux , vero Bar 6-7 extérieurs rayonnants, wès-ouverts, À seul au

plus vigoureux, ge de 9 cent. de haut, tétragone , à ces de 3 cet, vert glauque

SE Hard Due. A,G. Z., 1838, p. 33, id. Salm. calt., p. 207.

gra tds ar. sions se,

: 85. Cerous Jamacara rer

Synonyme. Cereus Jamacara Salm. id. Pfr. enum. diagn., p.9.— id. Forst. Handb. dr. due. LE 400.— Cerens Coins Pt. qu, P- 13 du Haw, Cereus Glaueus h.

Diagnoni. Te allongée, vert de mer ou cœrulescent; 3 côtes mées , convexes ; sillons larges ; à aréole gris, tomenteuse ; salons Fret 7-9 extérieurs rayonnants , 4 intérieurs vigoureux , très-I très

pr tre La à mo dans nos Die » sur 10-13 eur LA

. Serre tempérée pendant re bane pee sion S codiis la belle saison. _._—

Patrie, Lagi Diagnostic. Tige à élsncie, thbelanns, jeu M nbatt, recou- verte avec l’âge d' une poussière agréable à le vue sllons largement exravés ; 6 côtes; côtes nus ar à obtuses, subcrénelées, ah à ; aréoles serrées, à immergées. 3 Ovales, convexes, gris perle,

aiguillons,

te sur 13 3 cent. de diamètre; : deux , d'abord vert . L

Faq om de Crus Kai nes est mort, étai ms de petits x Lésoathenserrs

CACTEÆ TUBULOSÆ.

87. Cereus Pottsi (Salim). __ Cereus Pottsii Sal. Gact, in hort, Dj cul, pe 208.

. Chihuahua. Diagnosis. Tite grèle, “fesiblé, subvéluti mi: ape de 10 cent. environ, érigée, atténuée en hant et en mi

vers rtie inférieure quelques Pare illons one rigides, nOtFAIres disposés longitu=— sans ordre régulier ux du dehor s ordinairement rudi- _mentaires, rt ss ter un peu _ vigoureux , mais tous bien plutôt apprée u toucher qu'à 23 petites . pass ‘déoppant sur Ars même souche , longue de 4 cent. et large de Paris ? Fleurs ? Culture. Serre tempérée peudant l'hiver, plein air en bonne expo Re É

—Bchinoe. Prui nosus Pfr, enum.

x Ro one Bou Font. Li dr. cms Patrie, Mexique. ee

" Tige e, sert DU en A .

es zonées de e vert cendré ; es jeunes lon

; 4-8 aiguillons exté- .. ! ep ar is lus droits, rigides , Jjeunesen Frs. ai

cendrée depuis le _ . d’une

sa fin, de sorte es faces ee Fe eg msi dont la tige s’est élevée ue année, et permettrait presque de dire. l’âge de la plante à seu elle atteint l'a âge adulte.

Floraison ? Fleurs

Culture. Serre erre tempérée pendant l'hiver, plein air en bonne expo- sition pendant la belle saison.

Delair, anses en chef du Jardin des Plantes d'Orléans , a observé la fleur sans rire, ner xposées en plein air pen- ns la rar Haas en pots, mais arrosées très-abondam—

les par SE Ve La fleur qu’il a observée a donné une une bre qui, plu tard, Rerres nombreuses graines qui ont par- evé., il s’en est trouvé qui aient 4 côtes dans a jeunesse je ne si si plus tard le nombre des côtes s’est augmenté et devenu normal.

Patrie. Bresil. De en France pur, rh, qi reg des =

Diagnostic. Tige ri ca d'un vert glauque azuré, très-fortement zonée; sinus aigus et pro rofonds au sommet de la plante, rave et

ligne d’un vert moins a 5 côtes fortement tubereulées ; ‘chaque

tubereule pen oies dont la face su

ses Lx inférieure de la | assez

grec “Tige drente, : robuste, vert gai, subglauque ; 6-7 côtes ;

, convexes ; aréoles

robes ve he sur 5 de diamètre, vert gaie, subglauces- es gonflées, obtuses ; aréoles éloignées de 25 millim., petites, | exibles, piquants, jaune gris, aplanis en bas, és vers le haut, és lstéräux plus courts, longs de , et4 central long de # cent., our. :

+ pérée pendant l'hiver, plein air en bonne expo= _ sition = ri la belle sai saison. Synonymie. Cereus G s Mart.— id. Pfr. enum : 450. id. Forst. Handb. dr. Cact., p. re Run" _ Patrie. Mexique , régions tempérées près de =. Di ic, Tige dressée, simple, 5-6 côtes © , comme quée d'ares se coupant à Le: ses ins rs pri er

delire Essai 8-9 côtes

à : p e inférieure de la plante, les jeunes seule- ment . de diamètre ; aréol de 3-4 cent, les unes à des autres ; aiguillons latéraux longs de 9-11 millim. , celui du bas bas de dr.

ï ‘rarement; enfin il arrive souvent qu’un même sujet peer > e aréoles évecsement défendues qu S on Fleurs ?

usieurs de 15-18 ss le quatrième est inséré hori- sustalement : il ras 5 cent., il est très-vigoureux , comme prisima: tique, al longé comme une lame de poignard , ceux des côtés manquent fréquemment, La tige est haute de 50 cent. sur 5 de diamètre, elle est rameuse. . Gereus Geometrizans +: . Quadrangularispinus Lem.— Synonymie Lem.,

Dans celle variété il existe 1e 5 los, dent à Latéraux et décans le cinquième est médian , il est plus et défléchi , enfin le sixième est comme dans la variét sniper RS ge faces nettement accusées

tre espèce et ses variétés se dist isé autres Cérei DR PR M es mare jusqu’à ce jour.

Serre témpérée pendant l'hiver, ere 0 -

Culture. sition pendant la belle saison. 92. Cereus Beneckei a es nb. A.G. Z., 4844 102,

die. Cac: 2309.— Fa L Set ck., cuit. Cereus nbtes ennel id. Forst. Handb. dr. RDS TT

RE mir tes, sur des terrains for- . més de laves. a

: de la “Hérinewst qui à val F& e | duels mire, Le gen es me LT mi d’é tubereuk des e

nié de les aréoles nes bon . Re _ Tige haute de 30-40 cent. sur 4-5 cent. de diamètre. Culture, Serre tem pérée pendant l'hiver, plein air en bonne expo-

la bal aix saison. _ es rer beaucoup ; ;il existe des 3 exemplaires dont e seule—

petit sigeillou supérieur est remplace par nd aiguillon et alors les 2 aiguillons centraux sont dirigés tsurt en peer

i reste, bete e plante très-intéressante est extrêmement rare dans nos Collections ; elle mérite d'y être cultivée et étudiée avec plus de

Tai vu dans k Collection de Montille une plante dont le port exté— esser nes à celui de notre plante, mais dont les aiguillons ut diff a ils ét très its , ext t

2 nous ; Pom ns rapporté > synO— E nous n'avons pas décrit ja

| Les ns Fu. pe rise il est impossible aujourd’hui de . la comparaison plus loin, ds

FF GEMMATI, À TIGE BOURGEONNANT.

NON, se coufondant pes: same e Re

e peu élevée, souvent prolifère à la base; La: côtes; SE les -

C4

aréoles ovales, confluentes , blanches , fauve lomenteuses , laineuses sur toute la longueur ; 7-9 Eee coniques, ro à pa ‘courts, le central à peine différent des s, Tige haute de 60 cent. sur 8 Pi diamètre, il en existe qni ont 4 vas) sur 10 cent. de diamètre , dont la partie inférieure est couverte d’une

écorce ligneuse; le tomentum des aréoles couvre les côtes. sur ES toute leur longueur par suite de la juxtaposition des aréoles ; ins ee longs de 2-3 cent,, pourpres

Il se distingue du Cereus reste par sa die plus us 2 est d’un vert foncé, ses sinus plus profonds et le tomentum des aréoles qui recouvre | geler moe do toute er 94. Cereus Gemmatus ( Zucc.). Synonymie. Cereus Gemmatus Zucc. Se | Pre. enum. diagn., . id. Forst. Handb. dr. Cact., p. 397. LE 6. atrie. a. près de Sau-Jose del Auro, sur les. roches, en. “ère : Flagriformis e! et autres , dans les régions

“Tige de 27-40 millin. de diamètre ; RS SR 2 aiguillons sétac pli grees Rs bruns caducs sur les plantes | Floraison? Fleurs?

_ Culture, Ses tmpéée pente res, Loerltes bonne: Re ..

dc pe ban ation ds | none “a, 96. Cereus Dumortierii (hort. Berol).

a dm Le a Salm, Cact, in hort. Dyck, 240.

| dre, claviforme, prolifère à la base, vert gai côtes vigoureuses , peus; sillons larges, ., t teuses, gris perle; ‘subsétiformes, staminés, pâles, 3-10 extérieurs Fay anels,

, du bas rsllement plus longs, 1-2 intérieurs plus grèles. on _ Tige haute de 30 cent. et plus, large d e 6 cent.; côtes larges , prisma- “tiques, à faces planes et à arèle trés-Aigué, CHF ëe entre les à ; millim.

cu

| 97. Ce : | Synonymie ares Sntithaiss hort, Berol, jd, Salim: Caet. in horts Pe- a" pu. se,

@ Fe us va : gr

Synonyriie. Cereus Cavendiskii mir {d. Salim, Cact D cult., p. 240. : Cact. is hort. Dyck :

Patrie ? Diagnostic. Tige dressée, grèle, rameuse à la base, sert Juisant; 5-6 côtes ; côtés ëv mprimées , rte md. sillons profonds , grises ;

| suivante ant das 1 vo,

Te ape de Méient Gitt fra, RS ormes, vert clair; aréoles rondes, très-petites, sail guillons

ige cent. de di: vers les a lantes , couvertes d'un duvet blanc très-court, cadue #e, Fe 4 its, ve 7 ; , j

blanc , puis cendrés , ts, de 10-30 milliw. de long; en outre, ta pl rs et à pes pr 8 Floraison ? Fleurs? Culture. Serre 1 tempérée pendant l'hiver, pla air en bonne sipe… : la belle saison,

LR eg Cereus Tortavsus Far id. Salm. Cact. in bee Dyck.,

Sr pr 4. Fe “resée, côtes ; à obiuses ; ren ui a7 es ; aiguillons droi

aréoles serrées, | ls, sélacés, Lars noirs , as long.

sur Les côtés ; a aiguillon intérieur le double plus Jong- rx qi mètre sur 2 cent, de diamètre , vert intense, plutôt

: extérieurs éne r, oué. lim. plus tard quelques autres L'aussi, pourpres en naissan!,

Ke eg in de Gr Rom il en diffère surtout a sr

# sul ion rigides, blanc de plus épais © ointe ; tomentum um des aréoles très-court, . les aiguillons , À cen- _ tral,5-6 IP nds, 3-4 in férieurs très _ courts, très-lén .

Tige de 4 sas de diamètre ; aréoles extérieurs de 8 millim., ne

aie ee ds d'environ 27 millim, _ _ Fleurs

éloignées rs millim, ; | pour en naissant }

À. ACUTANGULI, à angles aigus.

Tige dressée ou subdressés , souvent rameuse ; articles à ‘à 05 dis côtes très-comprimées , sinueuses Les les sole. dont les aiguillons sont nombreux ; aiguillons variant de nombre et de forme.

* À cÔrEs = ÉCPRES ENTRE LES ARÉOLES.

102. Cars N'itidus (Salm). Con Re Salm. Gact. in hort. Dyck., cult., p.24.

Te de 60 cent., Fr, po de longueur variable, 15. de 18-20 cent., ee es éloignées de es

quelques-uns manquent is) t

pen noduleuse , le central très-vigoureux, long de 3 cent. _Floraison ? Fleurs?

. Culture. Serre tempérée _—_— dat plein air en bonne cape ren la belle saison.

. 4 Fa s pis : SES ORSE D A

ux; il se trouve aussi à ans le voisinage de barticulée , na he + verte ; us 5 côtes ; e convexes ; ST tous rigides.

gs; , vert foncé , portant 3-5 côtés comprimées, aiguës ou entre les aréoles ; sillons larges, a

Le lnilinte: Foibobt Re rs de 11-13

ÿ Ve syn. 480. id. Pfr. en, un Cereus Prismaticus Wild. res Rataas tés Wii : Keptans et Prismaticus Haw : suppl

| ni. $, oëts Se ent la même longueur, 6-8 millim elle ne jette jamais re sise ce qui la distingue de nel plante, de plusieurs espèces elle ressemble beaucoup. raison ? Fleurs ? Culture. Serre tempérée pou l'hiver, plein air en bonne expo- sition pendant la belle saison

** COSTIS OBREPANDIS, À CÔTES SUBRÉPANDIFORMES. 106. . Pellacidus (hort. Berol). . Gereus Pellacidus hort. Berol.æ— id. Pfr. enum . diages

PRE NE 6-11 mili. ceux dub de 11-47 millun. pren Fleurs ?

Serre temprée pendant l'hiver, vies air en bonne expo- sion esse la belle saison.

B. VARIABILIS, à dont le À des côtes varie.

se mie à 8-4 ou 5 côles ; pre a * De, rate _. sont sietespacbes ; so iuves,

} 4 . ., p- 105 (Ex + SYIe _ Jamacara Pison. hist. na gangs 2, pie Cereus Pitsjays Jacq. selec. stirp. Amer., p. 151.— ns Obtusus Hawe —€ Fernambuccensis .— Cereus Colvillit hort. Angl. Cereus

. Brandüi hort. Angl. Cereus Salm-Dyckianus hort. Vindi. Cere us _ Pitajaya De. prodr. Le 466. —— id, Plum. ed. Barm., t. 499, £ 4.— À cg ns one rs ar— id. Pl - ed. Burm Cereus Lœtevirens Salm (hort. Dyck., p.?

> Hexangalaris,

d'autres 4, ils mt ton pue dei articles ét a rigueur des aiguillons. Cep ifférentes sont

es d : Europe elies ne de ! une à l'autré sans qu'il soit rem de les disti s caractères nets. Aussi croyons-nous qu'on doit r: porter au SR Variabilis les es 7 se te” Collections

sous les noms de Cereus Quadrangularis hort. us Cognatus hort., Cereus Glaucus, Speciosus hort,, rie Grandis hs , Cereus Hexan- gularis hort,, Cereus Trigonus hort,, Cereus Undatus hort.

109. Cereus Formosus ({Hort.). F : : Synonymie. Cereus enr rs =" Fo rst. Handb. dr. Cact., p- 404. Cereus Lœtus id, Pfr. e enum. nr 106. #

Patrie, Montevideo. ere . = 5

ige dressée, ic: be à Lans: cœrulescente ; brunes, à peine lanigères ; sers à 6 extérieurs rayonnants, peu RE uns central deux fois plus longs que les

; elle se rapproche re du ali dont ass disiogee par sa me dans ra sue, en angles, ses dotés

en Le tempérés en Vhiver, plein air en bonne _ ae belle sai

int-Domingue,

3 Tige articulée, præcombante, articles pr Er

aps À aréoles rapprochées ; aïguillous allongés,

isolés ou pr rs de 3-5 ie (Pfr.). millim, de diamètre; aiguillons de

sm petits, vert

ons ici compléte

suivons ché à assigner, dans la “assfeation des

D. SERPENTINI, tiges ee” la forme _Tige gl gt dressée volatile, atténuée vers la à partir de la base, portant 10-42 côtes aiguës : ; ces -< sRE ra profonds ; aréoles très -resserrées ; aiguillons nombreux et grèles.

112. Cereus ÉMrE (Lagarca).

Synonymie. Cereus Serpentinus Lagarca. Annl. scienc. nat., 4804, p- 261 61. ;d. Pfr. evum. diaga., p. 104. sr Linket Oro. Ison, t 42, id. De. Rev. t. 42, Bot. magaz., t, 3566.— Lagarca. Annl. science. nat., 1804,

mines blanches; anthères grandes, a . à peine plus pe à ; : divisions.

CACTEÆ TUBULOSÆ.

—- avec la synonymie snivante Cereus Colubrinus de e quelquesuns, Le gr Hook. __…— OR EE Franck. fl: des serres

purs. Elle est originaire des Cordillières ( du Pérou ou du Chili}, d’où l’a reçu M. Baomann. MM. Lée, horticulteurs anglais, qui cord po ee naar er en avaient reçu des graines de Bue

doré moyennes , anges | de en Salagest ani à resserrées, de plus en plus

Ft due ce cpice éiane le caractere de sa fleur, c: ère tel

sommet ; is peu a rene des lacinies, et surtout la disposition De ris et és intient, ce nous semble, cette observa— d tre plante

FA Le on sarl : lacinies Yi produites

pe squammes intermédiaires , bi-trisériées, ovées, aiguës, très-petiles

et s’ouvrant ea un orifice oblique très-étroit ; étamines bisériées, le

plus grand nombre die sous [a partie supérieure avancée du

périanthe et beaucoup plus longues qu’e elles , les autres exertes

ment, mais à peine plus longues que la partie inférieure dudit ; fila-

ments et anthères cramoisis; style dépassant à peine 5 su

rer ss terradié jaune, ainsi que le reste du style. es ed sr en bonne Expo-

dant l'hiver, plein air sion pes dant la belle s

Diegnotie. Tigf cylindrique , ml anée petites, blanche:, tomenteuses ; 10-12 ai Des

forn blancs longs, fauves en naissant et bientôt Tige dressée, roi

4-6 millim. ; a , tout stacés, blancs, MER LS mie ser brad & aon etre

sa tige est plus courte, plus grêle et plus raide ses de Cereus 225 rame Je elle porte aussi moins d'aiguillons

; ae tempérée pendaut l'hiver, plein air en mu pe le belle saison

re # de Te SW de ant sur 2 et demi cent de ne fau et en bas, rameuse à la base, RrRÉ EE TEE a dos . de 6-9 millim., pen gras iomentum brun; eurs longs de 13-

celui du bas défléchi, inc ie ed End sont Varéole, ramassés,

| Se ci irèr l'hiver, plein air nn an Si ER Be GROUPE. RADICANIES, à ge. radeante.

subérigée ou éécombante, rameuse, su subarticulée ; rameaux , étendus, pers re ou anguleux Art de racines adven-

Fées Mes rameuse came l'ige, de la grosseur d'une plume de cigne, cou- chée, 0 ée, vert + “pag ou purpurascente, pileuse au sommet ; aréoles trè ins ies de tomentum et de poils si formes Élus: aiguilions rayonnant à pe rie de 3 milim. , i Hmtéripurs pis pan rs?

que celle du Cereus Flagelliformis ; côtes mois nombreuses ; aréoles

ovales, plus larges que longues, munies de tomentum blanc et non

fauve se apres moins sep: blancs, transparents et non fauves, rigides; les ex mités des rameaux nouvellement «

lnnie: sont d’un vert pas et nou d’un rouge rosé comme ceux du

Culture. Serre es ee l'hiver, plein air en asile à expo sition ut la bel. _

Je crois que cette ee à ainsi désignée et décrite par Lemaire, est identique avec mel ln sous le nom de ‘outes

Patrie. Toute l'Amé Ï h i dan

l'Arabie. Diagnostic. Ti: ige reppante. pile, cpu ar en rondes 40-12 côtes for- mées rep les séries de tubercules peine tomenteuses ; aigu AUS redes. El «sole F4 Pirertène Less un peu plus Le et rameaux de et im, de ren diamètre sur 30-40 0 ot de

Svereut Flagriiéis À. Funkii hort. | + ae _ Cereus Fo] a

cent. , elle est per ‘dressée, à d'un vert luisant, “rameuses ; les nouvelles pousses sont à us tard en s’allongeant us Flagelliform

elles de- Sy rmis, à côtes | émoussées , tuberculées ; tubercules saillants ; i

és, bancs, jaunes ou

fleurs se montrent en Juin 4 un

+ CEREUS.

Tige er

: aréoles vélutiu : 1948 pires à et nr oi fauves-blonds, ds, éléndus, ra 2-3 intérieurs assez

mess e plant est très-voisine du Cereus Flagelliformis, mais sa tige est moitié ps ses côtes sont ae sep ai à ses aiguillons piquent à peine, les jeunes sont rouges, ensuite jau eur pré- sente re limbe qui est coup plus de” sui pus que es États et que le style. Re à Floraison. En Avril, Mai et Juin. Fleurs sessiles , isolées, longues de 7 7 cent.; abs legs à Rd coccinné clair ; tube couvert par les es extérieures qui les

“x pos rieg roses blane, filiformes; ant mr. 273514 jaunes; style ne die De Des les étamines, à 4 | divisions papilleuses,

Culture. sers mp ee plein ee hame pe

ion pendant la bell 121. pures EE Ta (Zuec.). nr = : id. Abbild., nou Pass Hands de ee p- M2. M. 4 PRE en One vol. 4e, livr. 42.

trie. Mexique , San Jose del Auro , dans les régions froides, sur les rare en ses: du Cereus Martianus, etc.

Éd ee ae re très-rameuse ; 14 côtes verles ; sillons à .

à bords ne Eu { millim. f formant un rares ral. jaunes ; spi dépassant à | pe

ire pendre, lein air en bonne - siton peniont h rs saison. F

. gnostic. Tige rampan diffuse , vert pis articles rampants , ie Pr flexueux ; 5-7 peu si nt rondes ; 4-3

pire rayonnanis, courts, à peine pigl quants, unes ou ins, - plus en: de la lonsueur er es qui les a :

t Ju la LA PTS A FE 3 M à Ages millim. à la base et de 4 É A ma re es squam mes ont ciliées, allongées , Fragen est re res jaune LE les lacinies extérieures sont linéaires, elles res Len de 16. cent . ge sont she À et offrent EL E _ r jaune doré; les lacinies ren t plus larges, A moins longues, elles n'ont Us 8 cent. de long gt sont nt Hinékes: : . très-nom , blanches, à anthères res jaune soufre ; À

le style, re a mème pe 298 les onde porte 10-12 divisions Ke jaunes, d’un ton plus doré La ads auires res parties de de la fleur. _ Vantités. Dues à l'E ybridat

ide de, mt fondément sillonnées ;. es comprimées, aiguës; aréoles shes yat à + iilaants Dis: fleurs? Cereus Grandiflorus Pat Speciosissimus hort, Cérens Len. Fe des jard, 3, t.

PS ere pit le cléur à denied Graudiflorus par Le et les dim. s de la tige ; les fleurs penser Du

Aalpioies (Cereus N cicalas Link. des if Pfr. enum. ù

%

sréles tantôt espacés, tantôt remerilés ; 0e Jarre

Tige de 18-24 m métis di ; aréol el loëg ées d: 9 2 willim.; aiguillons de 2-4 millim. ; sétules longues de 4-6 millim.

"ai. Se développant au mois de Juillet, Fleurs semblables à du Grandiflorus pour la forme, plus grandes, nocturnes et ino-

. la Co ra 37

à ge = Cereus Bæckmanni Quo. id. Satn. Cact. in hort Dyck,

age. se a à T côtes; côtes ons arrondis ; aréol moy, “pets, grises grises, ‘tomentenses ; a AE 4 seul central bruns,

(hort. Berol). ; Syzonymie. Cereus Kunthianus hort. Berol. Salm. Cact. à in hort.… Dr. “ee p. 217.

Diagn nostie. Tige sr RE er forts, ! De É ar ar vert sein 7-10 côtes ; côtes sillon cb, plate; de subespac ee de sbastu um fauve et de laine frisée Fe ge; ailes très-courts , rigides, bruns, 4 ais et 1 seulinté- : u “Cette te plante diffère de la précédente dont elle est résine at ses côtes plus nombreuses, plus aplanies, et les jeunes aréoles lani- gères; Æ salons y sont bruns, % nl. à *. Di 4 sition pda la belle saison,

{ . : % Done. Cereus Spinolosns Frey . pu £a. Forst. Handb. dr. Cact., p. M7. e

. Lee 4-5 côtes ;

sont s sont grim— souvent Hragones y “ayant 10-29 millitn. il diéiitre : ot ve à les unes des autres de 30-35 _. soft brunes d’abord, plus à tard À res Le pc Ÿ t les uns caducs, sétacés et blanes, Fleurs? On dit ha flot bishéhé , très-graude, de Ia même randiflorus.

| les d dimensions de celles dit Céreus G pérée , plein air en nn pee

D pr han dureté & plates en palissée le long d’une serre,

me

Tige moins bamte, vert gai ou ce Je es ju jeunes à , adultes à O es dans l espèce p RAC LS

eples pipe

he Cierges inermes

. Serre DU pisin air en ee sion pendant Dole mon.

ae: Ciéés H DC. prodr., 468. iZ, Pfr. enum. pe MAG. Fast, Handb, de dr. act, p. M9. - 25 de Patrie. aique chaude, les.

Diagnostic. Tige articulée, rampante, lons rigides, grèles, roux, nüs à la de, “ES we allongé.

Tige de 13-18 millim, dia mètre ; aréoles éloignées de s longs de 4-6 millim. ; er sillon

4

CACTEÆ TUBULOSÆ.

Qu Ge, 1836, 39, s. 306. se + Handb. dr. Cact., p. 420, mn peqneguinma PE. Ouo's Gr. ss, M8,e . 380.

ee dicspeihe * Fleurs. étendues nes longues de 30 cent., | sn eee à celle prie Suaveolens, temps; ovaire subglobuleux, tuberculé, aréolé spinigère 3 ae nie long de 15 cent., gai dilaté en dehors, lancéolées, aiguës , vert a base et rouge vif a pointe ; lacinies larges de 5-6 millim., re aigués, cavali- culées en hant , vert jauvâtre; corolle blanche, campanulée ; - longues de 11 cent., tout à fait cunéiformes , AR de sommet, obtuses, mucronées ;

3. au-dessous du cours que les lacinies, Bches à anthères jaune ben style un long, jaune très-pâle, à 20 divisions subulées, de couleur

étamines nombreuses, long, à 16 divisions jaunes.

Culture. Serre tempérée 5 ne V'hiver , Hs dre sition pendant la belle saison 135. Cereus Triqueter (Haw.). rens Triqueter Haw. syn. p. 181. eu

Synonymie. Ce p-118.— id. Forst. Haudb. dr. Cact., p. 42! W. Costes Frueter Has in Misc. nat., p. 189. Cac ins Prismatic us Desf. hort, Paris, :

sition se la belle saison. 136. Cereus Napoleonis (GrahJ.

: re tee: articles longs, verts ; - ee à pe sillons ne ondulées, “es aréoles espacées,

la ue des tubercules ; celui du bas ns

re, Mar que les nie ei soient en, jeunes

ne encore F4 il soit de le décrire ; assurément Fr rte 5

me. 141. Cereus Triangularis ty:

Synony Cereus Triangularis Haw, syn : . pe. tu digne UE, Bot» t. 4807. Bat. magaz., Et,

eg + aris Li Cereus An izogonus ho: TR. 8 Cor ue rs en he rs gens “Trianpalsrs pile sg 3 Le Pium. ed. 7 t- 200, £. NT n°3, 5. 22, Patrie, Mexique, Ile Caraïbe. FR de pee. Tige ms qe cle he nte, vert gaie ; articles arges.

allongés à 3 (rarement 2m cbies , come sine RE ui Pre es

midi et restant ouvertes :

heures, et présentant un limbe de # cent.; ovaire recouvert de uammes brunes, larges, obtuses; tube vert, de 18 u millim. de ne, formé de squar Bar 2e À se

i D A penis 1 dis ge FU nt dl Cer, pr nes PR Mr. I. c.— Cer, Triangul

ue ceux du bas plus grèles, ceux du haut

77 empérée + ue l'hiver, plein air en bonne expo- ga ar la “belle

€. DIVARICATI, se à a à divoriquée

basse, sub a de ur 1 Li + ù à

sai, divariqués, rigides , adprimés côtes crime S, aiguës, convexes entre s arévles; en esque planes en dessous ; “ok te immergées, très-s à peine nraler : ++ ion se M ren fauves, e eee tplus long, il t décidus. rie rameaux arliculés de 45-50 en de gun, ri gides, cour horizontalement ; articles tétragones cent. et larges de 27 millim. su! née

Fe 9-11 mil), re de Limit ; rose.

mn re tard

398 CACTEÆ TUBULOSEÆ.

- 146. Cereus Coccineus { Salm). Synon mr mie. Cereus Coccineus Sal d. re

id. Abbild., A3 id Forst. ‘Handb. dr. Cact, on Es fr

Haw., suppl. p.

Patrie, Mexiq

Diagnostic. Tige e diffuse, subdressée, rameuse ; 3-4 côtes; côtes den- telées ; arécles saillantes, blanches, tomerfieuses ; 46 ai uillons, ceux du haut très-courts, a aciculaires, bruns; 4-8 inférieurs ges longs, sétacés;

ticles de 30 cent. de lon 2 et demi cent. de diamètre, souvent décombante é D édies éloignées à 13-18 te: sie lons Ton gs de 2 millim, ; 5 sétules de 6, portant de nombreuses racines adven- lives.

Floraison. Fleurs coccinnées étalant un limbe de 146 ce dia- mètre; tube long de 4 cen t.,aréolé, s spinigère; lacinies bisériées lan- céolées, ri ès celles de l'intérieur lon de 8 cent. et larges

milli i

Culture. Serre tempérée ee ndant l'hiver, plein air en bonne expo- sition den la belle saison

147. Cereus Speciosissimus | Desf.). pre Cereus genes . Mem. med. 3, p 490, t. 9. id. Pfr. enum., p. As med. 3, t. 9, Se LR Cr. Bot. en. L 486. id. W , Cavan. Allg. teutsch. Gartenmagazin B. v., 4820. Colla hort. reprt. t. 40. Reï D. . exot., 180. DC. Rev. -p+ 54. Green. (Otto’s Gz, 4834, 39). | Patrie, Mexique , Guatimala. Diagnostic. Tige subdressée, très-r ; Tameaux allongés, di- . vergents, à 3-4 côtes, les jeunes nn. côtes dentelées ; aréales oyrate blanches, t tomenteuses ; aiguillons ubéqaux, droits, rigides, oses en naissant, plus lard { central, 6-8 supérieurs, 2-3 inférieurs pl e etits.

Tige et rameaux de plus de 30 cent, sur 3-5 cent. de diametre ; aréoles éloignées de 13-27 millim. ; aiguillons longs = miléi portant _ “puise adventives aux extrémités des r

Floraison. Fleurs abondantes se produisant pendant ps la belle saison , Ts: remarquables, restant continuellement ouv pen- dant trois ou quatre jours; lube long de 8 cent., re aréolé, spini-

du dehors cocciunées, celles du de . ans «pp icon: : étamines # es, filiformes, po verte her pe vers la :

Cereus issimus Ée roree nr à - Ne pr Pa L Gaiden hort,

Ces variétés, culti ans diverses Colleet suffisamment par es eus et leur port, pour 4

variétés _— lhyÿb re

D'autres + : dern:

Rameux de 60 cent. sur 11:43 millim. de diamètre ;"aréoles dis- aiguillous longs de millim.; sétules de 2-i

ges ; anthères blanches ;

étamines , à 8 divisions allougées,

tempérée pendant l'hiver, plein air en bonne expo- Ja _— saison,

. SR A fur couleur de tomate. Bünai be ;

CACTEÆ TUBULOSÆ.

| vrais Cierges, les Phyllocactes en un seul genre, qu'il spécialise par une fleur portant de nombreuses sépales _ imbriquées, soudées par leur base à l'ovaire et réunies en un tube ube allongé, les unes extérieures res calicinales, d’autres colorées, et enfin pts ter intérieur péta- soudées au tube; = tubercule

térisé : tube allongé; étamines inégales, soudées sur rific extrême du tube, genre qui a été universellement ut jusqu’à ce jour, sans qu’il fût cependant possible déterminer, d’une manière u ans l’ordre dans acé nnes. dont

L cités Ja ‘définition de celle des Cerei, bre ca _— son fruit et sa graine.

CEREUS. se Fi 2

conservant les divisions déjà adoptées, nous n'avons - donc fait que nous conformer à un ordre ph établi, das lequel, jusqu’à de plus nombreuses et de | observations de fleurs, nous devons nous ttes ne faire cadrer le peu de faits déjà connus.

En prenant le genre Cereus avec les irrégularités que nous venons de rappeler, le genre a été partagé en cinq bre jan qui se différencient les uns des autres par des

extérieu rs _—. “tri de la mire

“a à Fr. deux sections , Lophogoni | et Proliferi : des premiers, re- . marquables par leurs tiges :

par leurs tiges charnues, dressées et p s. , et leurs sillons à peine marqu sous-divisant shermemne suivant . 10 leur aspect. à Dans le second grou Cierges à tige mdr bi. AE ment cannelée ; il renferme quatre divisions fondées ca entre eux; les Longispin élevé > rameuses à Peut on d’aréoles

Re,

CACTEÆ TUBULOS.Es

A : ame | par ces tiges : Acuti Anguli, ct Opun- | pr ee ni, _ er nettement tes _ pa oms i s. assez ulile de + Dumarquer que rmé d'une

Fe re qui wa jamais ai en .. et LÉ: con par une pate à et une figure complète et ont été Fr. ns.

Pohennies, |

nirianes sa les tiges sont presque constane

nt rampantes; il admet les divisions suivantes : Fla- rmes , Extensi, Divaricati, fondées sur l’aspect et la x; et en n un ee groupe,

ssasc

évolution de cette aréole, disparaît, la laisse égarnie ou plus ou moins garnie de ces sétules : dans les ; AU. contraire, les aréoles conservent leurs ai nr jus= + qu’au dernier moment, le nombre de ceux qui défendent chaque aréole s'aéérofl d’une année à l’autre jusqu’à la limite de leur évolution; les mucrones qui les protégent

e

s’atrophier complétement dans le corps de lac Pai de ces “res il sera toujours possible 1er assez ‘le genre

ou daiguitlons : dalleurs, ee Hure sont re avec tube plus ou moins garni d’aiguillons et de À ser à

Lab. ).

ut soit au fond des crénelures des nmet des articles ou à l'extrémité rs axillaires ; elles sont infundibuli-

par les premières lacinies Re aps. qui sont mes, elles sont slabres, inermes et ne ol

_ Sous-arbriss: _Charnus, rameux, parasit eF= ren: tige devenant eus avec Fe à crie rameaux dilatés, étendus en forme de stiervure > médiane plus ou por puma crénelés, me ou us, portant, au fond des cré rs eh , des a ; munie

articulations hürtént a souvent des racines adventives que dans 1 ere cas, À sebgee-à toujours de Pextrémité i in ie

ticle pré Cot À re ibiceé, aigus, mais libres dans tés Bpldes la germination a été observée.

111, id. Salm. Cact. in hort. Hi v Endii

ar Link, Handb. 2x PA ap —. Leu - PL ( Es act. 26, LM id. a + Cact. Phyilauthus, te. abete. F

dE

Files Ma een

Le tube du périgone plus ou moins dévelor de l'ovaire, souvent onguement développ: flexueux, vont à fait glabre ; ons DO oi es L sselles nues ;

ombr sus forme ou de ifor en nomb e Mite. dede les tiédeurés plus longue ment plus ne vie fili

408 CACTEÆ TUBULOSEÆ.

Les fleurs, se développant dans les aréoles du fond des crénelures, sont axillaires, par rapport à l’insertion des squammes ; elles sont diurnes ou nocturnes, éphémères.

* DIVISIONS DU PÉRIANTHE ET ÉTAMINES EN NOMBRE INDÉTERMINÉE. 1. Tube court.

Tube court; lacinies sépaloïdes s'élargissant graduellement, “rs sig et légèrement recourbées ; lacinies pétaloïdes roses, disposées en tube.

LT ses Pbyllantoïdes (Salm).

Syr20 . Phyllocactans Phyllantoïdes Salm, id. ali, Cereus phyilastoides DC. rt L. _. ousp. 4813, p. ou. Pfr. envm. diagn., p- 124. ot.magaz., .— Cereus Spinosus Bompl. nav., t. 3, Atatns Wild. et ai *Epiphyilom sum Haw,, suppl, p. 84.

legans Link., enum ,p° 25. id. DC. Rev. p. 59. Epiph ns Phyllentoides Hortalani, Patrie. Mexi xique Diagnostic. Tige ‘diff use , extrèmement rameuse ; les plus anc rameaux Jevieuvest a sa ligneux dans la partie inférieure ; les plu À ir de la base et se développant vers la partie “férieure de la Aie ou vers les extrémités des plus vieux eaux , Ceux-ci

pla ni erts, a sRises aa si inueux et crénelés, et c’est du et les fleurs,

Les tiges ss atteisueat de 60-80 be rameaux de 20-30 millim. de Joux su cent. de large; ant la première jeunesse, ces rameau pese: _. md 3-5 angles sinueux , dont les aréoles sont garnies de

ques poils jaunâtres sétiformes, qui sortent au-dessus d’une petite squammule et qui disparaissent ensemble par la es e.

Floraison. Pendant toute la belle serai com t parfois en Avrilet se continuant jusqu'au commencem gr atome, ph abondantes se développant au milieu des per s des ux , roses, longues de 10 cent. et sr . Es 23 icurs } pet 5 tube inerme, vert, long de 4 cent., par e quelqu es petites squam- munies peu nombreuses, Mecs, Préhérhiess Fa pétales extérieures sont

rose e ; ils sont étendus, acuminés ; ceux de l'intérieur “et Mines se colorent de plus en np du centre à la circonfé- rence ; ils sont plus allongés que les autres et forment, en se réfle- chan, le limbe ; étamines soudées sur p orifice du tube, pren b} à anthiëres blanches , dressées; style grêle, blanc, un peu plus de les étamines, terminé par 58 ions à sites blanches.

Le fruit atteint la maturité en cinq à six mois, d’abord portant les Ent spé esroile, et pins tard entierement nu, ové, arrondi , long # cent. s re 2 de “diamètre tre, d’un 1

aréoles pie de TUE graines disséminées au milice. d'une pape pourpre, très-succulente. : Cette Se. a été confondue par Bomplaud avec le Cereus F sissimus; Wildenow la ripsese t'aussi avec le Cactus Alatus de faisant remarq

Schwartz; Link, en arquer celle co : pee de Cactus Elegans, jnorant, gra rer Decandolle l'avait she es si sous le nom de Ph;llan

espèce est aujourd’ #4 une des Fe ee de la famille Fees elle est si facile à Pre à cultiver, développe ses elles libéralité, qu'elle se rencontre que

ce nom 4 ee fe _ Culture. Serre tempérée ie l'hiver, en er ee pen- él ee rase …. sxeimÈee les cultiver en terre de

410. CACTEÆ TUBULOSÆ.

fréquemment munies de quelques aiguillons en forme de sétules et d’une 2. Spot jee mmule dont l'insertion recouvre celle des aiguillons

; à 8 côtes ei et rs

C'est 1 ure Ne espèce fleurissant facilement et assez commune au- jourd'hui. Elle à été obtenue de graines provenant du RE elle

atteint de cent. de haut : ses ramifications de 30-40 . de long

o sd _. les aréoles sont nn de quiques ts séti-

s l'espece précéden Das le ; jeune âge, notre nn: dire peu reg jeunes articles e Cereus Speciosissimus, et peut-être moins encore des Hybrides _mant du croisement de ee dernier avec re Phyllocactus Phyllantoïdes ; H æependaunt alors encore, les rameaux minces moins charnus cr à la cs reconnaître : du l'âge adulte , le tube floral inerme est un caractère distinetif épars t tranché. Vaniérés. Phyllocactus Ackermani 8. —— Salm, Phyloeactus Ackerman 6. Crlores hort. Variété à _ grandes fleurs , du reste sa déffér entes de les- pèce :y Phylioca ctus 738 y Sellovi Salm, Syn, Phyllocactus ackermani + Minor Forst. ariété re sur à aies Catalogues; elle m'est inconnue.

ure, Serre tempérée pendant l'hiver, plein air en boune expos sie is la belle saison

elques auteurs regardent notre ges Ackermani comme

une Hybride, quoiqu'on ait reçu en France des sujets originaux pro-

venaut du Mexique. Le seul PRE: a+ puise Le sai de lever ce

doute, consiste à observer si ses se ns t identiquement la mère.

mie. Phyllocactus | Anse Lem. Jard. ns ds 2%,

très-nombreux à à partir de la base, ge à

ant la j n

Diagnostic. Tige rameuse; ramea x forts, arms, + à bords présen ant des

les serge qu’on Fnraes .. sur les autres espèces .. es jeunes pres nvisibles; celles-ci sont ts, anche et li dut “parie quel ue aiguillons sétacés. très-ramifiée iforme (c’est-à-dire auguleuse et seuélère) “is

eh la) jeunesse, béenrdt convexe a “eg lan ute di 30 cent, à 1 mètre, très-épaisse, très-s culente (beauco “4 plus que celles de em déco spé aux DE ed grandes dents déeri-

moins à Re daus les re ea sd 4 éritables ar

chèues près de Matanejo (Mex ya, a Société royale de Brux Gale, qu = tribua din do à à ses membres en 1847. Depuis elle a été envoyée | - en Franre à a M. mr horti nel. lee du Maine, 71, æ au Muséum de Paris, mr” re beaux ..

12 CACTEÆ TUBULOSÆ.

Tige de 30-60 cent. de hauteur, p'us ou moins incisée, tantô _— tantôt Mn, qu elquefuis ei clair, _— fois, san x posée

and la plan exposée à une assez basse température, à bords es Pure, it ee et arrondis à la es aréoles pe es inei- ns très-pelites, garnies dans la jeunesse de qu elques aiguillons

ous es: protégés es uvre très-petite squammule qui disparait assez promptem Floraison. | ais à Octobre. Les fleurs s'épanouissent pendant la nuit : elles exhalent une odeur très- forte de vanille comme celles du Cereus Gran . no le tube, d’an vert jaunâtre, prés gneur de 15-16 . sur environ 4 cent. de diamètre ; les lacinies sépa- loïdes les plus Élriures se ous sons forme de squammules de » plus lancéolées, à mesure qu elles s'élèvent vers le limbe ; elles sout peu no Essia et tout à fait inermes; celles de l'ovaire, qui est tre e us

cen d e, & sont St. ceux du dehors sont d'un ion

jaune gris; le p ouge rieure ; il est plus long que les étamines ; il atteint de 18-20 cent, de long sur 2 millim, de diemeètre ; il se termiué par 11 divisions stigma- tiques j jaunes, sa , de 56 cent, de long.

baie est d'un beau pure, gai; elle est ellipsoide, fortement

ombiliquée à son sommet, à 8 angles, entièrement glabre et marquée çà et de quelqu ue vertes, La graine nage au milieu d'une

u pulpe LS és songe ee acidulée; elle est grosse, noire; elle germe quelquefois

mg E. a : d'abord été publiée dans le Botanical magazin us le Cereus ds dont elle se distingue par

la nine. et la same de sa fleur, Dec olle l'inserivit dans son Pro- dromus comme variété Grandiflora du Cards Phyllanthus. Haworb, plus so. en a par semis _— nt la mème plant reconnut qu'ell omme bonne espèce, et lui im sas nom d'Epiphyllum Hookeri ue fut, plus tard, changé Cereus et enfin es Phyllocactus. Le Cereus s Margina tus Salm ou Phyt- locacius Salim fut également reconnu pour la même espèce.

ulture. Serre mes arr rs l'hiver, plein air en bonne expo- sition pendant la belle sa

$. Phyllocactus Latifrons ( Salm). _ Synonymie. Phyllocactus Latifrons Salm. Echinoc. Latifrons Zucc. | Crus Latfrons Pfr. emum. diagn., p. 425.— id. Abbild., t. 40, fig. 2.— ' Letifrons Znce, Cerens Oxypetalus DC, Rev. p. 264. et Guatimals.

À PHYLLOCACTUS, 413

Dingnostis. Rameaux verts, grands, foliacés, obtus au sommet ; bords peu crénelés, à crénelnres espacées, plutôt ondulées; aréoles petites, garnies de quelques dibles et protégées par une 0

_ Cette espèce se distingue du rue Ph; _— du Pole

cactus rt et des autres par très-longs, larges, dout

} À age incisés sont “ondulés ; ps le pays, cette plante croit s'étendent sur le sol à une dis-

tance ra 4-5 mètres; dans nos serres, elle atteint rarement de sembla-

bles dimensions , cependant elle est beaucoup plus longue et plus larse

ee

des autres Phyllocactes, et c’est un de ses caractères dis- dans l’âge aduite.

à - Fr +

rose; les lacinies intérieures sont plus larges, verdâtres en

. guent ie leurs pétales plus allongés, le tube E T4 et plus grêle, d’un er brunâtre,

Cereus Oxypeals pe Pare par,

Er

ŒE mt 11. je es - %. M n WE LE

| Synonymie. Phyilocactus- pie “is. _… e hort. Dyck., |

D ne tant : U

|

: long de 43 cent., LL de quelques roses ; lacinies extérieures roses on rose strié de paille clair Les locinies intérieures, longues de 8 is sur # millim. de Fra rs moins r Léna anne étamines

LR Er + + st

la belle saison. es . de PO des figures des

aus Re sition pendant to dans la cc fre und 4, Sd 1 Latifrons qu'au au Steuo—

k Said Cereus Crenatus Li éd. Lem, Herte univ, nouv. série, 4, ;

rx x b 34 id. Hort.

115

remarquables, grandes, 15 cent. de diamètre, ouvertes pi din: sieurs jours, d'un —. agréable ; tube long de 10 cent, légérement recourbé; squammes nombreuses un peu épaisses, ovées, acuminées, vert Dh bi. log graduellement ; lacinies extérieures 42 ayant 5 cent. de longueur sur 2 cent. de largeur, brunes ; 18 lacinies intérieures étendues, ovées, oblongues, légèrement aiguës, blanc de lait; étamines nombreuses, les es 2 see Pod le _ soudées

à son ouverture , les autres plus réuni asciculées ;

filets ne anthéres jaunes ; per buis, banc, is hi be que les étamine: à 8-9 divisions vertes, Pesriaiss linéaires, recourbées, très-

ouvertes. :

Serre tempéré pendant Mie, plein air en esnalnés 28

pd æ f'Sortieniteur nhisénel. aies la fleur un limbe de 30 cent., d’autres auteurs un limbe de 20 cent. Sans avoir ai

“es. | sition eg Lemaire, dans

. Tige et rameaux étés, très-allongés, cylindriques à Ja bas, plans pus ensuite, à à larges créa elures, vert gai, à sommet aigu. Tige e, haute de 1 mètre et Re tout à fait lisse, vert gai, . ri un ,; late, foliacée et a

9: Phlcts Geramenie (Drong.

___— dam Guyanensis ee , Vel. Mus.

articulée ; 5 articles

A eignant 2 dre de hauteur, cylindrique, tout à nse à la base et sur une assez grande ongneur, a présentant couleur de rouille (ae la grosseur d’une ; rameaux :xtrèmement 1 ia, foliacés es), avec nervure médiane

Tate que Ji pu pren à e la fleur, Cet quelle « est banche satinée; que les en séries !: la fleur est

re pb De, plain siliée bo ne EXPO 1 ble mise. + Comme le de Latifrons, notre vec cette différence

ton ja: une gai ; filets des étamines jauvbätre ; sul rt plus lonz

blanches, papil Cette plaute a été ‘introduite en ar sous le nom de [ tus. À l'apparition de la fleur en 1850, Lemaire a recon pue

devait coustiiuer une espèce loute sit, ce que l'examen Ms sa tige de

avait déjà fait as ner à cause de la couleur glauque de ses rameaux pourvus pendant la jeunesse de nas Lt, grandes qu chez les autres ar: émettant d'assez —… racines rer et

La flex pelle, par sde et 7 pi celles des Cereus sissimus et N: Mic 3 comme elles, elle ne s'ouvre que vers le

soir pour se lelen in matin, de et d'un jauue fauve,

rade à etrieur d'un blanc _. a l'intérieur, Podeur est faible

et ppp ca . # UE tu Ja Vhiver, ie nr en bo ms sition pot: pue ga : re 11. Phyllocactus sorisis (Bee -

Fe Phyllocacins Serratus ire Vel. Mas.

* Eur 2. est laire à la base, mais « 1 pete és à Fond ©

CT

Li 75°. à À Par .84. Cereus Scolopendrii le Le hee Dill, hort, Euh. 73, AN 7 _ 7 vs D ao sinuosis foliis Fe ques

Phyllanthus Mil dict. ed.

nespe: . : Tnt rameaux dis. sat Pire 6}; borde iFrépatileengs

PÉRIANTEE EN NOMBRE PRESQUE pérenusé, _amsr QUE CELUI DES ÉFAMINES.

arrondis ou courbés en forme de fe 4 telés, à crénelures espacées ; dans leur ee Bhatiat ane aréole garnie de dE ou sétules réunies ou à stellées : dans nos 2 paraissent jusqu’à ce jour complétement gla 4

Mai, Ju u

; étamines en nombre

tas, créer “ue mais chou 1-8 , plus courtes que le

du périgone, à lets pourpres et hères blanches ; style un peu

es linéaires, mn | de la maturité.

(Salm ).

um Pfr. en jagn., p- Wr Miquel gen. Cact. ; Bact gone cer i DC.— id. Salim. Cact. in hort. &

0 ee au-delà de l'ovaire, court, ï

autres soudées au tube et beaucoup plus longues que lui, sont réunies et adprimées contre le style : style vigoureux, 5-6 stigmates bilobés lobule les que. baie tout

Dec

4 À 4

mlounc

sur des troncs des vieux

2 EP - a

1. res du tube ue La gorge . tube floral oblique, avec limbe, pue 1. Epiphyilum Transat (Pfr.).

Synonymie. rs ylinm.Truncatom Pfr. coum. diayn éibhslinee Tru Truncatum Haw. suppl. p. 85. :d. Salm. Obserr: ot à six, p. 40.—Cerens Tes DC. és He. ut, p. 470.— Cactus Trun 5nE. id.

Bot. reg., t. ( id, Enum., p.24. id. Lot. magaz., L FRET 2 Bot. QUT. HE Hook: vi exot. fL, _ + ue Lodd. Bot. cab., t. FT 325.

ostic. subdressée ; rameaux se développant au sommet , ir sur les côtés ef du sein des oblungs, sets 1 # in-

és, dentelés, _

trouqués, tomenteux. Articles longs de 4-5 _ Ses 2 20-25 ou r

plante type ; anges re qui et 2 dun ver vioiét uf éloi-

3, $ te

e* la variété présente, à la- t elle rs Sependant par F

jan bn ans

_ Culture. Serre tem rgishen cal plein air ee expo ue _sition pendant la belle. mg dant, quand on les place en cor- beilles us , elles jouissent plus complétement de tous

rmie. au, an # hort.… Due : roncatum Maititlorum

l'extiémité des rameaux terminaux;

elé à son bord supérie le bouton, mais de rose dans la fleur pariahes les ser

sont soudés à leur inférieure, "A un tube rose Mae 5 d’une

fort nt du prb la forme d’un ns P

articulations adultes ; sa coupe transversale a

she: on observe au commen me:

ii :

alu, sg La id qu rameaux charnus bea nn

longs et beaucoup _. grèles, ds vert clair, et munis à eur bord

et à leur sommet ronqué , de lougues dents _— la même sicptmimes.

mer que les jercatie ons pendant un

CACTEÆ TUBULOSÆ, ire rh articles obovés, tronqués , obtus de

chaque dentelures avec poils fascieu- lés; la tige sneies t eh rie l'âge.

Does rs adulte, la tige atteint : ea ‘elle est Spies très rameuse ; les articles i bligneux ; écorce est couleur de rouille; ç ceux du mt vert ist, sg.

, crél te les crénelures sont 9-3 code au

LORS

la partie e- ent, environ 8 lancéolées, tube da leur

Culture. Serre _… pendant l'hiver, _ air en bonne expo- i ur les plantes

: classifica ve:«€ rider sur le . _ « deux fois er Fa son périanthe ne saurait être sde . _e (di, deux fois; fo, égal; aanres, Cactus, Lindl. ! } —.

quoique nu loin ee pnite simultanément les eus Lepismium et Hario Enfin, d’autres nues ont pensé que dans les | phylles la régnlarité du limbe de la corolle ou son ob. quité devaient déterminer à séparer les Epiphylles en deux genres ; ceux-là ne songeaient pas que, dans toute la série des Cierges, Free se présentait avec ( # eee bien plus tranchées, non-seulement quant à ularité ou à cette ohliquité de la corolle, mais encore quant à la à orme de la fleur, quant au u revètem sta de son ovaire et aux earactères de Ja baie. Oh - _ dont il me semble que MM. Pfaiffer et Olto n’ont es compte dans leurs figures et descriptions des Cactées, puisqu ’ils ont persisté à regarder les | Phyllocactes comme . véritables Cerei. Pour nous, il nous semble que si 1 ractères tifs des Cerei ne sont pas assez nettement établis

Hi

tra

SD de faire ressortir les ca

à Me genres et sous-genres ins.

En effet, bien que nous soyons these convaincu

pèce e dans la famille des Cactées ne soit com- t absolument dépourvue de feuilles , Pres

comme nous l'avons suffisam ment 6 dans

; de ce volu:

CACTEÆ TURULOSE.

espèce Biformis dont Lindley vouiat faire le genre Diso-

cactus. En outre, il est appréciable sur toutes les plantes

qui végètent ou ont conservé une extrémilé de rameau,

1 rapproche le gen au du genre Phyllocactus.

_ malgré les dment de leurs fleurs qui ont cepen Je A

et hien plus

# ou desr rameaux, il tend à faire rentrer les Eppholies

hndiat su ces dernières consi idérations, conduit à te le genre Atrophyllum rs que ns en deux sous-genres : sous-genre, ed ie Epiphyilum , le caractère inetif de deux sous-genres consistant simplement

le mode d’; articulation des articles ou des rameaux. premie les caractères différentiels sont fondés s sur ur la lon

dernier eur inusitée du tube grèle, dont les

_ Jacinies sont courtes, réfléchies, apparaît un caractère

- différent de ceux qui i précèdent. Enfin cinquième, qui Pr

LA mn:

groupes, LE que je fleur * rs un limbe régulier ou i Pstes isates les plantes de ce genre sont Er elles végètent sur les troncs de grands arbres, dans les forêts à Fombre, et contrairement à la plupart sr autres Cactées dont Fhabitus est presque mere limité aux régions arides la végétation ne ire que de faibles traces, elles se pu, dans des régions ns Li richesse de la

gions torrides en une en

les Orchidées. Ii semble dès lors que ces + plantes en ent de culture différents de ceux que nous avons conseil n’en est pas ainsi, car elles végètent tout aussi bien « la serre chaude que dans la serre tempérée; leur loppement est plus prompt, plus rapide, mais aussi Fe vient plus étiolé; et c’est alors que, cultivées dans : des corbeilles ou des culs de-lampe suspendus en _ _ pendre leurs longs rameaux, elles es jouissent us leurs avantages : tandis qu’ici leur. développement moins rapide et en meme temps en apparence moins vigoureux, est Com d’une rusticité réelle qui les met plus com- à Pabri des accidents qui peuvent les atteindre :

‘Hybrides nu par ie = : Atrophyllum par le Cereus Speciosi:

à (Pfr. }. Indiqué par Pfaiffer comme robablement _ la fécondation sol peei à fleur

CACTEÆ TUBULOS Fe zcum Superba { Haag.). Jeeonnu en France. aag.). Inconnu en France . Agé par Booïthii ou

D (Pfr.). Sans doute identique avec le

. Inconnu à Paris,

semblables les du hotes. ou à 56 angles comme celles du Grandiflorus ; aiguillons peu a e

#

_ peut-t : ‘oule Grandiforus rs Rubra. Booth,

siselles de oies ai guillons; ; É , réfléchies, rouge feu, avec teint les bords ,

Jes à intérieures rouge carmin ; étamines et anthères blanches ; vètil cs

rouge, à 8 divisions blanches _ scens ( hort. Dresd e). Fleurs infaidibaliterent de .

13 cent. de long sur 8 de diamètre ; tube long de 5 eent., vert sale,

avec Deer écailles etre 2e vers le haut du tube; elles sont

rouge et garn à leurs aisselles de gr aréoles portant

sétules er en rase 1; sépales ce lilas ; pétal ales sur & séries, longs de 6 ns: Far "3 de rgeurs “is sont aigus, rouge dehors étalés ; les étamines

_ feu, ceux du

sont rouge carmin, blanches en LE de : anthères pris juness pi aloné, curé, à 10 divisions stigm atiques

&y bridus (hort. Berol).— trie Hybrid (her _ 2 iérice (hort. Angl.). Lu infandibuliforme , longne 8 cent. sur 16 d e diamètre ; tul ube garni d’é écailles violett es“ac

gnées P de de

avec strie 2 de feu au ; étamines rou en

vers la partie supérieure ; ie blanches ; no. rouge, Jong que Les étamines, terminé par 8 divisions isi visions stigmatiques

a |

rire obtenus, dit-on, par la Ra du Phyllocactus Latifrons avec un Han

à ne a. Belg.). Inconnu en

CACTEÆ ROTATÆ:

CARACTÈRE. Lacinies subbisériées, connées vers la base seule— mn ou es à ns les pue des pue | ou

RIIPSALIDEZÆ. e

Fleurs petites, latérales à corolle, rotacées ou infana buliformes; corolle soudée avec le calice, présentant un Len court ; 3-6 lacinies €:

ps ongs, rés sur le tube . calice et plus longs que Jui

e _ Reste style !

ovaire et Sn en à 3-0 él; pétales.

ressées, insérées, s el t presque de leur de ou réniformes ; style fili-

Hi # e ES Ë à ss E) E

e, transparent

, couronnée par les restes desséchés du he; Dune en forme de nid, nageant au milieu

> pulpe acidulée, transparente; cotylédons distinets,

, aigus et courts; embryon droit.

_ sous-genre, Rhipsalis (Gœrtn.).

_. NT jrs fruet.pl + 1. 186—54 H Haworth. _ synopsis, p. #86. id, DC. Revue, p. 77 et prodr., t. 3, p.475.- Ptr- - 29. id. Forst, Handb. dr. Cact., p. 418. id. Salm.

one. bre à derensnt transparente en ssant, couronnée par les restes tes desséchés du pé” 1e ; colylédons courts, aigus : al Fm parfois subradicante ; tige a

anguleuse ou étendue, foliacée,

1. Rhipsalis Ramulosa (Pfr.). Synonymie, Rhipsalis Ramulosa Pfr, enum P- 430.— id. Forst. + Handb. dr. Cact. p. 459. Cereus Ramulosus von np p- 340). Epiphyl De onuiomse, Ciliare, Ciliatume bert,

Diagnostic. Aa ronds, çà et squammeux, plus tard lign pendant ai ailés vert gai es les j jeunes plantes ci- se ar cell bas

les du accompagnées une squammule foliacée TR de mmt ee, et demi de diamètre; rameaux ailés de 8-13 cent. de long sur 13-26 millim. de diamètre ; crénelues

Floraison, . Fleurs _— ses, solitaires a Lot à vos it dans les

i , lancéolées, 12-48 étamines fliformes ; pense ravsible à l'œil nu; baie: ronde, d'abord verte, ensuite blanche, subtransparente, de 7 millim, de e méme

Culture. Serre Serre lempérée pendan toute l'année; Pa ra mieux dans une LE phes vase suspendu au milieu de rocailles, il rend. bel effet qu'en pot.

2. RBhipsalis Rhombes {Pfr.).

onymie. R Rhombea 430.— a Ud me ombea Pfr. enum. diagn., p. ends

D mke, ei tout à fuit is, marqués de rouge Ë ds. #4 Floraison. Pendant la la mauvais saison et e commencement du prin- a blanchâtre, semblables à celles Culture. RE r + SR SO à ns. À tte sl

r La + 5 Mmémess . 4 CEE

2 » + +

C: Ne ROTATÆ.

3. Rhipsalis Crispata (Pir.).. . 430. —E 11 lu ae mr ie n'en Handb. dr. Cact., p. 454

an Désabre et pandast un e grande partie : ere es: odorantes ; ovaires petits, n

aux tr s-cuuris; 6 hiies . réfléchies, tirant sur à blanchätre; é enses, anches ; anthères jaune souffre très-pâle; style blanc, vigoureux, ie vigoureux et plus long que les étamines, à 3 divisions ae Pose baies eee ne pd

FE

ee fn + Ds re pus blancs LS

ige aïlée; rameaux crénelés, mi songe ur Le Don) june ernlne aanent aura Ps

Detniir

k. en différent seulement par les bords de la tige, dont les échancrures sont moins ne ps articles de 16 à 43 œent. de long sur 43 de

; Depuis Sepiembre jusqu'à a in de liver Fleurs se dé- t vers le. que ere blanc sale;

5. Rhipsalis Pachyptera | Pfr.). it Synonymie. Rhipsalis Pachyptera Pfr. enum. diagn., pe 132, Epi- phyllum Alatum Haw., suppl. p. 84. Cereus Alatus Lk. et Otto. a t. 39. Cactus Alatus Bot. magaz., t. 2820. TRhi Dents Pécbyptwrs É . un

Alatus DC. RS “ag p- #70. rés Alatus ds À gs . a 3 à oc. LL. —_ Li gx gr "devant Le suppl. 84 7— Rhipsalis Swartziana Handb. dr. Cact., p. 154.

Patrie. Jamaïque. a hr ailée, diffuse ; rameaux foliacés, vert foncé, : _crénelés, inerme

436 F CACTEXÆ ROTATÆ.

B. ANGULOSÆ, Rhipsalis anguleux. | Tiges et rameaux à 3-5 angles, à faces planes ou bien à séries pro-

7. Bhipsalis Pentaptera (Pfr.). | Synonymie. Rhipsalis Pentaptera Pfr. enum. diagn., nu. Et Otto's Gz., 1835, 44, 5,405, = orst, Handb. dr

. Last

“Tige er longuement a

rticulée, très-large; tige pro ; côtes

compri ne erénelures des ; jeunes côtes lomenteuses et esse d'un foliole,

acuminées, squammiformes, inerm

_ Tige de 45 cent de long; tronc de la grosseur du doigt vers la base; rameaux de près de cent. de long, non perilés; aréoles éloignées

e1 + }

Salm). .

| Synonymie: Rbhipsalis Paradoxa Salm: Lepismium Paradoxum Pfr. enum. nr p- pars ta Alternata Lem. hort, univ., t. 4, 2 . Cereus Fteroc aulis hort, id. Forst. Handb. dr. Cart, p 453. .

_ Patrie. Brésil. ic, Tige subdressée, verte, siariuée; arts Dors La 2 atome a

er ), sur une largeur de 15-25 millim. ; les angles ou côtes sont

se Pendant la fin de l'hiver et le commencement t du prin- temps. 8-9 pétales à peine agraire ovées, laucéolées ; sépales très- liées, luisantes, rougeätres en dehors vers leur sommet, et connées vers le milieu de la fleur de ses à Free un tube de’ 2-3 millim..

lo r ; étamines jaune pâle, inégales, nombreuses, plurisériées et inserées sur l'ovaire ; anthères blanches ; as nt, blanc et de la même longueur que les plus longues étamines.

À Rio Serre tempérée pendant toute Sr mêlé aux Orchidées troncs d'arbres, ou dans les rucailles des bassins d’une serre caude: rs contribue beaucoup à à l’ornement. sens quelques serres, il

produit alors est bien loin du 9. Rhipsalis Trigona ( Pfr.).

Synonymie. Rhipsalis a Pfr. enum, diagn. 5 pe 133, = Forst. Handb. dr. Cact., p. 454,

.— est placé de manière à lapisser une pate de mur, mais |” effet qu'il premier.

. Brésil, # D: $ tic, Ls 24 LE 4 LE Le | 54 a sa LAVE La z- = luisant, tout à fait trigones, on trigoue à faces subconvexes ; côtes ai guës, lége elures esparées , d'une petite

promp: tem ent. - 4 k s Paso _ Tige longue de 6 cent. et plus, large dans la partie supérieure de

Ploraison. Fleurs inconnues jusqu’à ce jour. _ Culture. Serre tempérée pendant toute l'année, La culture de cette ar are mg Je observations a. à ae ont

CACTEÆ ROTATÆ.

C. TERETES, à liges cylindriques. iges et articles cylindriques, plus ou moins fasciculés, allongés, vdiities |

erta (Salm). | Conferta Salm, Cact. in hort. Dyck, cult,,

rene, ronde, assez qu grèle, Pr

périe x subverticau ; dressés, r obt Lus, ne à fait dires. réunis en es Tige charnue, rameuse à partir de la base, en forme-de petit arbrisseau de 29 cent. de haut ; les rameaux les plus vieux cylindriques, de l’épai à fait glal

rs Does 16 Floraison. Fleurs inconnues.

ee. te de eo tn or tige basse, ra— me ses rameaux roides érigé 1 non mous a pen

t. 3079. id. Pfr. e enum. en . 135. id: Font, Handh. dr. p. 457. Cactus Parasit DC, a, ETer te 79. er Fac LE enum, suppl, 33. . Rips Parasiticus ee pes e _ Turp. Obserr., pe 63,t Patrie. Iles PR, Diagnostic. Tige ra mpant —.. nr Le les jeunes es bang, nos go pra

13. Rhipsalis Funabis {Salm). Fr

Synonymie. gerer a id. Pfr. US 5.— id. DC. EN UT, pe id. ordi, Handb, dr. Cact., pe 4 Rhipsalis Grandiflora Have Bot. . magaz., t. 2740. jd. Suppl. p- 83. Cactus Funalis Dee Che p- 479. Rhipsalis Calarmiformis hort.,

Rhipsalis Grandifloru Otto. Icon., p.38. it à Patrie. Amérique méridionale,

Diagnostic. Tige un peu dressée ; rame EE vert foncé, subglabres ; aréoles éparses, sis are ec squammule pur- Lt mucronée, Tige de 60-99 cent. de Fee finissant par de— venir ligoeuse, sur 13-22 millim dismètre 4-7

7, Pendant. roi mois Lévri et le commencement de l'été, de tonte cor plus tôt, en Février. FI eurs abondantes , ‘sé seconde

en Janvier, donnant une en Aril, | et enfin

une troisième en Ris: blanches, offrant un pass de 29.25 millim. de diamètre , inodores, garnies à a ‘une pubescence rte ; 7-8 . lancéolées, obtuses, d’un vert bbiiétré soudées à l'a oYaire qui e ourt et n nu, ensuite réfléchi ; étamines dame b! à sims plat à divisions angu

_Vartérés, Rhipsalis Funalis 8. Mie Pr Le c—R!

| Rameaus plus grèles;

squamme rouge be. Culture, Serre tempérée pendant toute l’année, du reste comme les _ plantes précédentes. 14. rx re Piosecss. (Salm}. " ge Léa Salm. dr. Cact., p. 457.

id. Pfr. enum, diagn., p- 138 Rhipsalis _— Los ra hort.

deux fois p us grandes , ses lacinies lancéolées et munies de petites

. CACTEE ROTATÆ.

Quoique le, A eus

ts du m, à ce dep

se raie sur quelques poin Pa mp . es portant t chac

Culture. Serre tempérée pendant toute l’année ; 1 agrèpt ses : le sortir dehors pendant la belle saison, depuis la fn de Mai jusqu nn

syn. pl. acq. Pare mique, hé: parasite se développant sur les arbres.

art Tige dressée, ligneuse avec l’âge; rameaux très-grêles, Des manie 2 at ou moins, verlicillés, squammes dis-

t- LE. E, dévelonnant or. : Las 3} » ï : » €: ARE 2

E ,; blanches à ‘blanche ; pe 4 de ps “ra blanc, à Baie oblongne d’abord verte, ensuite rose transparent, enfin , tirrheuse, marquée de quelques cicatrices rouges, et portant les restes desséchés du périanthe ; graines peu nombreuses, réunies au _cenire de la baie,

_ Vanrérés, Par proces ytha 8. Pendula Salns: id: Pfr: 1 e. “, esse “lus rase, ls molle ; rameaux retombant en

4e Svartias DC, Andes. (Hook. exot. # 2, 1,

4 |

Rhipsalis Cassytha Ÿ, Mauritiana DC. linus S:ebr. fl. Maurit. 2, 259 (I fie -France et ce de e R ét

Kampants ; rameaux resserrés

Culture, Serre tempérée but Et Van: année ; il. _du reste les mêmes précautions que ceux que l’on ne sort pas pendant la belle saison.

D. SARMENTOSÆ, Rhipsalis à lige sarmenteuse. Tige et rameaux radicants, ronds, sillonnés longitudinalement ; A le ”. sétule & d Me *

(Otto).

Syn nymie. Daiealis: Sanmetmees: Cri A. G. Z., 4841 pe 98. id. Forst. Handb. EIRE > Rp regpertes es

. : CR 1,

PR a _. très-ténus, dites F etes pans ra

tige couchée, Rs sillons oblitérés, à la base, un rs enr vers la partie supérieure

1; aCCO squammul à peine visibles, nues, us resserrées sur les branches anciennes, séligères , sétules _ _—…— gr so pe

L. Pleurs retiss éparses, peu ar longues de 13 min. sport quel

Ti ea dre, br re

côté les Die de ie blanes, Un e noirs; de 20-27 cent, sur # à de diamètre ; has

Fours se développant sur les côtés

_ style érigé; disons stigmatiques comprimées ; baie blanche, ronde. Culture, sb tempérée RE doit être cultivé parasite,

sit ge Rs de millim., obtus aux deux extrémités, tétragones ; 23 aréoles à peine visibles, mem | munies chacune de Floraison. Pendant le printemps. Fleurs blanches et baies ressem— blant à celles es Qu Mofmierenhentes, me 2e SEE rherame _ Culture,

re pendant toute P'amnés, de mème que les

meuse ; rameaux gr ne & sommets i les ont précédés sés 2 par 2 ou 3 nombreux, verlicillés, ce

épais 4-6 millim, ; cr anguleux, munis dans les les « faisceaux , de petits nr blancs, étranglés vers la base, ce qui lew donne une apparence claviforme; squammules rudimentaires, à peine visibles

Vantérés, Rhipsalis Sali ioïdes 8, R i id, Pfr, Le. Rameaus plus nombreux, plus fasciculés F _ Dans le tem Délé avais ie cote plante le pe den

Le périgone à peine développé au-delà « Vovaire; 10-12 lacinies, les sépaloïdes les plus courtes, les pétaloïdes dressées, ouvertes en entonnoir; étamines nombreuses, les extérieures les plus longues, plus courtes que le limbe ; 5-6 Pr préset radiés ; baïe d’”: abord immer-.

globuleuse, f

Rene ROTATÆ.

_< _. id. Pfr. Abbild, 2, t. 9. Smonymie. Pile Corne ain. 2,1. 9.— Gien Rail ur. Patrie. Montevideo.

nymie. Lepismium Pfr, enum., - 138. res Miquel, en ne met ie 184

sées, ouvertes en entonnoir; nombreuses, celles

du dehors les plus use et plus courtes que le limbe; style un peu trapu, columnaire, de même longueur que les ras 4-5 stigmates radiés; baie subimmergée,

_ piriforme, transparente, couronnée ée par les restes dessé- _ chés du ie cotylédons foliacés, larges, aigus.

Plante subcharnue, subradicante; tige débile, arti- rade rameuse ; articles, 3-4 angles plus ou 2 moins éten-

“+. épais courtes es

le Ron par apres tr mgse An pas

LEPISMIUM: 455

1. Lepismiom Commune (Pfr.). Synonymie. Lepismium Commune. Pfr, pe p.139. id. Forst. Hand. dr, Cat. p- 455.— id. Bot. magaz., t. 3755. Cereus Squamosus

Le OC rod CE, P. nt = Crens Elegans arts = Lephiam comte ter 1845, .

Patrie, E Diagnostic. Tige subdressée , articulée, subradicante ; articles vert gai (souvent purpurascen ts); 3 côtes souvent sublorses ; sillons ans

» aigus, convexes sur les bords ; crénelures espacées, mun d'une ee Lt 2 foliacée ; à peine pileuse dans les jeunes ne FI +4

FF À ais + A, frnemoslec

ep ar ont mn éme d’abord abord sur les rameaux

Mob the desséché ; pulpe succulente, peu nombreuses , réunies réunies dans une cavité Culture. Serre tempérée pendant toute l'année. 2. Lepismium Myosurus (Pfr.). Synonymie. Lepismiom Myo ra rus Pfr. enum., p. 439. id. Forst. er magaz., 1. 3755, Cereus Myosurns Salm. D mt; p.118. Gr nptierec re Phil.

La a Re acuminés, roses, pu

s lancéolés, acuminés pes à 1 Due; étamines blanches; à pen à k + ie i ê 1 Es

ue CAGE ROTATE.

Lepismium + 108fciliné Salm, _. ps rl, pis …. plus rares. Serre tempérée mn toute FE

P ment fausse: « Graines fixées sur l’axe de la baie. » Plus ard, revenant sur cette erreur qui été mise tout à fait en évidence par les observations du prince de Salm, Decandolle se fonda sur Éd panbansemglines dre amiens et adopta le Plusieurs plantes, dont on ne connaissait

Pour notre sous-genre Rhipsalis, L as suritittes de la tige ailée, anguleuse ou cylindrique, permettent très-aisé-

: ment de le SO; chacune des divisions pourrait même _ adme! ivisions qui seraient basées sur Pétat de la tige po Pres rameaux articulés ou non. Quant aux

Cux autres re, leur nombre trop restreint ne

soit parce que les serres ou les endroits dans lesquels les plantes sont conservées sont mal aménagés pour y placer des parasites : cependant, placées comme elles le sont, elles perdent tout leur effet.

Si, tenant compte de l’habitus de ces plantes et cher- chant à copier ou au moins à nous rapprocher de ce que la nature nous montre dans ses dispositions, nous plaçons nos a Er nos Épiphylles, nos Rhipsalis et pe

de ps qui s serait obtena à Paide de re we

diacés, on pri pi avantage cette monotonie des serres on EL D Fe est peut-être | plus grands

avantage obtenu sans nuire en rien au succès de leur culture.

_ CACTEÆ ROTATE.

> are. OPUNTIEÆ.

_ Fleurs grandes, rolacées , atroppst aux aréoles des uberenles; la baie, d’a 254. Tstéiand SG perd les restes chés du 5 #7 elle est fortement ombiliquée, ; iform ou subglobuleuse, pulpeuse ou sèche , sétuleuse {

| inerme ; graines plus ou moins réniformes, blanchà- î

nu (es, albumineuses ; cotylédons libres, épais, foliacés. Plante charnue à feuilles; ; feuilles cylindriques, aiguës, gr À ge frutescente, rameuse dans la partie supé-

du périanthe mest pas 8 développé au-delà de Vovaire three qi

lacinies pétaloïdes sont dilatées, er es , dressées; les étamines sont nombreuses, Kbres, réunies en faisceau, __ Jonguement développées au delà du limbe; le style est _ plus long que les étamines; il est cylindrique, fistuleux _ en dessus et noduleux à la ‘base ; ilest bas par $

stigmates radiés; rayons épais, dressés; ! la baie

- mue, très-ombiliquée, piriforme, tuberculée.

ne articulée, ra

RE

se irouve dans la < la corolle formée de lobes étalés comme | des pétales de

plus courts que le à Miiobe Or, les Opuntias a et Auberi présentent un tout autre caractère; les

Jacinies pétaloïdes sont dressées, resserrées, et les

| Diagnostic. Ti articles peu épais, verts, D ermes, presque rétieulés , articles de 15-30 cent. de ça sur 5-10 de are da cylindriques à la base; folioles réfléchis, rouges. Floraison. En Août, Fleurs rouges à peine ouvertes, de 3 cent.

gs de 4

Salm. bort. +. 364. à dl Forst. Handb. dre D. P- ru

bi-

formes, les ieurs sétacés, blanchâtres, 3-6 inférieurs AL rer

du bas D sat él ATASPE <M large à

diffus ou déje diverses manières ; Las espacées ; folioles JR ns vigoureux, celui du

. Serre tempérée pendant l'hiver, plein air en bonne # ia ion pes la belle saison. Mème observation que es le pré- : ie: Nopales : beri pue Opstin Anber PE AG, 7,

D'après Pfaiffer, en fleur est semblable à celle du prose, dont elle” re par le K le tan de la fleur et la forme des

Plante. carmue; üge ro ronde , RS rameuse ou articles »erlindriques ou plats, tubesle- do es « les; tubercules munis | à leur sommilé d’un foliole subulé , décidu ; aréoles Î l'insertion de ces. 5

au-dessus de s portant deux sortes d’ai

pendant Le cs Po ns. Al plupart; les

CRUCIATEÆ, à articles PR en en

Rrree ee

_ GACTEÆ ROTATÆ.

** ACULEATISSIME , À AIGUILLONS FRÈS-NOMBREUX:

gén esperant

Lee lisse ; aréoles subrps de sonsuss,

: HAINE L-2 pen: LA ere ET 20 longs, atieignant environ : 30 sillin , souvent défléchis, les autres atteignant 6-11 millim., rouges

; folioles subulés, longs de 4 cent., à pointe couleur de

ans Ps du précédent, dont il diffère par ses aiguillons plus ange serie x.

11 É ror l'hiver, plein air en bonne ere

Syno

& à 6-8. : oi et Es J pre à Pate jaue, ir bete cg ir arme peu M. large

our sg rameaux dis succédan

: 1 : ; à

Fes sont ne. ë Fleurs

es. La Da, on is ir, Es ane manquant rarement.

: + Les Synonymie. Opun x Haw., suppl. p. 82. id, Pfr. enam. diagu. P | Sens id. Forst. he à L d: Cac, + P- À et Cactus F erox ne —.. suppl. 35 (non Mitti.). Opuntia Cruciata, Dolabriform

Petr mérique chaude es. je tré us inarticulée > omprimée, rameuse de tous re subtuberculée bresserrées, convexes, munies à la A xgrrbe) périeure de ses ot: faseiculées , à la partie inférieure de “5 aiguillons iv , aciculaires, blanes. Tige de a. 54 will. de diamètre ; aiguillons roses en naissant, 12 folioles petits, verts.

Fe dun k +. = FORENS : pe," > # La

Synonymie. Opuntia Leucacantha hort. Berol. (non Salm. Ed Bei id. Pfr. enum. diagn., p. 167. —ïd. Forst. Handb. dr. Cact., tia Subferox Schott.

pra ss re Tige de 30 cent. et plus de haut sur 5 de large ; rameaux latéraux, subopposés de 8-10 cent. de long, assez épais ; aiguillons, les plus courts de 6-9 ni de long, les autres de 27-30 a Li les sétules Re en plus longues, atteignent 6- in ;

ET t outre

454 CACTEÆ ROTATEÆS

séricées ou criniformes, ns: us rent dispa- raissant quelquefois ;

6. Opuntia Leucotricha ( DE)

ymie. Opuntia Leucotricha DC, Rev. pitri- Hort. Late F SR eu. diagne, D. 156.—d. Forst, Handb. dr. Cact., p-

Articles dressés, sg vert gai ; aréoles serrées , to- LE ge + “RAC , ceux du haut sélacés à 15.20 autres se À dr flexueux, criniform Articles de 16-18 cent, de long sur 7-10 se , assez épais; les jeu nes aréoles planes, munies d’un foliole trés-petil, rougeâtre, et de mais

em dont la tige s est eutièrement déve- _ en la même même manière que celle des Opuntias

:

oPExTIA 455

Diagnostic, Tige dressée ; articles e elliptiques peu é pe très=verts ; aréoles she ct, tomenteuses et mr eme pes gaux, roux jaunâtre , 3-4 intérieurs deux à ss longs roux, à pointe js e clair, grèles, aciculaires, ceux gr rs tres ; articles de 10 cent, de a ms 5 de large. épais « de 11-18 me aiguillons inférieurs longs de 27-40 millim.; sétules supérieur confondant nt avec ge aiguillons gréles, ceux-ci sert me 4

9-13 millim.. ; foliole aigu, vert,

Floraison ? Fleurs?

Les Opuntias Fulxispina et Crinifera de Pier 2 sert idenriquement la mème plante; dans la jeunesse les i lauigères e rapportent au a re de a Crinifera B., 1 mais plus ia es. gs guillons

Es. Vanrérés, Opuntia Fulvispina " Badia, Salm. à A aiguilions châtains. . La variété pre Re rapportée à l'Op. Fuvisina et dentic notre variété : se Culture. FRE €; demande l'hum et les gelées a Les me 2e ue re Labo sa

+ FULVISPINE, à srallhns fosse.”

NE Si syu. p. 489. Bot, siprr) RE dia pe 165.— id. Votst. Handb. dr. 2 > p.495, ns DC. pl. gr., t. 437.— Cactus Goccinelliter Bert

ne pr Vived. Perd excel. s syn. Cactus Tuna ion. us Nigriens Haw. sÿn.,

: 456. CACTEÆ ROTATEÆ. # Culture, Serre ée ; il demande abri contre les gelées et l'hu- midité pendant l'hiver ; és air pendant toute la belle saison Dons Fémksope Je ei Dr est employé pour la culture de la ec» chenille. 10, Opuntia Elatior (Mill.). Syrie ge he re RE ge enum, ., Pe4165.— ru Handb. de. Cact.

; ren LE punis Eee Hs. syn., pe ET EE Cpeutie Muse 86 cou

Amérique méridionale. stic. Tige dressée ; articles glauques, larges, ovés, oblongs;

d-lones: d'abord fauves, devenant noirâtres par:

aiguillons subulés la suite, nos evenant laineux,

Articles de 18-27 t. de long sur 9 de diamètre ; ai iné- gaux, longs de 18-30 millim,

Floraison. Fleurs se développant en Septembre, de 30 cent. de dia- mètre, tout à fait er de jauobtres Lab étaient au rh ému, ovaires ; longs de 26 millim. sur de diamètre,

LA 1

baïes rouges, D pr rl pr

Cactns Mo: 8 V - suppl Opuntia ‘uns DE. +. 1.438? Bots regist. t. 4720. Tu + 4835, 6, s. 47.

oblonss, très-

grands , Slabres, très-verts ; aréoles espacées

* Partie de 3

_Phgr. : Patrie. Le Caracas, Brésil, do oem er Diagnostic. ee dressées ; articles elliptiques ou Re gris, et de 1 salon rigide, brun,

OPUNTIA. Æ 457

Vasrérés. Opuntia Monacantha B, Deflera, Salm. Op. Monac. B. Gracilior, Lem:

Tige p'us verte ; aiguillons ouverts, défléchis. op

Culture, Orangerie ou abrité age À rs contre l'humidité et les gelées; pléin air pendant la belle

C. FLAVISPINE, à a

illons jaune dore. * LEVIORES, OPUNTIAS A AIGUILLONS MOINS NOMBREUX. 12, Opuntia Ficus Indica (Mill.). er Fc Po Mill. dict. eo Re Har-supni. FA Opantis Valgaris D née Ne Co p- 481. ia Vu ee note. or. ne #4 .— Cactus Indica L. Wild. enum. . 34. Cereus Opuntie Gossous, prodr. flor. rare P- ge a: cran. ; L

à 2 L à 34 ra

raremênt un seul aigui lon. To. cy lindrique, ligneuse ave l’ige, de 5 #0 est. ke an de large et sur 27 millim. d'épaisseur ; foliol un Floraison. Pendant l'été. Fleurs , jau e suire; baie de mestible; il est cultivé en Sicile on en a plusieurs varié fruits jaunes, la seconde à fruits blanchà

tres, et lat troisième à fruits rouge Le Cet te dernière En | s de gr das l

ont e #

‘nas aan

458 CACTEÆ ROTATÆ.

13. Opuntia Gomiris ( Moss * Res Opuntia Glaucophyila V Catal. hort. Herrmh., 4835, id, Pfr, enum. SL p-À Rat os a 2 dr. Cact p- 491. Patrie.

= *. Le) LA

Diagnostic. Tige dressée ; aides abovés, subundulés, glauques; aréoles tomenteuses , jaunes; 1-2 aiguillons subulés , assez longs,

Dans cette espèce, les aiguillons atteigoent environ 27 millim. Elle

diffère de l'Opuntia Pis dis et de l'Opuntia Pseudo-Tuna par sa

moins élevée, plus ses articles plus arrondis et plus omis Fleurs ?

27 spa ge Glaucophylla 8. Jet Salm, Op. B, Fieus ile 8. Atlie Bees Perse ie + . si 7 plus courts, gr RE moins armés dccgnm Culture, Serre ée pendant Phi sr contre l'humidité

et les gelées; plein air pendant la belle saison 14. Opustia Pseudo-Tuna (Salm).

Synonymie. Opuntia Pseudo-Tuna RS 7. A TR nn LS P- ra

. Digne Ts dus, man et D ou gborés, com- s aréoles éloignées ; aiguillons st

de bouquets épais, de poils Je ntie inférieure ei _ garnie d'aiguillons épais, jaunes es ont &-5 millim.; les aiguillons 23 cent. de longueur, leds Fleurs ? Vanrérés. Le orme Pseudo-Tuna $. Elongata, Salm, rite naurea, Karw.

on Tu, Eg. 380, rss Coccinea hort. Opuntia Tuna Haw, syne ss

Patrie, Mexique, Quito, ainsi que la Co Diagnostic. Ailes grands, elliptiques con , munies dans la partie spéreure de sétules jaune us. ins, s dec la partie inférieure de 4-6 ps nan ga gas es grands, ns ‘de 10-90 cent. sur presque autant de diasèties siguillons longs de 9-20 millim.; sétules his de 6 millim.; folioles aigus, verls, longs de 5-6 millim, Floraison.

LL]

rouge , présentant un limbe de8 cent, de dia- mètre; ovaires piriformes, longs de 4 cent., verts, tuberculés , aréolés,

> MUCFONÉS ; | s jaunes ; anthères jaunes ; style rouge à à divisions + F Vartérés, Opuntia Ti , Salm. Op, Humilis, Haw, Op. Horrida, Salm. id. Pfr.enum., p. 162, Aréoles plus dist é nue + 12 _—— _. #

ie lo; P 1 ER a à pole æ dr

Patrie. Amérique tropicale. Rs ua ne articles nee a er pdt

460 = _ CACTEÆ ROTATE. la même disposition d'aigoillons à bords non ondulés, constitue une espèce avec laquelle notre variété est < pe

Culture. Serre tempérée, ou un abri contre les et les gelées pendant l'hiver; en plein air ostnit Je ball can

_ pa ent Opuntia rm Salm. Cact. in hort. Dyck., cult., BL

© Patrie. Chihuahua.

Diagnostic. Tige dressée, vigoureuse; articles obovés, comprimés,

| aréoles D plus serrées en dessus et sur les

. sétules fauves ge .

2-3 divergents, rouges à la b

» avec un autre adventif placé en bas, plus Die.

lane, défléchi, qui manque souvent,

Tige ateigant ensane mètre dans sa patrie, à articles suborbi-

culés, atténués à la base, longs de 16 cent. sur 8 de diamètre, à à peine

- (Baw.). | Synonyme. | Opantis Poly ao tha Haw. syn., p. 490.— DC. , t 38. _ dis enum. dngne p. 463. Cactus Polyanthos. Bot. Sa 2 ir 2694.

D. ALBISPINE, 72 EE blancs.

icles dressés ou couchés, Lee Faprmhv ss lés, minces ou ou épais. souvent glaucescents ; arévles espacées on resserrées ; sétules aigus, jaune d’or, fauves ou brunes , aisuillons blancs.

* PULVINATÆ, ARÉOLES MUNIES DE SÉTULES FEUTRÉES.

. are sétules vigoureuses, de différentes couleurs, re ; aiguillons ns blancs, le plus souvent rigides. 19. Opuntia mr (Salm). Synonymie. Opuntia Pottsii Salm. es in hort. Dyck,, cult., p. 236. Patri. Chihuabua, Diagnostic. Articles es divergent; tige rm la partie inférieure, , épaisse, devenant euse; les jeunes articles

à pis d plante, nndene-tlnes cit vulées sie dans les Collee- es et, pour ce pue Érr est peu connue ; le tin original porte Fe inférieur qt est slobuleux et d'environ 8 cent. 1. de dia

marks - nn PIE

é la rats d'un nets duquel se a dévelop _—— s.

vert gui, aréolés, ‘subtubereulés ; aréoles tri soseatrs ions , les + spears sacs, s, 810 ; of

lons ad = - subradiants, ts, de 13 3 millim. environ; les arti-

primés, cles vieux sont tout à fait couverts par leurs aiguillons adprimés, Floraison, Fleurs? Be Nuttal, les fleurs sont très-al - le porte 6-8 divisions ss

Missouriensis s 8. Opun pers id. Pr. co Opuntia a Tr. Angl,

des aréoles blanc, ainsi

Jlse dingue de 'Opuntia Fragilis par : ticles plus gs comprimés, ses aiguillons plus égaux, Il se osé également s plateaux éievés ni rar le cours du Missouri.

Culture. Orangerie, abrité re Sr humidité pendant l'hiter, plein air pendant to to

loraison ? Fleurs jaune | Vantérés. FE gree ue 8. Levior, Salm. Se Su.

; Ses Pallidior, Lem,

. Cette nt peu de la plante ne - Culture dant l'hiver, lora

21. Opuntia Sulphurea A se + 3

Tige de 60 cent. et plus de hant, érigée dans l'espèce principale ; icles de 8-10 cent. de long sur 4 de large aiguillons longs

, luisants ; de 9-18 millim, ; folioles très-courts, verts Floraison ? Fleur s très-grandes 7 10 cat. de M ovaires portant des gr et des squammes ; sq et lacinies sépaloïdes roses , sl

uammes

radu Re va ai guès lacinies roma ae très

ouvertes, és | à . _— “is d'en obtuses

supérieure, d'un jaune gris teint à de rose

Vaniéré, ne

hs Do

id. Forst. "Handb. æ- tt, PRE Op Ponte nd 2 :

Diagnostic. Tige au droite ; ailes dresés, comprimés, _r : Mu Mar ceux du haut sétacés, nombreux, jaunes, 1-4 en bas Lx here rryar er

rimés, longs de 13-16 Conde age) #7 millim. ; #. ils Les pus ed millim., blanes, insérés vers la _ inférieure de l’aréole, les plus coarts d'un jaune très-gai;

is CACTEÆ ROTATÆ, nr ere mise dressée ; articles obovés, FR. pulérulents, ; teuses, brunes, sétigères ; aiguillons vigou- à à la base, blanchôtres à la pointe, ge

au noir; aignillons, éveloppées suc-

jusqu'a la

igoureux, * Antieles longs de 21-27 cent. sur gs de large; is longs de as réa , aigus, rougeâtres à la poin

espèce décrite : mesure 80 cent. de os elle est articulée tro's mu de tige est très-vigoureuse et ses articles sont presque ronds 30 cent. sur 27-38 de large, très-épais, d’un beau bl a'guillons mesurent de 6-15 millim., les plus crade à cent,

rie Opuntia Grandis hort. host + à Pfr. enum. is PRES Een ae Loncer pnl

res dans la j aréoles tubereuleuse munies de sétules pére 2 aïguil sous ay blancs.

| Tige de 60 cent. à mètre de long 3 articles de ee cent. de —— Diem “aie chez les plus jeunes parfois glauq

Fr ——

26. .—— Glaucescens (hort. Berol 2" Synonymie, Opuntia Glaucescens hort, Berol.— id, Pfr, e p.155. id, Hort. Dyck.,p. 362.— id, Forst. Handb, dr. Cast, 1 P- en Sh&, Mexique. se Diagnostic. red ide oblongs, glau me sub resserrées, tomen , grises; aiguillons réssg ‘eux du haut

Fr pénici cillés | À, roses, 1-4 en bas, allongés, aciculaires ;

Articles longs de 13-16 cent. sur Es de large, atténués de toutes parts; vent mun sétules pénicillées, les plus ns de 27 7 millim. : ; fulioles petites , couleur

“Floraison ? Monir- Culture, Serre tem Céée edet Pie, la ae one ue CRE belle saison. Re Lois

+ res aciculaires, staminés, usé et plus paf foliole petit, ne Tige de 45-50 cent. de rage rameuse subbivariquée ; articles

10-43 cent. pri r 13 de is

< RS “de 16-28 nicnillont gris, tons val ee ceux du bas __—. te ma es a pa

la la première vue, celte .. Fa se confondre avec POpuntia ula, dont elle re son épiderme glabre et ses aiguil- : Orangerie pendant l'hiver, plein air en bonne GE go : ou la belle saison, ; 29. Opuntia Setispina (Engelm.).

Se pr Opuntia Setispina Engeln,— id. Salim. Cact.in hort, Dyck

&aon nonymie, Opuntia untia Triacantha He. Pfr. enum. diagn., p. 163. —äd. Forst. Handb. dr. Cact., hr 14. DGe prodr. nn suppl.

Cocius Thinconthes Wilid. enum.

+ 31. PEER Orbiculata (Salm), ie. Opuntia Orbiculata Salm, de. Pfr, enum. diagn., 156. me FE Handb. dr. Frs . 486. ; ; # Patrie. Chili. Dia agnostic. TL 'ige dressée , subrameuse ; articles orbiculés, épais, très-veris (les vieux souvent ;ar plus ou moins éloignées ; See Pénicllées. bru runes, et 4-5 aigui illons égaux, nr _— fauves à la base, horizontalement ouverts ; ole aigu,

tic 8-10 0 cent. sur 13 millim. de em aiguillous, ee ha courts de ( de 6-5 millim., = pres longs t. de ses Ms Mareisk: Ton - ss

_ Vartérés, Opuntia Orbiculata 8. es se Opunt | Praël.—Syn, FE min LE jm a < “Dr

rates de mr châtres, = Opanta Harwiliana (Salm).

+.

Syron: a Megacan Sim. hort. Dyc 363. ns. dame x id, rs Handb. “dr. cac ri 485. Ë Leucostric a Wish id. Pfr.enum. diagn., pe Mexi- Cana :

_ Patrie. Mex exique. à no:

op. Articles te comprimés, -oblongs, grands, épais à

; a , tomenteuses , grises; aiguillons 1

un à du ant sétacés, brun bruns: 7-10 en bas, vigoureux, subrayonnants,

, à

18 cent. sur 8 de large, épais de 27-30 es , les plus petits sétacés, d'abord jaunes, ensuite noïâtres,

_les Lo: inégaux , aciculaires, risides, de 13-40 millim. de lan.

Lu tige devient ligneuse avec l’âge et pue pr ? Fleurs ?

Pas _ Cacantha, hort. Die. : + mgaes pe en. Re

lue Abrité contre les selées et l'humidité pendant l'hiver, pin en buune expos tion pendant

la belle saison. 35. ue Streptacantha (Lem.). Synonymie. Opuntia en Lem, Cact, gen., p. 62. id. Salm, Per Dyck., cult., 240, ;d, Forst. Fond de. Cact., p. 299, Patrie?

Mexique

Diagnosis. Tige: articulée, élancée, vert t brillant, nt, trè-vigoureuse ; articles très vigoureux, épais, llptiques, ovés ; aréoles petites , ovales,

violacé i ns biformes, les RE aix nicillés, placés à la partie

les autres (1-3) plus .

470 CACTEÆ ROTATÆ.

37, Oponts ee (san

Synonymie. Me ; p. 264. id. Pfr. enum., 45 1,6 sr on Fors ms db. sr. Lac p+ 490, qui donne pour synonÿmie On a cn hort, Vindi Patrie, Mexique rs Tige vigoureuse , dressée ; articles vigoureux , obovés,

, pet tiles

gris; ‘et de 3 aiguillons ne ons sr subrigides, nie: dont un E us long , ouvert , de ige de 60 cent. à 1 mètre de es: is longs de 18 cent. sur 13 de eg, __. dans la partie inférieure ; folioles aiguës, ouvertes res, de millim. de lon "ete nes se des gue par sa “tige assez droite; ses articles vert gris ont une forme ovalaire ; les aréoles assez resserrées sont garnies de tomentum gris, au milieu eu duquel sortent une multitude de sétules.aei- culaires, blanches £e 2-3 aiguillons plus longs. Floraison ? her rie ou um abri gl ms _— et l'humidité de l’hi- ver ; ; plein air in toute la belle sa

38. 18 Oligacantha {hort. Vind } Oligacantha hort, Vindl. id. Salm. Cact. in hort.

Lo ne. . Patrie, Diagnostic. Late e dressée; artieles orbieulés, obovés, épais, glau-

* ques; arêcies resserrées ue immergées , munies de tomentum fauve > Court; 3 aiguillons Lire à ms blancs, nr er: ; quelques-uns manquent souvent ; foliole petite, Tige de 60 . ; artieles de 10-43 a plus moins serrer ge de 4-43 millim, de lo ante a _ confondne das le temps par le prince de Salm avec

Opus S e nuli sn dans l’âge adulte, elle en diffère complétement. Fi ie

- ure. sr ou simplement abritée pendant l'hiver contre les gelées et l'humidité; en plein air pendant la belle saison,

E. SUBINERMES, aréoles Éd inermes.

Eve avec les sétules aci- outre des guess

tent, en de pm nr sant remet d'une maire

39. Opuntia Mycrodesis (Lehm.). nonymie. asis Lehm. Ind, sem. Handb., 4827. . nat. Fa LE À p- ETEA id, Pfr, . diagn, , | P- 1. id. Forst. Handb. dr, Cact., p. 484. Opuntia Pulvinata DC. “Patrie, Mexique. >: . Pr mas PE mag diffuse; articles obovés ou lancéolés,

rc Août. Les leurs sont insérés sur les arcs a

; quelquefois elles se montrent par paires et ne s'ouvrent qu soleil ; 2 men de Fe, greater ti éphémères ; Po: millim, de 0

sde io U les

472 CACTEÆ ROTATE. 2 fololes vert glauque: aride pa de 1648 cent. de long sur 8-40 de décombants, r d'une tache vert

foncé sous les aréles, qui devieunent rouges sous l'a action immédiate du SES

rs reste “Res constamment inerm nt pu

plein Se Culivé en pot, il n’est ni

et portent de vert foucé au

| ee. june soufre en dehors, avec une ma ‘courtes ; stigmates es à 6 divisions, jau-

4 un abri contre l'humidité et Donmeriet : ver. Pen te le.

re Orangerie ou un abri conte ete gl de __— pps la belle saison,

munies, à la a d'aicuillons œil. ; te es aiguës, rou,

Floraison ? Fleurs roles, se _ Culture, Orangerie ou un abri contre les ser n les ie ar re

ver, plein air pendant gs belle saison

“hd mat 2 A ARTICLES ÉPAIS.

Articles NE vigoureux, souvent très-robustes ; aréoles es- 8 _ pacées, tomen er se re ag avortant ns dans de

es

es, étendues rotacées, recourbées , ae, ass anu tie supérieure, ; baie mûre ellip-

: me. Fa cr , ongue de 8 cent, vert ge Javée de jean de = tres : :

; «; p- 453. id. Fo - orst. | N'E p : Sala Fr Oran Gates A4 pan.

ï zlau | à espa lon Dane droits ; Shaun. à danmie pa La que _ Articles de 10 cent . de long sur 8 de et 18 millim. Les

larges, distanc ées, blanches tomen ï eo subulé, , érigé; foliole + ert foncé, à à pointe couleur de roue cles souvent de 27 cent, de long sur 71043 de large

Floraison. Fleurs? Les sujets reçus de leur pays rte ordinairement t en un :

qui disparaît quel quefois dans n Cette plante, ee est rnherss de l'Opuntia Decumana, en esserrées , et par RE igillons sétcés. "hiver, plein air pen-

476 CACTEÆ ROTATEÆ.

un peu aréolés, cannelés, tubéreux; sépales a iguës, vertes ; prie lar-

ges, muc ronés, jaunes; étamines nombreuses, jaunes ; anthères pe- Fe “ane Le soufre; style é épais , plus long que les étamines, à 5 divisiqns, jau

tu plante est très-voisine de res Monacantha, tant par la

forme que par la crea + de ses articles ; mais elle en di fière par ses aréoles plus resserrées et l'absence ms d' aiguillons. Culture. Serre teirée ou orangerie pendant l'hiver, plein air pen- dant la belle saison. . 50. ses ph Syno e. Opuntia Lanceo w. > P: 192. id. Pfr. enum. dé. + 452 _— Pie Handb, dm. ds, ne #78. Cactus Lanceolatus in Mise. nat., p. 488.

Pa'rie. Lu. méridionale. Dicgnostie. Tige subdressée; articles lancéolés, glabres, verts ; es espacées, inermes ou jaunes, sélacés, sans aiguillons; feuille très- pan ougeätre. Articles charnus, de 13-16 cent. de qu sur 4 de large ; les plus jeunes portent des feu illes nombreuses ; feuilles beaucoup plus grandes que

Floraison, En Juillet, F rs d'un jaune Juisant, se développant pendant tout l'été, de 10 cent. gs diamètre, semblables à celles de lO- puntia Vulgaris ; étamines | jaunes ; pétales” le couble plus nt style de la longueur des étamines, blanc’, à 5 divisions épaisses , jaune soufre.

: Culture, Serre her ou orangerie pendant Five, Re air pen- * dant toute la belle sai Cette espère est moin je répandue qu'on : ne le suppose , Aou gl on ri eg “eh catalogues, e ve tia Lanceolata dans Plusieurs collections. C'est tr <aeinien une a variétés pr qui est cultivée sous cette dénomination.

S1. Opuntia Intermedia {Salm ). Synonymie, pu. ser go Sale. hort. Dyck 450 d. For

364. ;d. Pfr, enum. _. D st. Handb. dr. Cact., : x. 47B. Opuntia Valgz S Y- Minor Sam Chore - bot., 4823, p. 9

. e- Amérique septentrionale, dans la Dalmatie et l’ Europe méri- ionale Diagnostic, ne suhdressés, m5 an en , Cblongs, ©

. vert foncé luisant ; aréoles _.— igéres, fauves; foliole Rss

Are courte, jaune d'oc + Art hs t. de e Leg sur Re pie Sos très-espa- = tomentin sétacé et de sêtules ja

jaune soufre, un peu plus grandes que celles de

: pêtales plus et plus aigns, 4 Nes. qui se rencontré anjour—

; tes le nice toutes les sa ss les aréoles | son convexes, pul- vinées sur les articles à âgés, peuvent i serait dé:

gperé aucun [exemplaire en France. app

Encore a (Le seul Sujet qui soit connu en France à e de Salm Dyck, quir

478 CACTEÆ ROTATÆ.

peine aréolé ; sépale petite, brune; pétales bisériés ;* rosacés, jaune citron , les éxiérieurs mucronés, subpurpurescents en évhurs, les inté— i i étamines réunies

cordiform m soufre; st style épais, mème longueur que les étamines , Jaune sions blanches; baie comestible mürissant année suivante, d'est de Culture rie ou re abrité pendant l'hiver contre l'humidité et les gelées de la mauvaise saison, plein air pendant la belle

Cette s'est presque acclimatée dans le midi de l'Europe, elle croît à P = sauvage ; elle entre même dans 2 re de damien +. de la Suisse, cantons de Vaud et du Tessin. Elle t égaleme nt

sauvage dans quelques vallées bien exposées du “Tyrol ner ps hivers gra rigoureux le thermomètre descend jusqu’à 8 ou cen— tigrades au-dessous de zéro ; elle parait limitée au 47° de latitude nord,

5%. Opuntia Foliosa | Salm ).

Synonymtie. Opuntia Foliosa Salm. DC. prodr. x, p. 474, id. Pfr. ae diagn., p. 448.— :d. Forst. Handb. dr. Cact., p. 473.— id, Abbild.,

. 195 envum., suppl, 32. Cactus Püsillas Haw. in Misc. nat., p. 189. Opun ntie Hystrix host. Patrie. Amérique méridionale. ige rameuse; articles sublancéolés, comprimés, vert gai; les jeunes portent des folioles, les vieux des aigui 4-2 ai lons all aliongés, forts, staminés, blancs ; aréole 1

Artie ss longs de 8-16 cent. sur 13-18 millim. de dia tre: aïguillons isolés, longs de 48-22 millim. , le second, quand il existe, placé en des- sous, de 9 - 11 millim. ; foliole de 6 mi illim

Floraison? Fleur jaune, abondante , se développant en Mai et Juin aux extrémités des jeunes rameaux , semblable à celle de l’Opuntia Vulgaris; ovaire allongé, pyriforme, portant çà et quelques petites réoles garn es de sétules très aciculaires ; sépales égales, les 5 exté- rieures ni

Tr. Sr are Er: et recourbees sur les eôtes. Culture. Serre 1empérée orangerie Éeniat “Phire, plein air pendunt la baie saison.

rt: à articles dirariqés.… ée ; Se comes à charnus , > À ‘4 1s inégaux.

* ARTICLES COMPRIMÉS, ie

55. Opuntia Curassavica (Mill.).

Synonymie. Opuntia ae 00 Or ed. 8, 7.— id. Haw.

496. id. Pfr. enum. diagn., p. ns. © + pare 6, fig. 4.

id. Forst, Handb. dr. Ge. P- 471, __ Cactus Curassavicus Lin. Wild. Opuntia Minima Americana Spin FE ms Bradl, seit pe 5, t.4.

Patrie. Îles rte et Saint-Thomas, Diagnostic.

Juillet 18%. sa se dévelop De _ de l'anthèse, pee «mers

ge ROTATÆ.

gear dote SUR Du uu de À posts ne le style qui porte 7 divisions vertes, e Se temp pedale, ln a pda la belle

e avec notre die consiste dns des articles plus longs, nes, pl ins. les aiguillons plus courts et les folioies r qui tiennent, je crois, au mode de culture,

L pes la grosseur du pe a partie supérieure, florifères à la blanc, en og en

dans les . a partie inférieure de l'aréole, e. 3-4 milli. au plus, d’abord roses, ensuite

dérolorés

les do nt La | CE à resnx é 08 comme les premiers , ge sa par donner sntoment des fleurs. Culture, Serre tempérée pendant l'hiver, Fe air. pendant saison.

58. Opuntia Pubescens (Wind. ). Synonymie. Opuntia Pubescens Windl. Cat. hort. Herrn., 4835, A can. diagn., p- 449.— id. Forst. Handb, dr. Guet, P- 474,

ES

CACTEÆ ROTATE.

A AIGUILLONS DE DEUX ESPÈCES, _—— PLATS, SOUVENT GLUMACÉS, | $

“1. Articles couches. nee >

60. Opuntia Andicola (hort. Angl.).

Synonymie. “Oponts. Andicola hort. Angl. id, Pfr. enum. diagn., pe 145.— id. Forst. Handb. dr. Cact., p. 467. Opuntia Hoizontalis Gill,

Tige couchée, très-rameuse ; articles cucumériformes au : ns a rt lisant, plus ee: 3-4 à

ons grèles Jongs, ee. rh TR ile petite, brune : #48 millin. de diamètre ; aiguillons, ceux du bas de 4- seen.

Vs. Opuaia Glomerata F Minor Salm. ZE opte or Culture. Serre e pendant l'hiver, plein air pendant nee

Se

Opuntia Clavata Engelm. Mem., p. 95. id. Salm. Colt, peau ie ra

Pan cd 5 = => CRE nie £ se se

% fe LR 3 : ut tu = ÿ 1 ?

Es Fe «ef ge LV | 246 ee 2 3 277

PT #2 TA #2. ah Fe

Éynonymies as Platyacantha Pfr, A. G. Z ., 187, ae R n hort, Pre cult., p.244 id. Forst. Lis ct +

pre nostic. T Tige basse rameuse ; rameaux L& irriqués, cylindriques, > : tub. ë

pe bruns ed ; aréoles grandes!, immergées, munies de tome Eu A x et d'aiguillons de formes différentes, ceux du bas au

nombre de 3-4 PRE, blancs , adprimés , 2-3 supérieurs arundin

se Lie 484 Le

ua brun violet ; aiguil flexibles, blanc terne, tachetés de brun à à pointes noirâires, en tout

, mais ‘d’une végétation très-ente ; ; articles s longs de =

6 ges que « RES des articles suivants par une couronne de sétules aci=

à celles des aréoles ; sétules de 1-2 millim. de long; 0 millim.. de long et plus, et de 2 millim, de large

| Synonymie. Opantia Turpini Lem,— Cereus Articulatus Pfr, enum. ‘disgn., p.408 dE. Forst Handb. dr. Ca Cact., p. #71. Opuntia Articnlata hort, Berol. pénère marine De ol om mob D à à

_ qeles elles atteignent ie hu ils de 7 en his _ de large à la base.

- Ÿ* GLOMERATÆ, À ARTICLES AGGLOMÉRES. 1. Articles suberiges.

66. Opustia Pentlandii { Salm). , BH, p.397, Cut in

Syronymie. Opuntia Pentlandii Salm. A. G hori, ir Er p- 245. id. Forst, Handb. ra Cact., p. 506. die sr sur ss hautes montagnes ige articulée, rameuse, vert gai i; articles allons espaces

gés, svp aux extrémités, és, plans; tubercules portant une fo'iole 5 enen sr hear et une ARE . petite, tomenteuse en “desus, aculéifère en a 4-6 nr a.

6-9 millim. , ils sont défléchis, di ts et 1 insertion vers la partie supérieure de l aréole qui est remplie de tomentum gris. rase à Fleurs? eo tempérée es la mauvaise saison, plein ai air en ë ne es pendant l'été, 67. Opuntia en - _ Synonymie. Opuniia Boliviana Sal

% LE. . ï : 14 ses dressés, divergents, très-longs, étendus, linéaires, flexi= bles, comme de la corne, transparente, rte , etäpointe

ë, fauves. Plante adulte de 30-35 cent. de h

486 CACTEÆ ROTATEÆ. btubé soles inséré I ts des tul , distancées, tomenteuses ; aignillons Lara 8-10 courts, sétacés, roux, dépassant à peine le tomentum, e 6 inégaux, vigoureux, rie droits, ser— ral noirâtres ou cinérés; articles globuleux, de 5 t. de long sur e diamètre, se développant du sommet ge des ++ du tronc ; ai- per de 9-43 millim., les plus longs, de 5-7 cent. de long Cette espèce, nn ans avait été réunie par Ph. au Cerei Le me pue é que sa fleur n'ait pas été observée en Europe ; son port us ses aréoles en font bien certainement une Opuntia. nv at d'une croissance trés-lente d’après Sue: ses sétules, obser- oupe, semblent elles-mêmes pubescentes, comme recouvertes d'une mire de poils ils.

x individus adultes

d'après ca Prince de Salm, et beau ueoup moins aux je Culture, Serre tempérée et mème serre sr pendant Pme plein air sous eblide en bonne exposition pendant la belle saison

9. Opuntia Ovata (Pfr.).

Synonymie. _. Ovata Pfr. enum, diagn., p. 144, id, Forst, Handb. dr. Cact., Patrie, . Diagnos tie verts , glabres, ovés; aréoles rapprochées, grandes, ne. munies sp laine fauve, très-épaisse; 7-8 aiguillons | Inégaux, pu droits, les jeunes fauves, plus tard blancs; foliole longue, ver

rmes A de long sur 48-22 millim, de dia- mètre; aréoles espacées de 9 millim. ; aiguillous longs de 4-6 nn + bee re or 2 millim., vertes, subconiques, difiérant en

»

pe car Fleurs ? Culture. Serre tempérée et même la serre chaude _. l'hiver, plein air en bonne exposition pendant la belle saison

2. Articles couches,

70. Opuntia Corrugata (hort. Angl.). Synonymie. Opuntia Corrugata hort. Angl. id. Pfr. enum, diagn. , pe id, Forst. Handb. à. pre ;p. 468. Opuntia Eburnea Le.

Disçnau Articles dressés, cylindriques, atténués aux un

-gai; aréoles serrées, tenses, pâles: aiguillons biformes,

rad ut sélacés, très-petits, fauves , et 6-8 en bas, au

gés, atieulaires, blanes ; faliole petite, a

_ Articles longs de 5 cent, sur 9-13 mi __—— Fan À sa s, armés de « tombant facilement

Lol

Culture. Serre tempérée et même la serre chaude pond l'hiver, plein air en exposition pendant la belle saiso

ia Longispina Haw. Philos. reg ge à 409. ; nn Faq PSE pre ni

Sara Br ait Area ir rod, es sgranre fauve,

rs Serre LM et même la serre chaude p re

rie. Opuntia Pusilla Salm : - Lei Forst. rer Ca

tie un couchée, divariquée, so re ylia ques, cucuméri: ; les fiséeanx d’aiguillons rapprochés , les uns . ss, blanes; les autres LR droits ; foliole ns courte ;

Synonymie. Opuntia Tuberosa hort. | id. Pfr, enum. diagns Me de. Cast, p- 466, Opuntia Alpina G

; blanches , insérées sur le sommet t ë sacs, blsnes : foliole petite, brune. s de 58 cent. sur < millim. de diametre, 2 Fleurs?

er bruns , tubéreux, im— uber=

roug- âtres ses, très-Lénus , do à très-petite, rouge, su bulee Floraison? Fleur ARIÉTÉS. Opuntia Clavarivide Ê— Monstruosa Mouv. De Uicfitue illaire Culture, Serre tempérée pendant ras plein air en bouue exposi- tion peudant la belle saison.

_ * TUBERCULATÆ, TUBERCULÉS. Rs séinles

FÉES 1. Pberoutes aplénie… 76. Opuntia Vesita (Sal)

_ _ saut par valitérers aréoles munies de me es dans la e_S _ supérieure, de tie pénis dans la partie moyenne et d'aiguillons nomb et dans la partie eo ersislà

490 CACTEÆ ROTATÆS

uque, et d’aiguillons sétiformes, courts, + rai en outre, de es soyeuse, FRET raide, pendante en longs flocons Floraison? F

Culture. Lo aie pendant l'hiver, plein air pendant l'été.

ron de Wi pporte qu’en voyageant au Pérou, se trou van de Aüllo, sur la route du Cerro-del-Pasco, il a rencontré deux variétés de cette plante qui couvrait d dues de terrain ; il

rait de grandes ête prétend avoir observé que leur végétation s'arrête entre 4,000 et 5,0 mètres au-dessus du niveau de la mer, et os végéter le plus sinreusemeut la neige et couvre constam dans un autre e, l'avoir renco Fes sur pa rdillier Dans le cas ces faits seraient E soi notre plante devrait, certes —. nos hivers

7 rm (Pfr.).

Syrnon Opuantia Pulverulenta Pfr. À. G, Z., SE p- 467, ess Miqueti Hour id. Forst. Handb. dr, Cact., -

Patrie ?

Diagnosis Tige dressée, épaisse, cylindrique, cæerulescente, pâle, cinérée , Le pulréraleate; tubereules _oblongs, hombiques à à la base: a , gra érées su tubercules, munies de Pr fascieulées, enr et de 3 8e siguilns pres cinérés et latéraux, dont À très-lon ng, subcentra ert, horizontal, et l’autre plus court ; foliole À Rs Fe Arret nt décidue,

iculée, er e 50 t

* Tige art t. de baut, quelquefois subram de 5 cent. de diamèt pe ne tés en naissant d’aiguillons petits, nombreux, sétacés, junk, ensuite cinérés ; aréoles âgées, munies d'ai- guillons biformes, les extéri sétacés, les intérieurs vigoureux;

rigides , divergents, _. de # cent, de long: rai

Quelquefois les Open tias portent un parasite, dont les fleurs ee beau rouge cramoisi ressemblent assez, quant à la forme, à celle Chèvrefeuille. Le parasite se À aa ins le tomentum de Varéole, et sa présence n'est accusée que

Culture, Serre tempérée ph l'hiver, plein air pendant la belle saison,

79. Opuntia Oylindrica ( Juss.).

Syronymie. Opurtia D mr Juss. Bot. magaz., t. 33041,— id, Forst. Handb. de Cast, p - 503.— id. Pfr. ex _. LT 469. _ Prodr ps 47}. Cactus Cylindricus Lai. dict

“= Ceress slindricus

W + Otto's Gz., 4834, nv. Le

toit, Han touroés eu dehors, 1-2 cllsupé ste tps,

rt es de sétules épaisses, d'un beau rouge pourpre; pétales plus courts, érigés, rouge - carmin terue; étamines nombreuses, recourbées sur le style, qui est nb rat rs mm re vertes ; les anthères

| Soutléus: a ériile, drakes, 1 des CREER ,

: Opantia Re 8. Tenuior Sum, Opens En stior DC. Rev. p. 118. Pir. enum. p. 172,

“49? CACTEÆ ROTATEÆ.

Lace, tuberculés; arévles immergées, iusérées au sommet des tuber- cule:, et, blanches, laineuses, spinifêres à la jartie inférieure; 7. ons sh gaine ‘blanche molie, 4-6 grands, 2-3 tuut à fait

n bas, oliole ecurte verte. . de 50 cent. de haut sur £ cent. de diamètre, devenant re sque illim dia

pres avec le temps; articles de 18-2% m de diamètre ; aiguillons sur les plantes siginaires longs de 50 millim. ., ceux du bes peine ref de : Fa millim

Floraison ? Fleu Cette plante nee avec l'Opuntia Exuviata A. DC.; ; lOpuntia Ferox Windil, eit ns grêle et plus rameux ; il est muni d'aiguillons moins nombreux, mais il ne peut être igge de cette espèce à cause de sa foliole qui est Dmtique avec la

Vanrérés. nn, Tunicata _. Levior Salm, Opuntia Furiosa

1, Opuntia Tige plus grèle, plus rameuse ; aiguillons moins nombreux. Culture, Serre tempérée pendant l'hiver, ne air pendant la belle

82, Opuntia Stupeliæ {DC.). ; Synony miia Stupeliæ DC. Rev., p. 4147.— id. Pfr, enum, diagns

p- 174. id, ren. Handb, dr. Cact., p SO. 72 Patrie. Mex

_——

| Tige ra , irrégulière er RS en

; foncé : + articles ovés, Re: arénles ire F3 : aux aisselles des es ; 5-6 ; *

Culture. Serre tempérée pendant l'hiver, plein air pendant la belle : saison 83. Opuntia Arborescens | Engeu) xt “am Opuntia Art g Oo t'a EF jata Stellata Lem.— Opuntia Stellata Salm, se

aérie. Mexique, sur les bords du Rio del Nerte, à Santa=Fé, jus=

qu'à à h Diagnostic. Tige ligneuse, dressée, rameaux horizontaux ; cylindri- que, tuberculée, à mée de nombreux us aréoles oblongues ÿ

res Arès court. 12-30 aiguilions couieur de corne, slaminés » : Ploraisou. Fleurs terminales, pourpres. plante est

avee dr ter Stellata Salim. = ; pendant l'hive r, plein air en

DRE rameaux dressés ou divergents , à peine

86. Opuntis Kleinis

(DC.). Synonymie. Opuntia Kleiniæ DC., + AIS. id. Pie. enum. diagn., prier Part-Hanth. dr. Cut, , De 506.

RS

494 CACTEÆ ROTATÆ.

sétules courtes, brunes, fasciculées, dans les parties inférieures d'u ne rigide, horizontal corné , long, à pointe blanche, pr gaine jauue ; foliole plus courte que des espèce précédente : ; aiguillon a À de 30 me

er tige est grêle, d’un vert très-gai; les rameaux sont érigés , réunis

rses, mais ils sont subouverts dans la variété; l’aiguillon central du jamais nn de sa gaîne dans les aréoles les plus âgées. 2

nb pliée tiiitiutisttsliiiulens

Vantérés. Se ms rs 8, Suhpatens Salm. | Culture. ue perte pendant l'hiver, plein air pendant la belle saison. 87. Opuntia Frutescens { Engelm.).

Syno RS + pa Fruatescens Engelm. id. Salm. Cact. in hort. sue calt.,

Doom. _ So cm er ao nes les À eu jeunes rameau culés x des nt plus courts, cassants, chiens à ges tuberculés ou ge te es folioles sont “su ; algues,

et dans la partie inférieure den aiguillon long de 9-13 millim,, porrigé, isolé, ; recouvert d’ un fourreau étroit. Les fleurs sont latérales et se dés Rene sur les rameaux de l'année | roms l'ovaire est ps à base subpentagone stipitée ; rotacé

nte allongée $ + de vert ; 40-50 étamines inégales ; 5 ge à lobes érigés. Baie charnue, rouge, portant de graines qui avortent très-sou- vent, et alors la baie qui est persistante ete elle-même de nouvelles nches.

.Culture. Serre tempérée pendant l'hiver, plein air pendant la belle saison.

88. Opuntia pos: ( Le. ds Synonymie. Opuatia bort, Dyck., = 360. id. Pfrs enuu. rs p- 173. ra Ent hub. dr. Cact., p.

Diagnostic, Tige Pre eue: rameaux gi. sn à la base, bereulés ; aiéoles Des , serrées ; aiguillous , bruns, érieurs Spam à À central plus fort engainé; ; foie aiguë

3. Her d-Hodios Hills soc ti su lai ne he sea métis, ne ARR A .

Tige arborescente, rameuse, subligneux, portant les articles ; ss comprimés , minces culés, espacts; a aréoles tomenteuses; Laipailons vigoureux

P. ni Diagnoste. Tige devenant és arborescente ; Sr aréoles espacées , subtomenteuses;

branacés, vert luisant ; ceux du bas mr : L'Opuntia Braziliensis est ne ds hs cs pce: est éme à

496 CACTEÆ ROTATÆ.

petites folioles très-courtes et épaisses. Les sépales sont assez épaisses, charnues, courtes, jaune verdâtre; les pétales sont a. assez char

nus, à peu près au nombre de 45; les externes sont d’un jaune _. ,

ules brt

in acidulée et agréable; elle renferme de 1-4 graines très- grosses, de 6 millim. de diamètre , rondes, enveloppées d’une masse fibreuse.

Vaniétés. Opuntia Braziliensis 5. Spinosior hort, angl., variété por- tant ban plus és aiguilion s.

Opuntia Brazilien AE . r hort. Berol.— , Schomburgii Salm, qni est, pres i

Culture. Serre lapérée pendnt l'hiver, plein air en bonne exposi- tion pendant la belle saiso

Plante trop nouvelle et dont les sont trop jeunes pour w’il ait ete possible de les classer. 30. Opuntia Celsiana {hort. Paris). Synonymie. Opuntia Celsiana hort. Paris. Patrie ? Diagnostic, Tige dressée, vert foncé, “ie _—— re : allongés ; ar aréoles petites, munies de tomentum rude gris, t de trois rois aignillons aciculaires, fanve roux; quelquefois Frs es ga courts; tous fasciculés, dressés, tres-peu divergents, Floraison? Fleurs? Culture. Serre tempérée pendant l'hiver.

391. Opuntia Protracta ( Lem.). “nee Opuntia Protracta Lem, Cact. gen. nova, p. 70.

éret de diffère assez de l'Opnntia Vulgaris, surtout par ses ai- guillons + is ers le de à l’inverse des autres ; elle est Ress par des articles suborbiculés et non per d'un vert brillan ; parmi ses aiguillons, il en existe un ou deux blanes, longs d'environ "30 millim. et avortant souvent; les aiguillons Pinicilés sont beaucoup plus nom— que dans lespére citée, Lg vigonreux , d’un rouge brillant ;

ue fleur est d'un jaune vert , nette nde.

ue donne pas de description cette plante , elle est À spas dans

tiassification, dans NE ro

Vulgaris.

“u

; | | : è à L F

PP ndiques sur Les Catalogues, dont il n'existe pas tion , et qui sont inconnus en France. Opuntia Darwin (hort, Ang]. } Opuntia Demoriana ri Monac.).. Opuntia Deppei (Wild Flavispina raie et Er . siguillons jaune doré. Peut-être est-il synonyme de se Opuntia Flexibilis CRE Morse) tie

couvert sea (hot, Hero. Ou Fou Fariosa Mons, < (voir Cereus Farinosus.)

re Opuntia a été ok pr Toulon ie ji corolle polypé ù

. rage it Gn s

Le suivant, qui se diférencie aussi par un inbe nul, des pé= tales ob

is Le min, ar une baie abs”

498 CACTEÆ ROTATÆ.,

Son port, les folioles cylindriques des jeunes aréoles,

même avec lun des deux genres avec lesquels il forme noire second embranchement; car, dans l’un, les folioles sont à l'état de squammes, dans l’autre elles sont com- plétement développées, et ni l’un ni l’antre de ces deux genres ne montre dans ses espèces ces aiguillons de na- tures différentes, dont une est particulière, on pourrait presque dire, dans l’état de nos observations, caractéris- tique du genre Opuntia.

Si, observé dans certains rapports, nous trouvons que notre genre se différencie facilement des autres genres, sous d’autres rapports nons voyons des caractères qui, Sans pouvoir jamais les confondre avec les autres, per- mettent d’observer entre eux de grands rapports d’ana- _ logie. ;

Dans les Opuntias, comme dans le plus grand nombre à } £es, Pinfi taréolaire. O

Cactées é Mipeut

se demander si elle est axillaire, ou bien si elle est api- Cillaire. À t 1 des d HF V4 tiens le genre Opuntia ? Ici les folioles qui à

lobes des verticiiles floraux, leur soudure ou leur état de liberté, on trouverait peut-être encore quelques rapports éloignés d’analogie. ,

Sous le rapport du développement annuel des aignil- lons dans craque aréole, on trouve de grandes analogies avec le développement des aiguillons des Echinopsis et

_ Le prince de Salm, se fondant sur Pobservation des

bases plantes k-souvans genre Nopales, voisin

genre Opuntia

Pour nous qui conservons le genre des Opuntias , celte

distinction, établie sur ladhérence ou Pétat de liberté des lobes du périanthe, la longueur des organes de la ianthe, devient un carac-

ais et O re srrR Do en se fondant sur le Pas des

u dressés ou su

SRG avons formé 1

5 à genre, PEIRESCIE Æ.

Fleurs iréssouvent terminales, solitaires ou : pédonculées, rotacées

Pereskia Plum. m3 de w. DC. Prodr, cie É

du périgone ne dépassant pas l'ovaire l'ovaire

ides, foliiformes, les pétaloïdes es dilatées, étendues en rose; élamines nombreuses ; libres, plus courtes que le

rie us ares stigmate multiradié ; rayons fasci- |

posés en spirales ; baie dès le principe

502 CACTEÆ ROTATÆs

* À FEUILLES CHARNUES. À. Peirescia Pæppigi (Salm). Syro deg Peirescia Pœæppigii Salm. Opuntia Pœppign Pfr. enums diagn., p- 174.

Patrie. Chili.

Diagnostic. Tige basse, dressée, mince, cylindrique, irrégulière, ligueuse à la base; rameaux ronds, verts, divergents; aréoles subresser= ar cs rar D omenteuses, aiguillons blancs, rigides, le plus souvent

x latéraux, courts, et celui du mea dressé, plus long. Feuille peur vibre allongée, sy persistant

Tige haute de 16-25 cent. 9 millim à diamètre ; aiguillons, le plus long de 20-35 millim. , S Re 4-9 Se. de long; 1 folioles

n

ares À Fleu rt oles . ar ge des Opuntias, mais leur persis- Sa - un caractère tran ui en fait un Peirescia ; d’ailleurs son

Culture, Serre chaude pendant toute l’année, cependant ou le con- serve depuis nombre d'années, bien qu’on le mette dehors pendant la belle saison seulement.

2, Peirescia Subulata Dore }

Synonymie. Peïrescia Subulata Muhlenpf. A. G. Z., 4845, p. 347. _… id Salm. Cact. in : hrt. mg": “pe ane nus Eorst, Handb. dr, Cact., p-53. | Patrie. | Valparaiso.

Diagnostic. Tige dressée, nr TRE subligneuse ; écorce aréoles pilen ses; 2-4 aiguil-

partie inférieure; a

igi longs de 2-3 cent.). Feuilles persistantes, vert lui sant, en palte d’oie, semi-cylindriques, atténuées, pulviligère à san in- sertion

La tige a 60 cent. de rage et # cent, de diamètre ; elle est rameuse à son somme! ; les aréales ee ki de tomestum blanc, portant de 3-4 aiguillons droits, ru ES de long; ils sont jaune “pie Les A ie 8-9 cent. de pus elles sont persistanies pendant plu-

sieurs

de:

ones Fleurs? Culture. Comme le précédent. 3, Peirestia Spatalata (hort. Berol.).

PA cn Peirescia ue ee Bexol, ie Pfr. enum. disgne, Er eee ulis Z

a

muuies de 1-3 siguillons blancs , insérés à sa | # sétules brunes, fasciculées dans sa parlie

br? Fleurs? Ds if btcure fleuri en Europe Karwinskiü, .

qui l’a observé au ss dit qu’elle est rouge. 6 Sr

Variétés, Peirescia ata hort. Berol.—id, Salm. Diffère du par ses nes ps plus étroites, lancéolées (longues de 15cént.

ne 43 millim.

See

à Forster dt que tout pates sont identiques soit avec pa sur soit ave le Peresca Acu uleata f, is tempérée pendan ne an,

504 CACTEÆ ROTATE.

blancs ou jaunes, avec une __ verte; _ cage ovales et bisériés. diam

Baie globuleuse , jaunâtre, de 3 cent. de

VaRrÉTÉS. _— Aculeata . Rerre 2. Le

ne Indes occidentales.

Aréoles plus ns: feuilles ovées, acuminées, rouge violet en —. gts sont ovales, acuminées , longues de 5 cent, sur 35 millim. de diamètre.

Peirescia Aculeata +. Rotundifolia Pfr, 1. c. Syn. Peirescia

__—…—— hort, Patrie. Amérique méridionale, Aréoles sublaineuses ; feuilles arrondies, acuminées , d’abord rouges en dessous, plus tard vertes. 8 cent, sur 7 de d mètre

Peirescia Aculeata à. Lanceolata Pfr, 1 e. pr Peirescia Brazi- liensis hort. Handb.

Patrie, Indes occidentales. Le nom indique qu'il est du Brésil.

Aréoles peu laineuses ; feuilles la ncéolées, acuminées, rouges en des- sous, longues de 40 cent. sur 4 de diamètre,

Culture

6. Peirescia Bleo { DC.).

_Synonymie. Peirescia Bleo DC. Prodr. ut, p. 475. id. Pfr. enum. diagn., PAIE. id. Abbild., t, 30. Bot. ai t. 4473. Cactus Bleo Hb.et Kanth. nov. gen. Am. 6, p. 69. Botan. regist., t. 1473. Botan.

magaz.. bag sGz., 4836, no 20, s.458.— Reichenb. fl. exot., 328.

mens RE sur les bords du fleuve de la Madeieine au . = Athorscent, rameux; rameaux cylindriques, verts; es, , fauves, tomen euses: 7-8 aiguillons i inégaux, ! noirs, rigides, subfaseiculés; feuilies vertes : Punctuées en dessus, obovées, acuminées C’est sans contredit la plus belle espé Collections ; sa tige, en ; s'élève à près de 2 mètres de hauteur sur 4 cent. de diamètre; aiguillons longs de 24-32 millim. ; feuilles de 49 cent. de long sur 4 de diametre ; elles sont presque pédon

a

lées, es: Floraison. Terminée en Mai et Juin. Fleurs pédonculées ; sépales

courtes re pétales tronqués, étalés; earnés, rouge et blanchätre pers mines rouges, blauches à leur base ; divi- ae du signa, de 5- or date ou au moins la serre

eurit On se oremss : quelquefus dans n03 e 30-35 cent. de hauteur qui sont couverts de fleurs. traduite ma Alexandre de ambodt, qui l'a TS royage à la le-Espagne ; =. qe + + + F tre alle F ë SL + FR Re à

RUE D DER PE" TE #1

eiresc: Grandifolia se # : Synonymie. Veirescia Grandifolia Haw. suppl, p —- id. Pfr. Pfr. diagn., p. AT. . Grandiflorus Link. enum. a, r-: ina f- exo exot., 329, a Grandiflora hort. © Patris. es mer . 1 Arborescent , très-élevé ; arévles serrées, fauves uves, tomen= teuses ; 8-10 : aiguillons bruns, i inégaux ; feuilles vertes, aps en dessus,

lancéolées. . Latige Atos branches sont semblables à celles du Peirescia ur À En: j'a foncés ;

y et ses ere y np. cent. de !

ont à ‘hmue res de ae se un les aréoles des

rs

506 CACTEÆ ROTTAÆ.

foliacées, amer aux feuilles, mais plus petites et dépourvues d’ai- guillons à ss elle.

est rise. en forme de rose à 15 on 20 pétales cunéi— ass à et fortement dentés frangés à leur _. ; leur couleur est d’un jaune abricot tirant sur la couleur de fe ap- prochant de celle du tes pour à la mu la fleur Fo PE plante ressemble assez bien; les nes sont très-courtes, à authères jaunes. Le stigmale est en ps au ss des anthères.

10. Peirescia Opuntiæflora (DC.). Synonymie. Peirescia Opuntiæflora DC. Revue des Cactées, p. 76, mia

Patrie. Mexique. ie a sont obovées, mucronées, planes, un peu rétrécies en bas, tiolées, longues s de 18-95 millim. , quelquefois gemminées ; de l'a aisselles 4 la plu part sort un éuitiot grêle, roïde , solitaire, étalée, et deux fois plus long que les feu ill mr _ gps ales comme Le elles essemblen des Opuntias en e leur ovaire, au lieu de She des éè Fe tas ne be de Fa petits tabereutéé ou fis- eaux de poils avortés ; les sépales sont sur deux rangs, au sommet de ‘uvaire, avales, obtus et verdâtres ; les pétales s sont d’un jaune rouge ; sale et in certain, ils sont ov vales, ouvert, entiers ; la fleur n’a guère que . de diamètre; les élamines sont nombreuses, très-courtes, à sept serrées autour du nibants re est eu { tête. D Es (DC.).- 7 Peirescia undifolia DC. Rev. des Cactées, mr, pl. 20 dans la Flore vs de Mexique sos Le nom de Cac Fr Lescens ).

. dr mem e. Tige ey he ligneuse, rameuse; rameaux étalés ; feuilles une planes, sessiles, caduques, orbicuiaires, mucronées; leurs aisselles so sa sr en solitaires et plus longs qu’elles.

Les fleurs naissent rameaux courts et latéraux; leur ovaire est chargé de sépa à bals semble bles aux feuilles; les pétales sont au nombre de 8-10, arrondis, ouverts, légerement mucronés , d'un jaune vif tirant et la 52 x rouge fe U ; a étamines sont courtes, mais 4 ‘sérrées « que daus F 5 précédente. Le style est épais, rougeätre,

Miné par des stig s en tête, Le fruit est une baie obovée, tronquée et ombiliquée te sommet, de couleur rouge, dépourvue d’écailles, mais chargée de petits tubereules

desquels uaïsseut des faisceaux de soie peu apparents. 12. Peirescia Horrida ( DC.)

j mie. Peirescia Pas a Ses à Le rar Guetss

s, portant 2-3 aiguillons ; feuilles alternes, trémités, |

i

peuvent être prises pour une bête

d'entendre demander si elles se repr CE si elles fleurissent; quelques personnes, mieux instr: s, même qu ‘elles da gr tous les cent ans.

prétendent : ne | plantes aient p à réseaux

510 CULTURE DES CACTÉES.

d’avoir pu produire les merveilles de floraison qui accom- pagnent toujours une riche végétation. Ce préjugé de culture, adopté pour les Cactées, ee À fait contraire aux différents procédés dont les de _ Culteurs les moins expérimentés ne s’écartaient rer pour les autres végétaux, tient à ce que ces plantes nous arrivent la plupart du temps sans être accompagnées d'indications suffisantes sur leurs habitus. Ces plantes

une température très-élevée, des conditions de culture semblables à celles qu exigent les plantes qui habitent la zone torride. On semble ignorer que, même dans les régions tropicales, la température varie à mesure qu’on

gravit Les flancs des haules chaines de montagnes qui les coupent, et que là, sur une petite étendue de terrain, la nature offre successivement les variétés des produits ap- partenant aux climats extrêmes, depuis ceux qui consti- ( la riche végétation des régions tropicales, jusqu'aux aux rabougrie qui couronnent les cimes des plus

D après le | de "Sa ski, au Mexique, dans les régions tempérées dont le climat est presque constam- ment le même que celui de notre pays pendant l'été ou plutôt la seconde moitié du printemps, on trouve les Cereus Erectus, Haw.; Dyckii, Mart.; Columna Trajani,

TW.; Glaucus, Karw.;les Mammillaria Crucigere, Mart.; Columnaris, Pfr.:; Po ohyihee, Mart.; Quadrispina , Mart.;

€<ariniana , Mart. ; | Hirbitre , Mart. ; Sphacelats, Mart. ;

_ Stellata, Mart.; Superterta, Mart.; Macrothete, Mart.; emmené, Link. et es Brevima amme, _— Exsudans, we Zuec.; s +: Zucc; Ingens. KarwW.; a ne Mars free Fa

r

Un.

Spiralis, Karw.: ; Robustus, Karw. les régions froides du Mexique, le cree Tete ‘constamment au-dessous de 18° centigrades, Mam. Mystar, Mart.; Glo- chidiata, Mart.; Elegans, DC.; Acanthoplegma, DC. Rutila, : Zucc.; Cereus Hlagriformis, Zucc.; Martianu “RE

matus, Zucc.; Echinocactus Macrodiseus, Mart. Au con- traire, d'après d’autres voyageurs , quelques plantes et Bi tous les Néons, hs rencontrent les plaines ei les vallées 1 sses a température est très-

sir + avec lhabitus des Cactées dans ie. pair _ que, loin de les tenir dans un état de sécheresse ci de dot au contraire les exposer à l'air libre, à lin

_ des rayons du soleil, les mouiller abondamment penda _ Fété, afin de rem placer l'humidité qui, dans leur pays, vient pendant la nuit les mouiller sous forme de rosée. e de cu lture Le nous Re

à ap jap pe & Cactées

est canne provicnnent

| Bi AE Er ou Che:

appartiennent en même temps à des localités 2 appart eur en même temps aux Antilles à la Nouv eHe-Grenade, 5 aux Antilles et à la Guyane, et ra la Bolivie; d’autres nous sont. tions de pa

Les Cerei spnésiennent mil p ur | du Mexique: as. Le esque en a dené.… 9 53; Le Pérou. |

ie tüilles, .... se pe < ; ke CRC PER ne. - RER 7 Nouselle- Grade

Guyane de . 8

Le Die sout Er L la manière suivante: À 8 cri _.. sans M

_ Ce Parmi lesquels 1 se trouve en m. même temps et à Montevideo, 2 aux Antilles et au Brésil.

| VAmérique et plus particuli Au Mexique, qui cas “| F Antilles. , :

soso ss 8

: Rio de Fi sr ii A

. Si on récapitule de quelle manière les sais de la famille des Cactées ere ns ds .—

514 CULTURE DES CACTÉES.

Bolivie et le Chili n’ont pas donné de Mamillaires, ou quelques-uns seulement, qui se trouvent au Brésil dans la région des Orchidées, que les Opuntias se trouvent répartis depuis les plaines des bords de la mer jusqu'aux sommités vers les régions froides, enfin que presque tous les parasites aux fo- rêts Élu Brésilet des Antilles, tandis que quelques cierges rampants qui se rencomrent dans leur compagnie, se trouvent aussi au Brésil et dans d’autres localités.

I. Du climat du Mexique !.

En embrassant d’un seul conp d'œil toute la surface du Mexique, on yoit que les deux tiers sont situés sous la zone tem et que l’autre tiers se trouve sous la zone torride. Par un concours de circonstances locales , plus des trois cinquièmes de la portion comprise sous Ja zone t torride se trouvent jouir d’un elimat qui est plutôt froid et tempéré qe brûlant. Tout l'intérieur de la Lg à du Mexi- que, surtout l'intérieur du pays compris sous les an- es on rues pe Fer td e Mechoacan, vrai- le-Biscaye ou la par-

net DR ape USE RE, ao de 2,000-2,500 mètres au-dessus du niveau des mers voisines, tandis qu’en Europe, les plateaux d’Au-— vergne, de Suisse et d’Espagne ne Pret guère plus de 400-800 mètres au-dessus de l’'Océa

La chaine de montagnes qui forme le . du Mexique parait la même que celle qui, sous le nom de Andes, tra- verse toute l'Amérique méridionale; cependant, sous le rapport de sa structure, cette chaine diffère beaucoup au + sud et au nord de l'équateur. Dans l'hémisphère austral, la Corüilière est partout déchirée et interrompue ; s’il existe

. s Joe rs utile Gras # cd quelques détails sur les climats et les persi ,

tp 2886 “rs ss “le mlheie id nxr Ja culture . É qu'i

e pou s mous montreront . cette culture ER rs foule de plantes ns

des plaines | ns la plutôt de hautes vallées Moitosinels limitées par deux branches de la grande ar es dés Andes. Au Mexique, ©est le - dos tagnes qui forme le plateau ; au Pérou, les cimes les ee pre constituent la tête des Andes, tandis qu’au Mexique, les mêmes cimes, moins colossales, mais hautes toutefois de 4,900-5,000 mètres, sont dispersées sur le plateau ou rangées su ur des lignes qui mont aucun Cordillières.

: Au Pérou, dans la Colombie, le nombre des vallées po k dont L. : à 1 mètres, forcé les habitants à voyager à dos re dd à pied, dans les Etats mexicains, au , les voitures roulent depuis Mexico jusqu’à Santa-Fé, sur une de plus de 500 lieues.

Parmi les quatre plateaux situés au tour de la.

_ quatre b: äiffèrent nées par le pa mes ie au-dessus du niv Fran se livsen Uhac

516 CULTURE DES CACTEES.

ravins qui sont situes sous Les tropiques, et dont l'élévation au-dessus de l'Océan ne surpasse pas 300 metres, est de 25-26 degrés du thermomètre centigrade, C’'est-à dire de 8-9 degrés plus élevée que la température moyenne de Naples ( Hum- boldt, Voyage dans la Nouvelle-Espagne, 1. 1, p. 285), Ces régions que les indigènes nomment fierras calientes,

lo

amènent les couches d’air froid de la baie d'Hudson vers le parallèle de la Havanne et de la Vera-Cruz; ces vents soufflent depuis le mois d'octobre jusqu’au mois de mars, souvent ils refroidissent l’air à tel point, que le thermo- mètre centigrade descend & la Havanne jusqu'à pres de 0, et à la Vera-Cruz jusqu'à 10° centigrades.

Sur La pere des Cordillières, à La hauteur de 1,200-1,500 métres, il règne perpetuellement une douce température de

Printemps, qui ne varie que de 4-5 degrés ; les fortes cha- fa Ver .

nnée esé de 20-21 degrés , c'est le beau climat de Xalapa, de Tasca et Chil-Panuigo, trois villes célèbres par lPextrème salubrité de leur climat et l'abondance des arbres fruitiers qu’on cultive dans leurs environs. En outre, cette hauteur de 1,300 mêtres est presque celle à laquelle les nuages se soutiennent au-dessus des plaines voisines de la mer, Circonstance qui fait que ces régions tempérées, si- tuées à mi-côte, sont souvent enveloppées dans des brumes nn

La troisième zone désignée sous le nom de tierras frias, Ou pays froïd, comprend les plateaux qui sont élevés à plus

-. 2,200 mèêtres au-dessus du niveau de l'Océan, et dont

Ja température ns. «sf a de 17 « ns ps ds net tes régions on voit L is sous de zéro, les Shnr ont encore a ur < de ceux Nag es; dans La saison froide La chaleur du jour est au

» pi de VIA dires et en été, nn thermometre

EVARCLT

avec succès. Ces plateaux, malgré celte douceur, sont # rangés par les habitants parmi és tierras frias, cepen= dant les plateaux plus élevés que la vallée de. Mexico, ceux dont la hauteu r verticale dépasse 2,500 ES

faite: œetie égalité constante, celte absence d’une iorte ir éphémère i 2 au chimat des hautes régi un c | Aussi la

548 CULTURE DES CACTÉES.

pagnés de fortes explosions électriques, s’étendent succes- sivement de l’est à l’ouest dans la direction des vents alisés, en sorte que les pluies commencent 15 ou 20 jours plus tard sur le plateau central qu’à la Vera-Cruz. Quel- quefois on voit dans les montagnes, et même au-dessous de 2,000 mètres de hauteur absolue, des pluies mêlées de .grésil et de neige pendant les mois de décembre et janvier; mais ces pluies ne durent que quelques jours, et quelque froides qu’elles soient, on les regarde comme très-utiles à Ra végétation du froment et aux pâturages. Depuis le pa- rallèle de 24 degrés jusqu’à celui de 30, les pluies sont plus rares et bris couiles:; heureusement les neiges, dont lPa- bondance est assez considérable ea le 26° degré de la- titude, suppléent à ce manque de Dans la plus grande partie de VEnrebe, les divisions agrieoles dépendent d’une manière particulière de la latitude géographique !; la configuration du terrain, la proximité de l'Océan a d'autres circonstances locales influent faiblement sur la température. Dans les régions équinoxiales de l'Amérique, au contraire, le climat, la Räture des productions, l'aspect, la physionomie du pays, _ Sont presque uniquement 1 modifiés par Pélération du sol du niveau de la me Sur Les 19° et 29° degrés de léiinde le sucre, le coton surtout le cacao et l'indigo ne viennent abondamment que jusqu’à 600 à 800 mètres de hauteur, le froment d'Europe occupe une zone qui sur la pente des montagnes com mence généralement à 1,400 mètres et finit à 3,000. Le Bananier ne donne presque plus de fruits au-dessus de 1,500 mètres. Les Chènes du Mexique ne végètent qu'entre 806 ei 3,000 mètres. Les Pins ne descendent vers les côtes de ia Vera-Cruz que jusqu'à 1,850 mètres, mais aussi du côié de la limite des neiges perpétuelles, ces pins ne s’élè- vent pas au-dessus de 4,000 mètres.

Re

nn

: D'estees causes empêchent ces divisions de ivre les parallèles, et même 3 ss isothermes Pintéri _-

: ue causes, i dans Les autres parties di e ac ation négligeable F- 4 ser qui nons occupe, et nous en M ee s'il fallait entrer dans lenrs détails.

, mais sartent Re qui es comprises entre les 30° et 38° see de latitude, jouissent, avec le reste de Amérique ne d'un climat qui diffère essentiellement

celui que l. t dans Pan-_ cien are et qui se marque surtout par une très forte inégalité entre

on hivers ne y succèdent à des étés Naples

_S En : “ae sa température ae VPété est b | vée _

ee.

vla moindre pression barométrique que j iblement

‘augmente pas déjà sensi

ns LA | rm mot le muriate de soude et de chaux, le. A de asse et d’autres sels couvrent la surfa ce du so et se taveé une ne nl te _le chimiste ne es ex- Cette circonstance que présente le sol ne règne plaines les plus ue les autres, qui for- L DR ARE ie des Etats-Unis mexicains, appar- t aux régions les plus fertiles de la terre. Lx pente est exposée à des vents humides, à des tes, qui donnent à la végétation une beauté

_ et uné fore mposantes. La végétation varie comme la température, depuis FF. rivages brülants de I

Lin la région chaude jusqu’à 400 mètres, les : à érental, 1 les Palmiers Miraguana et Puncas, : la Tournefortie veloutée, ee

guère ] le niv Ô

_ Îres, cependi Canne à sucre dut Fa Les vallées abritées au niveau de 2 ,000 mètres. Le Bananier s’élen des bords d

w

. est plus étendue elle réussit depuis les bords de k is les vallées de Toluca jusqu’à 2,800 mêtr de

É

pére “Cepays a fait | l'acquisition de - “plupart di

puis 2,200 ee nt 4,700 on se cl à eg _—— Sera me x la Rose * mexicai

na Énitis

la Krameria , la Valériane à feuilles « cornues, la Da tura superba, la Sauge cardinale, la Potentille naine, lArbusier Fa à feuilles de myrthe, PAlisier denté, la Fraise mexicaine,

eiges À

Parmi les vaétiss mexicains ( * à mentation, on remarque le Réniniés, Je Musa Soiree | et Regia qui paraissent indigènes le Musa ns 6. Manioc qui occupe la même région. La culture du

El

le Seigle et les autres céréales +

:æ,

pe et de ceux de la zone torri "état sa la Vera-Cruz donne en pes éc is canne +

. Fo le ci-devant royaume de Guatemala voit naître sous ee

. son climat ardent et humide le meilleur indigo et le me leur r ie

Fier na ne re e au jour

le Campêche, le Gaïae, le Sasafras et le Tamor Ana para tt age danse RS out de diverses

; cette circonstance est altribuée à l'élévation de au-dessus de la mer et aux épaisses forêts qui cou— le les pontRnes

É hautes n monta gues ; leur direction générale + LE . ps jo

Les mia hâte

ale, et pee “toutes sont caries par LR

F4

enflam ee fait vivre en que les habitants et les végélaux dans un bain ve ;

dernière

termine à16« ou ï desrts; dans cel aimes, Li Pluie et habituelle : est. la Ki.

«TE sat végétaux qu’on admire dans les autres parties du sols, comprises entre les tropiques, égalent +: leurs frères du continent. Le Bananier Æherche Pappui d’un arbre voisin, Jui seul dans le cours des années d’épais bocages. La ironc creusé du box rbax Ce iba (Coionnier nt ne nit un canot capable de a 160 h du Palmier à étenisil suffit p

# + Sd À 4 | déserts, divers here voie Me troncs hérissés de faisceaux d’aiguilions, tandis que le Cocoloba Uvifera dé. core les Pure voisins de la mer.

armi antres végétaux, les pl i tl Le 7 nee: elles sont ici comme dans toute la

De élevé de 7 à 8 Re ape er es _. _ trouve encore le Gaïac ou Lignum Vitæ, la Wintera Can nel e la Chinchona Caraibes

oute la contrée exas es inclinée vers le sud tt, . ‘elle se divise en trois zones ébtiices que lon nomme les iries, les plaines et les montagnes. La zone des monta- cupe la partie nord-ouest ; ; elle comprend la Sierra

La zone des prairies est la partie à rmédiair contrée. Sa surface légèrement Rates s'étend pied des montagnes jusqu’au bord de la rivière Roug 4 | forme la limite septentrionale du Texas. La végétation y _. est riche et magnifique.

La zone des plaines borde la côte, mais elle s’avance plus ou moins dans l’intérieur des terres; dans certaines Lan ties, elle s’avance jusqu’à 48 kilom., dans d’autres jusqu’à 110 et 160. Cette zone est d’une fertilité extraordinaire.

Elle est la plus chaude, (la température y est à peu près celle de le salubre, Pendant été, le Poe marque constamment 30 degrés centigrades; cette chaleur est L | tempérée

ar ls brise de mer. or s'avance vers le

+

s 4 d + n À isle15 Soi 7 2 a 15 jte ne humectent la terre pour les as

: mois. Quelquefoi silsy mêle un peu de neige qui qui ad eur se font sentir en avril et durent jusqu’à la fin de

- Pstos zones qui partagent le Tex ia tes rature

K- quiy règne sont caractérisées par la richesse et la variété . _ de leur végétation. On y trouve au sud et au sud-ouest de magnifiques for _ qui renferment d’inépuisables trésors

parine. Le Chène, le Peuplier de la Caroline, .. Cyprès s; le Cèdre rouge, PO:

ni Un bords de Coke s ristent = a qui croit en grande abou: | nee de sol et le iverses €:

sit E Li FR ge

rds du San-Autonio on-cultive plusiéurs variétés pe kr snirablement dans la partie oc= » le‘ et l'indigo y ont dass

i traversent le Pérou du sud aa nord, _ généralement deux chaînes à peu près seras © à Tune, du grande ram a meme dre titue le noyau

central du Pérou, l’autre, beaucou plus basse ;est appelée côte. DS débit et la mér se:

oem sous le même parallèle elle est dt degrés. -

Le pays compris entre les és Cordillières est appelé n -

Sierra. Il est formé de montagnes et de roches nues entré” coupées par quelqnes vallées fertiles et cultivées, par la plus haute chaine des Andes dont les hauteurs 6 s couvertes de neiges perpétuelles.

Derrière cette chaîne s’étend une vaste plaine, incliné à l’est, traversée par plusieurs a ae dem ontagnes dé= tachées qu’ ’on appelle Montana- eal. Sous un ciel pluvieux, souvent sillonné d'éclairs, Ja terre est |

Lie

CLOEL ACL

se produisent abondammen t les Go ce ddoriéaites - Reine s médicales, les bois précieux; la Noix ne Ja Cannelle qui PI Es

_ Le Bas Pérou ns le se je sucre qui. Fe u ar er les Sand tempérées de la Sierra. L

+ Fa : nous ont encore

: nne. |

| D’après . académicien de bonne : les o à- tions faites àRio-Janeiro, en 1781 et 1782, donnent pour la chaleur moyenne 23 degrés, pour la quantité de pluie 62 centimètres. Le mois docobre a été le plus humide, celui de juillet le plus sec. Il y eut dans une période d’une année 112 jours sereins, 133 avec des nuages et 120 pluvieux. Le | tonnerre se fit entendre pendant 77 jours et il y eut des brouillards pendant 48 jours. Ces observations s ‘accordent

avec celle faites par dom Pernetti. La flore spas du Brésil ess per assez à eee

.

- ne eee _ nées, le nombre des Aroïdes et des Fou

be Ska de P: almiers, parmi lesquels on déisrne le CR ; D (Goes one vs crotons forment presque tous les tailli te de Rio-Janeiro est se sis Le Biénonis Le! Leucoxylon a lep rene C -

ne La lesquelles ue AS les Bignoniers, les Banistéries , les Aristoloches qui s ’atta- chent aux troñes et aux bra nche |

e presque i desauelles se ". . trouvent en très-grand nombre des ie qui chez ae. ;

| ment les soins de la serre chaude, et qui, dans pays, végètent sous Pinfluence d’une chaleur és intense 54 _ de pluies luies journalières et et de grandes inondation : bois de teinture, celui du spé de Pernaribque

ent sur les rochers et des terrains le Riz, le Maïs, le Proieut, sont

ns, les Citrouilles, les Bananes abondent

des parties basses. Les Citroniers, les Orangers, les

ryaviers sont communs sur les côtes. Le Figuier de Suri-

: Dam, le Cropia Pellata vient surlout au milieu is ronces

dans les champs arides

re du sure et As rs du coton et de Pindigo | srand déve eloppement ra

ce

abaths à nouvellement faits qui exposent le Eu la

ds cons , le soleil développe les miasmes u* e formé de débris végétaux ac

_. les pluies RS aussi fortes que j; at malfaisant de la Guyane est moins | cha des Indes ponts de la Sénégambie et des Ai thermomè à Cayenne, s'élève à 35° centigrades dans la saison sèche et à 30° dans la saison pluvieuse. A Su- rinam, il parait s'élever moins haut; le maximum moyen | de chaleur est 31 degrés et la température moyenne delPan- née de 25 degrés centigrades. L'action des vents dominants pis viennent du nord diminue à Cayenne l'intensité de la _ la saison eus L ceux d’est et quelque- ke nt

“Toute Prnmée a ses récoltes et ses fruits, mm mêmes, qui sont toujours chargés de fruits, n’en ten abondance qu’en certains temps fixes qui sem- e leur récolte; tels sont les Orar 1gers, ats {Laurus p

1 M€: 1.0 Pape at) Se

IVANeneIc

; le Café arabique y a été es Musca-

Le Ghoiliers les

dis y ‘ont été importés avec succès. Le 2 27 ts plu-

: s espèces de Poivriers viennent . à Fest Par

abon ante: Mais à côté de ces re taires, la Gu: ache les poisons les plus terri- | Sous le rapport she arbres forestiers et de l’aspect des forèts, Ja _— ne le cède en rien au Des

Rs Nanalli Grenade, République de phone. République du Pérou et de Bolivie).

ante arrête e crokmnee ps végétaux. ee zone resciel éprouve pas des arde

saurait | ‘endurer la “constitution ‘de ) agit rs le printemps sur les uns et co sur les Aussi un simple voyage du sommet des Andes j ee au ji niveaëü de la mer ou dans le sens est pour l’homme une vérilable cure médicale qui + pour opérer sur le corps humain les effets les plus éton- nantes, tandis que l’habita -onstante dans l’une ou sens et l'âme par les effets me L'été, le printemps et s distinct es qu’ils pe er

à à

La vésétiies offre : un plus grand nombre d'échelons.

Depuis les bords

coma, es T

534 CULTURE DES CACTÉES.

Au delà de 2,200 mètres, la fraicheur de l'air rend les moses moins sensibles, et leurs feuilles irritables ne se ferment plusau contact. Depuis la hauteur de 1,600 mètres et surtout 3,000, les Acæna, le Dichondra,les Hydrocoty'es,

. le Norteriaet PAchomilla forment un véritable gazon très-

épais et très-verdoyant. La Mutiria y grimpe sur les arbres les plus élevés. Les Chènes necommencent dans les ré- gions équaloriales qu au-dessus de 1,700 mètres d’éléva- tion. Ces arbres sont les seuls qui perdent toutes leurs feuilles , on les voit alors en pousser d’autres dont la verdure se mêle à celle des Epidendrum qui eroissent sur leurs branches. Dans la région équatoriale, les grands arbres, ceux dont le tronc atteint 20 à 30 mètres de hau- teur ne se rencontrent plus au-dessus de 2,700 Depuis le niveau de la ville de Quito, les ar res sont 2 grands et leur élévation n’est pas comparable à celle a les mêmes espèces atteignent dans les climats tempérés.

À 3,500 mètres de hauteur cesse presque toute végétation

en arbres; mais à celte élévation les arbustes deviennent d'autant plus communs; c’est la région des Berberis, des

Duranta et des Bu rnadesia. Ces plantes caractérisent la. végétation de Quito, de Pasto, comme celle de Santa-Fé carac

st caractérisée par les Pobmsie etles Detares en arbres. Le Sol yest couvert d’one multitude de Caleéolaires au milieu desquelles on rencontre encore quelques espèces de Cactées, Echinocactes et Mamillaires. Plus haut en- core sur le sommet de la Cordillière , depuis 2,800 mètres Jusqu'à 3,500 se trouve la région des W intura, des Esca- lonia; le elimat froid, mais constamment hawale de ces hauteurs que les indigènes nomment Paramos, produit des arbrisseaux, dont le tronc se divise en une infinité de branches couvertes de feuilles coriaces et d’une verdure Juisante, Quelques arbres , le Quinquina orangé, des Em- bothrium et des Melastoma s'élèvent encore à ces hau-

. 5 L’Alstonia, la Wintera Grenadienne et Y'Escalonia

y forment ‘des groupes épars. rge zone de 2,000 à 4,000 mètres représenie la ré- È Alpines , c’est celle des Stæhelina ,

sp letia Frailexon dont les feuilles ve

soi eco à 25 Die 0, © |

bts Port <i> À CUS Ge

hs ANNEE à à :

font ep aux Graminées dont la régions étend de 6,000 à 8,000 mètres plus haut. Les Jarava, les Stipa, une multi

de nouvelles espèces de Panicum, d’Agrostis, d’Avena ; et de RS couvrent le sol. Il présente de loin un tapis doré ( habitants nomment Pajo i

Phaneroganes se celte li “jusqu'aux neiges .

pétuelles. ! Le —— is sp x

- | cs her d D

plantes cultivées ont des zones moins | s rigoureusement limitées. Dans la

. prospèrent q que dans _ Len Sucre réussit même à 2 000 mètres et que le Coton et le Caté étendent à travers lune et Pautre Rips La

536 CULTURE DES CACTÉES.

disparaît à 4,000 mètres. Vers 3,500 mètres, le froment n6 vient plus, on ne sème plus que de l'orge qui souffre beau- coup du manque de chaleur. Au-dessus , à 3,700 mètres,

cesse toute culture et tout jardinage. Les hommes y vivent

au milieu de nombreux troupeaux de lancas, de brebis et de bœufs, qui en s’égarant, se perdent quelquefois dans la région des neiges perpétuelles.

Pour compléter les indications que je viens de réunir et qui sont empruntées au Voyage dans LA merique espagnole, par MM. A. de Humboldit et Aimé Bonpland, à la Geogra- phie de Maltebrun et à celle de Balbi, j'ajoute le peu de notions que j'ai pn recueillir sur le trajet des lignes isothermes dans le Nouveau-Continent; je le fais suivre (soir pages 538 et 539 ) d’un tableau des températures de différents lieux de la terre. Les noms de ceux d’où on 2

importé des Cactées en Europe sont précédés d’un asté- |

risque, ceux d'Europe dans lesquels plusieurs Cactées, et

suriout un grand nombre d'Opuntia se sont acclimatés,

Sont précédés d'un trait. L’équateur terrestre a,sur les bords de la mer,une tent

Pérature de 2795 ; sur les côtes occidentales de VAmérique

cette chaleur parait être moindre, parce que les courants d’eau froide venant des pôles dépriment la température de

.

Ces points ; dans l’intérieur du continent la température

_est plus élevée que sur les côtes, les pluies moins abon- dantes et l’air plus serein, et par conséquent, l'influence

du soleil plus énergique ; les vastes conirées sablonneuses et incultes ont aussi une grande influence.

L'Isotherme de 25° coupe la côte occidentale de lAmé rique un peu au nord d'Acapulco, puis elle passe par Vera-Cruz, un peu au nord de la Havane.

L'Isothérme de 20° coupe la côte ouest de FAmérique au milieu de la Californie par 28 et 29 degrés de latitude nord ; elle s'élève un peu vers le nord, puis elle marche

. Parallèlement à l'équateur jusqu’à ce qu’elle atteigne la ee ti : + ;

orientale d'Amérique dans la Caroline du Sud ee de latitude nord ( Fort.-Johnston).

“à de 15° coupe la côte de l'Amérique près du : rancisco dans la Nouvelle-Californie, ele

RE DES

nn

MS

marche droit à Vest, eL atteint dans État de elawa latitude de 37 à 38 degrés (Fort. , lot. pérature 13°9; Chapel-Hill, lat. 38 + température _ Nashville, lat. 36° 5’, température 54 et demi). L'Isotherme de 10° coupe . côte occidentale de PAmé- rique à embouchure de la Colombie (Fort- Georges, Le 46° 18, température 10°,1; Fort-Vaucouver, lat.-45° 36’, température 11° et demi; ? elle s’abaisse ensuite vers le sud, _ de l'Etat d'Ohio, et atteint près de New-York, lat. 41° 55, temp ligne p: e voisinage

e de la limite

supérieure des régions ntré des Cactées, bre des bois et les plateaux qui bordent la vallée du Missouri cette mème ligne isotherme traverse l'Eu Miopat tete de Pat. 51° 31/, température 10° et demi, puis s’abaisse après avoir passé par Dublin, pour venir CC la Bohème dans le voisinage de Prague, lati

hauteur au-dessus de la mer 195 mètres, ter _ demi, ensuite elle passe à Dresde, lati hau

7 mètres, température et demi. me ee

Si la science fait connaitre assez complétement L la série ee des]

; ei austral; elle ne possède encore que x d’obser- vations dans ier Dore, et ce n’est qu'avec les mo:

. . Buenos- re : sn Falband. =

_. des notions beaucoup moins précises sur celles de l’hémi- :

oil. hate pus ad

4 æ L. . x

Bové

<

= A

5 2s janvier. )1 5,3 janvier,

| | 21, 2 janvier, 2h, 4 janvier. 24, 2 mars

26, 9 janvier,

19. 6 ao

4 de |

18. 0 juillet.

ss 0 es

. 5 juillet,

ts me 5 juillet,

48, 0 juillet. 17, 7 Meier

œ D

7 août, 17, 9 juilet. | 18. 6 juillet,

18. 9 juillet,

18. 8 juillet,

19. 5 juillet. :

20, 7 juillet,

18, 8 jee à ; Fa se LUS :

20. 2 ju ES

22, 9 août, 25, 7 juillet. | 5 ao 4 : 9 jui one

.

s" juillet.

23, 8 août. 2 juillet, 9 juillet,

août, Fi

16, 6 ve :

Du

540 CULTURE DES CACTÉES.

lant que, d’après M. de Humboldit, dans les régions tropi- cales entre 1 mètre et 1.000 mètres, une élévation de 170 mètres correspond à un abaissement de du thermo- mètre centigrade.

La température influe sur les plantes de trois manières, par son excès, par son défaut, et par sa durée ou sa con- tinuité. Nous devrons donc chercher pour les plantes exotiques que nous eultivons en Europe, les termes des maxima et des minima de température des localités d’où nous viennent ces plantes, et la durée pendant laquelle cette température agit sur elle, afin de les mettre dans nos cultures, au milieu de conditions, Le me SE “er le plus possible de celles de leur pays natal. En utre, la comparaison de ces maxima et ne to avec ceux qui caractérisent les saisons des lieux nous cherchons à transporter ces végétaux, nous indiquerons les essais de culture que nous pourrons tenter.

Si ces recherches ne devaient nous conduire qu’à la dé- termination des maxima et minima en question, elles ne nous rendraient qu’un bien faible service, car en nous donnant les limites extrèmes des températures sous à nos plantes peuvent végéter ; ss nous appren- draient seulement à les conserver, mais ne nous indi-

ient en rien, qu’elles sont les ER de leur fleuraison et de leur fructification, et c’est précisément ici que la connaissance de intensité et de la durée devient nécessaire. Sans ces notions, nous serions dans la position de celui qui, ayant une pierre précieuse, ne saurait pas qu’en la faisant tailler, elle profitera de toute la limpidité de son eau et de tout son éclat ; celui-là même qui, sachant cela, se contenterait de la faire tailler sur une face seulement, non-seulement ne jouirait pas desa pierre précieuse, mais il ignorerait encore ses principales qua- R . Il en à été de mème pour la culture des Cactées; : pendant bien longtemps; on s’est occupé deles conserver; mais les soins qu'on er donnait gere si peu intel-

et

we LUS LUREE

re collection ae

Di 6, cer £. 2 Fa EE

- les? : se Pour nous, | ee bonne culture des plantes dés 0e

d'autres él 18: on

de tem- pérature; 4 per de Ja: somme de degrés de chaleur

et de la quantité de lumière qu’un végétal a besoin de recevoir pour arriver à fleur, donner des fruits et mürir ses fruits.

Cette dernière question be nb tement mise de ou ignorée Les presque tous les MENT ant et comme elle est plus rtante autres pour arriver

äune bonne culture, c'est par el papa

pour

mèrir. r. Réaumur ava l itdu siècle le dernier; 1 disait : «Il serait curi e des com- '

«ef ns entre la chaleur des années et les époques de

de les pousser même jusqu'à chercher

és de chalgar d dane année a avec la

542 CULTURE DES CACTÉES,

« en Afrique, et dans les pays tempérés comme en France, « et dans les pays froids comme au nord. »

Ces deux passages renferment le germe des travaux exécutés depuis Adanson jusqu’à M. Boussingault, dans le but de déterminer la quantité de chaleur totale nécessaire à la maturation de différentes plantes introduites dans les cultures. Pour lhorticulteur qui est obligé de consulter son thermomètre à chaque heure du jour, ils sont la re- commandation d’une multitude d'observations utiles, qui

que nous ne connaissons pas faute d’observati et dont la flore à laissé s’éparpiller quelques fleurons jusqu’à nous. Un trait bien frappant vient nous prouver tout d’abord que la température moyenne de Pair, la durée de son action, ne sont pas les seules conditions nécessaires, que action de la lumière vient se mêler avec la précédente pour produire la maturation. La moisson se fait à Upsal à la même époque que dans le midi de l’Angleterre. La température de Pété à Londres est de 17°. 1. et à Upsal de 15.1.,en ne prenant pour faire notre comparaison ge Vété, saison pendant laquelle s'accomplit la maturation du blé ; ; on voit qu’elle se fait en Angleterre sous l'influence d'un été qui donne pour somme 1573°., et à Upsal seulement 1389. Mais si on re- marque que dans les étés du Nord le ciel est plus clair, que les jours sont plus longs qu’à Londres, dont le ciel est brumeux, on comprendra que la chaleur et la lumière solaire jouent ici un rôle dont il faut tenir compte.

En

M. de Gasparin admet que le blé exige 2000 degrés de

chaleur Narenpe, du renouveilement Es sa végétation au printemps] jusqu’à à sa maturité. Le blé commence à végéter d’une manière sensible quand la température moyenne alieint 6; celte température est alteinte, à Orange, le 1 mars; à Paris, le 20 mars; à Upsal, le 20 avril. La

; pe a lieu, en moyenne, rang é, le 25 juin ; à Fes

août; à Upsal, le 29 a - Pendant r moyenne a PRE à “Orange 1601°3; à Paris,

Rs

t avec une quantité de chaleur moyenne peu différente de celle d'Orange. AParis, ;. le ciel plus brumeux entraine une plus longue durée de

uit une plus grande somme de chaleur fet, si si on considère maintenant la tempé— laire p ir Lis EX s. siens 0 des termes de

sers à

1e V'égalité se rétablit, et que c’est, en effet, la pe sn xs) faut employer pour mu —.

‘rep moyenne 12,78 octurne accompagnée née de lumière on 5 ps 9077, qui, la roue prete, Et 1582° centi-

la moitié de celui du ; jour; il est tout à fait 4 étiolé

Lonenies

r qui ne peut avoir lieu en 1 l'absence de lumière. comparer |

ire du chiffre d'orange toute La han erons du résultat ci-

Qui, d dune Fa Ts aussi approximativement qu on peut l'obtenir faute d'ob- servations sur samme chaleurs solaires

L. : L. 4 ;

précèdent aux travaux de ww. Hoëhold,

: avaient été trouvées en retard à Na Munich de 6 jours, à Berlin de .

in, nous avons pu prendre le blé qui Le lement au sie et qui réussit aussi ae

appartiennent à toutes les plantes, nous permettent de

tablir par analogie l'influence de la chaleur solaire, com-

binée à la ne: pour toutes les plantes tropicales que cultivons dans | in |

nous limite à

re ra ‘lieux rene stances |

Ainsi les plantes observées pee

à Christiania de 52 jours ; e

+. _— les hautes latitudes, la Re était teste

ce retard se réduisait totalement à trois influer égales d’ailleurs, il faut 4

546 CULTURE DES CACTÉES.

mination s’est effectuée, que la plantule commence à se développer, la lumière devient un agent nécessaire ; si elles en sont privées elles s’étiolent, c’est-à-dire qu’elles poussent de longues tiges, d’un vert pâle, effilées, quel- quefois blanches, À ta perdu tous leurs caractères de formes. Des graines de Mamillaires et d’Echinocactes semées, les unes à ombre, les autres à la lumière, ger-

unes des autres; mais celles maintenues dans ombre, n'avaient pas encore montré les premiers aiguillons qui couronnaient le sommet des autres plantules 12 jours après; elles étaient päles, quelques-unes , transparentes, mouraient complétement en quelques jours; un mois après, il ne restait pas une plante de la première série, tandis que presque toutes celles de l’autre avaient été conservées, avaient atteint la grosseur d’un pois, toutes conditions égales d’ailleurs.

Des boutures placées dans les mêmes conditions, c’est-à- diredans une caisse à compartiments, dont l’un était re- couvert par une planche, l’autre par une vitre, recevaient Pair par des trous d’égale capacité, pratiqués dans le fond et la paroi postérieure ; elles présentèrent des faits analogues, tandis que celles per ne dans lombre perdaient l'apparence de robusticité que leur donnaient la vigueur de leurs aiguillons . Le coloris de leur épiderme, les autres montraient déjà des racines. Plus tard celles-ci étaient complétement reprises, tandis que les autres montraient un ou deux radicules effilés, leur sommet

s’élait allongé en pointe et avait pris une couleur blème. Enñr, au bout de irois mois, quelques-unes de celles con- servé Pombre commençaient à s’altérer, elles étaient devenues compiétement molles, quelques parties les aréoles avaient été endommagées entraient en putré- faction. L'expérience a été faite sur des boutyres d’Ottonis prises sur un même pied, sur des boutures d’Opuntia Cy- Endrica et de Cereus Serpentinus. La terre des plantes à la lumière semblait se sécher plus promptement et in- diquait uneévaporation plus rapide, mais cela est peut- Faccumulation n de la chaleur que le verre laissait

pénétrer 4. Pai fait dessécHét at dur, 2 + tre

les deux boutures de Cerei ar sembla

pesait 18 grammes. L’absence de pesée avant l'ex m’empêche de conclure avec la précision désirable, que ee la pla ante qui a crù à ombre, n’a lieu moyen de lextension des membranes celluleuses,

Fe carbone, formation de

mation de

le it ‘dans ins l'obscurité. y A a pass ce dernier cas, non- nent suspen: ea es rides, mais encore rétrogradation tion c’est aussi ce que l q

. Pest pas non plus sans itunes sur Ja végétation ; mal- matière; on sait seulement que : certaines (la Chi- | Corée, par exemple), qui croissent derrière des verres = colorés, s’all violets, tandis que d’ d’autres plantes ee Pavot, } par Re | subissent les mêmes effets sous l'influe ence des ra

fire sur ce sujet; j'ai socihent réalisé iences en oral des verres avec ner

es in ne m'ont encore montré aucun résultat + table ; Fret je crois qu elles rabat d'établi

ft

: UN de répéter en les modifiant, avant d'établir une conchassa qui pour- rait ètre ras

déplacées et transportées de leur : zone dans à suivante très-rarement dans les deux; mais : co quand ce dernier fait se présente, ces sujets watteigne plus le mème degré de force et de splendeur dans les zones elles ont été déportées qu'au milieu de leur ha- bitus; ils y végètent et se reproduisent quelquefois, mais alors une exposition accidentelle vient aider à leur complet développement. La première d A: ss le niveau de la mer jui | une tempéra DA popre 25 à 26 degrés cen-

, is 00 mères jusqu'à 1200 à 1500 L É . r Ë Se

: rudes: iE y gèle quelquefois, et les sains peuvent EE :

Re nn et en

des RE p:

et 270.7 pour F l'été en degrés centigrades.

de rente murcnse de conditions d’humi-

po dans les é roisièmn cesse it à 2,000 Fe à à la hauteur de 1,600 ou

F intensité du froid fait manquer les oies

sont beaucoup moins précises pour k : entre les 10° et 50° drerés de a :

E 1 Fe rien 33 deg- de latit, sud.

Le press l'étendue du nouveau à Continent, les 40 degrés de latitudenord etle 43° free, su peut être née comme le font les naturels du pays, en trois zones, auxquelles on assigne les températures suivantes: 25, 20 et 17 degrés centigrades- =

s des mois les plus froids :

: RE air, et elles y ont acquis un Si _ une vigueur qui none rene in DR qe L imités

552 CULTURE DES CACTÉES.

TABLEAU de comparaison des moyennes 4 des températures des mois les plus froids et des mois les plus chauds des pays ci-dessous désignés, avec les températures correspondantes de la zone torr. ide.

# Différeuce Différ NOMS DES VILLES. Se nois detente ds eu les plus froids. les plus dndi, annuelles,

Paris. ss ss. —18 HSE 3 —14 Lo ensss. 17 10 14 Bruxelles. : :.... 13 9 19 Vienne... 22 7 15 Dors ........ 22 10 16 Pt... ...... 21 10 16 La Rochelle... .. 17 8 13

ICe...ssess 12 4 9 Marseille, ....… 15 5 ££

Me. ocre se 13 4 9 Naples. ,..,... 11 3 8

Les Caciées qui appartiennent à la zone torride sont la e | “spé Vo Melocactus, qui sont aussi les plus délicats

2 Es sur de. ds arb ombrage, etenfin ces is + pour la culture de Ja Cochenille, qui sont soumis par conséquent à des soins particuliers de éuliture , soins qui tendent ici à balancer les effets d’une température élevée par une humidification convenable.

’examen de ce tableau montre que ces plantes peuvent,

rs moyennes des ge gene d’un mois s'obticauent en À rer cs tures de chacun des jours du mois et divisant leur so par le

HE SE : rs ra] BE EE g" É

urs n 3 ts pas taper es as tempéraiures acci— ee te PR

en été, végéter en plein air, sous

tout si on songe que dans Lg ne de conte rs " tes _

bien d’une température moyenne, qui est quelquefois de 14 degrés centigrades au-dessous de celle des régions elles croissent nature rie À Naples, Rome et Nice,

cette différence se réduit à 8 degrés, elles y prospèrent

tout aussi bien que dans but pays.

10 degrés centigrades, qui s su PT ‘es moyenr

CULTURE 7 CACTÉES.

| portance que FREE les 1 imite cussion nous fera connaître : 0! que: d’une manière plus g générale à toutes pe + La différence des moyennes annuelles s’abaisse à 3 de- grés pour Naples, à 4 pour Nice et pour Rome; elle prouve, comme lexpérience la aussi démontré, que dans : ces trois localités, presque toutes les Cactées, à l'exception de celles dont nous avons fait mention dans la discussi us P , peuvent ppgser pare terre. En outre, re moyenne des ét de

: 2 e elles se trouveront + ainsi placées , sera trop considérable, et bien qu’elle ne

_ soit qu msidentelle, elle pourrait leur être préjudiciable,

insi, à un he Free maxima est des 3:

a température au milieu de laquell |

ES

14 aa, dont Fétart est de Lv. ‘+

556 CULTURE DES CACTÉES.

résulte done qu’elles peuvent vivre et végéter parfaite- ment en plein air dans toutes ces localités, qu’il en est de mème pour toutes celles la température moyenne des mois de l'été n’est pas inférieure à 15 ou 16 degrés; dans la plupart de ces localités, les températures maxima s'élèvent au-dessus de 23°, une bonne exposition permet d’y augmenter le nombre des jours la température est supérieure à 23°, donc aussi, dans toutes ces localités, une bonne exposition en plein air permettra de cultiver nos

plantes, pendant la belle ass, avec presque autant ae succès que dans leur pays natal.

Pour la culture de nos ut pendant l'hiver, il faut tenir compte d’un autre élément qui entre dans la ques- tion; entre les tropiques, la marche des saisons ne res- semble en rien à celle de nos climats.

l’état du ciel a sur la température une influence très- remarquable. La hauteur méridienne du soleil variant peu dans ces climats , ce sont surtout les pluies qui règlent la marche de la température, marche totalement différente

nn : température est relativement très-basse ; à m€- sure a hauteur méridienne du soleil augmente, la peurs “sen: x aussi et irait sans cesse en S'accroissanf, jusqu’à ce que le soleil fût au zénith ; mais alors la pluie commence, chaleur diminue, et ’est seulement plus tard, lorsque le soleil s'éloignant du zénith se trouve dans

vient à cesser, et diminue ensuite pour atteindre le mi- nimum dont nous avons parlé. Ainsi, tandis que, dans n0$

Re

* En physique et en météorologie ; minimum ne signifen ent pe la Len arr le plus s petite ss an érie a spas variables - tures, mais ils Jones à ainsi : si dues à e journée le ermc evdére depuisle matin jusque vers deux heures, re sa os ins cette heure jusqu a'au pos, Ja plus hante rs PANNE

margnée sera casuite peu rem sg co a a sslas la nuit, pins ii

chauds. Les deux derniers sont : l’un, au milieu in saison sèche, et Pautre, au milieu de la saison humide, lorsque la distance zénithale du soleil de midi est aussi grande que possible. Les deux maxima surviennent au commencement et à la fin de la saison humide. Chaque localité entre es tropiques nous offre donc une marche différente de ne. ERA le minimum est un effet

i la pluie qui dure peu ou bien persiste

qu'il

LENS la RE: Fahaati = . Europe, état du ciel a égaler | une _ fluence, mais elle se manifeste différemment. Quand le matin, le temps est calme et le ciel serein la tem

hiver, au contraire, le thermomètre monte se rie baisse

558 CULTURE DES CACTÉES.

rayons calorifiques obscurs soient absorbés relativement beaucoup plus que les autres, la chaleur reçue est cepen- dant plus considérable que la chaleur émise; mais si pen- dant l'été, le ciel est couvert, il y a ordinairement abaisse- ment de la température. En hiver, au contraire, la terre se refroidit en général, la perte due au rayonnement noc- turne, pendant la nuit, étant plus grande que léchauffe- ment par l’action solaire; et comme les nuages s’opposent au rayonnement et réfiéchissent vers la terre une partie dés rayons obseurs qu’elle émet, il y a élévation de la température par les temps couverts. Il faut ajouter à cela que les vapeurs précipitées sous forme de pluie sont, pen- dant l'hiver, à une hauteur bien moindre que pendant Vété, et que la chaleur latente, qui devient libre au mo- ment de leur condensation, peut agir sur le sol.

Il est bien établi que les plantes qui habitent sous les tropiques ont, pour ainsi dire, deux étés et deux hivers, pendant que celles qui habitent nos climats ont qu'un élé et un hiver pendant le même temps ; dans l’impossibi- lité nous sommes de reproduire ces conditions clima- tologiques, il reste à examiner la température la plus basse qu’elles peuvent supporter sans en souffrir, et les moyens arüficiels à l’aide desquels on pourra, en Europe, non produire des variations analogues de climat, mais par des humidifications convenables, les mettre dans des condi- tions analogues à celles des saisons des pluies tropi- cales.

À Santa-Fe, à Bogotha, le thermomètre s’abaisse acci- dentellement à centigrades ; à Caracas, dans une série d'observations faites du 28 novembre 1799 au 17 janvier 1800, M. de Humboldt a trouvé que le thermomètre s'était abaissé 59 fois à 19°, 71 fois au-dessous, qu'il avait marqué 14 fois 17 degrés et 9 fois 15° centigrades ; pendant la nrème période de temps, la température moyenne de chaque journée ne s’était pas élevée au-dessus de 21° centigrades. La température de Cumana a été constamment supérieure à celle de Caracas, elle en a différé de 4°, 5 à 6°, 5.

D'un autre côté, à Chuquisaca, capitale de la nouvelle “Publique de Bolivie, qui se trouve, par 19° de lati-

lacé à 2,800 mètres au-dessus « ; É.

mo

tude sud, à environ 400 ion Lu F intérieur be |

re moyenne est de 10 degrés centigrades environ; il y + ndant la mauvaise saison. Cette ocabté nous à envoyé quelques Mamillaires, un Echinopsis et plusieurs Cierges.

À En fixant à 4 degrés nÉgrade la limite inférieure de

la température à Dares on puisse soumettre nos plantes sans danger, pendant la période de repos, on pe 4 . ssuré de prendre une température plutôt au-dessi au- de Ia limite, ei de m'avoir jamais de

à ochelle, à Nice, à Mar température moyenne des

560 CULTURE DES CACTÉES.

associée à celle de la Canne à sucre; vers Grenade et Avola; au sud de la Sicile; Pau, sur les Pyrénées, jusqu’au pied de Corbière ; en partant de là, la limite, en tournant le fond des vallons, suit une ligne courbe, qui vient passer à Arles (Arriége), Olette, Carcassonne, Sidobre, Saint-Chi- gnan, Saint-Pons, Lodève, Le Vigan, Saint-Jean-du-Gard, Alais, Les Vaus, Joyeuse, Aubenas, Beauchätel, Donzève, Mont-Sésur, Nyons, Villeperdrix, Le Buis, Sisteron, Digne, Bargemont ; puis elle traverse les Alpes, pour ga- gner le pied méridional de l'Apennin, pénétrer dans le royaume de Naples, sur les deux versants de la chaine ; puis, sur le bord opposé de l’Adriatique, de la Dalmatieet de la Grèce. Il y a aussi des régions détachées comme des îles le sont du continent, au milieu desquelles nos plantes réussiraient également, les bords des lacs de Guarda et de

me, et les environs de Bex, en Suisse.

Bien que l’étude comparative du climat de la zone tem—

Mais, dans la seconde région, lOlivier gèle et suc- combe souvent aux rigueurs du froid, cette culture Pourra réussir également; mais elle exigera quelques précautions, dont on peut se dispenser dans la pre- mière.

. * Dans la seconde zone, il arrive, par des hivers très-froids, qu'une grande pare de La culture des Oliviers se trouve détruite; nos plantes y parta pan t mème rt, quuiqu'elles puissent y passer l'hiver dehors la plupart

en NOMS DES VILLES. « soyennes de more | es lespiuofuide. ler plas chaude, annuelles, RS à æ + à 7 *- 5 3 Le

Fou Lis

ue au-dessus de la mer? le Moloractns means Les .

Mamillaria, TC! = upertexta , ro“ Schiedeana , Caput | Me- : Pallesce ens, FE, 2208 hala, nn Sabpotreden,

562 CULTURE DES CACTÉES.

région de la culture de POlivier, que nous avons tracée en détail.

Il nous montre, de plus, que les mois de lPété sont plus chauds que ceux a la zone bi dans toutes les locali- tés dont nous avon 2 noms au iableau, et que quatre de ces localités sinon: Bruxelles, Vienne, Ber- Tin et Erfurt, ont des hivers que nos plantes ne pourraient pas supporter, tandis qu’elles pourraient, pour la plupart, supporter les hivers de La Rochelle, de Londres et même de Paris, si les hivers de ces villes n'étaient pas exposés à des gelées d’une longue durée et à des temps humides, correspondant à des températures basses.

La température du milieu dans lequel on peut faire végéter les Cactées, est une des conditions les plus impor- tantes pour leur développement prompt, complet et ra- pide ; aussi, avons-nous cru devoir entrer dans quelques- uns des détails de cette question. Voici les conséquences auxquelles nous sommes conduit :

Tous nos efforts doivent tendre à placer nos Cactées dans un milieu dont la température soit peu variable; Vélévation de cette température, me Sens est supérieure à 15 degrés, est moins importante

* # La température du milieu dans ot végétent les Cactées, peut s’abaisser à zéro, et même à 1 ou 2 degrés

au-dessous de zéro, pourvu que cet abaissement ne “soit que momentané et ne dure que quelques jours, que le passage à cette température ne soit pas brusque et ne cor- responde pas à un état d'humidité des pentes.

tempéra ture, on pourra conserver presque toutes les espèces con- nues en Europe; mais il leur arrivera ce qui arrive aux . plantes du nouveau Continent, qui passent d'une zoné dans une autre; elles continuent à végéter, mais leur flo- raison, la production de leurs fruits se troufent souvent arrêtées et ne se présentent plus avec la même régularité que quand ile sont reins sur les plantes cultivées

leur propre zon Par une poison ‘en plein midi, quand le soleil fait ere es du jour au-dessus de 30 Mo

pendant : <. _ RARES Ja différence entre la à température de gré à Lu est pus jour,

TS on EE NET Ed LPS SRE nn à vpinglt doc à: PRÉSENTS vies dd

itigrades , il est utile de RTE. l’aide des mailles Mn Lies, suffisantes ar rompre seulement rayons et les laisser ser passer ; ee . Pour les plantes tenues en serre t la mauvaise saison, la température d'hiver peut ue. accidentel lement au-dessous de centigrades, et même à zéro; mais il est pére gene cela est possible, de la faire : on- ter à 6 ou 8 degrés, mêm st toute la 4 Hu vas

perce

as es

5

564 CULTURE DES CACTÉES.

conseillerais pas de soumettre nos plantes à une tempé-

_ rature prolongée aussi é

Quelquefois le thermomètre placé à la surface du sol s'élève à 50 on 55 degrés dans nos climats ; mais cette tem- pérature ne serencontre que passagèrement pendant quel- ques heures du jour ; elle w’atteint que la surface du sol, et le plus souvent elle ne deseend pas jusqu'aux racines et es s'élève pas jusqu’à Ja partie supérieure de la tige. Jai

lantes que j'exposais à cette tem- pérature ; pendant les grandes chaleurs de la canicule, sans les abriter par une toile à mailles larges, se ridaient à leur surface, devenaient souffrantes et réclamaient les soins qu’il faut donner à celles qui ont reçu un coup de soleil, et cependant elles étaient exposées à Fair libre. Les effets

qu’en eùt-il donc été si elles avaient été enfermées dans une serre ou sous une cloche, l'air étant en repos, enfermé, peut s’échauffer au point de donner une tempé- rature supérieure à 80° ' P

Pour ces raisons, je crois qu’en toutes saisons, quand le thermomètre marque de 25 à 30° centigrades, il est im- portant d'ouvrir les panneaux, afin de donner un accès RES extérieur ; en outre, et autant que possible, si

a a lieu pendant l'hiver, il faut éviter que l’air froid du dchrs vienne frapper directement sur les plantes. Il est toujours plus prudent et même utile pour leur santé, de ne pas attendre que le thermomètre ait atteint cette hau- teur, pour laisser Lomber le feu.

L'influence du froid sur les plantes est tout autrement marquée que celle de la chaleur. Comme le climat que nous habitons nous présente fréquemment des abaisse- ments de température au-dessous de la congélation de

: prolongée. Ellese fait surtout sentir sur les pousses des plantes, k

rat g la d composent La mot de parties herbacées qui ont été atteintes parle cette désorganisation se commu

froid a été plusoumoins r les jeunes

dont le 3 7. SE a vai ndrÉ Re F

566 CULTURE DES CACTÉES.

vers une température plus élevée s’est fait lentement et progressivement.

La durée de labaissement extrême de la température que peut supporter une plante, ne suffit pas pour déter- miner sa mort, d’autres circonstances concourent quel- quefois à produire les mêmes conséquences; un instant suffit pour une plante tenue même à un faible degré d’hu- midité (les Discocactus), une goutte d’eau ou de rosée sur un Mélocacte, et une saturation d'humidité pour d’autres. Or, chacun de ces états est difficile à apprécier rigoureu-

avancée (fin de février, commencement de mars); car alors il est ordinaire de voir succéder au soleil brillant et Chaud une gelée même intense de la nuit.

Nous croyons que la cause principale du mal produit

par le froid peut être attribuée à la rapidité du dégel plu- _ tt qu'à Pinfluence directe du froid, quand ce froid ne s’abaisse pas au-dessous de centigrades ; car dans ce Cas, si on examine l’état des organes frappés de mort im- médiatement après le dégel, on trouve les cellules rom— pues, leurs débris nageant dans le liquide, les fibres H- Sneuses et les tissus brunis, tandis que si les circonstances du dégel sont favorables, ces effets ne se produisent pas, ou s'ils se produisent, ils exercent leurs effets plus lente- ment, spécialement sur les plantes tenues trop humides et dans un état complet de végétation, ou sur celles qui Sont en mauvais état. Mais dans tous les cas, le mal est à Peu près sans remède, car le seul qui soit à notre connais: Sance, c’est la section des parties endommagées, et cette

section est presque toujours dangereuse pendant la mau-

vaise saison, même en tenant les plantes très-sèches.

devoir conclure de tout ce que nous vé-

FRS SP Re

CULTURE DES CACTÉES. 567

nons de dire, que la limite extrême de froid à laquelle on peut exposer les plantes pendant la mauvaise mate est de 2 à centigrades au-dessous de zéro; qu’une tem- pérature aussi basse doit ètre accompagnée d’un état de sécheresse bien prononcé. Si ce traitement a amené cer- taines rides sur la surface des plantes, si elles se sont affaissées ou si elles ont diminué de volume, il ne faut pas attendre qu’elles soient complétement desséchées ; we exposition particulière au soleil, derrière les vitres rmet de donn

complétement. Mais la terre doit être humectée avec pré- caution et parcimonie ; on doit avoir soin de ne mouiller aucunes parties de la plante, et on doit choisir les mati- d'hiver qui annoncent une belle journée bien claire. Sauf peu d’exceptions, ces soins se réduisent à abriter les plantes dans une chambre bien exposée en plein midi, suffisamment éclairée, et recevant la lumière du soleil chaque fois qu’il brille. Ces conditions suffisent pour con- server nos plantes pendant la mauvaise saison d'hiver *, ,

seront émerveillées de la rapidité avec laquelle Fe

1 En Allemagne, br : I coup pl oh que chez nous, beau ps d'amateurs se pre pendant 5 Amd tnt n plein , Saus y faire de fe

leurs plantes dans une chambre Leu nsée €! pen

nt tonte la e mA de [a saison: les unes per.” acées sur des rayons derrière les vitres des croisées ; : be ee sur des tables à une Lacs Pres distance de ces croisées » que Von üvre t s les matins am moment on nettoie : d’ te mis mème exposée s à une Gb lumière, “recevant la . poussière, et n'ont Fra humidité que celle qu n'elles eur sortie Chez nous, il est pére de voir ue rs ou trois pars qe ornent eu. croisée de l’a rüisan passer 1 ver dans 1 e chambre mal et sans # À

Feu,

Un horticulteur d Le ao près se \ t on voit

M. Duval, dont on . quelques . spportées sn Bah eo de ssl de Paris tous les jours de marchés ses plant pri se so mal ee exposée au

* be

midi lui d’une terrine Re

Dune qu PE _——. pendant , nuits les us froides u river il élève

568 CULTURE DES CACTÉES.

plantes reprendront aux premiers jours de beau temps ce qu elles avaient perdu pendant les mauvais temps, et que si elles ne jouissent pas d’une végétation aussi luxuriante

sine pour elles sera re Je crois que pour les plantes qui peuvent être chauffées ns une serre pendant la mauvaise saison, il faut prendre

peu près nuls dont vous venez de nous entretenir sont suffisants, pourquoi se donner tant de peine pour obtenir des plantes peut-être plus délicates que les premières ? . Je répondrai que celui qui tient à avoir un cheval pour le garder à l'écurie, peut très-bien n’en prendre aucun soin; pourvu qu’il ui donne à boire et à manger, el qu 7il renouvelle sa litière, il gardera son cheval plus ou moins longtemps; mais que celui qui à un cheval pour en ürer un bon service sera Pesclave d’une foule de soins qu’il ne

comme du cheval : celui qui conserve ou qui cultive des plantes pour son agrément, désire voir leurs fleurs ; äl Commence par une dizaine de sujets, bientôt ce premier groupe saceroit.

il s’attachait d'abord à un genre, ne voyait de fleurs que pendant une quinzaine de jours sur l’année ; il a voulu

ainsi + conserve Le plantes depuis vingt ans, et montre les sujets les plus robuêtes que j’aie v

Less l'hiver. de 1848, e fus obli g Fa pesé un logement j'avais la jouissance d’un jardin SU equel }; s fai strñire une pelite se rre; je gardais er échantillons des sapations des ne sr les plus précieux de ma Colle ; dans le nombre, je ci Horizontalonius, de nie uphorus; M f Elephantidens, ete.; Je Pelecyshora Aselliformis : toutes ces + Due pr Phives dernier, ont êté expasées dans une chambre au rez-de-chaussée, en plein midi et sans feu; elles y étaient arrosées tous les quinz re peu près, et ont parfaitemen ent Me ee. 3 à à ri

#

= à je corrige les greg toutes ces plantes portent RE succédé les unes does ms Intrapiants depuis trois mois.

CULTURE DES CACTÉES, 569

plus, ila conservé le premier genre auquel il est venu en ajouter d’autres qu’il choisit souvent parmi fes plantes exotiques ; ou s’il les a pris parmi les plantes indigènes; le désir de multiplier ses plantes Pa bientôt gagné. Dès lors il s’est muni d’une serre, et c’est précisément dans ces conditions qu’il peut, avec quelques soins et quelques précautions, assimiler notre climat à celui des tropiques, forcer nos plantes à étaler à nos yeux leurs splendides floraisons, comme elle la montre aux habitants de l’Amé-

rique. Or, dans ces dernières conditions, nos Cactées qui, tout à l'heure, végétaient lentement, acquièrent une luxuriance de force et de végétation qui est p presque in- connue en France; il fallait attendre cinq six ans pour leur faire atteindre un volume de 10 centi- mètres, elles l’acquièrent en trois ans, quelfuefois moins; elles restent couvertes de leurs fleurs pendant toute lPannée, ou bien, si leur floraison est sa one elles fleurissent deux ou trois fois au lieu d'u

Pour celui qui peut disposer de ces un ces avan- tages méritent bien quelques soins de plus ; ce sont ces soins-dans le détail desquels nous allons entrer. Ils ren- ferment, en outre, de nombreuses indications qui seront utiles à celui qui n’a pas de serre.

Tout d'abord nous croyons devoir nous élever contre Pusage qui consiste à cultiver les eactées à l'exclusion de toutes les autres plantes dans les serres. L’uniformité qui

résulte de l'assemblage de toutes ces formes réguliéres,

entraine quelque chose de monotone avec elle, et rien ne s'oppose à ajouter aux charmes et à js rs née _—. Collection de Cactées, le pittoresque qui résulte du

. lange de la variété des plantes au milieu “serre cles viveut dans leur pays natal, notre but ne peut être i d'entrer dans l’énumération des plantes dont on peut asso- cier la culture à celle des Cactées, les indications et les dé- tails dans lesquels nous sommes entré lorsque nous nous sommes occupé du climat des régions intertropicales de FAmérique, constituent une première indication que la pratique et l'expérience des horticulieurs pp rs

+. uu vie frites g'ée rrceees opnf pe eresesssoqf ot sers ommf drpe Dites sagne gén

CULTURE DES CACTÉES. 574

Comme nous lavons vu, les régions intertropicales ont deux étés et deux hivers ; pendant que nous parcourons nos quatre saisons, leur deux étés sont Pun au commen- cement, Pautre à la fin de la saison humide, les mêmes saisons ne se présentent pas simultanément dans les deux hémisphères ; pour chaque région, la saison des pluies répond à l’époque le soleil passe au zénith.

Les tableaux que nous avons déjà donnés nous permet- tent d'étudier gs intimement les variations des tem- pératures ex ont nous avons PE quelques résultats dans de nouyeau tableau, page 5

Ici nous apercevons, plus encore que nous n’avons pu

diverses saisons, ont un maximum de 5 degrés au-des- sous, et qu’elles se réduisent quelquefois à quelques dixièmes de degrés, tandis que, dans quelques localités, les températures extrêmes présentent une différence de 13 de- grés environ. Toutes présentent des différences beaucoup moins importantes, qui sont produites par des températu- res extrêmes moins élevées que celle que nous PRE dans nos climats, par exemple, à Paris, la moyenne, pour le mois le plus froid, est de 1°,8 en janvier; celle du mois le plus chaud, 18,9 en juillet, ce qui donne une diffe- rence de 17°,1 ; et la température la plus basse obser- - vée est de —23,1; la température la plus élevée, 38,4, ce qui donne une différence de 61°,5

Le but que doivent se proposer d'atteindre les personnes qui s’occupent de cultiver les plantes exotiques , est non- seulement de chercher par des moyens artificiels à leur donner la température qui leur est nécessaire pour fleurir et fructifier, mais encore d’assimiler autant que faire se peut toutes les conditions de distribution de chaleur, d'hu- midité et de lumière , de manière à les placer dans des conditions climatologiques analogues à celles dans les- | Je se trouvent dans leur pays natal.

572 CULTURE DES CACTÉES.

Ici nous entendons par été, comme cela doit étre, une - période de temps pendant laquelle la chaleur reçue par les plantes sera supérieure, de quelques degrés seulement, à celle reçue pendant une autre saison que nous nommerons hiver; sous cette condition, il sera possible de produire sur nos plantes, pendant les trois quarts de l’année, influence de la chaleur des étés, et, pendant un tiers , celle des hi- vers tropiques. Notre climat nous donne l’une pendant les mois de mai, juin, juillet, août, septembre et octobre ; lautre peut être produite artificiellement dans nos serres pendant les mois de février, mars et avril; il suffit de chaut- fer seulement pendant cette période, et de n’y faire de feu pendant tout ce temps que ce qui est nécessaire pour em- pêcher la température de baisser au-dessous de 4 à 6 de- grés centigrades !,

# Dans les hivers ie années communes, ibest .- de faire du feu dep

dans les serres, is leur rentrée jusqu’à la fin de . Mais, comme ro ue les hivers sont Pr cu et que les plantes ne sont pas, comme l’homme et les animaux, susceptibles de sup- porter chmats ee. il see se _— préce utio nf os ces hivers. Pour donner une idée de leur Erégu s hivers les blus rigoureux des temps modernes : 860, 4133, A6, 1234, 1236, 4290, 4302, 1 4323, 1334, 1364, 132, 4460, 41168, À 493, 4507, 1534, 1565, iso. 4570, on 4594,

LS 1603 . 3622, 1638, 4637, ST. 4058, 4662, 4663, » 4677 4684, 4709, 4745, 4726, ma a du midi de l'Europe ont ge é.

1742, %. 474, à ce id, 4762, id 9. 3766, we es id, 9 4767, Fr id. 46 rs de . E 9

; _ _ Ne 4829, Lu id. 443

Un des gt de Lasse température qui s’est étendu pendont l’hiver, mon-seulement sur toute l’Eur 4 ne encore en Egypte, est rapporté par Abd-Allatif {Traduction de Sylvestre de Sacy, ner En 829, quand le jacobite d'Antioche, sde T l “4 avec g" calife Mamoun Rene te >ls trouvérent le Ni gelé. :

+ ératures Pa moyennes ne doivent pas s appliquer aus aux pe ivers sn L est - Zur a been des hivers dont nous venons de dvi, a : 1Fest probable qu'anc grande pes des cultures de l'Okvier Lauriers , te, pale st endommagée.

la culbire des Cactées d loit de trois mois chacune et coïncidant à peu FT avec saisons, hiver, printemps, etc. Pendant deux de ces pério- *- des, nos plantes sont rentrées soit dans une serre; soit dans un chaines por y être abritées contre les gelées : ‘etl'humidité de l'hive ‘hiver ; pendant les les deux autres, ellessont exposées en ne.

nn è , HE Lena f

de ne pas faire de f tte tbe ae le une à Scie er en u | arrose; les journées les PR soleil se montre bieu clair.

574 CULTURE DES CACTÉES.

Li PORT NE hs E

ible promet Le po déjà devenus journaliers doivent être continués et aceor _…. de fréquents bassinages à partir de la mai. Les mèmes ébratl contre les de soleil sont encore nécessaires ; on les évite en éta- blissant sous les coffres une circulation d'air abondante et copieuse, qui + En pécessaire pi au développement des plantes + À partir du milieu de j jui les plantes doivent être entièrement dé- a abrit tées se seulement de une beure à trois heures de l'après— midi contre l’action trop pros ntaer, 2e à l’aide de toiles à larges mailles da employées pour le même o

D. oi, Septembre, Octobre.

- Les plantes, doivent rester découvertes et être abritées seulement dans sen are mme on le faisait précédemment. Les arrosements doi- vent être diminués peu à peu, et, à partir du milieu de septembre as Fe à ceux que leur donnent les pluies ; à partir de cette

les plantes ne réclament plus d’autres soins que ceux qui ont so "bat d’éloigner d'elles les limaces et autres insectes qui peuvent leur être nuisibles.

Lorsqu'on ne peut pas disposer d’une serre pour notre culture, il est bon d’abréger le plus possible le temps pen- ut lequel les plantes doivent être tenues enfermées der- vitres d’un appartement. Pour cela, dès rh sk , vers le milieu ou la fin de février S plantes dehors, en ayant soin de les abriter hs ffres hâssis vitrés, afin de les protéger contre les gelées tardives , les pluies intenses et les alter- natives de beau et mauvais temps, qui rendent, sous no- re climat, la température des mois de mars et avril très— _Yariable. On m'objectera, sans doute, que, pendant la saison hi- vernale , les plantes es ont leur période de repos, et toutes Îles plantes qui ont été transportées des tropiques ont con- es à fleurir dans nos serres à l’époque elles fleuris- tent dans leur patrie, et que, pour ces plantes tirées de. se sous des latitudes qui différent entre elles de 5%, 60 et même 80 degrés, qui, par conséquent, ne reçoi- - vent pa “toutes l'été à la même sertie il serait dangereux

#

‘re

à por

CULTURE DES CACTÉES. 575

picaux Sont constamment en sève dans lettr pays, le plus souvent un côté des arbres est chargé de fleurs et l’autre de fruits ; si, pour elles, le mouvement de la sève semble s’arrêler ou plutôt se ralentir dans nos serres pendant la + mauvaise saison, C’est qu’aussi elles sont privées de la cha- leur , de la lumière et de l'humidité qui leur sont néces- saires, et quand elles reçoivent assez abondamment ces agents, elles fleurissent aussi bien en été qu’en hiver, sui- vant l’époque de leur floraison dans leur patrie; pour tou- tes, il y a deux époques de repos , mais ce repos n’est pas absoln, comme celui des plantes et des arbres de nos cli= mats; il consiste seulement dans un ralentissement dans le mouvement de la séve.

Pour le plus grand nombre de nos plantes grasses ce repos semble indiqué pendant les mois de décembre, jan- vier et le commencement de février; en outre, pendant le mois de juillet, quelques-unes de celles qui ; Placées en pleine terre; sont exposées en plein midi et ne reçoivent pas d'autre arrosement que la pluie du ciel, semblent sou- mises à un second temps d'arrêt. Autant le repos de nos plantes grasses diffère de celui de nos plantes indigènes, autant aussi cette seconde période diffère de la première. Ici celles qui sont déjà chargées de boutons à fleurs n’en développent plus autant de nouveaux; les fruits qu’ils donnent ou ceux qui existent déjà contiuent leur période de maturation, mais les tiges des plantes subissent un ralentissement dans leu r accroissement, tout en pr tant le même caractère de robusticité; elles sont sou

5 à un travail intérieur qui a pour but de re _ je dirai presque d’aoûter les parties tendres et vertes. Ici le repos n’est pas indiqué par un temps Due une sorte d’affaissement des plantes, comme pendant Phive er, mais par un ralentissement dans leur développement et leur issement. se

Cet état est remarquable pour les plantes placées em

per terre, exposées uniquëment et complétement aux ces de notre climat ; il est inappréciable pour celles _. qe continue à mouille er et à bassiner comme par le passé; mais, dans « ce dernier cas, les parties vertes qui

PS

576 CULTURE DES CACTÉES,

continuent à se développer sous l'influence de ces moyens . artificiels, sont plus exposées aux coups de soleil, et lors- qu’elles n’en sont pas frappées, même en plein air, il arrive . Que le soir, quand on examine les plantes, la surface de quelques-unes est ridée, et que quelques articles d'Opun- tias sont ramollis de manière à exiger des supports. one, dans les conditions de Culture nos plantes sont placées, elles subissent un premier temps de repos, qui commence un peu après leur rentrée en serre, et dure jusqu'à la fin de janvier, un second temps de repos, qui mestplus marqué par un arrêt, mais par un ralentisse- “ment dans la végétation; il commence à se manifester, vers la fin de juin et dure jusqu’à la première moitié d'août. A cette époque, la chaleur commençant à perdre de son intensité, la température devenue plus douce , les plantes reprennent un peu de leur activité, et cela dure jusque vers le milieu d'octobre. Cette dernière période et celle que nous faisons commencer en février et durer jusqu’au commencement de mai, constituent à des degrés différents les deux périodes d'activité par lesquelles nous remplaçons les étés tropiques. Elles présentent avec ceux- ci celte différence qu'elles répondent à des températures ins élevées, il est vrai, mais aussi elles ont avec elles ce bien plus important de concordance d'époque et

&

msles lempératures auxquelles nous les soumettons pendant leur période d'activité. Celte manière de disposer des éléments, chaleur, humi- dité, air et lumière, qui sont tous quatre aussi indispen- sables l’un que autre, présente cet avantage, C’est que la transition d’une période végélative à une période de repos ne se fait plus brusquement ; au contraire, elle est lente, elle procède par décroissement ou progression, par une dégra- dation qui est en rapport avec ce qui se passe entre les tro- piques, autant que la rigueur des hivers de notre climat le a | ee Si les températures, correspondant à lune de €es : ir : iodes, celle d'hi Le diftèr the l'an d I b * ©n Amérique, comme nous l'avons vu par la comparaison des résultats d’obserr

CUSAFUE FU

x ations consignées dans nos tableaux, es, ne présentant plus avec la même rapi-

dité que dans les méthodes de cuit re suivies autrefois, elles ne présentent plus la même DR, elles peuvent être subies, sans effets fâcheux, pour nos plantes.

| Une pr à conséquence résulte de cette manière de procéder; c’est que, pendant toute la durée des deux pé- - riodes dti » NOUS pouvons mouiller et arroser nos re aussi abondamment que possible, sans être affligé

| | les

j .

| | &

| à l'aide d

les plantes que nous avons traitées de cette peer arr

Ë pris 1 une vigueur et une * précocité que jai rarement ob

L -

RE, De l'un et de arrorement,

| 0 « ; Si nous 1C $ les observations que nous ayons pu féceciiir dans Le tables météorologiques, nous aurons 3 une première idée de la quantité d’arrosements que les |

Cactées reçoivent dans leur ag en _—_— les nom— en mon on trouve

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a Cost ainsi As pm ti me Bret tardirement, nt] 3

“3 8 Les a He mr F4. a rune

578 CULTURE DES CACTÉES.

Pour les mois de juin, juillet , août, septembre et oe- tobre, pendant lesquels nous conseillons d'exposer les plantes en plein air, nous trouvons, pour Paris, 57 jours

de pluie, ce qui est à peu près le tiers de ce qu'elles reçoi- vent sous les tropiques pendant toute l’année; ce nombre à

re encore des 102 jours du nombre des jours de À pie qui devraient être di san pendant leur pres ode de

44 SE à s y recoivent. Ces Nes. à eux seuls, prouveraient . | certainement que nos plantes exigent aps 16 de |

cées à Pair

E x <

ience m'a pleinement démontré que les Cactées nt 1p d’eau tant qu’ils sont exposés en age air, ps la tempérainre n’est pas au-dessous de 10 à 12 degrés. D’autres faits viennent démontrer cette proposition. Delair, nef en shot + Jardin botanique « d'Or- qui les ont redeva

ST AU

amment pue le ii peut; les ion ne le alain re 0 . côté de la vig gueur et de la beauté, à celles que J ai obser- -

5 | vées dns beaucoup d’autres Collections Peau était 1

me"

ee n * Moi-même jai suivi celte méthode et m’en suis toujours : trouvé, tant pour les plantés: saines et placées dar les mêmes conditions,

pendant la belle saison; jonteluis, pose e us ri ea le soin de «

SRE iii “re Le Di ere PARU RUE PO TN SL NUE PAR oRe RAS Ris et Ce SRE LS 7-7 C US SAN UNGN à | cie GUUR Re ER EN

CULTURE DES CACTÉES. | #79

40 centimètres de longueur, sur 1 mètre 30 centimètres de large; cheque coffre, outre les bassinages journaliers du malin et du soir, à quatre heures de l'après-midi, reçoit, tous les deux jours, de copieux arrosements, ayant la va- leur de 4 grands arrosoirs par coffre; toutes mes plantes végètent admirablement et doivent aux effets de la pleine terre, d’une

une ge et une vigueur de végétation que je n’avais pas

nv

enues di bit culture de ces plantes. Presque tous les sujets ainsi trailés ont triplé depuis mes Prri poil fin de juillet.

Dans la serre du Jardin Lolaique: ds > École de de phar- macie de Paris, un pot de l'Echinopsis Eyriesii Zaces- ee rini était tombé de dessus une tablette dans le bassin qui .

rs ce pe: ma assuré | le le jardinier Germel, dt puis la décem ivant. J'ai cr à rs quelque temps sons cette immersion prolongée,

elle élait aussi vigoureuse et aussi ussi bien portante que ses . congénères.

s bien longtemps j'ai pris l'habitude, pour net- Le les plantes attaquées par les insectes, de les : racines à = nu , É sd de les laver à grand

doin pd

s brosser des: Veau à Faide d'une brosse oucez;

_ 580 CULTURE DES CACTÉES,

à vide, je me rappelai alors seulement qu’il avait été onblié - dans la cuve; après examen, ayant pas retrouvé ma

plante, jeme disposais à la remplacer, croyant bien À 26 jardinier

rosoirs, en prenant de l'eau. Ma ae fut bien es au bout de ma plante au fond a ps l’eau ; elle était parfaitement tite etcomplétement barre. Remise à sa place, en pleine terre, elle y vé- gète tout aussi bien que par le _e depuis la fin de mai, | époqu eoùelle fut retirée de l’ea r fait prouve, crois, me pendant son séjour démPeu la plante a absorbé du liquide, car d’abord elle surnageait à la surface de la cuve, et plus tard elleest descen- due au fond ; il y a donc eu changement de densité, qui ne peutètre a tiribué q F Cette ab-

p f. car anrèc l’immer.

: sion, tonte la surface est réstée _— cata ; elle a se faire par les racines ; elle a être surabondänte, na > plantes immergées, soit après l’arrosement , soi soit

i par consé- moins denses Ke l'eau. S'il y a eu absorplion d’eau : te, augmentation dans la nue du

que Pa:

ne peu ut être nuisihlé tant qu’ils sont en eine végétation et ce la

rature est convenable. _

il ne faudrait pas généraliser cette proposition, se fon der sur l'accident de l'Ecole de pharmacie pour re

Es date ce cas, était échauffée par : un _. du iher-

CULTURE DES CACTÉES. 581

amateur qui n’ait eu à déplorer quelques pertes, Sites: les uniquement à cette cause, humidification par une température trop basse et en l'absence d’une ventilation convenable. Ces faits sont trop nombreux pour qu’i il soit utile ici d'entrer dans leur détail. Je crois avoir suffisamment établi que par la culture en plein air, pendant les mois de juin, juillet, août et ge me armes que la chaleur solaire permet une tune végétation active, les

_—. le mois d'octobre, ils doivent être press se rédui ceux que donnent les pluies, et encore

plantes doirentelles être garanties à l'aide des p. contre celles-ci. t

trop ons: on doit éviter que la terre des. pots:né

soit trop humectée au moment de leur rentrée. Car, la

commencement de la belle saison, mais toujours d

reux à une époque le soleil ayant perdu de sa force ne - Le facilite plus autant lévaporation et le défaut d’une

bonne ventilation dans la serre ou l'absence de feu, loin de favoriser cette évaporation, maintient Fhumidité ‘de la

terre, arrête l’activité des Su, 26: et détermine, à la sur= face des pots, des moisiss res qui, Fnisiont Las envahir

CULTURE DES CACTÉES,

durée, détermine une modification dans l’état des plantes; _ d'un autre côté, la longueur des nuits pendant lesquelles _onest ire. de couvrir les châssis avec des paillassons, r un sommeil, un repos de la végé- tation, e existe réellement et tend à remplacer dans nos plantes la faculté de s'assimiler le carbone par une perte des éléments absor es orga indique qu'il Gr ma de chercher à les presse. en leur . um des agents en l’absence des autres; en outre, comme nous l'avons montré, l’action de la lumièsie in t avec l’action des autres éléments, tend à pro- duire une végétation étiolée. Aussi conseillerons-nous de ne faire du feu dans les serres que dans le but d’ ‘empècher bon eh descend re ne de 4 à cen-

le feu. Au contraire, si les ss se dessèchent, si 1e séseé

à devenue srièn, il faut profiter de la première journée bien séché _— il se a Ma arroser les _. nr :

CULTURE DES CACTÉES. 583

mbdes que redoutent tatit les. horticulteurs. Il m'est ar- rivé dans le désir de forcer des plantes, que je voulais faire grossir rapidement, de les tenir en complète végéta- tion pendant la mauvaise saison, en leur fournissant de la chaleur et de l'humidité même pendant les mois de no- vembre et décembre; mais en fin de compte, cette végéta- tion, qui n'était obtenue qu’à force de soins et au moyen d’une d de chaleur, c’est-à-dire de combustible, ne présentait pas d'avantage : les plantes, qui n’avaient pas été ésoignées de même manière rattrapaient les pre- mières penda nt les premiers mois de leur culture en plein air et elles étaient plus floriféres. Sans obtenir ; sente. je consommais inutilement de la chaleur, L it être employée plus tard d’une manière <fMicace

et, en rie une végétation presque étiolée, j tais des A 2er de pertes que se 7 froids i

lière ; les agents les sis importants, la te solaire, A la lumière, Puit; commencent à agir sur la pm re Les semblent se réveiller de eur sommeil hiv . ER

[ v Vers le milieu de nn sont

CULTURE DES CACTÉES.

venus plus longs, que les arrosements sont devenus jour- naliers, il faut élever la température jusqu’à 20 ou 25° cen- tigrades, afin d’activer la végétation des plantes qui ont déjà montré quelques gemmes, quelques bouions à fleurs, nee nt le sommeil des se prolonger, enfin faciliter

développement des jeunes semis qui doivent être levés, is la reprise des boutures que lon doit commencer à faire.

es période est celle qui demande le plus de soins ; ac vilé qu’on cherche à donner aux plantes tend à les plus délicates ; le long sommeil auquel elles ont été soumises leur à fait perdre une partie de la robusticité qu’elles avaient acquise pendant leur exposition à l'air libre ; leur réveil peut être suivi d'accidents, si pendant celte période d

nous avons donnés précédemment. En outre, les rayons du soleil, qui ont pris de la force, les exposant aux conps de soleil qui sont très-graves et qui entraînent des lésions angereuses qui déforment. les plantes pour plusieurs es et les arrêtent dans leur développement, si elles pas la perle des su sujets. s ficheux ux accidents, il faut donner de l'a sir,

- = F fois à

ma U dan: son ardeur; il faut que midité soit constamment en rap- port avec Pin des s autres agents, chaleur, lumière et _ air;le défaut ou insuffisance de l’un d'eux, concordant _ avec une trop grande humidité, peut entrainer des mala- . qui n'ont d’autres remèdes que l’amputation. Enfin * il faut se rappeler que sous leur climat nos plantes sont sou à une chaleur constante, presque un a © que iations thermo

à

parlé à propos de la plus grande chaleur du jour, et enfin,

CULTURE DES CACTÉES. 585 l'être également et produire des effels analogues, enfin, je ne saurais trop le répéter, ne-jamais oublier que c’est au concours simultané de la chaleur, de la chaleur solaire (chaleur et lumière), de Pair et de l'humidité, qu'il faut attribuer toute végétation active.

Enfin, nous arrivons à la saison nos plantes nous dédommagent amplement de toutes nos peinés ; alors, il faut les mettre en pleine terre, sur couche, ou au je res sortir les pos la chaléur de la couche qui se fait sen AGE semaines ou deux » va en saaiblisant,

+ 44 #1 ans

n même l

ais nous permet ‘de maintenir cette unif pérature qu’il faut rechercher. Dans ce but, il faut tenir ‘encore les plantes dans des coffres couverts de châssis vi-

trés, afin d'éviter les abaissements de température qui

résultent des changements de temps; il faut avoir soin de

les lever par-devant, le matin, et de les refermer le soir; il faut les couvrir avec les toiles dont nous avons

_. _ humidification abondante si utile pendant la belle ue ces soins, l'accroissement de nos plantes sera sur

nt de longs aiguillons, qu’on n’obtient jamais ncien. mode de cut lture Re elles fleurissent : se | pl

eaux à employer. . Pour

: ‘ne En renitte 4, cc & DER PMU à

- no elle deit ètre exposée en plein air, au

à à - | Pons doses ie L Ce P es

Es

nn __— afin de me

586 CULTURE DES CACTÉES.

2

+

Parmi celles-ei, il ils’e des sels de chaux, qui se nat sur la surface des pla tes par l'évaporation, et péu à peu les recouvrent par couche calcaire, qui arrête leur végétation et entraine quelquefois des maladies. Je mai jamais observé cet in convénient pour les plantes cultivées en plein air, mais ir bien souvent combien ces effets étaient fà- at ARS les plantes pendant leur séjour is les

"38. Cels, chaussée du Maine, 77, à cer _ se faisaient, il ya quelques années, avec

pour la son orsque ) l'éloignement de toute autre eau à red son oipios __—— avant de s’en servir, il faut la laisser séjourner au moins pendant

ae 27 ris heures à Pair libre; puis il faut pans les deux . = ou trois jou rs jeter ane Bas cuves des serres _ is de à UE PE À

A CULTURE DES CACTÉES. | 587

ment des lichens et des mousses , qui sénent tant les per- sonnes qui font des semis.

La manière de faire ces arrosements, l'heure à laquèllé on les fait n’est pas non plus indifférente. L’arrosoir dont on se sert doit être muni d’un bec effilé; pendant été, Peau doit être projetée sur le sommet de la plante et non sur ses côtés, parce qu’alors elle dérange la terre des pots et es les sujets; pendant Phiver, elle doit être pro- jetée sur les bords de cette térre dans le même but, et afin d'éviter de mouiller les plantes,

__ Jusqu'à la fin de mai, les arrosements arte se faire le matin avant neuf heures, Parce que la | chaleur de la journée p t la nuit, qui pent être froide ; pendant la belle saison, ils doivent se faire dans après-midi, après quatre heures, ou le matin avant dix heures, parce qu’à tout autre instant du u jour, Phumidité qui pourrait rester sur la sg des pe none les pont à.des coups de soleil.

AV. 2 Bropihption à maté phatéos Ben Gén.

Peu de plantes se multiplient aussi facilement que Re Cactées; leur propagation peut se faire soit par semis, par bouture

La propagation par semis est la end du pra res me dos > grand 1 sujets qu’elle } celle sujets pro brie

L'époque la of favorable pour erniè _ moitié de février la préinière. moitié de mars, parce qu qu’elle p e dans le cours

dun été le volume ‘d’une noisette, et qu'il est plus facile. alors de leur faire passer Phiver ; les semis faits plus os . _ Sont encore ent d'être icais LR lan mauvaise

ayant peu Foi Rprès avoir garni leur fond, on Ep

588 CULTURE DES CACTÉES.

terre préparée comme il est indiqué à l’article Terre ; on fait en sorte, après que la terre a été légèrement tassée de manière à rendre sa surface unie, qu’il reste encore un espace vide de un centimètre ou deux au-dessous du bord.

terre doit être légèrement humectée. Cela fait, on épar- pille la graine vers le centre, en évitant de la répandre _ Yers les bords, parce que c’est dans cette dernière partie _ que se forment les mousses et les lichens ; il est bon aussi

le semer assez serré, parce que les jeunes semis se sou-

dessus de 10 degrés centigrades. Les graines germent et lèvent plus ou moins facilement : quelques-unes en douze

ils sont abrités, Quand les aiguillons commencent à se

o! semis commencent à caractériser-leurs |

| ifier les arrosèments; il faut les arroser - les plantes en pots, mais à l'aide de

_. il est inutile alors de conserver léster-

aa. Le

CULTURE DES CACTÉES. 389

mousses et de lichens, qui gènent et étouffent les semis.

Le seul remède consiste à repiquer un à un chaque semis dans de nouvelles terrines. Je suis cependant : parvenu à arrèler souvent le prompt développement des Lichens, en remplissant le fond des pots avec du sable de rivière, en renouvelant deux fois par jour Peau des terrines, en n Demplerak qe Re Foon Parfaitement propres ae en de

ss des vases de terre vernie, en donnant de la ts et de Fair aux semis, sans toutefois les exposer à toute FRE Less soleil Pour cela, j Je peignäis les pertes ms

tres

.

pan a pour Le aquarelle.

Les graines des Cactées - conserven L'pendént longtemps

leurs facultés germinatives, surtout si on les conserve d:

ans les baies qui les contienne nt et dans un endroit see.

Les jeunes sont cependant toujours préférables aux les. Je me suis toujours très-bien trouvé de les Le

À tremper onnient gr mp heures dans de l’eau à Ja temp

5 degrés, avant de les semer; par ce

mo en, 7 pme fré çaient à lever après rois quatre jours, ; et l'étaient p: pres-

_ que toutes au bout d’une quinzaine. Pendant la premièr

partie de leur développement, c’est-à-dire jusqu’à ris | que ils ont akteint Ja. grosseur d'une noix, les semis F gr

ansversalement, de-m enlever la tête; on fait Less les plaies de la Je ie et de la a _. e ture. La

plan nte

590 CULTURE DES CACTÉES.

former un nouveau sujet, toujours identique avec celai dont il provient. Les boutures de tête es toujours __ avec quelque difficulté, et ne prod plantes _ saines el robusies. Pour. la SA MORE par bouture, il faut laisser pren- dévelo

: raient dans le même cas que les boutures de têtes, etne : que des racines faibles et grèles. la plus convenable varie avec les espèces. Il faut _ ia bouture soit assez grosse pour que les liquides renferm - dans son tissu cellulaire suffisent pour alimenter “roms 3 er creme Perron nv : 4. de

EE. 1

est la plus p > À la reprise, dut re, sauf quelques _ Lo év re elle à atteint un peu plus que la gros

_ seur d’une noisette. Pour les Cereiï, les Opuntias les Epy- . pléilies, les ho les Rhipsalis et les Peireiscia, l'époque la A cotianes CE SR

D OP RS DU Ne Te

pression de toutes ‘les j jeunes pousses, la plante, ne trou— vant plus à se développer ni en hauteur ni latéralement,

pe: à -boutures sur une sea mère, il est utile d'activer la végé g a chaleur et par de fréquents bassinag ‘Le moment.lé plésopporii pour la reprise des boutu- est celui } Cactées ne demande plus l'abri de la serre; c’est surtout surtout depuis le commencement de mai jusqu’à la fin de juñiet. À celte époque, pendant

un ou deux jours, on fait sécher dans un endroit sec les -

de les placer sur la terre. Quelques cultivateurs ont l'ha bitude d'exposer la plaie au grand soleil pendant un deux jours ; celte méthode m'est est applicable qu'aux boutu-

me da qui offrent une ini plaie. ie. Pour cpllesquiaone . elle a

jeunes, la plaie,

offrant au DR eee mue" ce soin m'est plus nécessaire, il est même pernicieux, car | Vaction brèlante des rayons du soleil pendant la belle sai

| son pourrait EVE mn . | propres à la reprise.

ro Brode sèche, 5 ml amd ra tant |

592 CULTURE DES CACTÉES.

*. cette époque ia boulure peut être rangée avec les autres

_. plantes. Pendant toute cette période, la plante demande

un peu de chaleur, quinze degrés environ, plus si cela est

- possible, mais il ne faut Pexposer à l'air, à l’action du

soleil que quand elle a ri Jormé quelques racines, -et qu’elle commence à végéter

Les bouiures reprennent. plus ou moins facilement, sui-

: vant les espèces : quelques-unes au bout d’un mois, d’au-

Pnes de st | titles racines sur des boutures —. reprise diffici cela, au moyen ( de deux petits bâtons s que je plaçais en es

de.

. ture à un centimètre environ de la surface de Peau; j Le

_ gardais le tout A

- ren rae des racines : au bout de huit j jours, d’autresau d de t

ai. nhalonium, 1 berg: qui Éhaueat rarement ‘des pousses, | peu vint se : multiplier sans pe < soit obligé de pratiquer la section de tête. On peut enter de couper des lons que l’on traite comme les . _ boutures. Bientôt ces mamelons poussent quelques raci-. | gs À as

ent, produisent à leur base un jeune sujetqui e à son lour, peut être détaché et mes tard est

un enracinement ae prompt que #0 être Gus ; _

CULTURE DES CACTÉES. 593 dre, d’un endroit bien éclairé, suffisamment

lequel on peut oblenir une température à peu Le con- stante de dix à quinze degrés.

XV. De la terre.

Fos leur patrie, les Cactées croissent tantôt dans une terre très-riche, tantôt sur un sol tourbeux ou argileux ; d’autres fois dans les fissures des rochers ou sur un sol

ou sabl Aneux. Qué que soit le sol ils pren- nent naissance, l’habi al cupe consacré la terre franche pure, puis la te ée de terre de bruyère; et dans ces dernières 2 années, , la terre de bruyère pure, dont l’usage jusqu'ici a mieux réussi que celui des autres lerres ou composts.

Dans ces dernières années, l’analyse des fragments de terre qui étaient reslés adhérents aux racin ne sujets envoyés, a montré qu'aucune des >

précédemment ne représentait dans ses éléments les qua- liés de celle aus rencontrent dans leur patrie; on a

omposis. Parmi ceux le Fe généralement employés, j je citerai les suivants : : : 3 parties ce terre de es pes bien décom posée à l'air.

ï pariie de terreau de c

_— PE me de terre de brune.

+ 594 CULTURE DES CACTÉES.

Ce fnélage est également propre ä la culture en pots.

1 partie de terre de _e 1 partie de terreau de gazon 1 partie de terreau. -

Également propre à la culture en m POIs.

propre pour la Évliuré. en “pots. mployés av ec succès en Alle-

Las : 38 5 + Bi FR = & ta a, œ 5 E T à : =

se recouvrent les : souvent les j jeunes semis :

RE 2 oo

roportions du mélan, Sri à Oh mere D ruyère ; il faut que le compost soit bien meu- . ed sien il est préparé, on reconnait sa Dm en en : + prenant une poignée que l'on serre dans la main; el

he FD PT j

me procurer de la terre de bruyère sans en sion é

ES TÉRA que je recevais, je me suis décidé à former | le « co- posi suivant, dont je me trouve bien pour la pleine terre : 1 partie de terre de jardin. 1 partie de vieux fumier consommé depuis trois ans environ. 1 ah es terre de basse-cour. 1 partie le. tadu ie mélangé et passé à LL claie. :

Fai vu dans le pays quelques Plantes cultivées nt en a à A roe

de a ierre cdisaire: “suffisamment smeubfés | PH Ja-

rite 3

me assez beaux exemplaires. ne. Sagr quelques années ôn a préconisé l'emploi den. .

grais, tels que poudrette, noir animal, charbon et guano.

_ Paï ëssayé du charbon dont je n’ai tiré ni rséralrèleo ct

tage, bien qu'il soit très-préeonisé par les Allemands.

gré lout à conserver ie

J'ai fait quel animal, ces essais ne F

_m’ont amené à aucune conclusion favorable ou ble; je crois que l'influence d’une bonne exposilion en PER air ag la belle saison à amplement suffi pour

à

locereï, eten paitioutine elle du Piles Se Seniis. ne observation mérite d'être vérifiée à nouveau. :

ancer les mauvais effets _ au dire des Alle- _

a 596 CULTURE DES CACTÉES.

| Des: toutes les plantes soumises aux essais Ont pris un

ton vert, une vigueur tout à fait antles

premiers mois, mais à la fin 2 la . je fus acciden- |

tellement obligé de Er 508 tous mes sujets avaient -. : +

perdu | leurs racines : elles : s étaient mes puis yann ; de

_trémité de l'axe métulisite. le mal s'était rèté, à | À Loyeies remplacer le pivot et les racines détruites à cactéaphile es engrais est rent rejété par les

| sur dev sujets nn soumis à des . S identiques sous tous les autres rapports. Ce west qu'avec de see précautions qu'ils peuvent être tentés sur dès sujets de collections à Les terres, avant ur Fr doivent être compléte- ee à : un. tamis ; ne hr + à me "RE PRE es contre les grändes sécheresses et les grandes pluies; auraient pour résultat de les réduire en mel ou àte, et de les rendre d’un usage incom

Laterre destinée au réplanta tage ne doit être ni trop sèche ni trop humide; rar l’un et Fauire cas, elle se travaille difficilement. Il est irès-important , Los du rempotage,

de prendre les précautions nécessaires pour l'écoulement | aux, Car l’eau, venant s’accumuler par infiltration le fon Te pot, un contact prolongé avec les raçines a par les Fnagels pour cela on place sur le trou du

: couche de Lessons con

Mn Ge 27 20 nes Ed Vic SSSR na de di

: dessus de la couche préparée D nov rs rex ps

CULTURE DES CAGTÉES. 0

fond un espace suffisant pour le développement des raci- nes nouvelles pendant la végétation et au-dessus un espace libre pour recevoir l’eau des arrosements pendant Pété. © est à tort que plusieurs cultivateurs dissuadent d’em- lp couche de tessons ou de gravois; elle fa- cilite Pécoulement de l’eau; son er oi, ne à his de la couche de détritus de terre de bruyère aux jeunes racines de pointer dans l’espace rempli ds de: leur emploi laisse des vides ms et y maintient une accumulation d'air et de gaz très-favorable au Et. 2 pement plantes. :

Le rempotage se pratique de la ages suivante : on

_on parvient, par deux ou trois peser coups secs, à retirer du pot la plante avec la motte qui entoure les racines ;

e doigt ou un petit morceau de bois, on enlève la par- tie latérale de ass motte, ainsi que la couche supérieure; celte opératio: po ee de frésons parce qu’il

est _—

cevoir la plante ; on la place sur cette couche de manière .

que son collet se tronve à 2 0 Res

du bord supérieur. Avec une main n on jette de la terre dans

Jepol a plante, en la maintenant vertica- lement d ? de l'autre m main ; on tasse un peu en frappant le ee

ot à plat, et on con aterre soitar-

r'ès Fe lors , en | faisant { tourner le pot sui- . sse la terre avec les doigts de manière

ne p ie qui vienne affluer à 2 u3 centi- du bord du pot. Me

+ CULTURE DES CACTÉES.

Lorsque la planie de forme sphérique ou cylindrique présente un trop grand volume, on tâche de la maintenir ayec la main recouverte d’un gant, soil en ne - Son corps, soit en la maintenant par le sommet. Dans les cas, il ne faut jamais tirer-sur le corps de la ms parce qu’on risquerait de déchirer les racines. Quelquefois la motte de terre, cReE ite du tassement produit par les _arrosementis et développem ent des racines, adhère . assez fortement sur à Parois du pot; il vaut mieux alors : Ft des

VIMMIR

: Le veut replanier les Caelées en ploise terre sur | une couche forée de terre de bruyère convenablement

: Haha ei se SD. par un M dou. dans un adroit cn les j pen semis doivent être enlevés ares. cine à our cl on se à set d'un pate spatule en

on a SO

dans la ot à 2 TARA soient ef plus ni n : que dans la terrine; ensuite on tasse Po ar la térre autour de la plante, ‘és manière à lui donner dans la terre une assiette convenable. ÎLest urgent de ne déplanter qu'i un n petit no nombre de semis is à | la Étie narro ss. r'ils

à Fair, leurs j jeunes ra racines étant encore très le faire on à Fabri de Vaction: des. rayons. du soleil. Les

CULTURE DES CACTÉES. 599

terrines dans lesquelles ils ont été faits ne soit couverte de lichens et de mousses qui gènent leur développement ; alors il devient nécessaire de le faire: plus tôt. Le premier repiquage suffit ordinairement pour une année. Ensuite on peut meltre les semis en pots et les traiter comme les autres plantes, s’ils ont alteint environ un centimètre, Je me suis toujours bien trouvé, après le premier repiquage, de faire un second repiquage en pleine terre dans des caisses de 8 à 10 centimètres Apr à de 40 à 50

velopper , et avec ces D dt on js prets ere

tatives et peuvent aisément se transporter dans Pendroit

qu’on juge le eur relipnerré. de cette manière, presque toujou s on obtie en deux années des Plantes triples et ù

Les plantes entre ou repiquées ne doivent pas être arrosées PRESSE parce Les ces opérations se font

_ rarement sa plantes, et et

une humidité trop abondante FE la cicatrisation

es racines ou de la tige amènerait la pourriture ;

être tenues pendant rois ou quatre jours dans un care chaud , et ce n’est qu’un jour ou deux après Dore. suivant la HRPRFANRE, GP on deks A

1 er les arrosements. io

la mauvaise saison, les plaies les qu'on produit - ur le racines usure lis peste 1 Sr st he

esoin un ; nourriture. | Se

l eines PA É. après se ous les =

mpotag s doive Rs nan e la plante a y , -

CULTURE DES CACTÉES.

deviennent nécessaires seulement quand les racines dans leur agp ont alieint la couche inférieure du pot ou bien ont fini par la remplir : ce qu’on reconnait toujours, soit en béquillant la terre, soit en examinant les racines, soit encore parce que au milieu de conditions les de lumière, chelèur ce d'humidité, la plante

_… général, il faut tous es ans rafraichir les pots, ce . qui consiste à enlever avec précaution la couche supé- rieure de la terre, et à la remplacer par de la terre nou- velle; pour cela on béquille la terre, on renverse le pot en maintenant la plante avec la main, et on remplit | les vides comme Bd les dép see

nn les Cactées sont ex-

qui proviennent soit des in- i cidentelles , soit d’une questi

générale à pralique a on donné ds ons résultats, consiste : visiter fréquemment 1

_ tes, à observer les temps d’arrêt dans la vécéailit les accidents qui surviennent dans leur développement, lors .

+ me du reste, elles sont dans des conditions culture

peus, coûpez: avec soin toutes les racines malades, enlever re à laisser une

CULTURE DES CACTÉES. 604 :

plante, débarrasser avec précaution les racines de ioute la terre qui les entoure ; presque toujours alors, quelques- unes sont flétries ou comme attaquées de chancres. Leur surface présente des déchirures dont les bords et le fond sont rouges, couleur de rouille; d’autres fois, elles sont pourries. 7 lfaut couper impitoyablement toutes les parties atteintes, rempoter dans un plus petit pot avec de la nou- velle ter rre el tsoumettre Ja plante, pendantun mois ou deux, à un rég c S'il n°y a aucun de ces accidents, on rempote ; on soumet la plante à un régime plus chaud …. on remplace les arrosements par de légers bassinages. I n a nul inconvénient à à faire cette visite des racines, leu | qu’un arrêt momentané ms la : végétation. Ces précautions préviennent presque toujours les acci- quand

. denis de pourriture générale, accidents

on ne les Lepage 4 après qu'ils ont ss une. , r lié DNS de la plante .

La pourriture locale consiste en ie is jaunes qui Le onERE ch et sur la surface des Cactées; elle se

. en bete des soins indiqués, L rit locale a envahi certaines parties de la plante, il faut la dé-

toute la pate altérée de maniè ee la . *

le traitement de con

__ maladie avait nr eloppements qu'il ait fallu __ enlever toutes les racines, il faut traiter ie rte. saine . comme

les boutures- no. Le = F) + ». % os Fr

e+& EE SRE

‘rer la plante s se guérissent en SERRES et lui dor es * _ pendant quelques jours ane chaleur humide; ceux

qui produisent des taches molles RER de rouille set ns

602 CULTURE DES CACTÉES,

brun, mobiles, presque imperceptibles, dont la présence est accusée par des taches qui couvrent certaines parties des plantes. Cette malsdis exige un in netloyage complet ; il de eau, en dirigeant le jet avec force sur son somniet ; Peau, en n jaillissant, re. jette le plus grand nombre. des insectes : ‘il faut ensuite _ faire sécher la plante, exposer à la plus grande chaleur possible, parce qu’alors les insectes qui restent se promè-

=. onles enlève un à un à l'aide d'un petit morceau de bois

taillé en pointe.

Dans la maladie grise, la plante perd sa couleur, son éclat naturel; sa y végétation semble entravée ; unes de ses parties se couvrent d’une Lee net _—— gris brun qui bientôt plante et ne laisse libre que la partie supérieure, qu'elle envahit. quelquefois, à mesure qu’elle se développe. Je n’ai jamais observé cette maladie s sur mes mere mais seulement sa

. Vi traitement nt qui fut suivé d'après mon conseil. : Les plantes furent exposées à l'air libre pendant l'été, : a es eau des arrosements fut remplacée par de l’eau deri- vière très-pure. Au bout de quelques mois, les parties

qui avaient vaient poussé conservaient leur couleur verte na- . turelle , la maladie semblait limitée; mais je ne puis : si, pendant Phiver suivant, le mal ne fit pas de nou— :

CULTURE DES CACTÉES, 603

elles n’en offrirent plus tard aucunes traces quand elles furent bien eultivées avec celles que je soignais.

Quelquefois, les plantes se ramollissent, prennent une teinte blafarde; elles semblent s’affaisser sous leur poids; il ne faut pas chercher de cause au mal autre part que dans le procédé de culture ; le seul remède est de le modi- fier petit à petit. Presque toutes les plantes qu’on re irait dans le commerce auirefois semblaient atteintes de ce mal; ppotents tous les horticulteurs qui cultivent des Cactées a ec quelques succès sont d’accord pour at- tribuer ce cet état au manque de nourriture des poser, à un milieu

Par une culture trop reufermée, le manque d'air, le manque des soins de proprelé, u les tiges des Caetées se couvrent . cochenilles , le kermès (coeus cacti}, le coc us adonide, | Yaspidiote, bouelier es

toute la plante; le cs surtout avec son corselet en forme de bouclier, son petit dard allongé, brun ou jaune, est un ennemi dont on-ne peut guère se débarrasser que par un netloyage minutieux. Il faut les enlever un à un avec un petit bout de bois taillé en spatule. Les coche- nilles envahissent quelquefois les racines elles-mêmes; le seul moyen de s’en débarrasser est de dépoter les plantes; FE la terre des mottes et de laver à grande eauet les racines. Lorsqu’ ge rage a a surace de Ja tige de la plante, ik suffit la law yen de bassinages :

on on: envois Du parties En ont le insectes; sont entrainés avec Peau; il faut dans ce cas recouvrir la _ terre du pot avec un linge, pour qu’elle ne soit pas entrai- née par possible une pompe à un seul jet effilé. D’aill ide rfait

np dealer eee, am -

ser d M ha: Ps LL. à: |

604 CULTURE DES CACTÉES.

08 es see bien du procédé suivant qu’ils m'ont indiqué me temps qu’ils mettent de la chaux dans Peau pour. vera plus tard, par l'addition d’une assez

grande quantité d’eau, le lait de chaux si souvent employé,

ils ajoutent une partie de soufre sur deux de chaux, puis traite la a pâte ainsi obtenue comme la chaux éteinte estinée à f e la on bass ine les plantes

malades. Nayant pas sing ce moyen, je ne puis

_ parler de toute son efficacité. Je ferai remarquer seule- ment que le soufre, qni est insoluble à chaud et à froid dans l'eau, peut le devenir en présence de la chaux, qu’il est trerprobable que le liquide obtenu possède des pro- _priélés qu'on a inutilement tenté de donner à l’eau en y mettant du soufre seul. Au reste, les plantes qui : ne sont

pis de p es | vités, ét mème à 16 Tai FenVelappe de leur rép ces insectes recherchent

5 endrèité ombrés et humides, sr se rencontrent partout

en plein air, sous les coffres et même dans les serres. Le : détruire

: cultivateur doit leur faire une chasse. aides, les Fr ÉTÉ D Re FF ri rs dans ie

i de machefer (détritus de charbon | de terre quia

déjà été brûlé). On en forme une couche de 5 à 10 Re

. nécessaire de les vérifier tous les deux ou ! oi ans au les

CULTURE DES CACTÉES. 605

parfois le soir à la lumière d’une lanterne. Lorsqu'on éprouve quelques difficultés à les détruire, il faut fee les coffres pendant quelques jours et y déposer un peu de camphre, dont l'odeur les éloigne, Souvent il suffit de déposer quelques morceaux d'éponge légèrement imbi- bée , dans les pores desquels ils viennent se cacher.

Les lombrics doivent aussi être considérés comme les ch des Cactées ; toutes les fois qu’ils se sont intro-

lodeur du camphre ou celle de l'huile de ne ou de laurier. Le meilleur moyen de préserver les Cactées, est de

les tenir dans un endroit sec, soit sur une couche de ma-

chefer, soit sur une surface unie bien battue, offrant le. moins possible de joints et de cavités, de les détruire à me-

sure qu’on les aperçoit ; les soins de propreté suffisent le plus inreretit pour s’en débarrasser complétement.

moyens préconisés consistant à laver les plantes avec de fortes décoctions de tabac, ou de l’eau dans Jla- quelle, au moyen d’un brassage long et pénible, on aura tenu en suspens de la fleur de soufre, doivent être rejetés; ils salissent les tiges des plantes, obstruent les pores de leur épiderme, sont de peu d'efficacité et nécessitent tou-

le a #38 suffit À ed ponbns

on la température Les Lis au moment F-

de Pobservation, on se serl d’un a ui On “rs

er nes

606 CULTURE DES CACTÉES.

tout quand il s’agit de mesurer des termes extrêmes. Dans le cas l'échelle s’élève jusqu’au degré de Peau bouil-

Jante, il peut être utile de faire cette seconde vérification; _ mais comme elle est ne délicate que la première, on

dispenser.

Le thermomètre dtiné à Lrebn Fe Aempérature Va

sr acés Paiement à ere Pun isolé et très-près éy à l’autre dans lendroit de la terre qui en est le plus éloigné : parents donneront rarement les -

e d’en déduire, donnera ER A température de la terre. Pré minimum de la ‘température dans l'air a lieu ordi-

; plus haute te deux instruments nous tiennent en éveil ; lun, dans celte position, nous indique des températures minimes plus ses . celles æ thormomé ètre exposé au midi et

CULTURE DES CACTÉES. 697

ici, avec plaisir, sans doute, quelques notions sur sys- ième que nous avons reconnu le plus favorable. L'exposition en plein midi, abritée an nord, renseiail le

soleil depuis son lever jusqu’à son coucher, est sans con- tredit la plus favorable ; inclinaison des panneaux du devant doit varier depuis un de hauteur pour deux de largeur, jusqu’à un de hauteur pour un de largeur, c'est- à-dire de 35° jusqu’à 45, la hauteur est égale à la lar- geur. Nous préférons les panneaux et la charpente en bois

_- parce que, étant plus aurais. epiasieur. d fl la chaleur que le fer, ils dispersion Dans le mur du devant, que nous élevons à 1 140 environ de manière à éloigner le sol de la serre

dun en! + mars EE eus PHRAEA .: LU SUr s1 La : ? age

: "+ A + da An cent sur 20 de à.

hauteur, qui répondent à des ouvertures de 35 cent. de long sur . 10 sb a PUR PATES RE du fond, PAPRIRE HN Ce doubles volets qui se meuvent à coulisse sur AR Saga rg dre re VER

de que mur. Ces ouv ge ris une ventilation b TT? Lol es la S OL.7 OT © te Pris." 2. à. ,

: une plus

Nos ième Lau chaud cn

608 CULTURE DES CACTÉES.

le tirate , permet de donner une très-faible pente au tuyau _de fumée et d'utiliser une ras partie de la chaleur de la fumée, qui se perdrait dans Pair, si ce conduit la portait verticalement dehors. L'intérieur de cette cloche renferme le foyer, et on ménage dessous un espace vide qui sert de cendrier et qui est séparé du foyer par les barreaux qui. Lg le are Tout le système est environné

_ d'une maçonnerie en briques laissant entre elle et la sur- dela cloche un espace libre auquel on donne de huit à dix ce épaisseur suivant les dimensions et _ la force du chauffage. En outre, on pratique un conduit qui amène Pair exté- .. rieur du dehors dans cet se vide ; puis à aide de lames placées en travers dans cet espace, on force l'air à y.

_ Circu er lentement et à Véchauffer pendant cette circula- ffée de la cloche.

=

Dansces conditions, il il se produit : du dehors vers la partie libre entre la cloche et le massif ie en briques ; l'air échaulfé tend à s'élever.

‘app il se pe He es

serre, ms Da à ne à rie le seer mois qui Ps +

à. mn utile d'établir au-dessus de la cloche un vase en cuivre vre que lon tient rempli d'eau dont le niveau est. adiqué par un tube i en de s du massif de maçonnerie, | en faisant descendre le ce

. de entrée un espace libre qui permette d'établir des es mar-

a

CULTURE DES CACTÉES. 609

tube de sorte d’air chaud au-dessous du plafond d if de manière à présenter son ouverture vis-à-vis de la s sur- face de la cuve d’eau ; on oblige l'air échanffé et desséché par la cloche de fonte à se mettre en contact avec une sur-

ne de laquelle il se dégage constamment des vapeurs , et

n lui restitue les quantités d'humidité dont il a pu se

dépouiler pendant sa circulation dans le calorifère.

le système est ainsi disposé, on peut utiliser la chalite du conduit d fumée en l’enfermant dans une bâche ‘tuiles menues et dont on

profite pour planter en pleine terre les met Les ra

souffrantes. On fait également ps rs dis de distribution œue chaud dans les bâches ; Pun d’eux doit être dirigé vers , de manière que les Re de chaleur capes jusque ns

des panneaux vitrés.

Une des conditions nécessaires pour que le système chauffage fonctionne bien et produise tout son effet utile, c’est que la prise d’air soit en dehors; il y a avantage aussi à piacer au-dessous du mur de séparation de la serre re et

pote

du sol de la serre, en son milieu ou à l’une du extré-

_mités ; dans le premier cas, le cabinet de service pour le

chauffage est tout à fait en dehors ; dans le second , il se

x ps sie ain du cabinet he et c'est

s’'enlever facilement, ou

es s’il est nas lee rar als

610 CULTURE DES CACTÉES.

fixées sur toute la longueur de la serre, en haut et en bas; on les étend ou on les repiie latéralement en les

ce cas, la Gare que nous venons Pindicier n’est plus applicable. Nous avons fait construire des cadres en squels on tend cette toile en la clouant sur tout dés cadres qui ont les mêmes dimensions png panneaux eux-mêmes, et qui peuvent les remplacer au moment des grandes chaleurs du jour; de cette ma-

Avance

Lu p 41 GrTUIIS ve,

- men comte ia végétation, effet que

pl Ja:

. ds mir les nuits froides de Piver et pe les Re Ja ns dés musécie

CULTURE DES CACTÉES. 611

leurs extrémités ; on les taille de manière à donner aux

deux bords une is ea qui varie suivant la hauteur

des plantes qu’ils sont destinés à protéger, etc on 9 profite de

cetie inclinaison pour couvrir avec les panneaux vilrés ou

à toile suivant la saison. ; Ces coffres se placent, soit sur une recouverte de

terre ou de sable, soit sur un terrain, convena:

dressés ; ils permettént de renfermer la masse d’air dans

laquelle les plantes sont placées, et par ee pag de

l'aide de cette disposition, le froisl extérieur pén ètre beau-

‘coup plu ment bâche que s'il wava traverser que la même épaisseur en maçonnerie plei i est interposé entr ir

£a Le na Ps

, isole e en sorte la partie de a biche destinée à recevoir le

ji “Æ ane nie de 4 ES TR Un a y .

- do cye fon

_30 centimètres. An niveau du ME ce à de pl . _ vide peut être recouvert avec des planches E. le: service : del hache e et DORE: le rejet des eaux de ps

dm serre, C’est toujours par la terre qui, se amie | b PR De 208 elle est en contact avec la

manque Las au PE mr EE AE . bn mous .

612 CULTURE DES CACTÉES.

remplissant le fossé de litière longue ou de feuilles sèches

Lane hiver. bâche double de Kendal nous semble ee être li Cactées

ne terre,

_ Ses deux faces, la face antérieure et la face postérieure, sont formées de murs creux plus larges à la base qu’au sommet ; des pierres inter posées entre les briques dans la constr vide-de forme

re, qui se continue jusqu’au sommet , lequel se e par un failage, soit en pierre, soit en bois. _ La terre ou le terreau de la couche destinée à recevoir one est eee ne par un grillage en fonte de fer sur Me roro d’abord u une couche de branches et de tes- ons de pots ou de brisées, qui empêchent la terre Houe travers les trôns du grillage. : Ces bâches sont chauffées au moyen du fumier qu'on introduit par les portes ouvertes aux deux extrémités et q d'on tient fermées ensuite ; pendant les grands” froids , - ment à la 2 rene ns diese le niveau du ressi

la construction Êr hauten bas des murs jusqu’à fleur de terre un lit de briques brisées ou de tessons de poterie de 30 cent. pres .

À RE—Des pat, de eur forme et de out Gimomion.

_ La forme des pois : a une légère influence sur Ja culture dñes plante pend ë la belle saison, peut quelquefois i des racines __ Vhiver, near ne permèt er Veau pratiqué ä la. donne

sol env LA et * est terminée, on établit du

CULTURE DES CACTÉES. 613

une forme sphérique ; en outre, la face “parts du-fond du pot doit être un peu concave, de manière à per- mettre à l’eau surabondante de s'échapper bte re trou du fond, qui doit Loujours être percé de dedans en dehors et non de dehors en dedans. Cette disposition permet detenir constamment set orifice parfaitement libre, tandis que, dans les pots à fond plat, il est promptement obstrué. Les pots émaillés ou vernis , les pots élégants en porce- laine sont re itacetulement parce qu'ils sont trop dispen “mais encore parce que n'étant pas assez

si

poreux, ils qui correspond à une élévation de v , et mair 1 autour des ra- cines un état d'humidité qui n’est pas en D rade sc] Pétat du reste de la plante. _ Iest toujours nécessaire d’être bien assorti de pots pour changer les plantes qui se trouvent trop à T'étroit dans ceux qu’elles occupent , et comme il est toi utile d’avoir des pots de mêmes grandeurs qui se ran en mieux #1 tennent monts Ed ee nous ras ndon

| 5 c iisie rene 10 cent de haut ue 3 dedin. 5 M & + $ Rs

ni om 10 20 —_. +

que os. ; dimensions ne > sont ea suffisantes pour .

614$ CULTURE DES CACTÉES, d’un gouleau allongé et cintré, qui sert à injecter l’eau et à diriger le jet juste à la place que l’on choisit, tandis que, avec l’arrosoir à pomme, on n'est pas maître de le diriger. Ensuite, pour les plantes malades et quelques arrose- _ ments d'hiver, il est quelquefois commode d'employer un

der cônes, l'un se prolonse en un petit tube effilé, she ps type de dan mimment petit pour PORTE

Se tient L'osirenent à Vaide d’une petite anse s dée au cylindre. Quand Farrosoir est plein d’eau, le liquide s'écoule par la partie inférieure, qui est effilée, Papplication du pouce sur la partie supérieure arrête à

nt du liquide et permet ainsi de régler d’eau donnée en la dirigeant précisfanent à Fe.

me la e et sort sort À Sue here ht un division tel que és en Pair en tournant le

pu au soleil, elle permet de réaliser le phénomène de la

: décomposition de la lumière et produit un arc coloré . semblable à l’arc-en-ciel. L'eau distribuée dans cet Le

munes que nous trouvons dans tous les jardins qu'aux

Cactées.

que nous avons placées à la suite de notre monogr È sans leur donner les proportions d'un traité de ul! mr

Cependant, il me reste encore à es indi.

be to avec eux des racines pme nr chées ; ou bien, si elles ont été coupées, elles a voir, dans le tissu du | tronçon qui dépasse le collet des plantes, » indiquant un effort ; sans me pee pour brisel ces

déracinée qui a été conservée ; elle se canal médullaire, _pénètre dans Fintérieur des”

. Late signalé dans notre Introdu tion À ren faits phoilogiqes sur La cons x

616 CULTURE DES CACTÉES.

des racines primitives ; celles que nous réussissons à faire r à force de soins, restent constamment “réles et fibreuses, se Sen autour du coilet, ne forment plus le prolonge i du canal médullaire, comme dans à e semis, gr produisent plus tard des sujets qui ne vésèlent que lentement, sans pouvoir jamais acquérir aa ces raisons, nous conseillerons aux collecteurs, | reg itions = nee, d de RENE moins as ;

sujets fnrtas dimencin por

EU rtes La .

s moyennes. mi ils pour rront as is

eoinp pour cultiver leurs plantes pendant la durée qui sé- pare Pépoque de leurs recherches de celle de lenvoi, ils . feront bien d’y conserver leurs sujets adultes, de chercher

à leur faire développer des fruits ou des boutures, q w’ils

_— re qu’ils joindront à leur envoi, nous arri- “4 pee sr age avec de j jeunes racines ou toutes

hirures que la scie produi

demandes expresses exigeront qu'ils envoient | de forts sujets, ce qui arrive presque loujours quand les envois sont destinés à nos musées, ils devront faire en sorte de conserver intactes autant de racines qu'ils

Fee qui auraient été endommagées, puis de les faire vé- jusqu’au moment de leur envoi. Si les plantes doi- cap Horn et ses une traversée de cinq à l devront être em comme = - F irons plus bas pour loutes les autres ; : si elles ne doi- .

pourront, de supprimer, par une seclion très-nette, tou toutes

x CULTURE DES CACTÉES, TT

cher la iérre de tomber en poussière); en outre, lembal- lage de chaque plante devra être fait t séparément , de manière à protéger la plante elle-même, ainsi que les

_ plantes voisines, de l'humidité qui résulterait d’un contact immédiat avec la terre.

Il vaudrait bien mieux encore planter chaque plante dans une petite caisse en bois, qui se fait très-facilement* avec cing morceaux de planches et quelques clous; puis, au moment de Penvoi, recouvrir la terre avec un peu de mousse, et clouer sur la caisse six à huit petites lattes, de

à laisser en de:

hors le corps de la plante. Ave cette précaution, il serait encore possible pendant la traversée d’humecter une fois _ ou deux la terre, en mouillant très-légèrement la mousse .qui __ les bords de chaque caisse. Aujourd'hui, que e tous nos bâtiments sont munis d’app: distil- Linie. pour rendre l’eau de la mer potable, ces soins deviennent possibles. D'ailleurs, pendant une aussi longue traversée que cell e dont ilest question, il arrive rarement : àchent pas, et pendant la durée de . cette relâche, il devient possible de donner aux plantes quelques-uns des soins les plus nécessaires, surtout si on songe que souvent des plantes nouvelles ont eu une va- leur : commerc rciale de trois, quatre cents francs et même mille francs Chaque plante devrait, en outre, être : ce: note indicative sur son origine, sa station, l sa floraison elle-même, et sur les us elle peut A colons dans le pays. ee Ronnt aux LR MEURT

RP re PR 0 ME en ET OP EL ee Te rt EE QC LOG MA PATENTS

618 CULTURE DES CACTÉES. +

conservées dans une boite fermant bien et abritée de F humidité ; ; dans ce but, il suffirait même de les conserver dans de petites fioles qui seraient bien bouchées. Pour toutes les plantes qui sont destinées au commerce, pour lesquelles, par conséquent, on ne peut risquer de Arop grands frais sans s’exposer quelquefois, suivant les espèces envoyées, à ne pas rentrer complétement dans ses débou ursés, il faut s'attacher à collecter surtout des sujets sains, rester très-sobre ds le choix des jets adultes, réunir des boutures des de dix à douze centimètres de diamètre, choisir surtout

s qui Énionbe se dessécher complétement nl la traversée, et qui ; dsivent ètre coupées à leur arrivée. Je ne partage pas ment cet avis; car il est toujours temps de faire cette sec tion au moment on veut faire reprendre les plantes, et de arrive très-souvent aussi, quand le choix des ces tr ï e |

CULTURE DES CACTÉES. 619 ont continué à végéter dans les caisses, et qu’une pa- reille végétation, en Pabsence d’air et de lumière, est tout à fait étiolée, dépare et défigure la plante. Mais däns ce cas, les sujets ainsi défigurés, quand ils ont conservé leurs racines, sont d’excellents sujets propres à faire des pieds mères à leur arrivée, et doivent, par conséquent, procurer autant si ce n’est plus d'avantage que ceux qui, ayant perdu toutes leurs racines, font avis leur re- prise pendant un ou deux ans He À em par périr, quel quefois même avant ce long intervalle. #

L'époque à laquelle se fait rit a également une assez grande importance su: r la reprise des sujets. Il est con- cevable que pendant toute la période us pendant laquelle Le Cactées sont sale à un )resque complet, les plantes fatiguées, tant par la privation d'air, _ de lumière, de chaleur et d'humidité à! elles ont

les époques dorés, de manière que l'arrivée en Europe se trouve depuis le commencement du printemps jus- rs la fin de l'été. De leur côté les cultivateurs, quand ils reçoivent des t chercher à ne la ee mer des St

bumidifltion parcimonieuse Fe puis pros 3 ment en rapport avec l’état des plantes.

Pour les sujets qui arrivent RARE nérale :

Dom eiRe

620 CULTURE DES CACTÉES,

. trer. DeC Tu CA PR °°11 # 4: du + séchés, >, qui: développérent des racines dans un herbier, MW Pfaiffer et presque toutes Les personnes qui MAOPHNENEEE Es mie des Cactées, citent

par la pourriture, qui après avoir Si 4 a. _nées pendant q quelques mois sur. les tablettes des serres, ; tr { guéries et munies | de racines. M. Cels, sur le conseil de M. Lemaire, ; je crois, nt tout ver, sur une tablette qui garnit at | a serre énglaise, des plantes qui lui arrivèrent + äu mois de décembre ; an printemps suivant, je fus fort étonné, en allant en choisir, de les trouver pres- que toutes munies de racines et même quelques-unes por- des fleurs, E Enfin, Forster conseille, pour les phaoies nt c à la reprise et qui arrivent pendant © saison, de les enterrer Lt gene dans an

TABLE ALPHABÉTIQUE

DES

ESPÈCES ET VARIÉTÉS

#

AVEC LEUR SYNONYME ,

é Contenant la désignation des ouvrages dans lesquels les plantes ont été r ile en :

Kai Le

ANHALONIUM Lem. ne pen À da

152 Re Mons. Catal.… TR _ Myriostigma Lem, Cact. gen, | nov. in hort. 2 é

TABLE ALPHABÉTIQUE.

pages

CACTUS Fragiis Müllt. gen.

Amer., t. 4% . 481 Frut SRE Riche. for.

| Grandiblins Link, Enum., vol. 2, p. 25. . 505 “t Let. flor. . exot, 929. pu Grandiflorus Linn, . 386 DC. plañ, gras., pe rie DC. Rev. des Cact., p.50. 336 Heptagonus Lin. . 351 _ Hexagonus Wildenov, Evum.

UE" Si RCE Fr : us. » vob 8;

Paie: À Spring. si

k Monacanthus Wild +, um. suppl. mme

L Mosihfonsis Linn, £

| x ee Her. . é

3, p. 495. 1

ñ É

em, hort. Hafo. 2, p.443. . Pison, plant. . . du Brésil, p; 400, : : . ge nb: $ à: ile Bvañtz : Bo. nd. occid,, p. 376. ne à Hort. Berok © © ;

ÊTES ill 3

ce Haw. synops.

ha bg À 5 Us."

CACTUS Stellaris Wildenov. | Strictus Harv. in es æat., . 188. . &

Enum, , gr” S PP s

55 3

_ Tuva Haw. synops. . _ Tuna ;

Wildenov. , _ plant, suppl., p. 456 Es Nigricans, Botan. magaz.,

624 TABLE ALPHABÉTIQUE,

Pages. CEREUS sue hort, Berol, 359 359 | CERÊUS set Pfr, . 376

Enum, diagn., p. + 374 ï Pfr, a Forst. Handb. dr, #5 diagns, 388, . ». 257 a P. 406. - . « - Lise: 0e æ us | Beneckii Ebremb. À. G.Z., _ For. “Handb, dr. cet, 4844 . 367

, p- 402.

MR —| Same Cattin rt. Dyck

Alatus DC. Rev. des Cact. . : 438 “enlt., sh

Link. et Otto. Iconogr., 6. Far M Ha. É re | 368 Se RE 391

En. . Bifor

* L ga

= a:

Ur

s hort « Rifrons ons 7 suppl. P. 76. Haw., suppl, pe Ai ni

Salm. tnt Dyck F eult.,

L

=

LS “érbe sa + 40 Bodii, hort. Berol. (Hybr.). i Parment. 372

Li

_— Pir. Evum. diagn., p 108. À ces Salm, (br). 10 nariensis, hort. Beral. me ra Galeat,

hort, ] , cult., p Ceœsius Salm, ”Cact . in hort L_ Dyck.,cult., p.205. . . 358 . 348) Forst, Handb, dr. Cuët.…. * + p.3%..

Pfr. Eaum. : diago., p. 86. 363 | Lite Galeot, Re cactus

TABLE ALPHABÉTIQUE.

: pages CHREUS Candicans B. PRner

r Sal LA e St

Caput atus Hortul, . 368

471

s hort, Real : Salm. Caet. in hor RS cuit., p, 21 » Ckbaly beus hort. Ver | Fee _ Sal. zact. ie hort. Dyck.,

cu., p.201, . . . Forst. Handb. dr, Cact.,

330

LA

Po. 5. Chilensis Hortu. (Olim.). . 334 Chilensis Pfr. Enum, diagn.,

Colla. _— rc Cact-in ai Dy

lt, p. _ pue, Handb, Fi Cact.,

SÉRETR Coccineus Eugene ©

cult., P

p. 93. Cd alu! Caet.i in a hort.Djek . 190

: 336 Pfr. Enum. diagn., p.95. Ex ges Handb. dr. Cact., p- 378. AT ant ieri bor + Porol. . 370 Salm, Caet. a+” à Dyck, cult,, p. 210. pure Donkelærii Salm. 1,62. 1845, p. 355. Salm. Cact, in hort, By , led ? 3ga

t. Berol, | Forst, Handb, de. Get; Po. ; . ..

ie pages. -CEREUS Eriophorus 6. Lœte-

al,

Euphorbioid

—_ ge Haadb, gl *Cact., p. 293

Pfr, Enun, dign. , p-

Exerens Pfr,

Link: .: . . Extensus Salm. .

Pfr, Enum. diagn., p. 119, Botan,

pe 420. gs à pfr. Ent Enum. diagn., EE Ouo's Ps

. 39% Ë

ui

CEREUS n.

Puis HU Dyck., cult.,

. 47 = For. Handb, dr. Cact. ,

CEREUS Gibbosus rs

_mov, in hont.

. 21!

ms Hortu _ He

TABLE ALPHABÉTIQUE.

CEREUS Hansii (Hybr.). . . . : i DC. Mem.. .

Enum. we P- 82.

Hort. univ., t. Par 1850!

: 333 Hexangularis Hortul,. . . 976 Hexagonus Hortul, . « 398 | Htchensi ; voh Dresd.

Hybr - Hookeri Lo. et Otto. Pir. Abbild., se. Br .

Sal, Cact, in hort. re

19

TABLE ALPHABÉIIQUE, 629

CEREUS perapennrs Me Carte. re, le. 5 se . 305 | CEREUS . Leptacanthus 6, Inermis Otto + 390 Crassior DC. . des > pfr: ay PS mo. _ CRE ee Lg andb. dr. Cac | Leptophis DC. Rev, des sr ê _ NE” i < Ne DC. Mem., nn: Éntertens Salw. Cat _ . 38 Intricatus Salm. Cact. Fa Le diagn., P- 12. _ hort, Dyck. , eult., p. 194. ! 5e Forst. Handb. dr, Cact., + Zoversus, hort. Berol, . :. 394! p.410. _ Salm in hort. Bye Leucanthus Pfr, Enum cul, p.219 . ee Me diagn., p. 71. no eo 305 Mavstenii Salm, Cocf. n | PE in hort. hort, Fa cuit. p.29. “a pre LE

360 H Ang}, . 390

Kiar. us Rois, (Hybr. + : M9): S ‘280. Knigihii Parment. . 406 | Kuntienus, . Berol . 389

—L Salm. Le ivher. Del, à Lima Hortu cuit., p. 2 # Lividus Pfr : - in Le 98. €. hort. rs eut, pe 207. 862 Letevirens, hort. Berol…. . 359! F orst en Cac. in hort. re + p. 3%. 5 110 Pre ts Catal. “ne = Br. Enurm. es ess 06. je

ort. Rés

eule., Pe . :

Maletianus Cels?. , +.

Mahsson: hort. L2 LA LA 116.

Bops., suppl., p Pfaif, Enum. À TI, _ Agnes Enum, 7

un " Palldior Pfr.

1 È

4 LE

1

_ sagas à +

_ en . 1835, #, s. 221

#

pages. CEREUS Platygonus Salm. hort. De me

. 339

hp . = Forst, oi de. : Carta,

p- 36. . ne Botsii Salm. Cact. in se cult., p. 208. .

Rentzit Salm. (Hybr.). .

peus see * Hi us Haw. su A La LE

632 : TABLE ALPHABÉTIQUE.

pages. (Hÿbr 2108

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Albatus Muenf. A. G. Le | Forst. Bandbr, Cact:, 7 1846, p- 170, : ei P se . pa = MT RER Salm. Cact. rt Dyék, Arrigens Link, et Otto... .

. —| Detr. À. G. Z., 1841, _ Salm. Get: p. 161...

“hort. Dyck. euh, p. 181. 225 | Salm. Cac Cact ia hort. Dick, Hort. Berol. . + 22! cuit, p.1 | Acanthodes hu Cact. Pfr. ref vol. 6. . P. + 19%} 6. Artropurmi 5 Salm. Ke . 172} Asterias Zuce. acad, _ ent Mouae., vol, 4, p. 14,4845. 206.

| Salm.Cact. in hort. ;

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TABLE ALPHABÉTIQUE.

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TABLE ALPHABÉTIQUE.

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682 . TABLE ALPHABÉTIQUE.

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TABLE ALPHABÉTIQUE.

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pages.

Dyck., cult., p. 155. . 204 ECHINOCACTUS Scops Link. et Otto. Iconog., à 41.— Link, Otto, Bo-

644 TABLE ALPHABÉTIQUE.

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TABLE ALPHABÉTIQUE.

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pages. MAMILLARIA Acantophleg- Dyck., cult., p.86, . . Forst, Handb, A Hort. Mes. Catal. 1866. gas s Monv. Catal.

dr. Cact.,

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TABLE ALPHABÉTIQUE.

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TABLE ALPHABÉTIQUE.

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649 pages. LARIA Bicolor d.. qe pe : 58 6. Nobilis vrst, Handb. . Cact. . 5 Hor or Allen, Catal. . PR vis Pfr, + 12 Bihamata Pfr.. < revi Zuce. Pfr. Enum. diagn,, p. Forst. Handb. dr p.247. -

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Forst. Handb, ‘dr. cu, ei à : Le ici Le “Gaet.

_ gen: nov., p. #2. Salm. Cact. in in hort, Dyck., me P: 18. : Forst. Handb, ‘dr. Get.

MAMILLARIA

TABLE ALPHABÉTIQUE.

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pages. Rs MAMILLARIA Cornifera +. [|MAMILLARIA Crocidata Mutica Salm. Cact. in y. Quadrispina Pfr. . . hort, Dyck., cult., p.131. - Jrucigera Mart, Act, nov. Coronaria .Rev.,p. 69. 33 nat. eur. XVI, t. 25, fig. 2,

652

pages MAMILLARIA Diaphanacan- tha ESA ta 5 p. 100. LL 2 L 76 isciformis DC. Rev. . : ss | Discolor . "40 Pfr. Enum. Enum. diagn., p. 3 Re

Salm. Cact. in hort. Dyck.,

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TABLE ALPHABÉTIQUE.

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TABLE ALPHABÉTIQUE.

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TABLE ALPHABÉTIQUE.

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= Salm. Cact. in hort. Dyck. + > P- 129. + : nov:, p: 49. . . . Salm. Cact.in hort. Dyck, > P: 107.

Oothele Lem. . $. Brevispina Sal.’ - Pallescens Scheidw, A. G. Z., 184, P-. 42. : Saim. Gact. in hort.

pages. MAMILLARI : rs Lem,

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840, p. 406, .

‘+ LA 4 MAMILLARIA Pentacantha

Salm. Cact. in hort. Dyck., cuit.

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Peroté: Héhal © 5: 4 Pfciferi, Botan. Le 02 . Phæœacantha Cact.

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TABLE ALPHABÉTIQUE.

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pages, MAMILLARIA Rodeocentra Salm. Caet, in

cult., ? 108. . f. Gracilispina Salm. na in bot je ck, culte,

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É Pages MAMILLARIA Senilis. Salm. Cact. in hort. Dyck., cult.,

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. Saim. Caet.in hort. Dyck., 1 “eult., p. %8.

: 4. Flasa Saim., ibid,

.

3 pages, [MAMILLARIA Villifera

. Æruginosa Salm, . pes m.

RE a 10) à: c. Z., 1841

p. 98. _—. 1 + 2 1836, PA Rs

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re id. Ar KT 2 et ‘Oito. | Lem. hort. Mouv.

66& TABLE ALPHABÉTIQUE.

pass l ii OPUNTIA Pfr. Euum. digne. "250 Miq. ibid. . . 0 . Mi le C2 De - Macracanthus Salm. Observ. Eudl, gen. plait. - . se + hoten. 1808, p.16. ‘. 11 ildenov, Enum. suppl, D Man iæformis Salm, Ob- G, bort. Monp. Catal. . . SN, DO : . . . 193) Liok rar *: _— Pfr, Eoum. diagn., p. 40, | Albicans Pir, um, diagn., Microcephalus Miq. Mo- p. 455 . 463 _ nog.des Meloc. . . 11} Forst. Handb. dr. Cact. , Fe Monvillanus Miq, ibid. . 13] p.486. Le + + + + - . æ | Alfagayueca Karw. 463, 468 17} ia Gi 488 . 20 | de . 456 42! 20 10 45 - À . 18! - Tuberculatus re æ tb. : sat x Crassicostatus Lem,

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Caracassana Salm. Cact. in hort. Mer 238.

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+ Éisidior Salm,

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pe OPUNTIA Curassavica ne synopé., p.195. . . À 465 | —Pfr. at AE p.148. . hot: Pfr. + ë Lee 469 | Forst, Éer ‘de Ve . 471. :

ort, Ber *T 552

Cathocantha, hort Pfr. Euum,. diagn. p Celsiana , hor

Er Pi PRE Pfr. Enum. diagnr, P- TT ild.

er sg dr. Uaet.

w.sÿ ops., ue . diagn., P- À. G. is 1838, p. sn

ngelm. —Salm. Ca in not. “Dyck, p. 25

69, pl. 46. RAA Gill. .

—. Jor PR TT Horrida Salm À Pfr, eg -diagns ke 162. Humilis . be . 49 Pfr. Enum. PE 170. = Fan, Handb. dr. Cact., Le j ae Salm. —| rt. Paris. 489 47.

Re

Pfr. Eoum diagn,, p.152, . dr. Cact.….

P- 468. . . s . er À Macrorhiza Engelm. . . La Salm. Cact. in hort. De

cult., p. A si ne Maxima Mit. Li , Ë : Mimi ni

668. | TABLE ALPHABÉTIQUE.

OPUNTIA Monacantha mie

_ Haw + 497 phslanis Milt. “Diet: . . HS lant. gr, p.145, .

454

. 483

—Pfr, Enum, diagn., p.164. rar à pres RS : —Forst. Handb. dr. _. : Ron 8.Z,

p. 194. . ….. », 371. + Defleza Sais. - se Fred Enct in bre, Dyck, —7. Gracilior Salm. doomh ch, p.26 - , Gracilis Monts. 0 —} Hort. angl. ani 476 | —Forst. Haudb, «dr: cuet

p.56. .

che et À: G.Z., _ 1838, p. 216. Sal.

TABLE ALPHABÉTIQUE. 669.

P- 10. . . . . . . Pfr, Enum. diagn., p. 145.

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Ramulifera Salm., Cact. in hort. Dyck., cult., p. 360,

Pir. Enum, diag»., p.173, . Cact

Forst. Handb. $ DUR. se on. à: SE... Retrospina Lem, , . . . Robusta Windi. Cat, hort.

Forst, Handb. dr. Cact.,

| Splendens, 487 à Prin Fun. drag p 159. urea Karw. .

—| —Pir. Envm. diagn., p. 14, Forst. Handh.

OPUNTIA Spinosissima Pfr. Enum., diagn., p. 166. . js Forst. Handb. dr. Cact.,

EE RE

états Fagidier.

—Saim. ne in hort. D cult., p. 29. . .

m. Cact. hort, pa ele, P- 364, 470 Dies Handb. dr. Cact.,

mes Enum, “ing. pA57

DC. Rer., p. UT.

ess. pages, OPUNTIA Vulgéris 8. Major Salm.

7. Minor. Observ. hot. 182%, p. 9..

PELECYPHOR À Étrémbers. Botan. Zeitung { Mobil. et Schee v 7.

“a : He. Dir . . Handb

pages.

PEIRESCIA Crassicaulis Zuce. 502 | PHYLLARTH Cruenta pre à + 5 Glomerata P

L 2

Grandiflora ser NS rs w. Suppl. , p. 55

Pir. Enum. din. p. 477,

des Cact.

Foret: Hindi à Cact., pH... ris

|

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pages PILOCEREUS Celsianus Salm.

Caet. in hort. Dyck.,

cult., p.1 —.

mn Engineer Baies - b, somalus Lem. Hort. ,n

ns

3! Mikiaris Gels. Catal. +. Niger, hort. Paris. à

Columna Salm. Cact. in : hort. Dyck., cult., p.184. 278 Cometes Scheidw. À. G. Z 1840, p. ge S é - Gertisié Sam. Dee cult., p. 183 . 281 Forst. ob. +. Cact. P.: Glaucescens Nob. . . . Jubatus Sa!m.Caet. in hort. Dyck. cuit, p. a Handb. dr. Cact

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Pfr. Enum. diagn., LE Lars Handb, dr.

racbypiere Pr "mé diagn., te andb. Cact..

1118

}, 438 | . ge 434 439 4

1181

Pages. Pros aiguillons de deux sortes, . 3 _ À. Polyacanthæ , aiguillons intérieurs et SAC différant assez peu les uns des autres. . . ei ss. : e is + CETTE pl q' les aig “#

lons er NS és + . 1o - C. Diacanthæ, 2 aiguillons intérienrs. . . . + . + « . 12 D. Monacanthæ, 1 seul aiguillon intérieur, , RS $ 2. Homæacanthæ, » n'ayant _—. siguillons extérieurs. + 17 ce se + + + 19 25 . . 21 sn LM EL 23 . 23 27 35 35

38 L.

4 |

+9

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rentes. » mn Senlis Ds ME - : Trenet LS NE ne er sur trois séTIESe «+». +

alloncés

4. Geminispinæ, g * Leiacanthæ i

3. Brevispinæ, » siguillons intérieurs courts. ie . <

.g ersllsl

é

TABLE DES MATIÈRES,

I. Cæpitosæ, tige globulense —. Suis = + L notatæ, marqués d’un sion. .

mamel 4. Oothelæ, mamelous ové s, coniques, tétra gones. , . Groupe. D rer Si pd - de lon- gueur v variable, Un . . ., SU Es À. re ddués “sidtisni Se + = + Me cree ed ts. . ignillons

“Le Pi L . LA LA LA 2. Stellati, aiguillons en rayons d'étoile. , , , , . 3. Strogulacanthi, aigu et ramassés.

; s & tele M :

recourbés., 7 | Coq cpllns en forme du COR ent

* lab, Seb de dépoarraes É [ arr fauves ou HE: Pauci angulares ;

. Atbrophyllum. _ : 1% Sous-Gannx. PRyELOCACTUS. « + . + + + + + - * Divisions du périanthe et étamines en nombre indéter-

RU PU A SO ETRERE | 6. +

BESS

+ 436 e 483 .

. . 2

682 TABLE DES MATIÈRES.

; Pages. Des lignes isothermes. RE de ten. re 000 . Tableau des tem de di localités les * Cactées croissent at spontanément, et de Re localités appartenant à l'Europe. . + + . . 1x. De l'influence de la lumière solaire. 54t x. Limites des Le se Le supportent 5 4. sous clima + + DJ

, eur

; geste de comparison ke re extrèmes

| climats, avec la végétation en Ps air peus la belle 55

: saison sous notre climat. . 2, 553 cree correspondantes fs + zone tré . Ta pers e comparaison des températures AR de nos

imats , avec les températurés correspondantes de la zone érée.

temp 554 Limite lire de K itsie sali K dE 8 ee... « 9 Tableau de comparaison des températures extrêmes de nos climats, les températ dantes de la zone e, « : 0I Limite de la GR s en plie _. sous nos s à st a ‘peu près celle de l'or anger. 562

. Règlement du res: et se sa con A oe rer 563 Tableau des différences entre les températures des dive de dans scale de l'Europe . + - - + 97 érentes périodes e eultu

_— Se fon MS 7. 973 FR ee en Un... 0 x1v. De lean et des arrosements, heures et saisons, . . + + 57 xv. Propagation et re nn se is oi xvr. De la terre. . -. ee sh se D xvir, Pjantage, shit et rempotage, . - 596 XVIRE, pu des Csctées, de leurs ennemis, ct ad res àa°

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Page 376, . 2 au lieu de Cereus Graniis BA lis.= Fais Varia- Pise 376, ligne 39, ou ee de _.… Graudis + lisez Cereus Varia-

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Page 382, 1 gne 44, 2x lieu de la consistance, lisez la flexibilité.

Page 332, os 37, au liew de Lambricuides, lisez Lumbricoides. à

. Page 387, ligne 47, au lien de Grandifiorus + ns lisez Gran- diflorus + Maynardii, age - 339, 16, au lieu de Spinolasus, lisez Spinolusus se même la s

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l AS 42, igne 39; au lieu de NS - lisez Stapeliæ (de mème pour la à ;

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